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HRP préambule: merci au mj de bien vouloir clôturer le sujet après le post (et de me donner juste le droit de modifier le post, merci aux joueurs de ne pas écrire à la suite de la convention, si vos personnages veulent réagir, merci de faire ça ailleurs, bien cordialement)
PS: merci beaucoup à la contribution d'alteria pour sa correction, ma cognition est déclinante, je fais plein de fautes que je faisais pas par le passé
/hrp
Préambule:
Voilà près de 9 ères que notre maison existe, nous n’avions de cesse à enjoindre les maisons d’écrire une convention de guerre, certaines ont fait de timides tentatives, d’autres nous ont ri au nez quand nous avions proposé de l’écrire nous-même, aucune ne réussit à faire consensus.
Alors que l’instabilité politique frappe le royaume, de nombreuse maisons, redoute à raison les morsures de la guerre.
Notre maison est las de la feignantise de ses rois valsants et de ces maisons hésitantes, alors nous, tribus d’Amara, nous avons décidé d’écrire notre propre convention, libre à vous de la signer, ou non, notre maison se fera charge de la faire respecter.
Notre maison a écrit une convention permissive qui prend en compte de nombreuses situations en respectant la sensibilité de nombreuses maisons, tout en respectant les coutumes et traditions okordiennes.
Statuts de la convention:
la convention reconnait les statuts suivants:
Maison fondatrice de la convention: la maison d’Amara
prérogative de la maison d’Amara: la maison d’Amara se réserve le libre droit de modifier la convention à tout moment, et cela même de manière rétroactive, sans consultation ni vote des signataires, en dehors de ce contrôle absolu de l’écriture de la convention, la maison d’Amara dispose des mêmes prérogatives des signataires, elle est par défaut reconnue signataire de la convention.
Signataires: ceux qui ont signé la convention, ils sont de facto membres de la convention, ils participent à la bonne gestion de cette dernière.
Prérogative: les signataires peuvent faire modifier la convention à l’unanimité des signataires présents, les signataires peuvent participer aussi aux comités en charge du respect des modalités de la convention: celles des modalités exceptionnelles, celles des réparations, et celle de la pacification et de la désescalade, ils peuvent aussi lancer la malédiction de virdummar, en cas de disparition intégrale de la maison d’Amara, ils sont légataires de sa convention.
Belligérants: les belligérants sont les participants à un conflit où la convention d’Amara a été référencée
prérogative: les belligérants peuvent se référer en début de conflit à la convention et ce même en étant non signataire de cette dernière.
Modalité première, du respect et de l’application de la convention:
Tous les signataires s’engagent à respecter et faire respecter la convention.
Tous les signataires s’engagent à référencer la convention lorsque les critères s’appliquent.
Nul signataire n’est censé ignorer la convention.
Nul signataire ne peut être tenu pour responsable de ne pas respecter la convention dans un conflit où cette dernière n’a pas été référencée au début du conflit.
Nul signataire ne peut être tenu pour responsable de ne pas avoir référencé la convention si les critères ne s’appliquent pas.
Nul signataire ne peut être tenu pour responsable de ne pas respecter la convention dans un conflit impliquant deux non signataires.
Tous les belligérants participant à un conflit où la convention a été référencée s’engagent à respecter la convention.
Nul belligérant n’est censé ignorer la convention.
Modalité deuxième, du début du conflit:
-le conflit débute, lorsqu’un signataire, ou un belligérant souhaitant se référer à la convention commence une bataille impliquant plus de deux maisons.
-il est possible de se référer à la convention même pendant le conflit.
-dès lors le référant dois annoncer les cibles de son conflit, ainsi que ses alliés le secondant dans son conflit, tous les participants cités prennent le statut de belligérants pour la durée du conflit.
-le référant doit annoncer une cible principale, le référant et sa cible deviennent alors les principaux belligérants du conflit.
Modalité troisième, de la défaite d’une maison:
-sera reconnu de facto comme vaincue, toute maison ayant perdu au moins 80% de sa force militaire et ce même si elle ne s’est pas reconnue vaincue publiquement
-toute maison s’avouant publiquement vaincue
-les principaux belligérants et leurs alliés sont tenus de tenir la liste des vaincus, de l’afficher publiquement à la connaissance de tous.
-ils sont aussi tenus d’annoncer publiquement si un fief a été pillé et quand.
-les signataires de la convention peuvent participer à tenir la liste des vaincus et des pillages si ils le souhaitent.
-nulle nouvelle bataille ne saurait être lancé sur une maison vaincue, et ce en quelque endroit que ce soit, et ce jusqu’à la fin du conflit.
-les nouvelles batailles lancées après la déclaration publique de défaite devront être annulées, sans conditions.
-nulle maison vaincue n’a le droit de revenir dans le conflit, en déclenchant ou en participant à une bataille, dans le cas contraire la maison sera considérée comme refusant sa défaite.
-nul belligérant ne saurait être tenus responsable de ce qu’il fait envers une maison refusant sa défaite.
-nul signataire ne saurait être tenu responsable de ne pas respecter la convention envers une maison refusant la défaite.
-une maison ayant refusé sa défaite peut redevenir vaincue en proclamant publiquement sa défaite.
Modalité quatrième, du droit spécifique au pillage:
-les batailles lancées avant la proclamation de la défaite d’une maison peuvent librement se terminer par le pillage du fief ou le saccage d’une forteresse, sans constituer une violation de la convention, pour faire respecter ce droit nous encourageons les maisons à annoncer publiquement le début d’une bataille, sans quoi les règles de la défaite s’appliquent de manière prioritaire.
-le fief d’une maison vaincue peut être pillé, sous condition qu’il n’ait pas été pillé une fois avant dans le conflit, ce droit est valide pour l’ensemble des belligérants sous cinq lune après la déclaration de la défaite d’une maison, après, les règles de la défaite s’appliquent, pour faire respecter ce droit nous encourageons les maisons voulant faire valoir leur droit à annoncer publiquement la date de fin d’expiration du droit rapidement après la défaite d’une maison, sans quoi les règles de la défaite s’appliquent de manière prioritaire.
-les batailles lancées avant l’expiration du droit spécifique au pillage du fief peuvent se terminer librement par son pillage sans constituer une violation de la convention, pour faire respecter ce droit nous encourageons les maisons à annoncer publiquement le début d’une bataille, sans quoi les règles de la défaite s’appliquent de manière prioritaire.
modalité cinquième, exceptionnalité des modalités du conflit:
-toutes les modalités et règles non prévues par la convention peuvent être réglées d’un commun accord entre les deux principaux belligérants ou à la demande d’une majorité des maisons participantes de leur plein gré ou non dans le conflit, ceci peut être fait à toute étape du conflit, nous recommandons fortement de le faire au début.
-tous belligérants peut proposer des modalités exceptionnelles de manière publique, les belligérant principaux se chargent alors de les accepter publiquement si ils le souhaitent
-nul belligérant ne saurait imposer ses modalités seul
-pour élaborer les modalités exceptionnelle du conflit, les belligérants doivent catégoriser les modalités exceptionnelles, les modalités exceptionnelles relatives: aux règles de la défaite, au droit spécifique du pillage, à la protection du vaincu devront être mentionnées de manière catégorisées et affichées en premier dans l’accord mutuel ceci pour faciliter l’application de la convention.
-nul camp ne saurait unilatéralement imposer des modalités de conflit jugées par les signataires comme plus violentes que celles prévues par la convention et ce même si ce camp est majoritaire.
-tous les signataires s’engagent à confirmer publiquement la majorité des maisons s’accordant sur une modalité exceptionnelle.
-tous les belligérants s’engagent à respecter les modalités exceptionnelles qu’ils ont conclu en commun
-nul signataire ne peut être tenus responsable de ne pas avoir fait respecter des modalités exceptionnelles mal écrites: organisation des modalités non respectée, règles trop floue.
-nul signataire ne saurait être tenu responsable de n’avoir fait respecter les modalités exceptionnelles conclues par les belligérants, à l’exception des modalités entrant dans les catégories suivante: les règles de la défaite, la protection du vaincu, la fin du conflit.
-nul signataire ne saurait participer à l’élaboration des modalités exceptionnelles d’un conflit auquel il ne participe pas, sauf de manière consultative.
-tous les signataires s’engagent à aider les belligérants qui le souhaitent à établir des modalités claires et compréhensibles.
-nul signataire ne saurait faire respecter dans quelque conflit que ce soit, une modalité exceptionnelle qui n’est pas expressément dans le contenu des règles non exceptionnelle prévu par la convention au nom de la convention.
modalité sixième, de la fin du conflit:
-si 80% d’un camp est reconnu comme vaincu, la faction est de facto reconnu comme défaite, et ce qu’elle le reconnaisse publiquement ou pas.
-le principal belligérant défait peut publiquement reconnaître sa défaite, même si la condition de défaite n’est pas remplie.
-les signataires s’engagent à publiquement déclarer le vainqueur du conflit et prononcer sa fin.
-le conflit terminé, les règles de la défaite s’appliquent à tous les belligérants sans conditions.
-le droit spécifique au pillage s’applique.
modalité septième, de la protection des vaincus:
-tous les signataires s’engagent à protéger une maison vaincue jusqu’à la fin du conflit.
modalité neuvième, de la violation de la convention:
-tout belligérant ayant violé la convention ouvre un droit au casus belli aux autres belligérants
-tout belligérant ayant violé la convention ouvre un droit au casus belli aux signataires de la convention
-tout signataire ayant violé la convention peuvent se voir radié de son comité et ne plus être reconnu comme signataire
modalité dixième, du casus belli:
préambule: le casus belli n’est pas la loi du talion, nous invitons chaque maison à lire attentivement ces lignes:
-tout belligérant ayant reçu un droit au casus belli peut le faire appliquer pour une durée de deux années okordienne, après quoi il expire.
-tout belligérant doit renoncer à aider une maison ayant déclenché un casus belli
-le casus belli autorise un belligérant à attaquer la maison ayant déclenché un casus belli, quand elle le souhaite pour la durée du casus belli
-les règles relatives à la défaite s’appliquent, le droit spécifique au pillage s’applique, les règles de la fin du conflit s’appliquent
-si un belligérant exige de l’aide pour son casus belli, tous les belligérants et tous les signataires doivent répondre présent pour l’aider et ce quel que soit le coté du conflit auquel ils ont appartenu.
-tout signataire ou belligérant ne participant pas à exécuter un casus belli doit le justifier, si les signataires estiment de manière consensuelle que la justification est irrecevable, et que la maison persiste à ne pas respecter le droit au casus belli cela constituera alors une violation de la convention.
-un casus belli est expiré une fois qu’il a été exécuté, et ce quelle que soit l’issue du conflit généré par le casus belli
-un casus belli ne peut être exécuté qu’une seule fois par l’ensemble des belligérants et des signataires de la convention
-nul belligérant, nul signataire ne saurait être tenu pour responsable de ne pas avoir répondu présent à un casus belli expiré
-tous les signataires s’engagent à faire respecter le droit au casus belli, ils gèrent les ouvertures de droit et leurs expirations
-les signataires peuvent faire annuler un casus belli de manière concertée, si ils estiment que le casus belli a été obtenu frauduleusement ou involontairement, l’annulation ne peut se faire qu’à un vote majoritaire plus un des signataires.
explication de l’application du droit par l’exemple:
si une maison vous attaque après avoir été vaincue et qu’elle vous pille après que son droit au pillage ait expiré, vous avez un casus belli, vous pouvez alors l’attaquez en retour pendant deux années okordienne, vous pouvez demander de l’aide à n’importe quelle maison ayant participé au conflit, et au signataire de la convention, attention si toutefois la maison contre laquelle vous avez votre casus belli gagne et vous repousse, le casus belli expire et l’affaire sera considérée comme résolue, nous encourageons donc les maisons à s’assurer de leur victoire lors de l’exécution du droit de leur casus belli pour en profiter pleinement.
modalité onzième, de la solidarité envers les lésés:
-est lésée toute maison ayant été victime d’une violation de la convention
-tous les belligérants s’engagent à payer les réparations d’une maison lésée, quel que soit le côté du conflit auquel ils ont appartenu
-tous les signataires s’engagent à payer les réparations des lésés
modalités douzième, des réparations:
-l’intégralité des dommages causés à une maison lésée doivent être réparés sans condition
-la réparation des dommages peuvent justifier l’annulation d’un casus belli sans condition
-la répartition de la réparation est laissée à la bonne intelligence des belligérants et des signataires
en cas d’échec d’un accord sur les réparations, les règles qui s’appliquent sont les suivantes:
-le camp de la maison ayant violé la convention payera 70% de la somme totale de la réparation, les 30% restants sont à la charge des signataires et des belligérants du camp de la maison lésée
-les signataires font une estimation détaillée des productions de chaque belligérant, et répartit les réparations au prorata pour chaque camp, de la maison la plus riche à la moins riche.
note: pour faciliter une résolution en bonne intelligence et la vie des signataires, nous encourageons les maisons à annoncer leurs capacités de production au début du conflit, si un dommage est causé à l’influence, la réparation est estimé à 1 000 or par influence perdu*
modalité treizième, la malédiction de virdummar:
-la malédicition de virdummar peut être déclenchée par un procès lancé par les signataires contre une maison ayant commis des crimes de guerre.
-les procès ne jugent que les crimes de guerre, la malédiction de virdummar n’a pas vocation à être un tribunal politique, les différents entre les maisons doivent être réglés ailleurs, toute tentative de transformé la malédiction de virdurmmar en procès politique se soldera pas une exclusion immédiate du comité, avec une interdiction de participer au comité pendant une durée de trois années okordienne, et nous rappelons que violer la convention ouvre un casus belli à tous les signataires du comité, nous invitons les maisons à bien réfléchir avant d’initier un procès.
-le procès peut être lancé par un vote de la majorité plus un des signataires
-le procès se déroule comme suis, la maison en procès est amenée devant le comité, qui tire au hasard un signataire impartial pour sa défense, et un signataire impartial pour son accusation.
-des preuves factuelles des crimes commis doivent être amenés devant le procès
-les deux signataires argumentent en faveur et en défense de la sentence
-la culpabilité ne peut être reconnue que par le vote de la majorité plus un des signataires
-une fois la malédiction prononcée, pour une durée de une année okordienne, aucune règle de la convention n’est à respecter envers le maudit.
-tous les signataires s’engagent à pourchasser le maudit jusqu’à la fin de la malédiction.
modalité quinzième, de la pacification et de la désescalade:
-les signataires peuvent proposer leurs services pour trouver un accord à l’amiable entre deux partis
-les belligérants s’engagent à respecter l’accord à l’amiable
addendum:
modalités usuelle coutumière des modalités exceptionnelle:
préambule: ensemble de modalités ne s’appliquant pas par la convention mais qui peuvent être validées d’un commun accord par les deux parties
modalité de la protection des vaincus:
-protection du vaincu pendant 15 lune
modalité de la solidarité:
-réparation des vaincus selon la bonne intelligence des belligérants
hrp:
cette convention ça fais quelque année que je la réfléchis, que je la mature, cette convention n’a pas vocation à être un projet collectif
je m’arroge le droit à la tyrannie de l’écriture et de la réécriture de cette dernière, sans votre accords, et ce même si vous la changé pendant mon absence, ce sera pas démocratique, ce sera la tyrannie, vous n’êtes pas d’accord avec ma convention? Tant mieux vous êtes libre de pas la signé, vous êtes libre d’en quitter le comité, vous êtes même libre de pensé que je suis un connard, personnellement j’appelle ce passage le filtrage des abrutis, comme ça c’est réciproque
pour les signataires, globalement la convention
2829 mot 17700 caractère sans espace à peu près, 3H de travail, comme vous pouvez le voir il y a du boulot, vous voulez une convention à vous qui vous convient? Écrivez là vous même
au passage avant de la pondre demandez-vous si une convention trop rigide fera consensus
objectif et philosophie de la convention:
Objectif:
-créer un référentiel commun auquel les joueurs peuvent adhérer
-respecter au maximum les différentes sensibilités des joueurs
-s’approcher du consensus dans la mesure du possible
Philosophie de la convention:
à contre-courant de la philosophie du serveur qui veut tout codifier et tout rigidifier, la convention se veut très libre et très permissive, tout en garantissant des conditions minimale de non acharnement
force de la convention:
les modalités d’exceptionnalités sont la force de la convention, elles permettent à chaque joueurs d’adapter la convention à leurs sensibilités d’un commun accord, elle met un planché maximal à l’acharnement possible envers un joueur
la convention ne s’impose qu’envers ceux qui l’ont signé et ceux qui la font valoir
faiblesse de la convention:
la convention étant très permissive, elle échoue à gérer les cas où les accords sont des échecs, elle échoue aussi à gérer les cas où deux camps de mentalité hardcore se mettent d’accord pour faire sauter le plancher maximal des conditions de défaite.
Elle échoue à gérer les cas de conflits où personne n’a signé la convention et personne ne s’y réfère.
À titre personnel, je m’engage à librement faire respecter le plancher maximal des conditions de défaite quand je l’estime nécessaire malgré le fait que la convention ne m’y oblige pas, je m’engage à faire valoir le droit de casus belli obtenu dans ces conflits.
ce que la convention prévoit:
en fixant des critères de défaite il est impossible de s’acharner sur un joueur sans déclencher les articles de cette dernière.
il y aucune limite de dégâts dans le cadre d’un conflit
les règles sont assez ouverte pour lancer une attaque surprise sans violer la convention
je suis fatigué j’oublie d’autre truc mais je rajouterais au fur et à mesure
ce que la convention ne prévoit pas:
une limite maximal aux dégâts causés dans le cadre du conflits
une protection du joueur à la fin du conflits
une réparation plus protectrices des joueurs
tout ceci doit être légiféré entre les joueurs en conflits par les modalités d’exceptionnalité
ps: en regardant la convention je suis sûr que vous pouvez voir les moments où je fatigue mdr
j’accepte qu’un chouette type ou nana corrige mes coquilles
Dernière modification par GrandJarl (2024-10-22 03:57:51)
vous trouverez ici une rapide explication et un historique de la maison: https://www.okord.com/ranking.html?profile-3451
Le Grand Jarl Actuel: https://www.okord.com/ranking.html?profile-21203
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