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Elle venait de prendre le pouvoir, renversant la femme qui la précédait à grand coup de lance par les soldats rallier à sa cause sur ordre de leur général.
Le moulin était donc pris, départ du centre névralgique de la révolte et principal point de ravitaillement pour les armées.
Mais, plus important, tous les généraux étaient présent à ce moment là ce qui laissait les autres fiefs sans réelle défense car une telle prise de pouvoir allait faire des remous…
Beaucoup de remous.
Prendre la forteresse la journée suivante fut compliqué en effet. Les défenseur, toujours fidèle à la détrônée Sasi'yek, avaient organisé des défenses sommaires.
Un camp fut donc monté et on commença un siège rapide de la place forte, abondante en richesse des différentes taxes.
Dans sa tente, l'autoproclamée vicomtesse Elise Lune de Sang tenait une réunion avec les différents généraux qu'elle peinait à convaincre sur les moyens a utiliser…
Il faut que les armes de sièges pilonnent la forteresse toute la journée. Les troupes donneront l'assaut le lendemain sur les défenseurs endormi.
Vous n'y pensez pas! Arald a déclaré la guerre au cygne d'azur. Nous perdrions inutilement des hommes et du matériel qui nous sont précieux.
Gandir a raison dame. Affamons la population qui n'es pas mise au courant de la situation. Ils se rendront vite si ils n'ont aucunes raison de se battre. Si le siège dur trop longtemps, nous utiliserons les nouvelles méthode et…
Et récupérer une population malade? ou affamée? Croyez moi, il nous en faudra de la populace pour mes projets futur…
Ainsi dura une longue partie de la nuit le conflit avec les différents généraux.
Il se fait tard...Nous n'arriverons pas à une solution ce soir. Allons nous coucher pour le bien de tous… Nous aviserons demain à l'aube.
Cette solution fut acceptée et les 12 généraux quittèrent la tente. Enfin pas tous… Gandir avait feint de partir et était de retour dans la tente de la nouvelle dame.
J'aurais cru que tu me soutiendrais…
Elle avait déjà quitter ses habits de guerre, dévoilant enfin au regard de Gandir les généreuses forme de sa délicieuse nouvelle dirigeante.
Il faut me comprendre, j'essay d'épargner la vie de mes hommes aussi dame. Ne pouvez vous pas attendre un peu plus longtemps?
Attendre, toujours ATTENDRE avec vous. Nous contrôlons seulement une place forte… Il nous les faut toute! et comme vous l'avez dit. Nous sommes en guerre alors, plus vite nous règlerons nos histoire, plus vite nos ennemis ne pourrons pas saisir cette chance.
elle coiffait minutieusement sa longue chevelure, la rendant presque hypnotique avec son regard vert perçant que même ses cheveux n'arrivait pas à cacher au travers.
Bien, je vois que vous resterez campée sur vos positions… Mais je vous rappel que c'est grâce à mes efforts si vous en êtes arrivé ici alors… je vous demanderai de quand même prendre en compte mes propositions avant de les jetée directement à l'oubliette…
D'un geste de la main, elle le congédia. il se courba et parti ce demandant ce que la nouvelle dirigeante pouvait bien faire de son c... des idées qui lui passait dans la tête. Il frotta sa barbe et rejoignit sa tente pour une bonne nuit de sommeil.
Au lendemain, la ville était prise, sans combat, sans effusion de sang.
Vous l'avez certainement compris, j'écris la prise de pouvoirs de mon perso. Si certains veulent participer,
ils peuvent me contacter et me dire ce qu'il compte faire pour que cela corresponde avec la suite de ce que j'ai pensé. je ne
suis pas fermer a toute intervention extérieure.
Si certains veulent soutenir les rebelles, ils peuvent ou, si ils veulent soutenir élise, ils peuvent aussi. Merci de votre lecture.
Ils venaient de prendre la province. Mais l'armée n'avait pas le temps de fêter sa victoire.
Ils partirent faire le siège du fief au pied du mur mais, une garnison d'huskarl était présente et leur interdisait l'accès.
Un conseil de guerre fut tenu, toute la journée et une bonne partie de la nuit.
Il fut aussi stérile que celui du jour avant et les généraux repartirent dans leur tente respective.
Gandir avait cette fois décidé d'appuyer sa nouvelle dirigeante.
Bien, je crois que nous devons donner l'assaut, comme le disais la vicomtesse.
J'appuie la proposition. C'est le moyen le plus rapide pour nous oui.
Gandir fut surpris du changement subit de l'autre général. Mais le fait d'être à trois voies pour ce plan fit que l'on l'adopta.
Bien, faites avancer les béliers. Suivis de près par les lanciers. Les archers nous serons inutile pour le moment.
Le plan fut mis en place et lentement, les béliers avancèrent mais, arrivé à mi-parcours, les huskarls sortirent, beuglant comme des possédés.
Les béliers furent vite abandonné et les lanciers formèrent un mur de bouclier d'où les lances émergeaient.
Nombreux furent ceux qui désorganisèrent les premiers rang, donnant des coups de haches sur les boucliers alors qu'ils étaient empalé sur les pics. Les lignes arrières ne fournissaient pas assez vite les hommes pour comblé les trous et évacuer blessé et mort. Les mêlées s'engagèrent, furieuses mais brèves. La cavalerie fut donnée. Elle parti des portes de la cité et fauchèrent les huskarls, peu habitué à se battre face a des chevaux.
La plaine se gorgea du sang des morts.
Triomphante, la dame entra dans la ville et fut rassemblé la population, toute la population, du plus vieux au plus jeune.
Cher habitants, merci de vous rendre sans plus d'effusion de sang. Soyer fier, aujourd'hui est un grand jour et vous faites partie de ce grand jour!
Au mur, pendait déjà les huskarls capturés. Ouvert au niveau du ventre et tout en poussant des hurlements plaintifs, se vidaient de leurs viscères. Sans que la population de le remarque, les soldats s'étaient massés tout autour.
SOLDATS!Massacrez les! Ne gardez en vie que les jeunes femmes et les adolescentes! Le reste, je ne veux plus les voir respirer!
Mais dame! vous n'y...pensez...pas?
Gandir regarda les soldats, ses soldats pour la plus part, exécuter cet ordre fou. Les femmes jolies et jeunes étaient mises à l'écart alors que le reste était saigné sans pitié.
Dans la nuit, les cris des rares survivants qui n'étaient pas tué sur le coup, mais mortellement blessé agonisaient. Dans toute la ville, les femmes qui avaient survécu étaient violée par la plus part des soldats, parfois, se la partageant.
Gandir alla dans la chambre de la vicomtesse, pour qu'elle s'explique sur ce massacre inutile.
Le spectacle quand il entra lui fut très agréable. En effet, la dame s'apprêtait a aller dormir et ne portait que des habits legers. Il s'approcha, furieux.
Pourquoi avez vous fait ça? C'était inutile! N'oubliez pas comment vous...en...êtes...arrivé...là…
Elle s'étaient rapprochée, se collant à lui.
Il le fallait. ils doivent servir d'exemple pour les autres fiefs.
Elle l'embrassa et il oublia. Il oublia ce qu'il faisait là, il ignorait pourquoi la chambre empestait le sang. Il ne pensait plus qu'à une chose, comme à chaque fois qu'il était près d'elle, qu'elle le touchait, le caressait.
Il se laissa emporter par cette vague qui se rependait en lui et il se livra à une joute des plus folles, éreintante, fatigante.
Dernière modification par Harley Queen (2018-11-15 12:11:34)
Elle passa une magnifique nuit. Mais elle ne dormit pas lorsque son amant eut fini et qu'il s'écroula d'épuisement. Elle regardait depuis le balcon, nue, vers le sud. Là-bas, à quelques lieues, l'attendais une autre conquête, Bourg fortifé.
Elle ne pouvait planifier son attaque car les plan de la forteresse était bien caché en celle-ci et aucun des espions n'étaient revenu. Les habitants risqueraient bien pire si ils ne se rendaient pas directement. Cela, elle se le jura.
Le lendemain, tu fut mis en branle, une petite garnison resta avec des femmes destinées a repeupler ce fief pendant que d'autres étaient prisent avec l'armée.
Alors qu'ils marchaient, l'armée fut prises dans une embuscade.
Alors qu'ils traversaient un goulet d'étranglement, la colonne fut stoppée.
Pourquoi n'avançons nous plus?
La colère de la nouvelle vicomtesse était palpable. Une estafette arriva, blessée par une flèche
Une...une embuscade madame… Les lanciers de la première compagnie sont entrain de se battre. Il y a des archers sur les flans et des lanciers qui avancent en formation vers nous…
Je vois! Amenez la première compagnie d'huskarl, ils attiront les tirs pendant que trois compagnies d'archer se mettent en place. Dites à nos fantassins de monter les flans et de me régler ce problème d'archer. Comme d'habitude, pour les archers ennemis, essayez de capturer vivante les femmes. EXECUTION!
Tous se mirent en branle, les ordres fusèrent, les lanciers furent remplacé par les huskarls qui sans ménagement, piétinaient morts et blessés.
Les archers, une fois en place, firent pleuvoir un feu d'enfer sur les lanciers ennemis qui furent rapidement privé de leur soutien.
Esseulé, essuyant de lourde perte, ils se rendirent. Les femmes furent misent à nues et on leur passa les fers quand aux hommes, soit ils se joignaient à l'armée, soit ils étaient égorgé comme des cochons. Peu choisirent la seconde option.
Elise appris ainsi différentes défense de la ville en torturant quelques blessés.
Réunion du conseil!
Le conseil se réunit. La passe était gardée par les gardes. Les dix généraux étaient rassemblés dans la tente de la vicomtesse qui, en un temps record, avec construit une maquette miniature de bourg fortifié. Elle y avait mis tout les renseignements de tout les pièges et autres, qu'elle avait pu regrouper.
Une chose était certaine, prendre la ville n'allait pas être aisé et il fallait se décider vite puisque la position était inconfortable.
Les plans fusèrent mais personne n'arrivait à se mettre d'accord.
Peu a peu, la vicomtesse étaya un plan. Mais ils paru tellement ridicules aux généraux, qu'ils rigolèrent tout leur saoul.
Les gardes des généraux sentirent alors le changement d'ambiance. Ils ne réagirent pas tout de suite alors que la vicomtesse se dirigeait vers son râtelier d'arme. Lorsqu'ils virent cela, ils se placèrent entre leur généraux et la vicomtesse. Ce mouvement rapide et organisé firent comprendre aux généraux qu'ils avaient commis une erreur.
La vicomtesse pris son arme préférée, une épée fine et maniable appelée katana par sa mère.
Les premiers gardes dégainèrent leurs armes mais trop tard. Trois des quinze tombèrent, leurs lame a moitié sortie de leur fourreau, mains sur la gorge pour essayer de contenir la fatale hémorragie. Elle parât deux attaques simultanée avec le dos de sa lame pour ne pas émoussé le fin tranchant. C'était une technique dure à contrôlée que de retourner le manche de sa lame en une fraction de seconde. Les deux gardes ne purent pas préparer de seconde attaque ni parer celle qui dans un mouvement habile, leur trancha la gorge.
Elle fit un pas sur le coté pour éviter une autre attaque. Elle abaissa son épée qui trancha d'un mouvement précis l'articulation du coude de son adversaire ce qui lui trancha net le bras.
Elle continua parade et esquive tout en attaquant. Bien que garde d'élite, aucun ne résista à sa lame plus d'une fois. Une fois tout les gardes éliminé, elle passa aux généraux qui n'étaient clairement pas de la trempe de leurs gardes. Ils succombèrent vite. Elise essuya sa lame et prit sa hache. Dans la tente transformée en champs de massacre, elle décapita chaque être qui s'y trouvait et se mit à les planter sur des lances.
Le lendemain matin, douze nouveaux généraux étaient nommé et l'armée parti en direction de bourg fortifié.
La ville se dressait devant eux.
De main de maître, l'armée fut dirigée et aucun homme ne tomba dans les différents pièges. Le seul moyen d'accéder à la forteresse est d'utiliser les échelles. Cette étapes fut plus couteuse en vie humaine mais les grimpeurs avec haches permirent l'installation de tête de ponts sur les remparts ce qui permis d'élargir de plus en plus la zone contrôlée sur ceux-ci. Sur les remparts, les défenseurs étaient cernés et se rendaient de plus en plus.
Mais en bas, les cavaliers chargeaient à moindre frais les premiers qui descendais des remparts. Les archers montèrent une fois la zone sure. Ils commencèrent méthodiquement a massacrer les cavaliers qui durent partir et se regrouper dans la forteresse.
Le massacre de la population commençait déjà dans les parties basses de la ville.
Les défenseurs retranchés, croyant pouvoir épargner la population, se rendirent mais cela ne fit qu'accélérer ce dernier car tout les effectifs étaient maintenant affecté à cette tâche.
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