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Ferdinand est vêtu sobrement et porte son armure habituelle. On devine à ses traits tirés que ses allers-retours multiples et la pression de l’actualité politique ont produit une fatigue importante, mais son regard demeure vif, et son visage empreint de sa sérénité habituelle.
Denryl entre à ses côtés, une main sur le pommeau de son épée. Sa cape azur cascade par dessus ses épaules. Il porte un plastron ouvragé, au centre duquel un symbole de cygne a été délicatement gravé. Son apparence est entourée d'une aura de noblesse, marquant son titre et son rang.
Philoktés est en apparat militaire, comme l'exigeais la situations, le camps modeste n'as rien pour plaire et est purement fonctionnelle. La tente est gardée d'Ankiros. Philpktés ne s'attendant pas à voir le Roi ne peut s'empêcher d'afficher sa surprise.
L'interprète traduit les propos de Philoktés
Puissiez-vous être venus pour de bonne intentions.
Monseigneur, salutations. Voici le Roi d’Okord, Denryl Altéria ; guerrier accompli et gardien des cultes. Quant à moi, je suis Ferdinand, humble défenseur d’Okord. Nos intentions sont bonnes, la présence de notre souverain en atteste. Mais qu’en est-il de celles de votre peuple, messire ?
Denryl observe l'homme qui lui fait face, le regard bien plus dur que son connétable.
Tout dépend des vôtres. Êtes-vous l'officier en charge de ce camp ?
Le lieutenant est en charge du camps en effet, Prend un temps d'écoute et traductions Nous avons des raison de croire qu'Okord prévois une coalitions contre nous. Pour des raisons qui nous sont obscure.
Denryl hausse un sourcil, le regard toujours aussi menaçant
Des raisons de croire qu'Okord prévoit une coalition ? Pour oser installer des camps d'hommes d'armes sur les terres okordiennes, je suppose que vous avez de solides preuves de ce que vous avancez, car assurément vous n'auriez pas violé nos frontières sur la base de simples rumeurs infondées. N'est-ce pas ?
Le lieutenant prend ce qui s'apparente à une Missive et la présente.
Il est dit : à l'adresse du Margrave de déomul J'ignore si ma missive va vous trouvez Je vous écrit d'okord, pour vous prévenir qu'une coalition se prépare contre votre empire Trakbalaard est sur le point de s'allié avec okord et osterlich pour s'accaparer de vos terres si vous trouvez mon messager, je vous pris de me répondre prestement, et de me garantir un contact sécurisé je suis sûr que nous pouvons trouvé un intérêt commun vous à préservé vos terres, et moi à protégé okord du nid de frelons qu'est Abrasil -- E
Denryl récupère la missive et en prend connaissance. Il regarde ensuite le lieutenant la colère perçant dans sa voix
Une missive qui aurait pu être écrite par le premier venu... est-ce là votre excuse pour venir troubler la paix de nos terres ? Plutôt que de s'assurer par les mots de la véracité de ces propos auprès du souverain d'Okord, la Margrave préfère m'insulter en envoyant des soldats sur les terres okordiennes et en donnant crédit à un illustre inconnu. Est-ce là ce que vous me dites, envoyé de Déomul ?
Un Garde entre dans la tente pour s'adresser au lieutenant
"Lochagé, i antiprosopía apó to E eínai brostá mas. Poies eínai oi diatagés;"
L'interprète sourit
Par un hasard des plus surprenant il semble que l'anonyme E ais envoyé sa délégation sans prévenir et se trouve à l'extérieur... N'est-il pas là une occasion rêvée de tirer au clair cette affaire.
Faites donc entrer ladite délégation, messire. En tout état de cause, ce que vous assimilez à une coalition est simplement le rapprochement du Royaume avec ses voisins, après des années d’errements diplomatiques. Il est donc vrai que le Royaume dispose désormais de puissants alliés, ce chacun doit désormais noter - et ce dont chacun doit désormais tenir compte.
C'est l'insistance toute particulière de cet inconnus qui nous a poussé à agir en affirmant durement une frontière gardée par des avancées sur le terrain okordien. Indique à un Ankiros d'aller chercher le dit E
Cher amis, dis l'homme, je suis ic pour porter des informations à Déomul, la présence du généralissime Heidrich au sein du conseil royal nous a fait redouter l'aboutissement d'une coalition à l'encontre de déomul, d'où notre présence ici, nous voulions nous assurer qu'okord n'use pas de ruse pour s'accaprer votre territoire
Il est vrai qu’une puissance telle que Déomul a besoin de la protection du premier ivrogne venu pour survivre. Vous êtes ?
l'homme a envoyé ses troupes sous les bannière troff vers l'ouest
nous sommes personne
nous somme la garanti que la paix ai bel et bien lieu
cher philoktès, vos informateur ne sont pas sans savoir la présence de trakbalaard et d'osterlich en nos terres
Merci, c’est effectivement ce qui me semblait. Vous n’êtes personne. Ferdinand reporte son attention sur le lieutenant. J’admets être surpris qu’une puissance telle que Déomul ait pu ordonner des incursions en territoire étranger sur la base de ragots colportés par un parfait illuminé.
ahaahha ria l'okordien
tend une lettre vers philoktès
Si l’illuminé en question a terminé ses affabulations et n’a plus rien à ajouter, je suggère qu’il soit reconduit afin que nous puissions poursuivre cette entrevue entre représentants légitimes de puissances.
l'homme redoute que le mensonge soit confronté à la vérité
Denryl regarde avec amusement l'homme
En ce cas vous devez craindre que votre mensonge soit écourté.
L’homme ne redoute pas la vérité mais pensait participer à une entrevue diplomatique officielle, avec des personnes habilitées à représenter leur puissance - et non pas avec des individus qui ne revendiquent même pas le nom de leur père et avancent des idioties le visage masqué.
l'homme compris qu'au vu de la situation il devais donné la deuxième lettre
Le lieutenant montre des signes clair d'un profond agacement et fait traduire
mes ordres ont été clair, Tenir la Frontière préventivement, et vérifier cette rumeur. Ce que nous faisons. Et jusque l'as les élément semble la confirmé, à moins que vous niez être en lien avec Osterlicht et Träkbäläard.
Vous appelez « tenir la frontière préventivement » que d’envoyer des soldats en territoire ennemi ?
Et par lien j'entends un lien étroit.
cher philoktès, je n'ai guère déplacé de document ici
mais je serais votre garanti qu'okord dis vrai
si okord dis le moindre mensonge, je le réfuterais immédiatement
Je vais être très clair avec vous, puisque cette entrevue a pris une tournure qui ne fait pas honneur à la puissance et au sérieux de Déomul. Quelle puissance digne de ce nom donne la parole à un inconnu que personne ne connaît, sur la base de prétendues lettres ?
En effet, voyez ça comme une façon culturel de faire valoir notre absence de peur et un avertissement.
en échange j'espère que vous saurez faire honneur à votre parole
Le Royaume d’Okord est-il en lien avec Osterlich ? Assurément, le Généralissime participe même désormais au Conseil royal, afin d’acter ce rapprochement.
prenez le temps de lire mes lettres cher philoktès
Le Royaume est-il en lien avec ses autres voisins ? Assurément, ma maison s’est rapprochée du rejeton de la puissance mercenaires, pour ma gloire personnelle et celle d’Okord, dont je suis le connétable.
cher philoktès, rien ne vous confirme pour l'instant que Heidrich et okord ne conspire pas contre vous, dans le doute, je souhaite vous laissiez à mon unité de reconnaissance de travailler à vérifié ce qui se passe en okord
Le Royaume est-il en lien avec Ressyne ? Assurément, je compte même leur émissaire dans ma confrérie.
il est vrai qu'en vous voyant arrivé, okord fût refroidi par votre puissance
mais ne croais pas les belles paroles des okordien
Tous ces liens sont-ils liés à Déomul ? Assurément non, Deomul n’est pas le centre de la diplomatie okordienne.
vous ne connaissez pas ce qu'il y a dans leurs esprit
Ferdinand ne peut retenir un rictus amusé en constatant la fébrilité de l’inconnu, qui s’exprime par formules alambiquées.
« Vous ne connaissez pas ce qu’il y a dans leur esprit » vraiment ? C’est vraiment à ce type de propos que je dois répondre ?
lisez attentitvement nos lettre philoktès, vous savez comment nous contactez
la prochaine foi je pourrais porté le document que vous aviez eu de nous
sans le nom déchiré
vous seriez surpris de ce que vous y apprendrez
Ce que doit retenir Déomul, lieutenant, c’est qu’il n’existe pas de coalition vous visant, et qu’il ne tient qu’à vous d’entretenir des relations apaisées et constructives avec le Royaume d’Okord, qui a su s’entourer de puissants alliés.
et vous comprendrez que seul notre unité est digne de confiance
Le lieutenant, est agacé, et le traducteur ne sais plus ou donné de l'esprit t'en les propos sont confus et entre mêlé.
E veuillez quitter cette tente et repartir d'où vous venez, soit vous serez récompensez soit votre commanditaire périras.
d'accord
mais contactez moi
je vous poruverais avoir dis vrai
E quitte les lieux
Denryl ne peut s'empêcher d'afficher une moue désapprobatrice
Quel piètre spectacle vous nous offrez là, lieutenant.
Le duc d’Autriche semble effaré par le procédé employé par le lieutenant.
Je ne sais que dire, messire. Sauf le respect que je vous témoigne bien volontiers, je n’ai pas souvenir dans l’histoire de la diplomatie okordienne qu’une puissance ait demandé à une autre de commenter les racontars d’un inconnu.
Nous avons accordé une suprême importance à cet échange en conviant notre Roi. Nous attendions la même déférence.
Comprenez que face à une tel insistance, nous avons pas eu d'autre choix que de vérifier, ses dires. Ainsi oui vous avez des allier nous ne saurions vous le reprocher. C'est vos sujets qui s'offre en spectacle, c'est un Okordien qui s'agite tel un bouffon sous ma tente. Moi je n'ais fait que l'écouté quémandé mon attention.
Les fous peuvent bien souvent porter des vérité dérangeante une fois le tris fait de leurs élucubrations.
Vous espérez rencontrer notre souverain ?
S’exprimer en Okordien ne fait pas du premier illuminé venu un Okordien.
Non, nous espérions uniquement du sérieux.
J'attendais beaucoup de cette entrevue, mais à part me manquer de respect, vous n'avez pas accompli grand-chose. Peut-être me suis-je trompé sur Déomul, votre piètre prestation d'aujourd'hui me fait penser que vous ne valez finalement pas mieux que les barbares de Träkbäläard. Peut-être devrais-je faire part de votre incompétence à la Margrave elle-même.
Vous n'étiez même pas attendus ici, ce n'est pas comme si j'us été prévenus de la venues d'un roi ! De quelle propos sérieux voulez vous tergiverser.
En tout état de cause, vous avez tout de même obtenu des informations précieuses. Deux, en réalité.
première, c’est que le Royaume d’Okord dispose désormais d’alliés puissants.
C'est comme ça qu'Okord annonce la venue de sont souverain. D'aucune façon, à l'improviste espérant que tout les devin des royaume alentour présente ses gestes. J'apprécierais donc que nous reprenions avec calme. Vous savez pourquoi nous somme venus établir une ligne de garde frontière intrusive, pour qu'elle autre raison êtes vous venus ?
La seconde, que vos incursions en territoire okordien - en d’autres termes vos atteintes à notre souveraineté - ont beaucoup agacé.
Notre souverain seras ravis d'apprendre vos puissante alliance, et j'entend votre agacement, je n'ais fait qu'appliquer les ordres et je transmettrais votre mécontentement, que puis-je d'autre pour vous ?
Vous pouvez avoir la même transparence que nous et partager sur certaines actualités diplomatiques vous concernant. Il se dit que Déomul serait en… Mauvaise entente, dirons-nous, avec Träkbäläard. Qu’en est-il ?
Denryl regarde avec intérêt le lieutenant, jaugeant sa réaction
En effet, et le fait que vous savez cela donne quelque peux du crédit au propos de votre agité nationale. Vous qui êtes en lien avec Träkbäläard, je suppose que c'est par pure courtoisie de bon voisinage.
Pour ce qui me concerne, cet agité était davantage le votre que le notre.
Le fait que nous connaissions les différends qui existent entre deux grandes puissances majeures qui nous sont voisines donne crédit à ce que nous venons d’entendre ? Vraiment ?
Par ailleurs, j’ai assumé dès le début de notre entrevue le rapprochement entre le rejeton de Träckbälaard et ma maison. Le serment qu’il m’a reconnu est public. Quels sont vos différends avec les mercenaires ?
Le fils d'une maison okordienne m'as été apporté à la première délégation et m'as été laissé "pour gage de confiance", nous avons ramener cette enfant chez lui en sont domaine, avec discrétions, la maison portait cet étendard. Montre le blason des Happs Si ça ce n'est pas Okrordien. Pour ce qui est de Träkbäläard, il ne sont pas connus pour leurs finesse diplomatique courtoise...ainsi si il vous ont approché cela laisse à pensé qu'il y à affaire.
Les barbares du Nord songe à nous agresser purement et simplement pour la gloire de leurs dieux sanglant entre autre raison qu'il n'ont pas eu la délicatesse de nous préciser.
Ferdinand n’a pas de réaction particulière en découvrant la bannière.
Pourrions-nous, je vous prie, conserver cette mystérieuse missive ainsi que le blason ? Nous mènerons des investigations afin d’identifier les responsables.
Concernant votre conflit avec les mercenaires, il est donc prévisible que le fils tentera de nous mêler à votre discorde.
Ce serait effectivement une mauvaise chose pour Déomul, si les mercenaires devaient tenter de telles manoeuvres diplomatiques.
Denryl observe l'étendard, et préfère garder sa contenance. Il déclare soudain avec sérieux.
Vous demandez la raison de ma présence ici, lieutenant. Elle n'a rien d'anodine.
Träkbäläard nous a en effet fait part de sa volonté de porter la guerre sur vos terres. Et nous avons bien l'intention de former une coalition pour étendre nos terres.
Mais pas avec les barbares de Träkbäläard dont la parole n'a aucune valeur.
Ajoute Denryl, les yeux brillants, son regard fixé dans les yeux du lieutenant déomulien.
Ferdinand se crispe légèrement en entendant la réponse de Denryl, mais seul le roi, qui est à quelques centimètres de lui, peut le sentir.
Alors que la paix se profile pour notre royaume, il n’est qu’une question de temps avant que la guerre frappe le vôtre. Même avec notre refus, Träkbäläard finira par porter la bataille jusqu’à vos maisons. Vous avez donc tout intérêt à fragiliser les forces de l'ennemi qui ne cache pas son hostilité envers vous, et nous aurons le nôtre à étendre nos terres.
Le lieutenant n'affiche aucune surprise au propos du roi
Je reconnais cette lueur, ses barbare ont la même quand leurs dieux sanglants domine leur esprit. Soit prenez le blason et la missive je n'en ferais rien. Et maintenant que la vérité semble établie, seul un détenteur de pouvoir décisionnaire est en mesure de poursuivre les pour parlé ainsi d'ici peux, vous aurez de nos nouvel.
Il n'as le temps de finir sa phrase qu'un messager entre crispé "I várvari pérasan ta sýnora, i anótati dioíkisi zitá mia anaforá."
Le lieutenant se lève
Pardonnez mon manque de manière, nous n'étions pas la pour courtoisie, maintenant que les intentions sont clair, nous n'insulterons plus votre souveraineté territoriale en réciprocité à votre transparence.
Denryl se lève, ne relevant pas la pique
Bien, nous attendrons donc de vos nouvelles.
Mes respects à la Margrave, faites-lui savoir qu'elle sera toujours traitée avec la dignité due à son rang... même si elle venait à nous rencontrer à l'improviste.
dit-il en sortant
La missive et le blason dans une main, Ferdinand salue avec respect mais raideur le lieutenant, et quitte la tente de commandement.
Maison Altéria, Dames et Seigneurs de Cylariel et de Massoala
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Votre Altesse, peut-on échanger brièvement, lorsque nous serons de retour à l’avant-poste autrichien ?
Il lui désigne d’un mouvement de la main la missive.
Denryl avance, sans même regarder la missive
Connétable Ferdinand ?
dit-il pour être certain que le connétable ait son attention
Le visage de Denryl est déformé par la colère
Veuillez déclarer la maison Happs traître au Royaume, par ordre du Roi. Veillez à enquêter pour savoir si nous devons massacrer une maison entière, ou si je dois me contenter de la tête de certains de ses Jarls.
Cela ne fait que confirmer mes doutes, Votre Altesse. La folle était fébrile à chacune de ses interventions.
Avant toute déclaration officielle, je vais toutefois ordonner aux unités autrichienne détachées à la Cour de s’emparer de la traîtresse avant qu’elle ne tente de fuir.
Cette trahison pourrait toutefois contribuer à la stabilité du Royaume et au rétablissement de l’ordre. Ma réponse sera à ce point ferme qu’elle rappellera - ou apprendra - à tous que l’autorité royale sait imposer sa légitimité.
Bien. La trahison ne saurait être tolérée, d'autant plus lorsqu'elle met en péril notre royaume.
Faites authentifier l'écriture de la missive par un spécialiste, à partir des missives que nous avons déjà obtenu en conversant avec la dame. Qu'elle réponde de ses actes.
Maison Altéria, Dames et Seigneurs de Cylariel et de Massoala
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