Forum d'Okord

Aguilar de Vivesource

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Ambassade Okordienne envoyée à la rencontre de Grinzuson .

Les seigneurs d'Okord ayant sauvé leur honneur en défendant le royaume et en ayant montré leur détermination à l'ennemi , le Roi décide de constituer une ambassade qui ira rencontrer Grinzuson afin de voir s'il est possible de trouver un accord mettant fin aux hostilités .

Que les Seigneurs souhaitant faire partie de cette délégation se mettent d'accord içi sur sa composition et sur celui qui la mènera .

Le seigneur de Vivesource envoie dès maintenant ci après pour information le court échange de courrier qu'il a eu avec Grinzuson :

Message de Grinzuson reçu le 12-III-24 .
"Brave Vivesource,

Je constate votre aptitude face à l'épreuve du sang, constater à votre tour que si je l'avais voulus je vous aurais ruiné. Ainsi considérer le tribu comme un bien bas prix à payer, à savoir que ses renforts ne sont qu'une simple partie de mon armée.

Vous pourrez remercier la Siostry qui à sus amenez le propos d'une délégations à venir, sans cela mes troupes ne se seraient pas limités dans leurs temps d'arrivée ni dans leurs nombres."

Réponse de Vivesource le 12-III-24 .
"Seigneur Grinzuson ,

je ne me suis jamais fait d'illusions quand à votre capacité à me balayer si vous l'aviez absolument voulu . Mes renseignements rapportaient que votre armée était bien plus forte que la mienne , et même que les nôtres .

Toutefois , comme moi , les seigneurs Okordiens sont des hommes d'honneur . Et vous admettrez que nous nous serions déshonorés en ne nous défendant pas .

J'ignore si vous trouverez un accord avec Okord , mais je sais que quoi qu'il arrive nous avons gardé , et nous garderons notre honneur . Et que si nous devons mourir , nous mourrons debout .

J'espère que plus que le simple versement d'un tribut , vous saurez voir en Okord d'autres sources d'intérêts pour vous ."

Dernière modification par Max (2024-03-13 02:20:12)

Cesare I de Septimanie

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Re : Ambassade Okordienne envoyée à la rencontre de Grinzuson .

Le Marquis de Septimanie en est. Certain ici savent l'intérêt que je porte au royaume et que mes actions ont toujours été pour son bien.

Balian

Re : Ambassade Okordienne envoyée à la rencontre de Grinzuson .

Je voudrais y aller mais je n'ai aucun poids dans une discussion diplomatique. Je suis un nouvel arrivant dans le Royaume.
Je pourrais même être un poids inutile mais je suis de tout coeur avec vous tous.
Je suis certain que vous trouverez une faille dans la cuirasse.
Bonne chance à vous.

Siostry Vespasia

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Re : Ambassade Okordienne envoyée à la rencontre de Grinzuson .

La Siostry Vespasia, riche de son expérience en la matière, se propose d'accompagner la compagnie dans les pour-parlers. Elle a d'ailleurs pu déjà échanger avec le mercenaire.

Bedwyr

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Re : Ambassade Okordienne envoyée à la rencontre de Grinzuson .

Il faudra un homme d'arme pour protéger les dames et autres diplomates qui y participeront ! Je me porte volontaire pour cela s'il plaît au Roi. J'ajouterai que mon affrontement avec les troupes du sieur Grinzunson m'ont apporté quelques précieuses informations.

Siostry Vespasia

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Re : Ambassade Okordienne envoyée à la rencontre de Grinzuson .

Si nous sommes au complet, je peux régler avec le mercenaire le temps et le lieu de notre entrevue.

Rainier de Bellebourse

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Re : Ambassade Okordienne envoyée à la rencontre de Grinzuson .

Messires,

Je ne vous accompagnerai pas, j’ai passé l’âge de ces missions… risquées. Et surtout mon général Landry de Myzar n’est pas encore revenu de chasse.

Je ne vous accompagnerai pas mais je vous souhaite de trouver les réelles motivations de ce mercenaire, et donc d’en trouver un accord pacifique à la fin de ce conflit.

Sachez que, si nécessaire, le trésor des Trofs pèse pour près de 15 millions de pièces d’or, nous avons de nombreux territoires que nous sommes prêts à échanger et surtout plus de 30 000 hommes sont prêts à prendre les armes.
Sur ce dernier point, je vous invite, si possible, à enquêter sur la présence de strolatz dans leurs troupes. Je crains un lien entre ceux ci et les troupes d’osterlicht.

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Lignée des Trofs, et autres successeurs

Aguilar de Vivesource

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Re : Ambassade Okordienne envoyée à la rencontre de Grinzuson .

Messires ,

je suis venu vous souhaiter bonne chance avant votre départ . Je vous rappelle que j'avais dit en salle du trône que je ne participerais pas directement à la délégation , mais que j'y réagirais de loin par messager , en fonction de ce que nous en saurions .

Vous semblez donc être trois , Cesare de Septimanie , Siostry Vespasia et Bedwyr , pour représenter Okord dans cette ambassade . Trois grands nobles du Royaume ! Vous avez tout mon soutien et ma pleine confiance . Nous aurions aimé que vos objectifs soient définis un peu plus précisément avant votre départ , mais puisque le temps presse et que Grinzuson ne doit pas être la personne la plus patiente qui soit , je vous souhaite la réussite dans cette entreprise et de représenter dignement le royaume .

Bonne chance à vous , nobles Seigneurs d'Okord .

Dernière modification par Max (2024-03-14 21:42:27)

Bedwyr

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Re : Ambassade Okordienne envoyée à la rencontre de Grinzuson .

" - Très bien, il est temps de partir."

Bedwyr se tourna vers Robert, dégrafa la ceinture qui retenait le fourreau rose incarnat de son épée et lui tendit.

" - Cette aventure est périlleuse, et je ne voudrais pas que cette épée tombe aux mains de nos ennemis. Donne-moi la tienne et prends soin de celle-ci... ainsi que du gamin, dit-il en désignant l'écuyer de la tête."

Il se retourna vers les seigneurs présents en salle du trône.

" - Siostry Vespasia, Marquis Cesare, si vous êtes prêts, je le suis également. Nous aurons tout loisir d'échanger durant notre voyage."

Il s'arrêta quelques instants puis ajouta

" - Du moins à l'aller..."

Eudes

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Re : Ambassade Okordienne envoyée à la rencontre de Grinzuson .

Mes Seigneurs, ma Dame,

recevez la soutien de Sire Marcomir de Chatenay dans votre mission. La Norbury subit encore les attaques de ces pillards.

Que les anciens dieux vous portent.

Siostry Vespasia

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Re : Ambassade Okordienne envoyée à la rencontre de Grinzuson .

Au lever du jour, sous le ciel encore embrumé, trois figures émergèrent des remparts de la cité. Parmi elles, une frêle et jeune dame, la Siostry Vespasia, portant sur ses épaules l'espoir de la paix. À ses côtés, deux seigneurs, le Marquis Cesare I de Septimanie et le Comte Bedwyr, revêtus eux aussi de lourds manteaux, prêts à défendre leur cause par la force si nécessaire.

Leur mission les menait vers le nord-ouest du pays, où le mercenaire Stórleggr Grinzuson semblait s'était établi, semant la terreur sur son passage. Les routes étaient encore endormies, seuls les chants lointains des oiseaux brisaient le silence matinal.

Siostry Vespasia marchait d'un pas déterminé, son visage empreint d'une sérénité profonde, tandis que les deux seigneurs, l'épée à la ceinture, surveillaient les alentours avec vigilance.

Dernière modification par HernfeltMayer (2024-03-15 00:27:46)

Siostry Vespasia

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Re : Ambassade Okordienne envoyée à la rencontre de Grinzuson .

A l'approche de la frontière, un guide vient vous trouver aux abords d'une forêt dont il surveillait probablement les contours depuis la plaine, afin de vous mener au camp de Storlegrr Grinzuson prévenu de votre arrivée.

Le guide vous confie vous mener en direction d'un plateau rocheux, à mi hauteur d'un flanc de montagne, répondant au doux nom de "La Table d'Yggnir", la ou la vue sur Okord y est incomparable. En vous approchant d'Avantage vous pouvez constater un petit bataillon en partance pour une destination Okordienne, bien trop petit pour être inquiétant.

A l'arrivée sur la table d'Yggnir, vous êtes immédiatement escortés par deux Huskarls vers la grande tente de Grinzuson qui vous y attend sous bonne garde.

HRP : Les joueurs on l'occasion d'exprimer ce qu'il cherche du regard avant d'entrer.

La Siostry ne prononça aucun mot durant le voyage avec le guide jusqu'au plateau rocheux.
Elle observait, d'avantage, emmitouflé dans son manteau. Elle observait les forces en présence et plus particulièrement les éventuelles traces de Strolatz ou d'Osterlichois. Les mœurs sauvages des mercenaires d'Yggnir étaient fort différentes de la coquetterie Osterlichoise et cela devait obligatoirement se trahir quelque part. Elle ne put s'empêcher espérer entrevoir les carrures de Von Stuffen ou du Général Doré, qui sait.

Dernière modification par HernfeltMayer (2024-03-15 15:49:38)

Bedwyr

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Re : Ambassade Okordienne envoyée à la rencontre de Grinzuson .

Les deux Huskarls escortèrent Bedwyr et Siostry Vespasia jusqu'à la frontière du royaume.

Quatre étaient partis, deux revenaient...

Les deux seigneurs se hâtèrent de gagner la salle du trône pour y restituer leurs échanges.

Bedwyr salua les seigneurs présents et prit la parole :

" - Seigneurs, la tâche que vous nous confiâtes étaient des plus ardues, mais certains d'entre vous tentèrent de nous la compliquer encore davantage !
Voici ce que nous avons appris - mais je laisse le soin à la Comtesse de corriger mes erreurs et compléter mes manquements.
Grinzuson préparait une campagne en Okord pour retrouver la trace d'un descendant des Vafþrudsons exilé auprès de nous. Mais, avant son départ, son père le chargea d'accomplir un contrat pour le compte de Baldir : épuiser nos forces !
Grinzuson est tenu par son contrat et ne peut y déroger.
Voici donc la proposition à laquelle nous avons abouti qui permettrait de remplir sa part du contrat tout en préservant au mieux nos intérêts : l'ost royal affrontera l'armée de Grinzuson ; si nous sommes défaits - ce qui n'arrivera bien sûr pas ! - nous lui cédons deux provinces du Nord. En outre, il nous demande également de retrouver la trace du Vafþrudson.
Ainsi, nous mettrons fin aux attaques incessantes contre nos fiefs et pourront préparer au plus vite notre défense contre Osterlitch...
Cette proposition me semble tout à fait acceptable et d'ailleurs nous ne souhaitons rien de plus depuis le début de l'invasion que d'avoir l'occasion d'un affrontement franc."

Puis il se tut pour laisser la parole à la Comtesse.

Siostry Vespasia

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Re : Ambassade Okordienne envoyée à la rencontre de Grinzuson .

La Siostry souffla un peu, visiblement éreintée par le voyage "accéléré" qu'elle venait de subir. Amaury de Gavère vint à sa rencontre pour la soutenir et lui proposer un siège, ce qu'elle refusa.

Seigneurs Okordiens !
Voilà le Prince héritier Storlegrr Grinzuson, fils de Grinzu Kralle de la compagnie violette, pour ceux qui connaissent l'histoire de notre royaume.
Grinzuson est un mercenaire comme son père, mais il semble avoir la volonté de se détacher des activités et des décisions de son père.
Voilà le jeune Prince mercenaire qui détrônera un jour le vieux.

Son père a accepté un contrat avec Baldir. Nous affaiblir. Grinzuson ne peut y déroger.
Ce sont des fous d'Yggnir, comme certains d'entre vous d'ailleurs. Sauf que ces Huskarls, eux, pourraient mourir le sourire aux lèvres. Le suicide est une option. Qu'y a-t-il de pire que ce genre d'ennemi ? Surtout quand le client pointe ses arbalètes dans leur direction...

Grinzuson, lui, cherche l'honneur et la valeur des actes. Il voulait venger l'Histoire des siens en punissant une trahison très ancienne qui a marqué son peuple amenant à l'exil des Vafþrudsons en Okord.
Comme l'a dit le Comte Bedwyr. Des traces existent. Nous verrons cela.

Grinzuson n'aime pas son père, n'aime pas ses manières, n'aime pas Osterlicht. C'est ce que nous avons ressenti.
Mais Grinzuson a besoin de redorer sa position de chef de guerre, devant sa patrie, devant le contrat qui bien malgré lui le lie à Baldir, et devant son Dieu de la guerre.
Il lui faut des batailles, du sang, et ces Vafþrudsons. Voilà la proposition qu'il nous a faite.

Une bataille rangée avec un OST royal conséquent.
La destruction des colonnes Strolatz qui lui ont été imposées.
Que le sang des faibles coule... Que Podeszwa apporte la lumière sur ces pauvres âmes...

La Siostry jeta un œil au Comte Bedwyr.

Je tiens à ajouter une analyse personnelle...
Il serait opportun, au moment du lancement de l'OST royal... que vous prépariez TOUS une armée en vos cités. Une armée en remplacement.
Qui sait, Baldir aura eu vent de cette négociation et il précipitera une attaque de masse au même moment.
Grinzuson a semblé assez troublé lorsque j'ai évoqué la possibilité que son client apprenne ce qu'il se passait sous sa tente.
Je n'ai donc pas l'intuition que tout cela soit monté d'avance entre lui et les Osterlichois.

Vespasia regarda autour d'elle l'assemblée qui l'écoutait.

Nous avons une autre information à vous donner...

Elle prit une voix plus calme, solennelle.

Nous sommes partis trois représentants d'Okord pour être rattrapé par un quatrième.
Comme vous pouvez le voir... les Seigneurs Cesare de Septimanie et Mory Ghan ne sont pas revenus avec nous.
Le Vicomte Mory Ghan, comme l'a bien exprimé le Comte Bedwyr a été assez odieux et non diplomate. Mélangeant ses convictions personnelles et le bien du royaume. Ce dernier est sorti de la tente en plein échange.
Le Marquis de Septimanie, quant à lui, a découvert à ses dépens qu'on ne parie pas avec un chef de guerre comme on peut le faire dans la première taverne du coin avec un soulard lambda. Il a tenté de jouer l'avenir du royaume sur un duel. Grinzuson n'a pas été coopératif. Pas du tout. Il a été sorti de la tente par des soldats.

Les seigneurs présents commencèrent à se regarder, à échanger, tant de questionnements, que sont-ils devenus, où sont-ils...

Mes Seigneurs.
J'ai pu entrevoir le traitement que Grinzuson leur avait réservé, sans pouvoir intervenir hélas, lors de notre départ rapide.
Au milieu d'une foule énervée... moi qui suis une fervente gardienne des arts de rue... que Podeszwa leur vienne en aide... j'ai aperçu un jeu macabre dont Mory Ghan et Cesare en étaient les pantins. En sang, ces derniers semblaient se battre à mains nues sous les olas des Huskarls.
Nous ne savons ce qu'ils sont devenus.

Vous savez tout.
Elle s'assit enfin sur son siège.

Dernière modification par HernfeltMayer (2024-03-19 00:49:32)

Francis d'Astaffort

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Re : Ambassade Okordienne envoyée à la rencontre de Grinzuson .

Après avoir écouté les termes de l'accord négocié par ces diplomates, le roi Francis 1er s'était empressé d'écrire à l'héritier du Träkbäläard.

Cela avait fait réagir vivement le Duc Aguilar de Vivesource qui se plaignait que la décision d'accepter l'offre ait été prise trop rapidement par la couronne et les ambassadeurs sans que le reste de la noblesse puis donner son avis.

Le duc semblait très inquiet que le trône n'en fasse point assez pour sauver son amis le marquis cesare et réclamait que la maison de Mory Ghan soit inculpée. Après tout le vicomte avait trahit les intérêts du royaume en s'ajoutant sans prévenir au trios de diplomates pour fort mal s'y comporter en semant des tensions religieuses et des critiques contre le roy d'okord.

Le comte Bedwyr et dame Vespasia avaient du lui répondre qu'ils avaient pu obtenir un des meilleurs accords possibles au vu des circonstances difficiles des négociations et le roi dire qu'il avait déjà annoncé précédemment que le vicomte félon serait emprisonné à son retour afin d'être jugé par une assemblée des nobles okordiens.

Le roi Françis ne voyait pour le moment point de raison de faire condamner rapidement et arbitrairement la famille du vicomte félon à un moment ou la noblesse d'okord devait rester unie face au danger. Une enquête déterminerait si Mory Ghan avait commit sa folie d'aller pénaliser une négociation vitale pour la défense du royaume seul ou en complicité avec ses parents qui auraient pu se faire acheter par des ennemis d'okord.

L'ambiance dans la salle du trône commençait donc à se faire houleuse lorsque un chevalier apporta au souverain une missive venant de Grinzuson dont le contenu rassura sa majesté qui se leva pour en faire part à l'assemblée.

"Mes chers nobles okordiens. Nous avons reçu réponse du général Grinzuson à notre acceptation de l'accord qu'il a convenu avec nos ambassadeurs.

Cette dernière contient des nouvelles rassurantes sur le sort de nos deux ambassadeurs ayant du rester faire du pugilat dans la camps des mercenaires étrangers. Lesquels ne seraient point retenus comme otages.

Le chef de guerre nous donne aussi des informations sur comment nous devrions agir pour éliminer les Strolatz de Baldir qu'il a sur les bras dans notre bataille d'ost arrangée. Un combat dont l'objectif sera évidement d'abattre ces derniers et non de devoir affronter la totalité de la massive armée de Grinzuson.

A nous de nous organiser en conséquence avec chaque seigneur okordien gardant un tier de ses troupes en réserve chez lui pour parer une éventuelle agression des Osterlichois à la frontière sud ou est du royaume.

Nous attendons vos avis sur la question et allons parler stratégie militaire avec les généraux expérimentés des maisons du royaume. Les strolatz bloqués seront à éliminer en grande partie par des tirs de nombreuses unités d'archers comme lors de l'ost royal précédent."

Roi Okordien,

Votre acceptation est appréciée, et que vous le croyez ou non elle pourrais bien êtres salvatrice pour Okord, je puis du fait de l'accord retarder au plus possible les attaques de vos fiefs, mais je ne puis les stopper indéfiniment.

Je peux en effet faire entrer mon camp en vos terres, mais sachez que si en conseil de guerre j'exige que les Sotrlaz se place en première ligne, leur lieutenant feras esclandre et soupçonneras quelque chose, t'en cette approche serait aberrante pour leur culture militaire.

Je vous propose donc de les placers en seconde ligne et d'ouvrir la première ligne avant le contacte, l'ais laissant vulnérable et pris au dépourvus, c'est la qu'il faudra agir rapidement. Mes hommes à l'arrière bloqueront leurs retraites et ceux rester dans le camp s'occuperons des messagers de sorte qu'aucun ne parviennent à Baldir.

Quant aux deux Okordiens resté au camp, vous me surprenez à les qualifiés de prisonnier, l'un d'entre eux est allé dans l'arène de sont plein grés et à deux reprise, mais le destin à fait qu'un second dénommé Cesare, à montré son tempérament incisif et obstiné à trop de reprise pour que je passe l'éponge, il à donc été lâché dans l'arène contre sont grés.
Et le destin à fait que ce soi l'autre Okordien dans son deuxième combats, son adversaire. Un certain Mory Ghan, qui bien que crispé sur les questions de culte ses montré peux loquasse.

Comprenez donc qu'ils seront relâché, quoi qu'il en soi. Les combats de l'arène sont à main nue et pas à mort, bien que cela puisse arrivé ce n'est pas sa vocation.
Et pour sur il y mettent du cœur à l'ouvrage, bien que je veuille vous les restituer tout deux, ils ne me faciliterons pas la tâche. Dite à leurs familles que nul rançon n'est réclamée et qu'il rentrerons aprioris.

Bien à vous,
--
Storlegrr Grinzuson
Héritier de Träkbäläard
Général Huskarl

Dernière modification par firewolf216 (2024-03-19 19:20:01)

Cesare I de Septimanie

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Re : Ambassade Okordienne envoyée à la rencontre de Grinzuson .

Le combat de Mory et Cesare :

   Les adversaires se font face Cesare adopte une garde solide ,encrez dans le sol il attend Mory qui à l'initiative et hardis d'en découdre charge l'opposant et chute au pied de Cesare qui le vois vulnérable contrains de se protéger, jusqu'à pouvoir ou réussir se relever.
   Voyant la chute, Cesare saisi l'initiative et le risque de confirmer la mise au sol de Mory, alors que la foule rit encore haut et fort de la scène,
   Cesare à une prise trop faible pour contraindre le bras de Mory qu'il tient tout de même, et parviens porter ses coups de talons au thorax.
    Cesare s'apprête à répéter ses coups de talon dévastateurs alors que Mory parviens à saisir le bras de Cesare avant la torsions, qui levant levant un de ses appuis pour répéter ses coups de talon, vois son seul appuis balayé d'un coup de pied de Mory qui parvient à amène Cesare au sol par la saisie du bras de sorte à pouvoir lui placer un coup de coude sec dans la mâchoire.
   Les deux combattants sont au sol sans qu'aucune mise au sol ne soi confirmée, les spectateurs hurles des encouragement indiscernable des jurons qui fusent autant que les mises pariée. Mory pus prendre l'initiative suite à son coup percutant, alors que Cesare se force à se saisir de sa lucidité, suffisamment pour compenser sa perte d'initiative, il retourne face à Mory par le même geste, tout deux sur le côté face à face, l'étranglement manque d'efficacité comme les coups de Mory qui manque de marge pour être porter avec force.
   La tentions demeure palpable dans l'arène, ou Cesare relâche son etranglent pour saisir le prochain coup porté par Mory qui lui aussi tente une autre approche. Cesare parvint à saisir fermement le bras de Mory bloquant le jet de boue et tout en lui portant des coups violents au visages réussit à basculer sur le torce de Mory maintenant sur le dos, qui vois sa roulade arrière empêchée.
   Et c'est avant que Cesare persévère dans ses coups que la première mise au sol de Mory Ghan est validée, il se relève douloureusement et les deux adversaires reprenne leur positions.

   Les adversaires, manifestement entamé par les premiers échange de coups sont éprouvé mais tout autant prêt à en découdre chacun à leurs façons. Alors que Cesare adopte une défense de sorte à compenser une charge, Mory aborde sont adversaire avec une approche vigilent mais incisive.Mory parviens à placer ses frappes au poing efficacement malgré la garde de Cesare qui bloque difficilement les coups, dont le coup de pied au genoux qui trop haut touche le flanc de la cuisse avec force.
   Au yeux des spectateurs les adversaires semble d'avantage se jauger qu'initialement, alors que Mory vas répéter un coup à la cuisse avec prudence et force, Cesare adapte son attitude pour y faire face en une fractions de seconde.
   Cesare parvient à saisir la jambe de Mory après sont premier coup à la cuisse, mais échoue au fauchage d'appuis par manque de proximité, Mory ne peut riposter dans l'immédiat, du fait de sa jambe saisie.
   L'enchainement d'action est rapide et manifeste la lutte acharnée des deux adversaire, qui commence à s'essouffler des efforts fournis pour se contenir,
    Cesare lâchant prise sur la jambe de Mory, est pris de vitesse par la réactivité de son opposant qui lui attrape la tête fermement, l'abaissant pour lui adresser un coup de genoux brutale au visage, Cesare eu la présence d'esprits de prioriser ses appuis et reste debout la tête toujours en prise
   Le coup de maitre de Mory à fait grande impression parmi les spectateur, voyant le nez de Cesare abondamment ensanglanté, mais Cesare parvient à saisir les jambes de Mory qu'il soulève et bascule vers le sol amenant à une lourde chute. La deuxième mise au sol de Mory est validée, qui se relève douloureusement. Les adverssaire reprennent leurs place respective. Cesare est cependant bien plus amoché au vissage que Mory il ne se relèveras peut être pas si il tombe une troisième fois.

   L'ultime face à face semblent être celui ci au yeux des spectateurs qui redouble de hurlements en tout genre et tout sens. Mory s'imprègne de sa rage, ne considérant aucunement la défaite comme une option alors que Cesare confiant en sa robustesse fait preuve de son calme.
   La charge de Mory aboutis à une finte de prise à la jambe pour une remontée en uppercut, qui bien que passant derrière la garde, frôle le visage de Cesare qui esquive le coup de justesse et parvient à ceinturer Mory,
   Cesare semble avoir le dessus, mais n'as pris qu'un seul bras de Mory dans sa prise qui compte bien sans servir, mais Cesare parvient à soulevé Mory qui tombe au sol sur le le côté.
   Cesare de part les forces qu'il lui reste s'approche déterminé de Mory qui s'apprête à se relever, Cesare passe à califourchon sur Mory pour le roué de coup au visage, que Mory pare difficilement sans pouvoir porter de coup efficace.
   Avant que Cesare n'ait à porté un autre coup, Mory abandonne. l'arbitre vient les séparer, et alors que Cesare a tout juste le temps de célébrer sa victoire, quatre mains fermes le sortent de l'arène sèchement, et le retourne face à un homme qui semble être un soldat, mais sa vue est troublée par le sang. Il ne peut qu'entendre. "Poruczniku Von Goertofen, dobrze ci mówiłem, że jest tutaj Okordyjczyk" il ne comprend peut-être pas mais il reconnaît les intonations de la langue d'Osterlichit. et ils l'emmènes à ce que qu'il reconnait difficilement être la tente de Storlegrr Grinzuson.