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la noblesse okordienne est une noblesse de fait, le moindre serf, le moindre paysan, le moindre esclave, a toujours une chance de faire une ascension sociale, par le commerce, par la connaissance, la compétence, ou bien tout simplement par les armes, tous pouvais acheté leurs liberté, tous peuvent acquérir un titre de noblesse
seulement voilà, quid des perdants?, ceux qui sont coincé en bas de l'échelle sociale, quid de ceux qui s'étaient enrichi, mais pas assez pour avoir une place au soleil nobiliaire?
la noblesse vis du travail des autres, plus cette dernière est haut dans la pyramide, plus cet état de fait est vrai, c'est dans l'essence même de la noblesse, un noble qui travail n'est pas réellement un noble.
toute les politiques de Talera pour favorisé l'ascension sociale à travers le commerce et l'éducation ne pouvais pas résoudre la contradiction du modèle féodal, les intérêt des exploitants et des exploités sont par définition irréconciliable, certain diront même qu'elle a contribuée à permettre à ces derniers d'avoir les moyens de s'armé par sa politique trop généreuse envers les petites gens.
décrédibilisé la vénalité des mercenaire n'y avais rien fait, pire, elle avais éveillé la faim de fortune, qui sommeil en chaque homme et femme de dur labeur, et qui chaque jour faisant, rêve d'émancipation ou de devenir maître à la place des maîtres
et les voilà en cette matinée, le ban levé, indigents, paysans, petite noblesse et petite bourgeoisie, unis, à réclamer la fin de la taille, de la conscription, de la dîme, et plus que tout à avoir enfin leurs place au sein du pouvoir.
malicieuse, la maîtresse du domaine ne souhaitant pas plus antagonisée sa populace, les envoya quémander au roi, le vote qu'ils leurs avaient promis
c'est ainsi que les révoltés se dirigèrent vers le fief du Roi Mérovée
Mon roi, on en a gros !
vous aviez promis un vote au peuple, pour nous permettre à nous, travailleurs de la terre de décidé si nous voulions être représenté.
mais vos promesse se sont envolé comme le vent, nous venons vous voir en porte du Norest, pour que vous nous considérez en tant que tel !
révolte !
--
Wat Tyler
Dernière modification par GrandJarl (2025-06-01 21:24:55)
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la forteresse massive s'étendait à l'horizon
"ouvrez, ouvrez, on en a gros !"
mais la porte du Norest était fermée et restée sans réponse
"où est la jarre pour notre vote? on veut la fin de la gabelle de sel, il y en a suffisamment entre seigneurs okordiens !"
ouais ! clama la foule derrière
"on veut que la taille fasse dans le détail, et ne taxe que les plus aisé !"
ouais !
"et surtout, taxé l'urine, ça pue !"
ouais !
tchak ! une flèche accompagné d'un parchemin tomba non loin de Wat Tyler, le meneur de la gronde
Rebelles,
Mes hommes vont vous poursuivre. Vous débusquer et vous anéantir.
--
Mérovée Ier dit "Le Jeune", Roi d'Okord."Devant l'Orage, Jamais ne recule."
"de quoi?!, qu'on aille me chercher le bélier !"
se tourne vers la foule, muette
"Charle ! Charle ! magne !"
"monsieur, le problème c'est que vous avez oublié de donner l'ordre de prendre le bélier...."
silence
"bon.... dirigeons nous vers la forêt pour construire un bélier..."
Dernière modification par GrandJarl (2025-06-01 21:12:01)
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l'immense armée du roi avais méthodiquement encerclé les 3300 révolté composé de 150 hommes à pieds, 600 lancier, 900 arbalétrier en armure légère, 1200 vilains équipé d'un arc, 150 cavaliers, et 150 chevalier, ces derniers auraient voulu fuir en voyant les 5000 chevaliers, 2000 cavaliers, 3000 arbalétriers, 1500 archers, 500 lanciers, 500 fantassins
mais comprenant rapidement qu'ils n'avaient nulle part où s'échappé, ils se replièrent dans la forêt, là bas, ils se mirent d'accord pour se battre jusqu'au bout plutôt que mourir écartelé
"qu'est ce qu'ils foutent?, ils ont les moyens de nous écrasés pourquoi ils ne chargent pas?"
"je crois qu'ils attendent qu'on meurs de faim plutôt que prendre le risque de nous charger dans les bois à grande perte...."
"mourir de faim?, ils nous prennent pour des enseignants ou quoi?, on a du stock pour un foutu siège !! ils pensent qu'on apprends jamais rien dans les campagnes militaires?" l'homme savais qu'il allais mourir, il était effrayé, mais il avais fait la paix avec cet état de fait, au fond de lui il enragé que même devant la mort il n'était pas pris au sérieux, sans eux, pas de blé, pas de bétails, pas de conscrits, certes dans l'immense majorité ils n'étaient pas lettré, certes ils n'étaient pas cultivés, mais ils n'étaient pas stupide.
du côté de l'armée du roi, ce dernier songea a empoisonné les puits et à libérer des rats, mais ses conseillé l'avertissant des risques de dommage envers sa population locale, lui firent changer d'avis, et le roi ne prit ni le risque d'affaiblir sa population ni de donner plus d'argument à l'influence des moissonneurs
c'est ainsi que la bataille commença
Dernière modification par GrandJarl (2025-06-02 22:24:21)
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https://youtu.be/ERNYqUNIvY4?si=W78LJ95KK95MNyyf
après quelques lunes à s'observer, l'armée royale replia 3000 chevaliers, dédain, opération militaire urgente ou repli stratégique, nul ne su
de toute façon les révoltés étaient coincé, ces derniers n'ayant plus rien à perdre avais commencé à manger le gibiers des forêts, propriété du roi.
ce fût la provocation de trop, en quelques heures les armées royales fondirent dans la forêt, ils s'y écrasèrent sur les épieux et tranchée rustique qu'avaient fabriqué les révoltés
les vilains arrosèrent de flèches les armées du roi, et les pertes furent nombreuse
mais rien ne pouvais empêché l'armée royale d'écrasé le camps, et les révoltés furent massacré jusqu'au dernier
quant à Wat Tyler, le meneur de la révolte, il fût capturé, nul ne sût s'il fût tué au combat ou exécuté, la seule certitude est que son cadavre inanimé fût jeter dans une fosse commune
la nouvelle de la mort de Wat parvint à la plèbe, brisant les espoirs de révolte d'une paysannerie au bords de la sécession.
"rentrez chez vous, travaillez les champs, vos principales forces armées ont été vaincues !"
dis Talera à la foule en colère
"rassurez vous, votre roi vous a entendu, il y aura un vote !"
cri de joie et de soulagement dans la foule
"mais dans son infini sagesse, il a dit que notre peuple ne votera pas !"
"à mort le roi !" scanda la foule
"allons, allons, c'est un crime de lèse majesté, ne m'obligée pas à vous faire écartelez, rassurez vous comme vous savez, j'organiserais une fête bientôt, vous voulez pas manquée cette opportunité de vous enrichir? rentrez donc chez vous !"
la foule déçue s'en retourna, tandis que la dame, elle fût bien contente de se déchargée de la colère du peuple contre le roi plutôt que contre sa personne
conséquences:
-les petites gens d'Amara haïssent le roi Mérovée
-Talera ne pourra pas soutenir le roi de près ou de loin pendant 3mois
Dernière modification par GrandJarl (2025-06-04 18:20:12)
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C'est un petit livret, imprimé, facilement cachable sous le manteau qui circule. Vous, et d'autres peuvent y lire :
Tout cela avait commencé par quelques coursiers.
Plus circonspects qu'inquiets.
"Des hommes en armes étaient descendus de coracles et de barquasses. Et ont tenté de prendre la Porte de Norest."
Un message fort laconique de prime abord puis les informations avaient transité de messagers en cavaliers. Jusqu'à la salle du conseil.
Une force de rebelles au Royaume attaquait une forteresse sans aucun engins de siège.
Peut être plus tard certains chercherais à en faire des héros, des hommes de valeur et non des rustres.
Ces gens là venaient d'un domaine où le roi avait dû intervenir pour éviter que trois milles cinq cent familles soient vendus.
Un domaine où le jeune Mérovée avait envoyé des vivres. Peut être même une partie de ces vivres remplissaient aujourd'hui les chariots des risibles assaillants.
Au détriment d'un peuple qui quelques mois auparavant avait trop de bouches à nourrir.Peut être plus tard l'on chercherait à en faire des hommes éduqué, instruis, connaissant le métier des armes et de la guerre.
Mais pour l'heure. Quelques petits milliers sans engin de siège et plus de vivres qu'il n'en faut pour nourrir 500 hommes pendant milles jours contre l'une des plus grandes armée du Royaume.
Avec a sa tête les généraux parmi les plus célèbres.Si d'aucuns avait pour idée de transformer la chose en gloriole. Il lui faudrait sacrément manipuler la vérité.
.
En Nortmannie on ne s'était pas embarrassé. Une compagnie et trois bannière avait été déployées.Les soudards, Sans doute un mélange de paysans perverti à la violence et d'agitateurs perverse, s'étaient réfugiés dans les bois.
La bataille fût menée et malgré des grossière erreurs de la part du capitaine de Nortmannie le surnombre ne permettait pas de renverser l'histoire.
Leur chef, capturé, fût immédiatement mis à mort. On ne laissa personne repartir et aucun prisonniers.
Ce qu'ils avaient à dire ?
Menteries et fausse profession de foi. Ils étaient des agents du chaos. Et en Okord le chaos a une seule prêtresse. Qui n'a pas la faveur du Dieu des Forts. Ni même d'aucun dieu puisque inévitablement ses complots finissent par être éventés.
On confia donc à quelques sages la mission d'écrire la présente histoire que vous êtes en train de lire et qui est diffusé dans tous le royaume. A qui voudra la lire.
Et le Roi après avoir fait quelques annonces fit rédiger une lettre. Que des petites mains feraient parvenir à divers endroits. Mais surtout à l'ouest. Du côté d'Antipolis.
Cette lettre, lecteur, lectrice, je la connais et je puis vous la transmettre ici. La chose est bien faite dans ce récit. Après tout je suis payé pour cela.
Cette lettre dis donc :
" Peuple d'Antipolis,
Il y a de cela quelques heures, des hommes en colère et en armes ont tenté de mettre à sac mon domaine. Ces gens sont morts et nous tenons les cadavres à chaque famille souhaitant récupérer son parent. Nous vous adressons toute nos condoléances. Ces gens sont mort en vain.
Aveuglé et mal dirigé dans une colère qui peut être légitime. Mais qui n'a aucun droit à s'exprimer par la violence.
Peuple d'Antipolis, trois milles cinq cent des vôtre se sont rendu sur nos terres. Beaucoup y sont restés. D'autres ont rejoint le domaine de l'amiral du sud, le noble Guilhem de Chantecourge. Mais j'ai accueilli ces gens, après avoir envoyé une partie des récoltes de Nortmannie à votre comtesse.
Aujourd'hui, des hommes venu de chez vous ont voulu attenter à l'autorité Royale. C'est avec une grande tristesse que j'imagine la honte envahir vos cœurs vertueux. Honnêtes, dur au labeur, courageux à l'épreuve, fidèle au foyer. Tels sont les gens d'Okord, les gens d'Antipolis.
Tel n'est pas la Maisonnée qui a permis d'envoyer à la mort des membres de vos foyers emprunt au doute.
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J'aurais grand plaisir à vous lire, à vous recevoir lors des états généraux pour qu'ensemble une solution à votre problème de gouvernance sois trouvé.Gens d'Antipolis toutes ma compassion vous accompagne. Ainsi qu'une partie de mon or que je fais distribuer au plus démunis d'entre vous. "
Voyez mes nobles auditeurs, mes lecteurs, mes lectrices, comme ce roi là est... Dangereux. On l'attaque de malveillance il y réponds par la compassion et la clémence. On le calomnie, il fait, non pas un récit mais des offrandes.
Imaginons donc, chacun en nous même, ce que pourrait être ses prochaines actions.
Pour ou contre les aigri et les fourbes qui jamais ne l'ouvrent au grand jour et se cachent derrière des rumeurs d'estaminets mal famé.
Dernière modification par nobrenn (2025-06-04 22:59:06)
Duc de Nortmannie, Seigneur de l'Ouest
"Ce qu'avons, Gardons ! "
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"Oyé, Oyé, il semblerais que votre roi ai changé d'avis, vous allez pouvoir voté" cria le Hérault à la foule.
les deux lettres reçurent un accueil mitigé, certes les familles défuntes furent heureuse de récupérer leurs morts, les promesse d'emploi et les histoire de succès sur le domaine royal aspirante, trop pour être crûe, car "les agents du chaos", "les menteurs", le petit peuple les avaient bien connu, tellement bien connu qu'ils choisirent d'élire la propre fille de Wat Tyler pour aller voté jaune ! sur le fief d'Antipolis, la propagande royale sur Talera tomba dans l'oreille d'un sourd, tous se souvenaient des hérauts royaux venu leurs promettre de voté sous sept lune, certains savaient lire et avaient encore avec eux un exemplaire écrit, prendre le peuple pour des abrutis ne marche jamais très bien.
"sacré Mérovée, espérai-t-il que sa lettre les fassent se retourné contre moi et voté bleu?" dis Talera amusée, regardant la foule depuis le donjon
"même les serfs ont voté?" dis le jeune page médusé par l'atmosphère quasi-révolutionnaire que l'annonce du vote inspira
"on n'avais guère le choix, pour évité la guerre intestine, et de nous affaiblir en massacrant nos propres serfs, de plus le vote jaune nous arrange bien, puisqu'il affaibli le pouvoir royal que confère la nouvelle législation okordienne, à l'inverse un représentant du servage et de la paysannerie ne pèsera de toute manière pas bien lourd dans une assemblée de noble, il sera tel une brebis égarée dans un conseil de loups."
"néanmoins ce vote est une injure à l'ordre divin....."
"en effet... mais c'est peut être la volonté des dieux, après tout, Boetia ne fait-elle pas partie de l'assemblée divine? Et nos serfs n'en sont pas-t-ils l'incarnation? comme dis l'adage, ne va pas contre le courant de la rivière, sois le courant même." dis elle en regardant une dernière fois la foule et se retournée dans sa chambre.
conséquence:
-malgré les efforts du roi, le peuple d'Amara, bien que moins hostile à l'égard du roi, lui est toujours oppositionnel, le peuple d'Amara n'a guère apprécié d'être qualifié de menteurs et des agents du chaos quand ils sont venu le rappeler à sa parole
-ayant fait 2, le fief était en jacquerie ouverte, ce genre de chose ne changeant pas du jour au lendemain, malgré la défaite armée, le travail idéologique et politique n'étant pas fait, le peuple reste acquis au idéaux des moissonneurs, et votera donc jaune
Dernière modification par GrandJarl (2025-06-05 00:37:56)
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