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Introduction au roleplay
Vous êtes conviés à un événement exceptionnel : le mariage entre Karl de Valdor et Maria Wolfhart. Ce mariage fait suite à un grand roleplay orchestré par les joueurs Aokairu et Wolhart_ depuis début septembre. Voici un petit condensé des événements précédents :
Karl et Maria se rencontrent pour la première fois : https://www.okord.com/forum.html#viewtopic.php?id=6097
La guerre civile à Valdor : https://www.okord.com/forum.html#viewtopic.php?id=6209
Et maintenant, pour conclure… voici le mariage !
Karl de Valdor, représentant du Culte de Père, et Maria Wolfhart, fidèle au Panthéon d’Yggnir, vous invitent à marquer la fin de leur histoire à travers trois moments clés :
- La Cérémonie Religieuse du Culte de Père : À Verdelaine, capitale de Valdor, sous l'ombre imposante de la croix noire et or, ce rituel marquera la bénédiction de Karl selon la foi du Culte de Père.
- La Cérémonie Religieuse d’Yggnir : À Mitterdorf, Maria recevra la bénédiction selon sa propre tradition, honorant les esprits ancestraux et les racines de son peuple.
- Le Grand Banquet de Mariage : Au cœur d’un territoire neutre (69x169), une forteresse sera érigée pour accueillir un festin grandiose, réunissant toutes les factions sous un même toit pour célébrer cette union.
Informations clés pour le roleplay :
- Vous êtes libres d’assister aux événements qui correspondent à vos convictions et préférences : la cérémonie de votre choix, ou directement au banquet.
- Nous demandons toutefois à tous les participants de respecter l’union des mariés et les traditions des deux cultes représentés. Toute attitude irrespectueuse entraînera une exclusion immédiate.
Le Roleplay est actif :
- Votre présence à un ou plusieurs des événements confirmera votre participation. Aucun calendrier précis ne sera fourni pour éviter les complications temporelles : ce mariage se déroule hors du temps.
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Cérémonie Religieuse du Culte de Père
La cathédrale de Verdelaine, monument imposant dédié à Père, domine la cité par sa grandeur et sa solennité. Ses voûtes élevées semblent toucher les cieux, et les vitraux colorés laissent passer des faisceaux de lumière qui convergent vers l’autel. Là, au cœur de la nef, la Flamme Éternelle danse doucement, projetant des ombres mouvantes sur les murs ornés de fresques racontant les exploits des seigneurs du Culte.
Le tapis rouge, long et richement brodé de symboles du Culte, trace un chemin vers l’autel central, une table austère en pierre brute surmontée de la grande croix noire et or des seigneurs. De part et d’autre, des cierges immenses brûlent lentement, répandant une lumière vacillante et une odeur de cèdre.
Un silence solennel envahit l’espace alors que Karl fait son entrée. Drapé dans une longue cape noire aux broderies d’or scintillantes, il avance avec une autorité naturelle. Sa carrure imposante et son regard fixé sur l’autel renforcent sa prestance, et chaque pas qu’il fait résonne dans la cathédrale comme un écho de puissance. Son armure d’apparat, finement travaillée, capte la lumière des cierges, ajoutant à son aura de grandeur.
Près de l’autel, Maria se tient déjà, une silhouette discrète mais élégante. De dos, sa posture droite et sa simplicité raffinée contrastent avec l’opulence environnante, soulignant sa différence tout en marquant sa dignité.
Erwan, représentant du Culte pour cette cérémonie, domine l’autel de sa stature impressionnante. Vêtu d’une robe blanche immaculée marquée d’une grande croix noire au centre, il incarne la pureté et l’autorité des Frères. Ses traits sévères et son regard perçant renforcent son aura de pouvoir spirituel, tandis que le sceptre cérémoniel qu’il tient entre ses mains, noir orné de gravures dorées, ajoute une gravité presque intimidante à sa présence. Erwan reste immobile, tel un roc inébranlable dans la lumière mouvante de la Flamme Éternelle, une incarnation vivante de la foi.
Les invités s’installent progressivement dans les bancs de la cathédrale. Le silence est absolu, chargé d’attente et de respect. La cérémonie ne commencera qu’après l’arrivée complète des convives, laissant chacun s’imprégner de l’atmosphère imposante et sacrée de l’instant.
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Cérémonie Religieuse du Culte de Père
Et voilà, c'était enfin le moment. Après tant d'années, Maria allait enfin épouser Karl. Ils avaient convenu, dans le respect de chacun, de faire deux cérémonies avec la foi de chacun. Durant de longues heures interminables, les servantes avaient préparé Maria sous l'œil attentif de sa tante, Maria-Anna, qui voulait que tout cela soit parfait, même pour la cérémonie religieuse du culte de Père. Elle portait une longue robe noire, la coupe ample et fluide, cintrée par la taille grâce à une ceinture fine, alors que les manches étaient longues et évasées, les bords ornés d'une dorure. Ses cheveux bruns étaient coiffés dans un chignon tressé, avant qu'on lui pose sur la tête, un voile en dentelle de couleur noir. Ses bijoux étaient une composition de perles, ayant appartenu, d'après sa tante, à sa grand-mère, la dame Elisabeth épouse du seigneur de feu Leopold Ier Wolfhart: son cou portait un collier de perles et ses boucles d'oreilles étaient des perles pendantes avec une dorure. Elle portait pour parfum, une douce odeur de fleur d'oranger, venu tout droit des orangeries de Mitterdorf. Et voilà, elle était prête. Sa tante l'avait regardée avec un œil ému en voyant la beauté de la vicomtesse, et Maria commençait à ressentir de la nervosité. Est-ce que tout se passera bien ?
Quand elle arrivait devant l'autel, attendant l'arrivé de son bien aimé, elle se tenait droite, sa posture élégante et digne, elle restait silencieuse, bien que toujours nerveuse, avant d'entendre l'entrée de Karl. Il était là (enfin). Elle voulait s'y retourner, le regarder, mais elle devait rester dos à lui jusqu'à qu'il arrive à ses côtés. Quand il était à l'autel, Maria pouvait enfin le voir, ses yeux bruns regardant Karl, ses lèvres laissaient échappé un léger sourire, avant de regarder devant elle.
Les invités commençaient à arriver, il y avait les seuls membres de sa famille, composée de sa mère et de sa tante, mais aussi les personnes qui ont été invitées par le futur couple marié. Une fois que tous les invités seront là, la première cérémonie pourra débuter, et ils pourront enfin se unir, s'engageant ainsi à être mari et femme jusqu'à ce que la mort les sépare...
Explication sur la Maison Wolfhart: https://www.okord.com/forum.html#viewto … ?pid=58700
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Conviés à la cérémonie, Denryl et Alaïda entrèrent dans l'édifice. Chacun d'eux s'était apprêté pour l'occasion, vêtus d'habits d'excellente facture.
L'homme, vêtu d'un bel uniforme militaire orné d'un cygne argenté, avançait avec prestance. Ses traits, marqués par une dignité naturelle, rayonnaient sous la lumière, et un sourire chaleureux illuminait son visage. À ses côtés, la princesse captivait les regards. Sa robe, d'un bleu royal, épousait élégamment sa silhouette, tandis qu'un délicat serre tête serti d'un saphir brillait dans ses cheveux clairs. En approchant avec une grâce naturelle et son allure élégante, elle adressait des sourires amicaux aux convives, répandant une aura de bienveillance qui faisait écho à l'allure majestueuse de la cathédrale elle-même.
Le couple princier prend alors place sur les bancs prévus à cet effet, prêts à assister au mariage de deux personnes que la foi aurait pu opposer, mais qui avaient trouvé en l'autre la moitié qui leur manquait pour vivre.
Maison Altéria, Dames et Seigneurs de Cylariel et de Massoala
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https://www.youtube.com/watch?v=rYuKn_2-gVA
Cérémonie Religieuse du Culte de Père
la délégation d’Amara arriva à Verdelaine, portant le blason de la matriarche, Alyah Happs, le blason affichais fièrement la foi en Yggnir avec son valknut rouge sur neige, et le cougar rouge sur jais representée la république emblonnienne disparue
Ne comprenant pas pourquoi il y avais pas de cérémonial pour accueillir les invités et incapable de lire l’ambiance, Alyah fît une entrée tonitruante dans le temple ! Accompagnée de trois hommes, son conseillé un disciple de daeth et deux huskarls qui portait un coffret chacun.
“Félicitations les amoureux !, Félicitations sire Krall !”
“Karl.” corrigea le conseiller, en murmurant à l’oreille de la dame, tout en mettant la paume de sa main sur son front pour signifié son exaspération face à la situation.
“Krall, youhou, je suis là, bravo !” La dame Happs se tourna vers le conseiller en murmurant “comment elle s’appelle déjà la petite là? Je l’ai jamais vu”
“Maria…..” murmura-t-il
“Attendez mais c’est qu’il y a des truc à piller dans ce temple !” murmura audiblement l’un des deux husrkarl
paf, l’homme derrière s’était pris un coup de coude de la part de la matriarche qui changea immédiatement de sujet, tandis que l’homme lui était au sol endoloris
“Krall, Ariah, vous êtes trop pressée les jeunes ! je vous ai amené des bijoux à porté pour vous marié !”
*la vieille dame ouvra les deux coffret que tenais les deux huskarls et deux magnifique pendentif furent observable*
“mais c’est les bijoux qu’on a volé à déo...” paf, le deuxième homme tomba au sol avec l’autre qui ne s’était toujours pas relevé
“pour la jeune d’yggnir, on a trouvé un bijou qui respectent les réformes d’Yggnir, un pendentif cernant un beau rubis rouge, qui a des os d’oliphant, une créature lointaine.” dis elle en tendant le bijou qui porte de très petite défense probablement d’un très jeune éléphant vers Mariah
“pour vous, on a remarqué que vous aimez le noir, alors on vous amenez un pendentif avec une pierre de jais.” elle tend l’autre bijoux vers Karl
“les deux bijoux ont une valeur de 250 000 okors chacun, on vous a amenez aussi une charrette de 1 millions de fageot, que certains seigneurs graillent pour dix !” dis elle
“Krall, vous savez pas tenir une épée, vous êtes pas très fûté, mais vous savez vous faire des alliés, c’est une vraie force qu’on peut respectez, alors sachez que ma maison continue de vous soutenir” finissa-t-elle
karl et mariah peuvent faire une offre de la ressource qui veulent à 1:10 pour obtenir 250K or
karl peut récupéré 1m de blé sous les mêmes conditions
Dernière modification par GrandJarl (2024-12-22 21:07:59)
vous trouverez ici une rapide explication et un historique de la maison: https://www.okord.com/ranking.html?profile-3451
Le Grand Jarl Actuel: https://www.okord.com/ranking.html?profile-21203
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"Je patauge dans l'imbécilité..."
Laissa échapper le Valesien de Nortmannie qui était rentré avec moins de faste er surtout de bruit.
Il avait le visage emprunt de sa morgue presque méchante habituelle, une moustache fine ourlé une lèvre au plis toujours hésitante entre l'insulte et la moquerie.
Souliers vernis sur de hautes chausses blanches. Un doublet en velour azur laissant entrevoir par les crevés finement ouvragés des reflets soleil. Une demie cape jeté sur l'épaule aux attaches compliqué.
Bagues, boucles et breloques dont chacune auraient acheté une dizaine de chevaliers cliquetaient à chacun de ses pas.
Derrière lui venait trois Arbalétriers de la République qui portaient un lourd coffre.
La cérémonie n'etant pas le lieu des cadeaux. Léocanto s'assit à une place à mi distance et laissa ses sbires debout dans le fond. Suant sous l'effort.
Duc de Nortmannie, Seigneur de l'Ouest
"Ce qu'avons, Gardons ! "
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Le roi d'Okord parvint sur les lieux en limitant les formalités protocolaires au strict minimum. Il avait seulement consenti à être accompagné par une centaine de chevaliers autrichiens. Ferdinand s'était laissé convaincre par Rainer de tolérer cette escorte : le mercenaire lui avait rappelé que le sang répandu par la guerre civile qui à peine s'achevait en Valdor n'avait pas même encore séché.
Plus en arrière, des chars sous bannière autrichienne transportaient 200.000 kg de pierre destinée aux deux Okordiens appelés à s'unir.
Jugé sur sa valeureuse jument, la même qui l'avait accompagné dans ses déplacements si nombreux aux frontières de Déomul, l'Autrichien salua les badauds qui, voyant passer cet homme vêtu sobrement, imaginait la venue de quelque seigneur de guerre okordien.
Avant de pénétrer dans la majestueuse cathédrale de Verdelaine, Ferdinand se recueillit brièvement dans l'un des petits oratoires que comptait le grand édifice. Il se livra à la prière de gratitude, invocation majeure du culte de l'Être suprême - puis rejoignit ceux qui, déjà, s'assemblaient en vue de la cérémonie sacrée.
Afin de ne pas troubler le silence religieux qui règnerait inévitablement dans l'édifice, le roi fit porter au maître des lieux une lettre dans laquelle il présentait ses vœux au couple ; ce couple qui n'avait pas attendu l'union sous la vénérable institution du mariage pour forger un lien d'une puissance surhumaine. Les obstacles religieux, les péripéties politiques et la guerre avaient uni à jamais ces deux âmes.
Il pénétra silencieusement dans la salle, inclina respectueusement la tête en guise pour saluer à distance les visages familiers et alla se placer aux côtés de Denryl, dont il pressa brièvement et affectueusement l'épaule.
Dernière modification par Ferdinand (2024-12-20 00:59:05)
Ferdinand
Seigneur d'Autriche
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Euric et sa suite, de riches marchands de Norbury, des hobereaux et chevaliers, c'étaient installés pour assister à la cérémonie. Euric avait revêtu des atours richement décoré mais humble. Il avait fait parvenir des cadeaux aux mariés. Il salua quelques nobles okordiens installés prêt de lui.
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Aguilar entra dans la majestueuse cathédrale de Verdelaine . Il profitait pleinement de la beauté de l'édifice , de ses vitraux laissant filtrer une lumière colorée , de ses fresques épiques , des élancements de ses colonnades . Tout cela était un enchantement pour les sens et Aguilar se laissait porter par son plaisir esthétique . "Il faut vraiment maintenant que je songe à construire une cathédrale en Alezan", se dit il , "Cela y manque vraiment . Mes gens en seraient fort heureux . Et les dieux sans doute satisfaits" .
Il s'assit non loin des deux futurs époux , qui étaient déjà silencieusement en place dans leurs somptueuses tenues de mariage , attendant le début de la cérémonie . Malgré son gout de plus en plus prononcé avec le temps pour la simplicité et l'authenticité , Aguilar avait fait l'effort , par respect pour ses hôtes , de se vêtir élégamment , bien que sans ostentation . Il portait bien et ne se sentait pas trop mal à l'aise dans ces vêtements élégants mais sans excès .
Attendant le début de la cérémonie , le silence régnait dans l'édifice . Aguilar en profita pour se détendre , la route avait été longue puisqu'après le déménagement du fief du Marquis Karl vers les nouvelles terres , celui ci était passé de voisin limitrophe au bout le plus éloigné du royaume .
Il était heureux de se trouver la pour assister aux épousailles de son ami et guide religieux . Qui eut cru que l'usurpation par Frère Erwan du titre de Karl , et l'exil incertain qui en résultat pour Karl , se termineraient de cette façon si heureuse au final ? C'était une belle histoire d'amour , et qui se terminait bien . Voila qui était parfait pour se nettoyer l'esprit des vicissitudes des champs de bataille et des arcanes de la politique .
Sans s'en rendre compte , Aguilar souriait ...
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Cérémonie Religieuse du Culte de Père – Suite
Lorsque tous les invités furent installés, Erwan leva le sceptre cérémoniel, et un tintement léger résonna dans la cathédrale. Le silence devint presque palpable, chacun sentant le poids du moment. La voix grave et assurée d’Erwan s’éleva, emplissant chaque recoin de l’édifice.
« Par la grâce de Père, que cette union soit scellée sous l’ombre de la Flamme Éternelle. Que cette lumière guide vos pas dans l’obscurité. »
Karl, malgré sa réputation de caractère hautain, avait visiblement fait un effort pour tempérer ses réactions face aux invités. Lorsqu’Alyah Happs fit sa déclaration tonitruante, accompagnée de son cortège indiscipliné, Karl fronça légèrement les sourcils mais conserva une attitude digne. Il inclina poliment la tête en réponse aux cadeaux somptueux, murmurant un remerciement :
« Dame Alyah, vos présents honorent cette union. Nous sommes reconnaissants de votre soutien. »
Léocanto Don Azzuro, avec sa morgue habituelle, sembla presque décontenancé par cette retenue inattendue. Karl le salua également d’un geste bref mais respectueux, tout en adressant un regard appuyé à Maria, soulignant leur unité face à cet auditoire varié.
Erwan poursuivit la cérémonie, prononçant des bénédictions solennelles et unifiant symboliquement les croyances des deux familles par un geste puissant : il plaça les mains de Karl et Maria ensemble sous la lumière de la Flamme Éternelle.
« Que vos âmes, bien que façonnées par des croyances distinctes, s’élèvent ensemble vers une destinée commune, » déclara-t-il.
La cérémonie atteignit son apogée dans un éclat de lumière lorsque la bénédiction fut donnée. Erwan marqua une pause avant de prononcer une phrase qui scella le moment :
« Que Père bénisse cette union. Et qu’à travers elle, la paix s’étende sur nos terres. »
À ces mots, Karl inclina légèrement la tête devant Erwan, murmurant un :
« Merci, Frère. Votre guidance illumine nos chemins. »
Alors que les portes de la cathédrale s’ouvraient, les rayons du soleil inondaient la nef. Les convives se levèrent en silence, observant Karl et Maria sortir ensemble, main dans la main. À l’extérieur, une foule s’était rassemblée, acclamant le couple avec une ferveur sincère. Les cloches de Verdelaine sonnaient à plein vol, emplissant l’air d’une mélodie triomphale.
La procession se forma rapidement. Sous l’œil vigilant des chevaliers autrichiens et des gardes de Valdor - Karl, Maria, et leurs invités prirent place dans les chars et cavaliers qui les mèneraient vers Mitterdorf pour la seconde partie des célébrations.
Alors que le cortège s’éloignait, Karl jeta un dernier regard vers la cathédrale, puis vers Maria. Un sourire rare mais sincère éclaira son visage, témoignant d’un moment de répit dans une vie marquée par les conflits.
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Cérémonie Religieuse du Culte d’Yggnir
Suite à la magnifique cérémonie à Verdelaine, le cortège et ses invités se dirigeaient désormais vers Mitterdorf pour la deuxième partie de la cérémonie. Par chance, le trajet ne dura pas longtemps et lorsqu'ils atteignirent enfin la capitale du domaine de la vicomtesse, ils se dirigèrent vers le temple consacré au culte d'Yggnir pour y recevoir la bénédiction.
Devant le temple, de nombreux membres du culte étaient déjà présents, attendant patiemment l’arrivée des mariés. Après être descendue de son char, Maria leva doucement la tête vers les membres, leur adressant un salut silencieux, tandis que les fidèles d’Yggnir libéraient le passage au couple, les invitant à entrer dans le magnifique temple en marbre noir. Étonnamment, pour un temple du culte, ce n’était pas aussi sombre et lugubre. Au contraire, l’intérieur du temple avait été joliment décoré tout en restant sobre, et une sœur du culte attendait avec patience jusqu’à l’autel, pour donner la bénédiction tant attendue.
Arrivant devant l’autel, deux coupes argentées étaient posés sur un plateau du même métal, remplis tous les deux de vin rouge. Conformément aux coutumes des Mitterdorfiens, les mariés doivent s’échanger une coupe de vin bénie par un prêtre ou une prêtresse avant de boire, formaliser ainsi leurs vœux de mariage et bénéficier des bénédictions, solidifiant leur union pour l’éternité. Maria prenait la coupe argentée, avant de l’échanger avec Karl, prenant ainsi sa coupe tandis qu’il prenait la sienne, buvant tous les deux à l’unisson une gorgée de vin.
Après avoir bu le vin béni, la prêtresse commençait à parler d’une voix haute et forte :
- Par la Grâce des Sept, que cette union soit béni et scellée pour l’éternité.
Un coussin en velours était présenté devant les époux, où étaient posés deux anneaux richement décorés par des belles gravures et des petites pierres précieuses. Les époux pouvaient désormais mettre les bagues aux doigts, scellant ainsi leur union.
Explication sur la Maison Wolfhart: https://www.okord.com/forum.html#viewto … ?pid=58700
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