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Le procès de Talera Happs, accusée de trahison, s'apprête à débuter. L'archiduc d'Autriche et connétable d'Okord, Ferdinand, a fait le choix de rendre la justice royale en toute transparence ; aussi chaque Okordien ayant le rang de seigneur du Royaume est admis dans l'enceinte du tribunal, et peut via le greffier de justice demander à prendre la parole.
Le procès se déroule dans une grande galerie jouxtant directement la salle du trône.
Il n'y a personne sur le banc des accusés. Happs, en fuite, est jugée par contumace. Il a été décidé de régler définitivement le sort de l'ancienne comtesse avant que Ferdinand ne rejoigne ses armées à la frontière ouest.
Les portes viennent de s'ouvrir et les bancs du public sont donc encore largement inoccupés.
Dernière modification par Ferdinand (2024-11-22 00:25:04)
Ferdinand
Seigneur d'Autriche
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Sage de Sinople entre, vêtu d'un élégant doublet vert émeraude, des chausses en laine ocre relève sa taille fine. Une mante du même vert lui tombe des épaules et à ses doigts brillent l'argent de quelques bagues.
Un anneau d'argent brille à son oreille.
Malgré son allure presque fantasque il porte l'épée aux côtés et son regard rêveur est voilé.
Il porte plusieurs feuillets dans un rouleau de cuir.
Duc de Nortmannie, Seigneur de l'Ouest
"Ce qu'avons, Gardons ! "
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La dame Alyah Happs, entre en salle, cette dernière semble pressée
"cher amis, je n'aurais guère le temps de défendre ma fille dans cette affaire, le connétable m'a convoqué, comme vous tous, sur le front de déomul, avant de rejoindre mon armée pour soutenir ce dernier, voici ce que j'ai à dire"
"ma très chère fille n'a jamais conspiré contre Okord, mais bien contre Osterlich, elle aurais pu conspiré à la perte du Roi, ou du connétable quand ils étaient en ambassade en Déomul, elle ne fît rien, et fît de son mieux pour leurs évité la mort, avant de partir en Déomul, elle a renouvelée ses vœux de loyauté envers ses frères Okordiens, elle tente de s'établir en tant qu'Ambassade déomulienne, elle a réussi à faire croire à Déomul qu'il y a bien une coalition en marche, ce qui permet au connétable de tenter son pari"
"désormais ma fille est seule, sa force viendra de déomul, et non plus d'okord, les dieux décideront qui du connétable ou de ma fille volera le soleil pour le partagé aux frères okordiens, l'une veut Osterlich, l'autre veut Déomul ou Trakbalaard, j'ignore ses intentions, mais je le suivrais"
"je demande la grâce, une peine de quatre ans dans un temple où elle se fera exorcisé de sa faiblesse et d'Orior"
vous trouverez ici une rapide explication et un historique de la maison: https://www.okord.com/ranking.html?profile-3451
Le Grand Jarl Actuel: https://www.okord.com/ranking.html?profile-21203
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Aguilar de Vivesource entra discrètement dans la salle du jugement . Il fit le tour de la salle du regard et choisit de se placer dans un coin à l'écart de façon à pouvoir assister sereinement , avec le recul nécessaire , au jugement de celle qui fut son alliée depuis ses débuts en tant que Seigneur .
Attendant le commencement des débats , les souvenirs lui revenaient en mémoire ... les tentes dorées , la défense contre träkbäläard , la défense du roi d'Astaffort . Le temps avait bien passé depuis lors ... Dame Talera s'était apparemment bien fourvoyée en paniquant et en prenant de telles initiatives diplomatiques .
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Ferdinand alla se placer sur le siège attribué au juge dans la salle de justice et jeta un regard effaré sur Alyah Happs, qui avait débité une longue tirade avant même le début du procès. Il s'abstint toutefois de l'interrompre et fit discrètement signe au greffier de commencer à retranscrire les débats ; le pauvre fonctionnaire obtempéra, livide et indigné par l'étrangeté du comportement du témoin.
"Que s'accomplisse maintenant l'œuvre toute-puissante, implacable et irrésistible de la Justice. Okordiens, nous débutons ce procès."
L'archiduc d'Autriche balaya du regard les bancs de la salle avant de reprendre ; il put constater que certains grands notables du Royaume s'étaient joints à l'assistance et occupaient les places réservées aux seigneurs titrés.
"Ce procès, c'est celui de Talera Happs, ancienne comtesse d'Okord accusée de haute trahison.
Mais c'est aussi le récit d'un immense gâchis ; celui de la terrible déchéance d'une maison autrefois illustre ; d'une maison qui pendant longtemps compta parmi les premiers défenseurs du Royaume, avant de céder au miasme morbide du pouvoir et de la manipulation ; d'une maison qui, pour des raisons qu'elle imaginait salvatrices, a commis l'inimaginable contre son propre peuple.
L'accusée, Talera Happs, a pris la fuite et, ce faisant, a entendu se soustraire à la justice légitime du Royaume d'Okord. Le procès se déroulera donc par contumace.
L'audience connaîtra trois temps différents. D'abord, la présentation des accusations portées contre l'accusée et les faits qui les établissent. Ensuite, un droit de parole accordé aux nobles d'Okord qui en exprimeront le souhait. Enfin, le prononcé de la sentence, irrévocable et sans appel possible.
Pendant tout son propos introductif, Ferdinand n'avait pas quitté des yeux le seul individu dans lequel coulait le sang de la maison si terriblement mise en cause ; son regard était d'une infinie sévérité - non pas la sévérité du père qui gronderait un enfant turbulent, mais plutôt celle du prêtre qui surprendrait en flagrance un meurtrier en pleine action.
Dernière modification par Ferdinand (2024-11-23 00:18:49)
Ferdinand
Seigneur d'Autriche
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"les phases passent, mais ce simulacre dure." dis elle agacée, et pressée par les événements bien plus important qui secoue le royaume à l'ouest
"ce royaume n'a clairement pas le sens des priorités, vous vous êtes trouvez une nouvelle lubie pour humiliée ma maison de nouveau avec ce procès public, vous pensez avoir le temps de faire le procès d'un adversaire qui pourrais aussi bien avoir la tête coupé par Déomul? moi pas, à tout moment Déomul pourrais attaquer, Trakbalaard se retourner contre nous, Osterlich nous envahir en revers, soit, faisons tomber les masques et expédions ce procès" vociféra-t-elle irritée et impatiente en digne adepte d'yggnir
"soyons honnête, chacun sais ici que ce procès n'est pas celui de ma fille, mais de ma maison, une telle conspiration n'aurai jamais pu être menée seul, il faut des ressources, je me suis présentée, alors que je m'attendais à être emprisonnée ou exécutée à mon tour, j'ai pris la décision la plus rationnelle pour ma maison, échanger ma fille contre l'amnistie"
comme chaque seigneurie, la maison passe d'abord, la sympathie, l'affection n'est qu'un luxe superflu face à la survie, peut être certains l'avaient oublié, et pouvais être choqué par un tel discours mais ce n'est que la dure réalité du monde
"j'aime bien sûr ma fille adoptive que j'ai vu grandir, j'aimerais en échange de mon épée obtenir pour elle une grâce, mais sa destinée est désormais dans les mains des dieux, alors vous pourriez la condamnée à mort que ça me ferais pas sourcillée d'un cils, le royaume dispose d'une cohorte d'orphelin qui ne demande qu'a être adopté, tant que je vie, je peut tout recommencer de nouveau, dans le contexte, là où elle est, elle ne m'est plus d'aucune utilité." dis elle d'un regard inflexible
"voilà, ce que je veut de ce procès, un moyen de sauver la face de ma maison, une grâce garantirai la loyauté de ma fille au royaume, ce qui nous éviterais de subir sa ruse si elle survie à son ordalie, mais aussi un moyen pour ma maison de ne pas être poursuivie pour infamie par une cohorte de seigneurs aux appétits insatisfaits, si vous la condamné à mort, je veut m'assuré que vous humilierais pas ma maison à nouveau, aussi je vous recommande chaudement de ne pas lui faire savoir quel sort vous lui réservez si il vous vient à l'esprit une telle idée"
"quant à moi, au vu du regard que me jette le connétable, je comprends ne pas être la bienvenue en ces lieux, de plus, si j'apprend le sort que vous réservez à ma fille, je me risque de voir ma maison à nouveau accusé de trahison si elle déchaîne sur le royaume sa ruse en représailles, si je suis pas informé, les fuites ne pourront pas venir de ma maison"
la vieille dame quitta les lieux aussi vite qu'elle était entré
hors de la pièce elle hurla une dernière fois en direction de cette dernière
"gare à vous si j'apprend que vous avez profité de cette occasion pour humilié de nouveau ma maison !"
Dernière modification par GrandJarl (2024-11-23 20:22:22)
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Le Grand Jarl Actuel: https://www.okord.com/ranking.html?profile-21203
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Tandis que le seigneur Eudes faisait une entrée discrète qui contrastait avec la sortie tonitruante de la vieille femme, Ferdinand entreprit de dresser le sombre tableau qui justifiait ce procès, ignorant d’abord cette dernière tirade.
"L'affaire est triste mais d'une grande simplicité. Les faits sont éloquents. Dès le moment où j'ai rendu publique la stratégie de conquête que je proposais aux seigneurs d'Okord Talera Happs a entrepris d'en partager les moindres détails aux puissances étrangères concernées - parfois même en troquant la vérité. Contre toute raison, contre tout principe, contre toute décence, la femme a dangereusement mis en danger la survie même du Royaume d'Okord en engageant une diplomatie parallèle hasardeuse, inconstante et pour le moins sibylline (certains diraient burlesque).
Sa trahison révélée par les autorités de Déomul lors d'une entrevue à laquelle Son Altesse le roi Denryl Altéria et moi-même participions, Happs a pris la fuite - aveux des plus éloquents.
D'aucuns auraient pu penser que la déséquilibrée se comporterait avec responsabilité et se livrerait à la Justice afin de rendre compte.
D'aucuns auraient pu imaginer que l'égarée saisirait la seconde chance qui lui était proposée lorsque je lui ai garanti la clémence de la Couronne en cas de reddition.
D'aucuns auraient pu s'attendre, a minima, à ce que l'aliénée profite de son exil choisi pour se faire oublier.
Mais c'était oublier la personnalité même de l'accusée, l'état de sa santé mentale et sa dépendance morbide aux intrigues, art dans lequel elle s'imagine quelque don. En dépit de ma clémence, de ma patience et de ma bienveillance, Happs a persisté dans ses expérimentations diplomatiques erratiques et dangereuses pour le Royaume."
Ferdinand marqua une pause afin d'observer un instant l'expression de ceux qui composaient l'auditoire.
"Vous venez d'entendre la mère de l'accusée, qui semble avoir oublié qu'elle était convoquée devant la Justice et ne pouvait donc quitter la salle au gré de ses pulsions.
Il adressa toutefois un signe d'apaisement au soldat autrichien qui s'apprêtait à la rattraper ; le garde reprit sa place, interdisant désormais l’accès à tout visiteur non autorisé par le juge.
"Contrairement à ce qu'indique le témoin, il était essentiel que nous tenions ce procès. Maintenant. Nous ne pouvons permettre que prospèrent et se systématisent les trahisons et les diplomaties parallèles. Si chaque Okordien se sent libre de mener unilatéralement selon sa convenance des négociations au nom du Royaume, nous nous condamnerons à l'extinction.
Dans le témoignage de la nouvelle matriarche Happs, tout le concentré de mauvaise foi qui semble décidément caractériser le sang de cette famille. Cette même famille qui nous reproche de méconnaitre tout sens des priorités alors même que cette maison porte toute la responsabilité des complications qu'a pu connaître ma stratégie initiale.
Sans les manigances stupides de l'aliénée, nous n'aurions pas été contraints de dévoiler une partie de nos cartes aux généraux de Déomul.
Sans les manigances stupides de l'alinée, les puissances étrangères n'auraient pas fait le constat, en se frottant les mains, de l'absence d'union sacrée en Okord autour de l'autorité royale.
Sans les manigances stupides de l'aliénée, peut-être même aurions-nous dès à présent de nouvelles terres à proposer aux chevaliers d'Okord.
Pour de tels faits, les condamnations les plus graves pourraient être envisagées. La mort. Le bannissement. Le démantèlement de toute la maison Happs. La condamnation à l'oubli, c'est-à-dire la censure du nom Happs dans tous les registres officiels.
Je prendrai ma décision après avoir entendu ceux qui, parmi les dignitaires okordiens, souhaiteraient prendre la parole.
Ferdinand
Seigneur d'Autriche
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Sage lève une main qui ne tremble pas pour prendre la parole. Derrière lui, un homme dans l'ombre lui siffle quelques paroles que le marquis ne prend pas la peine de répondre. Il se lève dans un geste fluide plein de grâce.
Détachant lentement de l'autre mains le porte document de cuir. Ses proches voisins peuvent y voir des missives dont la plupart portent l'écusson des Happ.
"Si je puis essayer d'apporter quelques lumières. La situation est fort sombre et mérite quelque éclairage qui malheureusement n'aporteront guère de crédit à la Comtesse Talera.
Antique lignée et maison au sang noble il n'est pas à prouver que les Happ et la Tribu d'Amara ont fait l'histoire. Pour autant Dame Talera conspire depuis plus longtemps que l'on ne le croit.
En preuve ces missives reçu dès l'arrivée du Généralissime.
"Nous vous remercions, dans un premier temps il nous faut sortir du guêpier tendu par le roi,
sinon, notre stratagème tomberais à l'eau, pour ça nous préparons de l'agitation politique d'une très grande ampleur, l'ensemble du royaume va être touché
je risque de vous demander d'aller contre vos conviction podeszwitte de très nombreuse fois, en agitant l'ensemble des adeptes de podezswa pour commencer
pas maintenant, il n'est pas encore l'heure mais le moment venu, pourrais je compter sur vous pour m'aider à m'extirper de ce guêpier?
je peut vous assurer que l'épreuve sera rude pour vos conviction, mais croyez qu'en tant qu'allié, j'ai à cœur vos intérêts, comme vous semblez avoir les notre, j'ai d'ailleurs constaté que votre vassal Anamyr, avais potentiellement les même intérêts que moi, je pense que vous pourriez avec mon entreprise, l'enfermé encore plus dans votre emprise.
Bien cordialement
--
Grand Jarl de la tribu d'Amara
Représentante de la maison Happs
Talera Happs"
Reçu en Saedor, 26e phase de l'hiver de l'an X de l'ère 24.
Le Comté de Valdor était alors soumis au joug d'un roi fantoche et le seigneur Karl était en fuite.
D'autres courriers ont ensuite été échangé mais celui ci est bien assez parlant. À réception de cette missive la Siostry Vespasia et la maison des Trof en ont été averti. "
Sage se rassoit.
Duc de Nortmannie, Seigneur de l'Ouest
"Ce qu'avons, Gardons ! "
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L’intervention de Sage fit forte impression. Une partie de l’auditoire murmurait avec effarement, l’autre avec excitation. Certaines âmes sont instinctivement attirées par le scandale comme les mouches par les détritus.
Aux mots « nous préparons de l'agitation politique », une bonne femme s’écria et fit un malaise. D’aucuns affirmeront après qu’elle était autrichienne.
Ferdinand fronçait les sourcils, surpris d’apprendre que les manigances avaient commencé plus tôt qu’il l’imaginait ; Rainer jubilait, amusé par cette vaste récréation humaine.
D’un mouvement impérieux, Ferdinand fit taire l’auditoire.
« Seigneur de Sinople, soyez remercié de votre témoignage au service de la Vérité. D’autres Okordiens souhaitent-ils prendre la parole et concourir à ce que Justice soit rendue ? »
Dernière modification par Ferdinand (2024-11-23 22:18:04)
Ferdinand
Seigneur d'Autriche
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"J'en ai entendu bien assez."
L'air solennel et grave, Ferdinand se redresse de toute sa hauteur, souhaitant incarner par cette droiture corporelle la rectitude toute puissante de la Justice.
"La culpabilité de Talera Happs ne faisait aucun doute, et je l'acte. Ce qui demeurait en débat, c'était sa condamnation.
Je n'imagine guère crimes plus graves que celui de haute trahison contre sa propre nation. Celui qui se retourne contre son peuple fracture durablement son âme et ne s'en relève jamais.
De tels faits pourraient justifier une condamnation à mort. Mais le Royaume d'Okord n'est ni amnésique, ni cruel : il n'oublie pas la contribution passée de Talera Happs à la défense du Royaume, et n'exécute pas les damnés frappés de folie. Aussi, la peine de mort est-elle commuée en bannissement perpétuel. Les terres d'Okord ne sont plus celles de Talera Happs, et le peuple okordien n'est plus le sien. À jamais.
Le chef autrichien jette un bref regard sur la place qu'occupait la matriarche Happs avant de quitter l'audience, puis reprend :
"La maison Happs a entendu apporter des gages de sa bonne foi et de son dévouement sincère au Royaume, et a condamné sans réserve l'attitude de leur ancienne représentante. Aussi est-elle maintenue dans son rang et titres, sous réserve d'une attitude exemplaire à l'occasion des événements qui s'annoncent.
Pour une année, la maison Happs doit consentir à ce que ses affaires politiques et militaires fassent l'objet d'une surveillance par une personnalité désignée par mes soins - le seigneur Rainer. Cette personnalité devra être tenue informée des actualités tenant à la gouvernance de la maison, et devra être associée à l'état major de l'armée du Jarl.
J'ordonnance l'installation d'un comptoir diplomatique sur le domaine du Jarl, afin de garantir le bon respect de la présente décision.
L'archiduc d'Autriche se lève, signifiant par cela l'irrévocabilité de la sentence et la conclusion de ce feuilleton judiciaire.
"Ainsi en a décidé le Royaume d'Okord, et ses décisions sont souveraines."
Dernière modification par Ferdinand (2024-11-24 14:20:24)
Ferdinand
Seigneur d'Autriche
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L'Autorité royale décide de la levée de la confidentialité de l'édit ci-dessous, signé de la main du roi à la 14e phase de l'été de l'an III de l'ère 25 :
"Dame Talera Happs,
Par la présente, je vous informe de votre amnistie officielle et de l'annulation des mesures de bannissement qui avaient été prononcées à votre encontre par voie judiciaire.
Vous êtes donc réhabilitée dans vos droits et titres à effet immédiat.
Compte tenu du contexte politique et de la nécessité de garantir votre anonymat, la publication de la présente décision sera réalisée ultérieurement.
Soyez remerciée des services rendus au Royaume d'Okord.
--
Ferdinand,
Roi d'Okord, Archiduc d’Autriche
Ferdinand
Seigneur d'Autriche
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