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Il était une fois, Henri de Walpot, un homme grand et puissant qui prit sous son aile l'Ordre Teutonique durant une décennie mais plus les années avancèrent plus l’Ordre perda de son prestige jusqu'au moment décisif en Merkor, 12e phase de l'été de l'an II de l'ère 20. La date du début de la conquête de la Forteresse de Yosae appartenant au Marquis Burlocks II, Henri de Walpot eut une idée envoyée son Général Paul avec 20 000 hommes, une conquête qui devait être une réussite complète et une extension du territoire des Teutoniques. Sauf qu’en Saedor, 14e phase de l'été de l'an III de l'ère 20 la conclusion de la bataille est désastre. plus de 15 000 hommes perdirent la vie et le Général Paul se fit capturer et une rançon de 500 000 pièces d’or fut demander… L’Honneur des Teutoniques se retrouve bafoué, et détruit…
Un groupe de Teutonique revenant de croisade et excédé par les agissements de Henri de Walpot qui a détruit la réputation d’un Ordre réputé décida de faire un coup d’état, appuyé par la garde d’élite de la forteresse de Marienburg ils commencèrent par tué le principal responsable de ce désastre, le dénommé Paul…
Sur le chemin du retour à Essex (Province du Marquis Burlocks II), le Général Paul fut posté en avant-garde suivi par le reste de son armée affamée et détruite moralement. La journée s’annonçait tranquille aucun Barbare ne venait les attaqués, mais approchant de la grande forêt de Luscanie (Province du Marquis Gron), l’armée dû traverser cette forêt mais arrivant aux trois-quarts de la forêt, la pression se fut de plus en plus pesante.
Une flèche se rendit dans l’épaule gauche, quelques secondes plus tard une flèche se rendit dans l’oeil droit puis une troisième flèche s’écrasa dans la cuisse droite du général Paul, celui-ci tomba de son cheval, mort. Une troupe de 24 chevaliers faisait face à l’armée de 5000 hommes, portant les mêmes écussons, les deux camps se regardaient sans broncher, les rares chevaliers ayant encore la force de sortir leurs armes et charger la troupe se firent tué sur le champ, mais un homme s'avança de la troupe agressive, et se présenta “Je me nomme Charles-Edouard de Masmine et je suis le nouveau général en chef de l’armée Teutonique.”
Maintenant le tour du Diplomate Charles de Burg,
Dans une auberge dans la Commanderie de Sainte-Foy du nom de “Au Comptoir Fondu” (dont voici la description, Le bâtiment en forme de U est composé d'un rez-de-chaussée et d'un étage, la construction est correcte. Au rez-de-chaussée, se trouve une salle pouvant contenir 20 personnes. Le mur de gauche, noirci, tend à faire penser qu'un incendie s'est déclaré il y a peu et démontre la qualité de l'auberge. Au-devant de l'auberge, quelques tables et chaises permettent de prendre un verre à l'extérieur. À l'étage se trouvent les chambres, avec un minimum de commodité, avec un verrou qui permet de fermer la porte. Cette auberge est principalement fréquentée par des marchands à la recherche de fortune, de plus la proximité de la place du marché, donne à cet établissement une ambiance festive.). Un homme d’une trentaine d’années rentra dans la taverne, se dirigea vers le tavernier et lui commanda dans la plus grande sympathie à boire. Mais le tavernier peine à entendre sa commande à cause du bruit incessant d’un groupe de teutonique dont Charles de Burg fut à la tête. Le jeune homme en partant et en voyant le tavernier exaspérer lui fit transmettre une bourse de cinq cents pièces d’or et une fiole, “Mettez ça dans la boisson de ses messieurs et vous en serez débarrassé.”, quelques minutes plus tard les 4 teutoniques se tordaient de douleur et mourraient en silence.
Et maintenant le tour du Grand Maître Teutonique Henri de Walpot,
La Forteresse Teutonique de Marienburg, est un édifice géant, 3 étages pour une centaine de pièces, des milliers de gardes, un architecture germanique, et une splendeur à en faire frémir les plus grands seigneurs.
Un homme portant une armure Teutonique se présenta à la porte, un garde lui coupa le passage et demanda quel était l’objectif de sa visite, “Je souhaiterais voir le Seigneur Henri de Walpot, j’ai des nouvelles du général Paul que je souhaiterais lui communiquer personnellement et en privés.”.
Le garde acquiesça et escorta avec trois autres gardes le visiteur vers les quartiers du Comte, arrivant dans un grand couloir un garde prit la parole “C’est la pièce au fond”, mais en un instant l’homme tua les deux gardes qui le suivirent, et sortit son fléau d’armes et en un bref instant il abat son fléau sur les deux gardes suivantes.
L'homme s'avança vers la porte quand il arriva à sa hauteur, il leva son pied et le fit abattre sur la porte qui céda sous son poids. Le Comte Henri de Walpot se tenait assis sur son siège, "Vous voulez ma mort je suppose ?... dites-moi d'abord qui êtes-vous", " Moi ? Je me nomme Henri de Tunna et mes quatres confrères ont exterminé vos conseillers, et maintenant je vous souhaite une bonne journée mon cher, Deus Vult !". Et ainsi Henri de Tunna tua Henri de Walpot qui devenu faible et vieux ne pouvait absolument pas se défendre.