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Amères Douceurs
-Qu'est ce donc?
-Des gâteaux au miel, Maître, bien que nous les ayons reçu ici, ils ont étaient adresser à votre condottiere
-Quoi?!! en quel honneur?
-Le sire Tallyran a reçu le donjon d'émeraude de la part de don Diego pour ses nombreux mérites, et apparemment aurait offert des gâteaux au miel au chefs locaux...
-Fieffé du baswen !! ont-ils l'intention d'acheter mon peuple pour le soulever contre moi?!
-Et ce n'est pas tout, le capitaine Andécout nous a fait parvenir une missive qu'il a reçu de Gervais de Marillac *la jeune fille tendis la missive au vieil homme qui l'a lu rapidement*
-Demander au condottiere d’intercéder en faveur d'une maison avec votre une maison vassale, n'est ce pas là un autre crime de lèse majesté?
-AAAAAAHHHH vils fourbes !!, maintenant qu'ils ont enterrer Estybril, ils essaient de déstabiliser le royaume, en commençant par purger leurs anciens alliés qui connaissent leurs plus vils secrets !!, l'un menace mon vassal de l'expulsé de ses terres par la force, le suivant achète mon capitaine avec des douceurs et le premier viens ensuite mielleux y demander des faveurs !
-Je suppose que j'en ferais de même, acheter les différentes compagnies, les différente tribus, telle que vous me l'avez enseigner n'est ce pas là ce que vous avez aussi fait? d'ailleurs si il y a une bataille ne serais ce pas le condottiere lui même qui pilerais les populations? je comprend qu'on puisse vouloir acheter ce qui nous fait peur, mais tout de même, il s’agit de deux maisons différente, et cela peut est peut être qu'un vil malentendu, êtes vous vraiment sûr qu'il s'agisse d'un complot du baswen à votre encontre?
-Pour sûr, Pour sûr ! ne te souviens tu pas des entretiens secrets en ces lieux, ces vils complots que nous avons manigancé contre le royaume d'okord et le sire foulque avec nos alliés d'alors, pour sûr ! pour sûr ! que si cela viens du baswen, les un ont les chausses mouillés des affaires des autres ! mais je vais leurs montrer moi de qui ils doivent avoir peur !
-Qu'allons nous faire? réclamé justice pour un crime de lèse majesté est idiot !
-En effet, les accusé de lèse majesté serais stupide, nous serions moqué ! pire cela serais déclaré notre faiblesse au royaume, un autre peuple s'en servirait contre nous ou les différents Jarls ne manqueraient pas l'occasion de prendre ma place !! rassure moi le capitaine Andécout n'est pas au courant pour les gâteaux n'est ce pas?
-bien sûr que non maître, je ne ferais jamais ce genre d'erreur, il est encore en forteresse noire, à l'ombre de cette affaire.
-bien ! bien ! nous allons donc retourner leurs vils stratagème contre eux !, rappelle moi, le juge Raoul de Zootamauxime, ils ne font pas d'étrange réactions au miel dans sa famille?
-il me semble que si, nombre d'entre eux sont mort piqué par une abeille, plus jeune il fût sauvé de justesse par une chasseresse du hibou qui passer dans le coin, si je comprend bien, je dois lui faire livré les délicatesses?
-tu progresse ! quand les dieux t'offrent l'occasion de faire d'une pierre de coup, c'est très certainement ce qu'il faut faire !
-et bien ainsi sois-t-il je ferais livrais le cadeau du baswen à raoul, devant de telle délices, nulle doute que notre homme goûtera au paradis.
Ô vous gens du baswen !
Cela ne vous suffisait pas que votre recteur menace mon vassal de le chasser des terres qui l'on vu naître par la force !
Que votre recteur m'insulte en écrivant à mon condottiere plutôt qu'à moi même !
Voilà qu'en plus vous empoisonnez nos juges avec vos gâteaux ! Un grand homme est mort, Raoul de Zootamauxime est maintenant parmi les dieux, mais cela aurais pu être moi qui fût tué par vos diaboliques sucreries !
et maintenant sa famille est en deuil !
Votre vil visage est maintenant dévoilé au grand jours, vos vils méfait ne seront pas caché du royaume
Ô roi du Baswen, je réclame justice au nom de mon peuple et au nom de mon vassal !, si vous êtes qu'une once de ce que vous prétendez être, je veut pour moi et mon vassal des réparations !
nous voulons 1 Million 518 000 pièces d'or pour la justice ! (*) Si vous vous vous y pliez alors nous oublierons cette fâcheuse affaire !
sinon nous récupérerons l'or qui nous revient de droit au fil de nos épée, là où il se trouve !
vous avez trois lunes pour rendre justice ou nous proposer une voie pour réparer vos méfaits !
Cordialement
Guillaume d'Antipolis
/hrp:
ceci un topic qui consigne les accusations fallacieuses dont vous pouviez faire l'objet au moyen âge, avec déclaration de guerre, suivant mon humeur ça sera plus ou moins étoffer ^^
(*) c'est le roi qui est rançonner, pas tout le royaume, ça vous apprendra à écrire au bon personnage namého !
je suis ouvert à la négociation ^^/
vous trouverez ici une rapide explication et un historique de la maison: https://www.okord.com/ranking.html?profile-3451
Le Grand Jarl Actuel: https://www.okord.com/ranking.html?profile-21203
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Le baron Tallyran hoqueta à la lecture de l'édit de Guillaume d'Antipolis.
"Accuser nos délicieux gâteaux au miel de provoquer la mort? Diffamation!"
Pris de fureur, le baron saisit sa prothèse et la jeta violemment contre le mur de son antichambre. Alerté par le fracas, le sergent de la garde fit irruption dans la pièce.
"- Sire, tout va bien?
-Sergent, préparez nos troupes, nous partons en guerre faire rendre gorge à cette fripouille d'Antipolis!
-Sire, le rapport de force ne nous est guère favorable..."
Tallyran resta interdit quelques instants, sourcils arqués et lèvres pincées. Puis, son corps se détendit et son visage reprit contenance:
"-Faites venir un domestique pour nettoyer ce désordre et oubliez mes dernières paroles. Nous n'allons pas nous emporter pour quelques gâteaux au miel, n'est-ce-pas?
- Comme vous voudrez, Sire"
Une fois le garde sorti, Tallyran se renfonça dans son fauteuil en maugréant: J'ose espérer que ces viles accusations ne porteront pas atteinte à la renommée de nos gâteaux... Une fois que la situation se sera un peu calmée, j'inviterai quelques seigneurs à visiter mes cuisines. Cela devrait les distraire et les rassurer sur la qualité de nos produits.
Dernière modification par Tallyran (2019-02-25 18:53:33)
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Le Comte Salman en séjour chez son ami Tallyran venait de pénétrer les murailles de la Résidence du Gouverneur. Là, il fît face à l'intendant des lieux, alors que le Baron manquait curieusement à l'appel :
- " Monseigneur, le maître Tallyran est... fort peu disposé à vous recevoir pour le moment. Il....."
Le Comte lui coupa brusquement la parole :
- "Où est-il ?!"
- "Dans ses quartiers Monseigneur."
- "Conduisez moi à lui !"
L'intendant s'empressa d'emmener Salman auprès de son maître.
Après de trop nombreuses marches arpentées et des dizaines de pièces sillonées, le spectacle que découvrit le Comte était digne des plus grands folklores organisés en Baswen. Une dizaine de domestiques s'affairaient à déblayer ce qui ressemblait à des pots cassés, une prothèse parmi les morceaux.
Plus loin au fond de la pièce il vît son ami prostré dans un fauteuil, le visage hagard et l'air préoccupé :
"Par les Dieux Tallyran que vous arrive-t-il ?"
Celui-ci en maugréant quelques mots sibyllins lui tendit une lettre.
"Elle vient de Guillaume d'Antipolis."
Salman saisit la lettre tout en se demandant ce qui pouvait mettre son ami dans cet état là. Sa lecture terminée, il releva la tête, l'air décontenancé et s'exclama :
- "Mais Diantre, quelle est cette histoire de gateaux et d'abeilles Baron ?!"
- "Je n'en sais bien rien cher ami."
Le Comte marqua quelques secondes de silence, puis s'écria soudainement à haute voix, tel qu'on aurait pu l'entendre jusqu'à la Marche des Confins :
"QU'ON M’AMÈNE UNE PLUME !"
Cher Guillaume d'Antipolis,
Je suis arrivé en ces terres il y a seulement deux hivers, c'est toujours un plaisir pour moi que de rencontrer de nouveaux seigneurs qui me furent étrangers jusque là.
Je remarque par vos efforts répétés le souhait de vous faire remarquer en Baswen ainsi qu'auprès de ma personne, comme en témoignent la cinquantaine d'hommes de votre condottiere pendus en mes fiefs il y a quelques jours. Dans les deux cas votre application est récompensée, et j'espère que ma réponse apaisera votre névrose.
Je me suis employé à relire votre missive, et ce à plusieurs reprises afin d'en comprendre le sens. J'y ai rapidement constaté que par d'habiles combinaisons -ou malhabiles raisonnements- vous échappiez à vos propres accusations en ne prenant pas le soin de me contacter alors que vous accusez et exposez publiquement mon vassal.
J'ai quant à moi décidé, par respect et dignité pour votre personne, de ne pas contacter votre suzerain afin de savoir pourquoi une histoire de confiseries risquait de mettre en péril les relations et l'intégrité de nos Maisons respectives, ou plus encore. Car en Baswen, et vous l'ignorez peut être -sûrement même car ses habitants sont loin d'être "vils"- chaque dame ou seigneur est considéré à sa juste valeur, celle d'une femme ou d'un homme libre, à l'égal de ses pairs, en capacité que vous en soyez choqué ou non de répondre à quelconque seigneur qui se présente face à elle/lui, tout aussi suzerain ou roi qu'il pourrait être. Les traditions qui régissent les mœurs de votre Royaume, de votre Maison ou peut être uniquement de votre esprit peuvent être différentes en d'autres lieux, je vous prierai d'en tenir compte et c'est finalement le cœur du contentieux qui nous lie.
En effet, et selon la liberté dont il jouît pour le faire, le seigneur Gervais de Marillac, mon vassal, a érigé un certain nombre de lois relativement à la gestion de ses terres. L'information qui a parcouru vos rangs a dû rencontrer quelques embûches puisque il ne fût en aucun cas question de "chasser" le jeune seigneur Tadeus Miquita du Territoire des Anciens Dieux. Cela lui a été suggéré, et la nuance me semble importante, loin d'être belliqueuse, si bien que mon vassal ait finalement pris la décision de contacter votre condottiere afin de faciliter les dispositions du jeune Baron. Je vois en cette démarche tout autre chose qu'une convocation à la croisade.
Par ailleurs je suis moi-même enclin à accueillir Tadeus Miquita en mes terres, frontalières à celle du seigneur de Marillac, sur lesquelles la législation religieuse ne le souciera pas. J'ai entendu dire qu'il était attaché à cette localité.Enfin cher Guillaume, l'apostrophe que vous avez lancez à l'encontre de mon Roy, et je n'en commenterai pas la forme très légère, scelle votre nom ainsi que celui de votre condottiere dans la mémoire des Basweniennes et Basweniens.
Je vous invite ainsi à méditer et réviser votre démarche, qui, j'ai peur que vous n'en preniez pas la mesure, risquerait de mettre en péril l'ensemble des gens concernés par l'affaire et dont je suis soucieux, qu'ils soient okordiens ou basweniens ; détériorerait nos relations pour l'avenir à peine celles-ci établies, et manquerait de vous mettre un Royaume à dos, ce qui n'est pas chose aisée.
Aussi, votre entreprise est lucide car le Baswen est un jeune Etat, et moi même un seigneur précoce, premier de sa lignée alors que vos ancêtres foulent ces terres depuis plus de 50 ans si je ne me trompe pas (L'état du seigneur de Tallyran me perturbe et me fait perdre le fil du temps).
A cet effet je ne doute pas que votre héritage, que je respecte et qui fait naître en moi une certaine admiration, vous confère une expérience et une sagesse qui saura vous dire que rien n'est immuable. Et que l'appel de l'or d'un jour est peut être moins important qu'une inimitié éternelle et la désaffection de gens qui ne vous connaissent, ou connaîtront pas encore. Cela ne vous serait sur le long terme que peu profitable à mes yeux.Je suis disposé à recevoir vos mots en privé si vous souhaitez en discuter. Cela serait plus vertueux qu'envoyer les hommes de votre condottiere se faire pendre en mes terres, ce sont des pratiques que je me dois d'accomplir le cœur résigné.
Que nous croisions la plume plutôt les lames,
Mes pensées vont à vous et vos gens,
Salman
Le jeune Comte, à court d'encre, tendit la lettre à l'intendant avant de se retourner vers son ami, toujours aussi évasif.
- "Bon Tallyran, que diriez-vous de me faire visiter votre nouveau chez-vous ?"
- "Avec plaisir !"
Voilà que le Baron bondît de son fauteuil, toujours en grommelant ci et là quelques mots que le Comte avait du mal à saisir, et manqua d'houspiller ses gens :
- "Allons bon laissez ces vases où ils sont, je ne les aimais pas de toute manière... ET PRÉPAREZ NOS CHEVAUX ! J'emmène notre hôte visiter notre domaine."
Il ramassa sa prothèse en titubant, et les deux comparses s'en allèrent parcourir ces nouvelles contrées du Baswen, gâteaux au miel en main.
HRP :
à Grandjarl : j'ai pris un malin plaisir à te répondre, mon message est dans l'esprit du tien.
aux autres : la portée de mon message s'arrête aux frontières de Guillaume d'Antipolis, sa chaîne vassalique (sa pointe), le Royaume d'Okord, les Dieux de chacun et autres entités tallyrandesques ne sont pas visés expressément.
Dernière modification par Salman (2019-02-26 00:38:47)
le vieil homme contempla le ciel étoilé, il sembler fixer la lune de Mardor
-Mardor s'en va, désormais nous apercevrons Merkor la nuit, cela fait donc trois lunes et toujours pas de réponse du roi du baswen....
-Les lois nous interdisent de croiser le fer, je suppose qu'il ne s'est pas donner la peine de répondre, par ailleurs, il se pourrais que les paroles de Don Diego soient vrais, le roi se désintéresserais des fanatiques à cause de leurs pratiques excessives.
-Pourquoi alors le vassal de son pair le plus fidèle fait-il envoyer des gâteaux à mon condottiere?
-ce n'était peut être que de bons sentiments?
-Ah? rappelle moi, qu'est-il advenu du dernier homme envers lequel nous avons fait preuve de bon sentiments?
-et bien, il aurait d'abord rougît, puis des éructions cutanée serait apparu, puis il aurait gonflé, gonflé, gonflé tellement que ses veines en serais devenu bleu, le tout en s'asphyxiant de longue minutes avant de finir par agonisé. pour ma part, j'étais trop occupé à m'occuper à faire disparaître la servante et les gâteaux, ils étaient succulents d'ailleurs !
-Quoi?! traîtresse ! me trahirais tu pour des gâteaux? veut tu que je te remette dans la rue où je t'ai trouvée?
-Oh non que les dieux me garde de ça, cela ne me ressemblerais pas moi qui vous trahirais *murmure* pour bien moins que cela....
-Pardon?? je n'ai pas entendu
-Je disais quel bel oiseau que voilà ! n'est ce pas un Fried, l'oiseau de la confiance et de l'amitié, les dieux vous envoie le signe que je vous trahirais jamais !
l'homme contempla l'oiseau qui s'envoler dans la nuit et sourit
-Enfin trêve de plaisanterie, pour l'heure nous devrions répondre et le sire Salman en duel, cela sera plus acceptable pour le peuple si il rompt sa parole devant les dieux, du reste, fais mander mes coursiers, que le capitaine Miquita libère son courroux !
Salman !!
il semblerais que votre roi n'est pas aussi haute estime de vous que vous n'en avez de lui ! et que votre sort ne lui importe guère, sinon il m'aurais fais justice !
ou alors il aurai manifesté son courroux si vous étiez un tant soit peu dans le vrai !
Nul roi, nul royaume, pour venir s'opposer à la colère de mon glaive à votre encontre !
Salman !!
M'insultez vous?, sous entendez vous que je suis un homme sanguinaire prêt à faire couler le sang pour mes intérêts une simple histoire de gâteaux? (*)
Oseriez vous dire à une famille, que le teint bleuté qu'ils ont pu observer sur le cadavre de leurs chers bien aimé, est lié à une cause naturelle et non pas un perfide assassinat de ce qu'il avais consommer juste avant de passer à trépas?
Ne devrais je pas m'outrager? quand je suis supposé être le destinataire de gâteaux ayant provoqué la mort d'un homme?
J'ignore si vous avez une quelconque relation avec le forban, qui se nomme Tallyran, mais je ferais la lumière sur cette affaire !
De ce que je sais pour sûr, c'est que votre vassal Gervais, m'a infiniment courroucé ! comment ose-t-il écrire à mon condottiere pour les affaires qui concerne ma maison?!
Quel insulte que d'être comparé à un laquais ! comme si je me permettais de m'adresser à vos serfs pour vous acheter votre blé !
Sachez que non content d'insulter ma souveraineté sur mes terres, ce dernier aurais émis le regret de ne pouvoir réduire en cendre la propriété de mon vassal en ses terres, bien que ce dernier soit né sur place !
Et bien que vous regrettiez tous les paroles de cet homme fol dont vous partagez la destinée !
Salman !!
Ne saviez vous pas qu'il échoie au suzerain d'assumer les responsabilités de ses vassaux?
Si votre cœur est droit et pur comme vous le prétendez, alors il ne vous reste qu'une seule solution, vous devez me rendre justice !
Je ne réclamerais guère l'amende dû à mon vassal, il se chargera lui même de cela, je réclame réparation pour nom !
Je veut 300 000 pièce d'or ! (1*)
Je suis prêt à vous en disputez les droits dans un rituel de votre choix devant les dieux (2*), si je perd le rituel, je renoncerais à mes revendications devant les dieux, mais si vous perdez vous devrez tenir les vôtres
Je suis prêt à discuter plus amplement des enjeux du rituel avec vous, vous avez deux lunes pour me faire savoir comment souhaitez vous résoudre cette affaire après quoi, nous chercherons justice là où nous pouvons ! (3*)
Cordialement
Guillaume d'Antipolis
/hrp: (*) c'est totalement le genre du personnage ^^, désolé le RP devais être poster hier soir mais j'ai eu une coupure internet mdr, je te remercie Salman d'avoir jouer le jeu (merci à toi tallyran aussi), ton personnage manie bien les mots, hélas il est tombé sur un affreux plus manipulateur que lui !, d'ailleurs, je profite de ta précision que ton message ne s'adresse qu'au miens, c'est une précision importante, car mon message initial, ne s'adresse aussi qu'au baswen et a la faction du temple, j'ai appris que certains vilains avaient quand même espionner...
rappeler vous que si un message ne vous est pas adresser vous pouvez pas savoir ce qu'il contient en RP, seulement en avoir de vague rumeurs
(1*) la rançon est basé sur tes revenus par fiefs, tu a largement les moyens
(2*) les okordiens sont civilisé, ils commandent les musiciens lorsqu'ils organise un bûché !!
plus sérieusement je trouve plus sympa que tu ai une chance de te sortir de cette affaire là sinon c'est pas drôle:
je te propose donc de prendre l'armée que tu peut/veut (sans ton seigneur) et de m'affronter contre mon armée qui sera a budget équivalent pour que ça reste jouable pour toi
on peut aussi jouer ça au dès ^^
pour le duel on peut ajouter et négocier des enjeux RP/GP, mais mes vassaux ont fais part de leurs volonté de taper, donc ça ne concernera que ton personnage et le mien
(3*) si tu triche/ne paie pas ta rançon, je brûlerais 3 fief (3 fois la rançon....), pour ma part je n'ai pas l'intention de tricher, même si c'est pas impossible en RP, mais pour le moment je n'ai pas prévu de filer de casus belli en or au royaume /
Dernière modification par GrandJarl (2019-02-27 10:11:45)
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-Maître, j'ai une fâcheuse nouvelle !
-Mes vassaux se sont rendu, je suis bien au courant, cela ne m'enlève pas mon droit d'aller réquisitionner une réparation sur les fiefs de Salman, lui qui a retarder encore et encore notre duel !
-c'est justement de ce propos, le sire Salman a payé la moitié du déménagement du sire Miquita et l'a autorisé à déménager en ses terres qui sont plus proche de la sphère d'influence de la compagnie du taureau.
-Et donc? qu'est ce qui nous interdis d'aller quand même piller ses terres?
le vieil homme soupira
-vous gens d'yggnir, vous ne comprenez rien à la stratégie, une guerre ne se gagne pas sur de simple bataille, l'habilité à fédérer des seigneurs autour d'une bannière est une compétence importante, si nous attaquons un homme qui nous fait preuve de générosité, qui est l'ignare qui récompense la générosité par des traits? ce simple fait pourrais soulever nombre de bannières à notre encontre.
-Donc? on est battu par une simple maison qui est dix fois plus petite que la notre?
dis le jeune homme avec un sourire moqueur
-parfois, il vaut mieux s'admettre vaincu devant l'habilité d'un homme à faire usage de diplomatie, pour une guerre d'une telle ampleur, il est préférable d'aller rançonner riche maison, les gains y seront plus important et nous avons bien plus de chances d'être ignoré.
-Du coup on fais quoi?
Cher Salman,
Votre compassion pour mon vassal, m'a profondément touché, devant tant de générosité, je ne puis vous tenir rigueur du grief qui m'oppose avec votre vassal.
Ainsi, moi, Guillaume d'Antipolis, renonce devant les dieux à revendiqué la justice envers l'offense faîte à mon nom.
Puisse votre maison puisse servir d'exemple a d'autre, et puissiez vous connaître plusieurs années de prospérité.
Cordialement
Guillaume d'Antipolis
*Missive envoyé le 11/03*
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Cher Salman,
Félicitation pour votre couronnement !
Pour sûr, vous êtes un roi plus digne que votre prédécesseur ! et j'espère que vous le démontrerais en me faisant justice dans mon affaire avec le forban de Tallyran !
j'ai cru comprendre que vous vous étiez pris d'amitié pour l'homme, je souhaiterais donc récupérer quelque reliques du temple de Daeth qui est en votre possession.
En échange de quoi, je renoncerais à toutes mes poursuites envers votre ami.
Cordialement
Guillaume d'Antipolis
/désolé pour le retard, je manquais de motivation pour écrire tout ça ^^"/
Dernière modification par GrandJarl (2019-03-17 18:04:52)
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Le Grand Jarl Actuel: https://www.okord.com/ranking.html?profile-21203
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-"alors? qu'elles sont les nouvelles?"
*le viel homme s'adressa à un jeune messager*
-"Le condottiere Andécout a tenté une percée il y a 6 jours, et s'est fait lamentablement capturé"
-"Ahahahaha quel abruti! il s'est comporté comme un chevalier en quête de mérite, qu'il paie sa rançon de sa poche si il ne gagne pas cette bataille !"
-"justement mon seigneur, sa percée a brisé les murs de la cité et les troupes ont pu s'y engouffrer et prendre la cité"
-"très bien, je vois que l'homme mérite son salaire, que l'on prépare les défenses contre le clan du hall !"
-"j'ai bien peur que ça soit inutile sire...."
-"quoi? quel clan ne défendrais pas ses terres?"
-"et bien cela n'est pas le problème..."
*dis le messager la voix chevrotante*
-"Quoi? Ils sont si nombreux que ça?"
-"Non c'est juste que...."
-"Je sais, l'empereur a envoyé son fidèle vassal Loric de la Nouë à mon encontre, qu'il vienne, je l'attend !, un de plus un de moins c'est pas comme si nous avions pas prévu de nous battre contre tout ceux qu'ils nous envoient, qu'ils tueraient quelqu'un de ces abrutis de jarls, que ça arrangerais bien mon affaire !"
-"c'est plus compliqué...."
*l'homme se mis à trembler de tout son corps, le sang du vieil homme ne fît qu'un tour*
-"Quoi?! Mog ruith a fait venir des olifants de sa région?!" *dis-il d'un air apeuré, qui ne tremblerais aps devant la colossale créature?* "il va me falloir du goudron, de l'huile et des cochons, beaucoup de cochons....... et vite !!"
-"non sire, c'est euuuuh...." *l'homme hésite*
-"il suffit, cesse d'user de ma patience !, parle où je vais te faire soumettre à la question !"
*l'homme se jette à genoux suppliant*
-"Pitié sire !, ne me faîte pas crucifié la province est devenu légitime suite à un échange de province entre l'empereur et Mayer"
-"quoi c'est tout?, tu m'a effrayer pour rien, est-tu totalement sûr de cette information?"
-"à moins que l'empereur possède des maçons pour construire en deux lunes des fortifications qui seraient normalement bâti en cinq lunes, je ne vois pas comment il aurais pu faire autrement....."
-"tu veut dire que deux abrutis ne comprenant rien à la politique ont préféré utilisé un vide juridique plutôt que m'envoyer leurs alliés?"
-"oui sire...."
-"mais c'est excellent !, les voilà qu'ils s'isolent !, les dieux n'aurais pas pu mieux faire, connais tu sur terre un meilleur moyen de piller l'intégralité de la fortune de ton voisin? je n'en connais aucun autre ! vite, fais mander mon scribe, que la noblesse en connaisse l'affaire"
*le vieil homme se tourna vers l'horizon, bientôt l'or coulerais à flots, le sang n'en serais pas en reste, le bien ayant le plus de valeur au yeux des hommes se mélangera au seul bien le plus précieux que l'humanité ne cessera jamais de posséder
tel cet horizon couchant, annonçant le déluge..... de feu et d'acier....*
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