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Hier elle n'était rien, et voilà qu'aujourd'hui
Elle était la Dame d'une domaine décati
En train de mourir
Elle n'avait aucune compétence pour ça
Mais elle allait devoir user de toute sa foi
Pour tout reconstruire...
Et ne pas mourir.
La belle porte en bois sculpté, polie par le temps, s'ouvrit sur la silhouette alourdie d'une femme qui avait depuis longtemps passé la fleur de l'âge. Elle portait avec prudence un plateau de victuailles qui, à défaut de paraître riches, semblaient à tout le moins roboratives.
"Ma Dame, vous devriez manger quelque chose, vous allez avoir la peau sur les os ! Voulez-vous vous faire manger toute crue dès lors que vous mettrez le pied hors de ces murs ?"
Dans l'ombre de l'énorme fenêtre assombrie par la nuit sans lune, éclairée par les flammes vascillantes de deux belles bougies, une jeune femme leva ses yeux clairs et cernés sur l'arrivante, sans même lacher le parchemin qu'elle examinait jusqu'ici avec attention. Un sourire affectueux détendit ses traits tirés de fatigue.
"Pose ça là, Magdalène, je le mangerai plus tard.
- Vous avez déjà dit ça hier, et le pain est reparti tout rassis. Pensez-vous donc que nous avons les moyens d'un tel gaspillage ?"
La jeune fille laissa échapper un petit rire amusé.
"Comme si tu ne m'avais pas servi ce pain rassi dans la soupe de ce midi. Allons, ne t'agace pas ainsi, je mangerai, je t'ai dit. Pose et va, j'ai encore à faire."
Elle baissa ses yeux secs de fatigue sur le parchemin qui accaparait à nouveau son attention sans partage : la discussion était close.
Sous ses yeux, les chiffres angoissants des stocks de nourriture et des ressources de son petit domaine défilaient sans pitié. Elle n'entendit pas la porte se refermer sur la domestique grognon.
Elle reposa le rapport et se pencha sur un autre parchemin, qu'elle manipula avec une douceur et un respect manifeste.
Rien ne l'avait préparée à cela.
Ses joues pâles se colorèrent d'un joli rose soutenu, tandis qu'elle parcourait à nouveau les lignes d'une missive envoyée par un puissant Seigneur. Si elle n'avait su qu'il s'agissait d'une demande pour la prendre en Vassale, elle aurait pu croire à une demande d'épousailles. Un sourire mutin détendit à nouveau son visage, avant de disparaître dans le sérieux de ses ruminations.
Plaisante ou pas, ce n'était pas sur la foi d'une seule missive qu'elle choisirait à qui elle allait lier son destin. Le sien, et celui de tout ceux qui avaient mis en elle leurs derniers espoirs. Elle n'était pas de ceux qui donnent leur loyauté à la légère et la reprenne au premier coup dur.
Elle prit donc la plume pour rédiger une réponse respectueuse et reconnaissante à l'envoyeur, non sans préciser que son choix ne se ferait pas sans s'être d'abord renseignée sur toutes ses options, et sur les forces en présence.
Mais la question demeurait : comment faire pour entrer en contact avec les Seigneurs qui pourraient être ses Suzerains potentiels ? N'était-elle pas trop difficile ?
Elle chassa cette dernière question d'un geste de la main : elle ne le serait jamais assez difficile si elle voulait être à la hauteur des ambitions qu'elle avait pour ses gens. Elle n'était qu'une femme sans éducation militaire, qui avait tout à apprendre du monde de la politique et de la gouvernance : il était hors de question de s'en remettre à un Suzerain qui ne pourrait pas lui offrir l'avenir qu'elle s'était choisi.
Un avenir de grandeur, de paix, mais surtout de prospérité.
Son regard s'assombrit dans une détermination farouche : non, plus jamais ni elle ni les siens ne manqueraient de quoique ce soit, quel qu'en fut le prix. Et si elle en avait le pouvoir, elle espérait bien faire en sorte de grimper assez haut sur l'échelle sociale pour n'en point choir au premier coup de vent.
Elle reposa la plume, cacheta le parchemin et entama son plateau repas avec un appétit retrouvé.
Quelques instants plus tard, elle rédigeait un gros tas de missives à l'adresse de moultes Seigneurs, dans l'espoir de recevoir peut-être une réponse.
"Mon Seigneur / Ma Dame / Votre Grandeur / ...
Je me nomme Sorianne, de la famille Du Alar. Je suis une modeste Dame en charge de la survie de ses gens, et à la recherche de la protection d'un Suzerain en lequel je placerai ma foi et ma loyauté.
Je vous prie de pardonner mon audace, si je vous écris ainsi. Il est de mon devoir de trouver, pour mes gens et pour moi-même, le Seigneur le plus à même de nous aider à prospérer et à croître, car tel est notre souhait.
S'il s'avère que nos projet et nos valeurs coïncident, vous trouverez en moi une alliée loyale et une amie sincère.J'ai beaucoup à apprendre, je ne vous le cache pas, mais l'effort ne m'effraie pas, et ce n'est pas l'ardeur qui me manque.
Recevez je vous prie mes humbles et respectueux hommages.
Dame Sorianne
[HRP :
Ne sachant pas trop comment ma modeste Sorianne pouvait intéragir avec les Seigneurs d'un peu partout, je propose ce RP ouvert, dans lequel les éventuels volontaires peuvent répondre par "missive".
Les messages privés / pigeons sont également les bienvenus évidemment !
Au plaisir de jouer avec vous !
La joueuse de Sorianne.]
Dernière modification par Sorianne (2017-08-03 09:31:01)
Eugénie s'occupait de Maël qui approchait maintenant de son premier anniversaire. Le bambin gambadait à quatre pattes, poursuivi par sa maman qui trouvait en son fils un bon moyen d'oublier un peu les intrigues politiques et de supporter la pression de sa charge. Elle leva les yeux vers l'intendant qui venait interrompre ses jeux :
" Sorianne vous dites ? De la maison Du Alar ?
- Oui, Madame, elle dispose actuellement de deux fiefs, installés dans le Comté de Ligère du Comte Abzalon, chez les Loups. Leur blason, un Cygne sable sur fond Azur.
- J'aimerais la rencontrer...,reprit Eugénie, pensive.
- Mais, Majesté, il s'agit juste d'une Dame nouvellement arrivée, qui n'entend certainement rien encore à la politique d'Okord, n'avez-vous donc pas des affaires à régler autrement plus importantes ?"
Eugénie tourna son regard vers Maël qui fixait sa Maman, un grand sourire aux lèvres. En croisant les yeux de la Reine, il balbutia un petit "Maman". Elle lui sourit tout en adressant sa réponse à l'intendant :
" Qu'y a-t-il de plus important que les nouvelles vies et la jeunesse ? Je ne peux pas accueillir moi-même chaque nouveau Seigneur arrivé en Okord mais celà fait trop longtemps que je n'en n'ai point rencontré. D'après ce que vous me dites elle est toute jeune, fraichement adoubée et prend à coeur la survie de son domaine et de ses gens. Celà me suffit amplement, je veux la recontrer. Faites-lui envoyer quelques présents de ma part et faites-lui savoir que la Reine souhaite venir à sa recontre et visiter ses terres."
Dernière modification par Eugenie Morgan (2017-08-03 10:15:15)
Au conseil d'amara, les seigneurs des différents fiefs débattais de la missive fraîchement reçue.
"mais quel toupet!!!, depuis quand les jeunes dames et chevaliers de ce royaume se vendent-ils ainsi au plus offrant?!"
"mais, n'est ce pas qu'on fais à longueur de temps?"
"oui.. euuuh, mais il y a des manières de procéder tout de même!! dans un donjon à l'abri des regards indiscrets et des oreilles surtout !!"
"bon, alors cette dame a le profil, que demande t-elle?"
"Rien que ne nous puissions lui offrir grâce à l'aide du pays de karan, éducation militaire, politique, prospérité... en revanche pour ce qui est d'avoir le profil, j'en doute, elle m'a l'air d'une toute jeune femme bien trop gentille, le pays a ses moeurs... de plus, certains informateurs disent qu'elle cherche la paix...."
"la paix?!! ici en okord?!"
"euuurk paix!! quel mot ignoble!!, ne sait-elle donc pas que les okordiens répugne la paix?, peut être devrions nous faire une bonne action pour une fois et lui offrir un voyage vers valèsianne, là bas elle trouvera la paix !!"
"allons allons, un voyage gratuit en valèsianne, n'avons nous pas une réputation d'avare à tenir? bon, il est vrai que sa conception de paix est quelque peu problématique... mais je suis sûre qu'une discussion entre jeune femme l'aidera à mieux comprendre notre royaume."
"c'est décider, moi Undyne de Poissonville vais prendre cette dame sous mon aile, voilà qui me rappelle bien des souvenirs !!"
"mais Grand Jarl!! elle n'a pas le profil..."
"il lui appartiendra d'en décidée, qu'on fasse venir le scribe !!"
Chère Dame Sorianne Du Alar, nous possédons bien des terres à vous proposez, est-il envisageable que vous visitiez notre pays?
oui, un pays dans un royaume, cela vous intriguera sûrement, mais nous ne somme pas les seuls, il est évident que vous avez beaucoup à apprendre sur notre royaume.
Je me chargerais personnellement des frais de voyages si vous choisissez cette voie et j'offrirais une prime afin d’alléger un peu le malheur de votre domaine.
ensuite pardonnez moi l'expression, mais vous allez voir du pays !!, il faut bien que vous compreniez qu'est ce qu'être un karanien en plus d'être okordien.
quant à l'éducation militaire, je peut m'en chargée personnellement, il est vrai que j'ai de nombreuses lacunes dans les autres domaines, mais le palais de nefret est connu pour posséder les plus anciennes connaissances du royaume, sans point doutée, je suis certaine que vous y trouverez ce que vous cherchez.
J'espère pouvoir vous rencontrez bientôt, jeune dame.
Cordialement
Le Grand Jarl d'amara
Marquise Undyne de Poissonville
vous trouverez ici une rapide explication et un historique de la maison: https://www.okord.com/ranking.html?profile-3451
Le Grand Jarl Actuel: https://www.okord.com/ranking.html?profile-21203
Hors ligne
Aedeline rentra dans la grande salle, dégoulinante de sueur, sa chevelure rousse défaite après l'entrainement. Elle jeta un coup d'oeil approbateur vers Sharra qui se battait avec le fils du cuisinier, au moins elle avait le dessus, puis se retira dans son étude. Elle parcourut les rapports quotidien, de nouveau seigneurs en okord, combien tiendraient plus d'un an? Les mouvements de troupes quotidien qu'elle survola sans le moindre intérêt et les rapports sur les rentrées de nourriture et d'or toujours croissants.
Elle se dirigea vers le feu, son vieux compagnon a poil roux avait bien triste mine, rabougris et grisonnant, elle s'assit sur un tabouret et le caressa ... Le renard était froid. Elle réalisa alors que malgré sa discipline elle était devenue molle, trop de pertes, de départ, trop d'abondance, ses sens s'était émoussés, il fallait reprendre ses plans, voilà trop longtemps qu'elle avait perdu ses crocs.
Elle reprit les rapports sur les nouveaux seigneurs, l'une d'entre eux sortait du lot, bien qu'elle détestait cela elle allait faire comme tous les autres seigneurs, elle allait ramper, au moins celle là semblait montrer la compétence qu'elle attendait.
Dame Sorianne
Je réponds à votre missive qui n'a rien de déplacé, comme bon nombre de seigneurs vont le faire, je vais vous présenter ma chaine vassalique et nos valeurs.
Je suis l'ambassadrice de l'ordre de la croix d'azur, nous sommes un groupe ou chaque seigneur jouit d'une grande indépendance mais également d'un support de tous les membres. Notre crédo est de pourvoir aux besoins et d'assurer la prospérité de tous nos membres. Nous reconnaissons la brutalité de notre époque et ne croyons pas à la paix et à la concorde, aussi nous agissons avec audace pour enrichir notre communauté parfois au détriment de nos voisins (n'y voyez absolument pas une menace, mais plutôt une invitation à ce que nous vous apprenions les arts de la guerre). Notre seule limite est notre parole, nous ne ferons rien de contraire à nos engagements.
Parmi nos membres prestigieux qui pourront vous apprendre ce qu'il faut pour gerer vos domaines nous avons le Prince Galactic, qui a notamment fournit les 250 000 fantassins lors de la bataille la plus imposante de notre royaume opposant l'ost des loups à celui des léopards, il détient également des records de longévité et de pugnacité seul, et est sans aucun doute un des plus grand stratège du royaume. Nous avons en nos rangs le Vicomte Phenyr, héritier du Roi Zéphyx, qui avait mené la plus glorieuse défense de notre royaume, et dont on dit que la fortune est la plus grande en okord. Et nous avons tout un groupe de jeunes seigneurs ambitieux et belliqueux.
Je suis moi même de ces jeunes ambitieux, j'ai été adoubée il y a 8 ans et ait intégré le cercle des Forts d'Yggnir lors de ma première année. Mes domaines produisent aujourd'hui une grande quantité de fourrures de qualité ainsi que quelques alcools de pomme.
Voici pour ma présentation, ainsi que celle de mon ordre, si vous prenez le temps de me répondre, vu le nombre de missive que vous allez sans aucun doute recevoir, je serais curieuse de découvrir vos attentes et l'origine de la famille Du Alar.Cordialement,
Comtesse Aedeline,
Ambassadrice de l'Ordre de la croix d'azur
Dame de Nordmandie, Forte d'YggnirPS : J'ai remarqué que vos couleurs sont d'Azur au Cygne de sable, je vous encourage à faire attention à ce que ce ne soit pas mal interprêté, ce meuble est en général associé aux membres de la faction du cygne menés par la Duchesse Carmen (ou en son absence le Duc Zyakan), la Duchesse Elverid et la maison Hallgeir.
Satisfaite elle cacheta le rouleau et appliqua son sceau un renard et la croix ancrée.
Puis elle écrivit une seconde lettre :
Vicomte Gazthon,
Ne vous préoccupez pas de Dame Sorianne, je prends en charge son contact, vous avez des affaires plus importantes à traiter avec l'emissaire commercial.
Cordialement,
Aedeline
Elverid se trouvait dans sa salle d'étude depuis l'aube et s'occupait des affaires courantes du clan. Une activité bien plus fastidieuse que les travaux en laboratoire, mais nécessaire...
Une missive l'intrigua : elle portait un sceau très similaire à celui de la confrérie du Cygne, mais provenait d'une maison qui n'en faisait pas partie. La matriarche décacheta le parchemin et le lut rapidement.
La lettre provenait d'une jeune dame noble qui venait d'installer son domaine sur les rives du grand canal, à peu de distance de Port-aux-Chouettes. Dame Sorianne -c'était son nom- semblait très soucieuse d'assurer aux siens les meilleures conditions de vie possible. Cela rappela à Elverid l'époque où le Clan du Hibou venait de s'établir en Okord après la grande migration. Le fait d'avoir été précédé par le peuple d'Andior et de ne pas avoir eu à chercher un suzerain inconnu avait grandement facilité les choses...
Il lui sembla qu'aider Dame Sorianne était un devoir élémentaire. Elle prit sa plume et rédigea une missive à son intention.
Dame Sorianne,
Tout d'abord, permettez-moi de vous souhaiter la bienvenue en Okord. Je sais à quel point il est difficile à un jeune seigneur sans expérience du commandement de s'imposer parmi la noblesse de ce royaume et de faire prospérer seul ses domaines, aussi veuillez accepter de ma part un modeste présent. Le convoi en route pour vos terres contient des victuailles dont vous semblez manquer, et est accompagné de laboureurs et d'artisans de mon clan qui seront heureux de mettre leur savoir-faire au service de votre maison.
Je suis Elverid, matriarche du Clan du Hibou et membre de la Confrérie du Cygne, dont le blason ressemble beaucoup à vos armoiries. Mon peuple et moi nous sommes établis en Okord il y a une génération, et nous avons su nous adapter aux coutumes locales tout en conservant les nôtres. Je vous souhaite d'avoir le même succès, et je serai toute disposée à vous y aider, si besoin.
Le premier contact avec les clans okordiens pourra vous sembler déroutant : certains d'entre eux sont belliqueux, d'autres... un peu moins. Mais l'art de la guerre fait partie des coutumes de ce royaume, et je dois vous avertir que vous ne pourrez vous imposer parmi les grands seigneurs que les armes à la main. Cependant, il ne vous sera pas difficile de trouver des alliés : de nombreuses maisons et confréries, parmi lesquelles le Cygne et le Léopard, lèvent volontiers leur épée pour porter assistance à un jeune seigneur attaqué par plus puissant que lui.Sachez également que mon clan est un peuple d'érudits qui partage volontiers son savoir. Quel que soit votre choix, les portes de nos bibliothèques et de nos universités vous seront toujours grandes ouvertes.
Amicalement,
Elverid
Dernière modification par Elverid (2017-08-03 18:31:53)
Les quelques jours avaient défilé sans qu'elles ne voit le temps passer, trop occupée à ses tâches urgentes pour pallier à la famine toujours rampante, et à la construction d'abris, d'abord de fortune, puis un peu plus solides, pour son peuple bien démuni.
Sellis, sa première place "forte" - le mot la faisait encore rire jaune - prenait forme, peu à peu, et son coeur se gonflait de satisfaction lorsqu'elle croisait les sourires enthousiastes des artisans, et les jeux des enfants dans les ruelles de boues.
Le temps, donc, avait coulé sans crier gare, et c'est avec une intense surprise qu'elle vit arriver les premiers messagers. Jamais elle n'avait espéré avoir de réponses, et encore moins autant de réponses prestigieuses ! La bouche bée, sa mâchoire tombait un peu plus à chaque lecture, et ce fut le pompon ultime lorsqu'elle compris que Sa Majesté la Polémarque allait venir lui rendre visite. Panique à bord !
"Magdalène ! Magda, dépèche toi ! Sa Majesté s'en vient à Sellis d'ici quelques jours ! Il faut absolument que nous soyons prêts !
Prépare les dernières réserves de vin, qu'on engraisse un mouton, qu'on rassemble nos plus belles draperies. Vite, vite !"
La vieille domestique se mit à s'agiter avec la même effervescence que sa maîtresse, l'énergie de la panique lui donnant une vivacité insoupçonnée.
Tandis que Magdalène parait au plus urgent, Sorianne entreprit de répondre aux diverses missives qu'elle avait reçues. Certaines, évidemment, avaient déjà piqué sa curiosité plus que d'autres. Elle avait ses petites préférences, que certains discours parfois faisaient vasciller, alors qu'elle mesurait l'étendue de son ignorance...
Elle se devait de répondre avec habileté si elle ne voulait pas s'attirer d'inimitiés, mais son choix se dessinait déjà un peu. Cependant, nul doute que la visite de la Polémarque serait déterminante. Par les cieux, la Polémarque !
Elle secoua la tête pour reprendre ses esprits et se mit à écrire de sa plus belle écriture.
Quelques jours plus tard, la maison en effervescence recevait Sa Majesté Eugenie Morgan, en une réception qui allait marqué les mémoires et l'histoire de ce modeste domaine nouveau-né.
(HRP : M-E-R-C-I ! Les RP furent absolument délectables et le choix totalement cornelien J'espère avoir la joie de poursuivre mes aventures rolistiques à vos côtés, en tout cas l'entrée en matière donne carrément envie de s'incruster pour longtemps parmi vous
Chacun des participants a reçu une réponse en message privé, à vous de voir si vous voulez réagir ici ou pas, le sujet reste totalement ouvert !)
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