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Salut,
Quelle est la logique du déplacement / attaque des unités ?
Je ne comprends pas pourquoi mes cavaliers avancent de x cases pour s'arrêter sur la case voisine des unités à attaquer sans lance d'attaque.
"Cavaliers, chargez ! Mais à 10 mètres des ennemis, on s'arrête, on allume un feu, on fait le café et on reprend la charge demain à l'aube ! T'inquiète pas bro', ils prennent le thé de leur côté et ne nous attaqueront pas !"
Je propose donc une forme de déplacement - attaque à la manière d'une vraie charge de cavalerie.
On peut alors imaginer la même chose pour les archers sous la forme de déplacement - volée de flèches.
Tu ne'peux charger que si tu es a côté, il faut donc anticiper le déplacement de l'autre
Oui, cela a été plusieurs fois évoqués mais en fait ça rend les montés beaucoup trop fort. Notamment parce que tu peux faire alors un gros paquet de chevaliers et traverser les lignes ennemies comme dans du beurre, ce qui te fait en fait plusieurs attaques à la fois.
Et donc ça introduit pleiiiin de cas où on va pas comprendre ce qui se passe parce les attaques se font avant les déplacements hors là ce qu'on propose en gros c'est de faire les deux à la fois. Donc déjà les montés ça te donne plusieurs actions pour le même tour, attaque et déplacement. Hyper fort (sans parler du fait qu'ils peuvent alors écraser les obstacles ce qui les rend encore plus balaise avec 3 actions pour le même tour: attaque, attaque et déplacement.
Le principe de la charge c'est déjà ça, faire un déplacement + une attaque, sauf que c'est limité à 1 case (celle qui est devant toi) pour pas que ce soit IMBA.
Plus d'infos ici : https://www.okord.com/forum/viewtopic.p … 117#p54117
Marie, gouvernante du clan Samarie.
(HRP: Admin)
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Hum je comprends mieux, l'un des points que je trouvais pénible dans les batailles.
Histoire d'ajouter de l'eau au moulin au système en place, les charges de cavalerie tels que le cinéma et la culture populaire les représente sont sans doute loin de la réalité historique. Plusieurs études auraient plutôt tendance à croire que les charges se faisaient à allure réduite et que l'effet était surtout moral (rester ou être écrasé) la difficulté étant de garder la cohérence de la troupe chargeant et cela étant compliqué en plein galop.
Mais dommage pour le rouleau compresseur de chevalier je crois qu'on peut tous en rêver !
Roscelin Fitz de Painel, Intendant de Nortmannie pour son maître
Bohémont de Painel, Seigneur de Nortmannie. Chevalier du Royaume.
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ça parait logique de toute façon.
En réfléchissant bien, et connaissant la lourdeur d'un chevalier en armure qui, une fois tombé.... ne vaut pas beaucoup mieux qu'une brique.
Il suffisait aux "chargés" de monter un mur de lance. Une partie des chevaux auraient freinés, les autres se seraient embrochés laissant tomber leurs cavaliers lourdement.
Je pense qu'on devait plus piétiner les soldats piétons en débâcle, sur leur fuite.
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