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#1 2017-01-12 09:04:30

Quandtucomprendratutenvou

rp libre

j'écrirai ici des histoires qui me passent par la tête sans prise de tête. 

Fille de fermiers, cinquième enfants, nourrie avec presque rien, ne sachant même pas lever une fourche du haut de ses seize ans tellement elle était mince et avait la peau sur les os, Wiglie n’avait pas grand-chose pour elle. Pourtant, elle aimait se promener dans les champs de son père, plumer les poulets avec sa mère et cuisiner avec elle. Elle avait donc quatre frères, tous plus grand qu’elle qui aidaient leur père aux champs. Deux était déjà marié et avait rapporté un gros pactole à leur père grâce à la dote. Mais tous ces beaux souvenirs allaient bientôt s’effacer à jamais.
Wiglie courait, dans la forêt, la nuit, dans sa tenue trop large pour elle. Elle entendait les halètements des loups derrières elle mais les torches qu’elle voyait au loin se rapprochaient mais si lentement.
Elle avait aidé sa belle-sœur à accoucher d’un magnifique bébé, Frogron, un petit garçon. C’était il y a un an, pendant l’été. Son frère était anxieux et père le rassurait comme il pouvait. Il fondit en larme quand elle lui apporta le petit. Sa belle-sœur était tombée encore une fois enceinte cette année et pendant l’hiver, elle accoucha d’un autre petit garçon mais pendant l’accouchement, elle avait failli mourir.
Les torches n’était plus si loin et le jour non plus mais Wiglie sentait sa respiration devenir plus courte et ses force l’abandonnaient. Elle entendait maintenant le bruit des pas de loup derrière.
La catastrophe était arrivée pendant le printemps. Des pluies, à n’en plus finir ce qui ravagea les cultures et plongea la famille dans la disette et la dette. Le père, désespéré, chercha un moyen de sauver sa famille mais sa femme n’y survit pas. Plein de désespoir, il alla trouver des sorcières qui réclamèrent un prix. Le sang d’un de ses enfants. Ce soir-là, il rentra l’air grave et la mine sombre. Il envoya les femmes et les enfants se coucher gardant seulement ses fils autour de lui.
Elle était tombée, la tête la première en s’empêtrant dans son habit trop large. Elle avait senti des crocs la saisir aux bras gauche. Avec le droit elle lança son poing. La prise se relâcha, elle se releva et se remit à courir, du sang lui tombant sur l’œil droit gênant sa vue.
Wiglie n’était pas montée à l’étage, elle était dans l’escalier et elle écoutait les hommes discuter d’une sorte de sacrifice. Les ainés s’étaient avancés mais le père avait repoussé leur offre car ils avaient maintenant une famille. Il s’était alors tourné vers les cadets qui d’une seule voix avait prononcé Wiglie. Le père avait alors écarquillé les yeux quand à l’ingéniosité de cette proposition. Il ne devrait pas la mariée et économiserait ainsi la dote. Il fut décidé ainsi.
Le jour pointait mais la traque continuait. Wiglie se sentait faiblir et elle sentait ses jambes la portées avec peine. Elle sentait aussi les loups derrière lui lécher les jambes.
Wiglie était vite remontée comme son père se dirigeait vers l’escalier. Elle fit donc semblant de dormir et sentit son père prendre ses mains, les mettre dans son dos et les attacher soigneusement. Il la réveilla ensuite comme il le faisait quand elle était petite. Elle avait alors répondu oui et il l’avait amenée dehors en chemise de nuit puis, pied nu pour elle, il l’avait conduite sur une montagne.
Il entra dans une grotte avec elle et elle se retrouva devant quatre autres femmes. « Voilà le prix que vous m’avez demandé. Maintenant, respectez votre parole. » « Nous la respecterons. »
Il laissa alors Wiglie là et retourna chez lui sans même la regarder. Les femmes tournèrent autour d’elle et conversait :
« Elle n’est pas bien grosse. Nous ne pourrons rien en faire.
-Il suffira de la saigner petit à petit.
D’abord il faut la marquée comme à nous. Les fermiers font cela avec leurs bêtes.
-Oui, mais dans le dos, pour que tout le monde le voit et profondément pour qu’elle le soit à jamais. »
Elles acquiescèrent en même temps, contentes de leur grandiose idée.
Qu’avez-vous promis à mon père ?
« TSSSSS, tais-toi ! Si tu rouvre la bouche, je te coupe la langue. Nous avons promis à ton père de régler ses problèmes.
-Ohohohoho oui, on va les régler. Il passera un bonjour aux dieux de notre part. Lui et tout le reste de ta famille avec quelques autres villageois. Nous allons faire pousser se cultures.
-Et nous allons y mettre la peste dedans. Ce sera génial. »

#2 2017-01-12 18:40:01

Quandtucomprendratutenvou

Re : rp libre

« -Commençons alors !!!! »
Wiglie entendit un « oui » en cœur et enthousiaste mais elle ne l’était pas. Deux sorcières s’approchèrent d’elle et lui saisir les bras pendant que les deux autres lui saisissaient les jambes. Elles l’amenèrent contre la paroi rocheuse, la face contre la pierre et elles lui lièrent les bras et les jambes au roc. Wiglie sentit une dague découper sa tunique du bas vers le haut puis on lui arracha ce qui tenait encore.
Les lumières était proches mais encore si loin. Elle tomba non pas cette fois en trébuchant mais d’épuisement cette fois. Les loups s’approchèrent alors de leur proie épuise qui haletait.
Elle sentait la dague courir profondément sur son dos traçant des motifs qu’elle ne pouvait pas savoir car elle ne les voyait pas. Mais elle hurlait de douleur et pleurait tellement que ça lui faisait mal.
« Pas trop fort non plus, il faut encore qu’elle sache se baisser.
-Oui, c’est bon je sais ce que je fais. »
Le sang coulait sur son dos et était récolté dans une bassine qui se trouvait à ses jambes.
Après une heure de souffrance, elle s’évanouit pour ne se réveiller seulement qu’au lendemain soir.
« Ma pimbêche, tu en as mis du temps pour te réveiller. Regarde, contemple le terrain de ton père. Bientôt, tout sera rasé. »
Les cultures avaient bien poussée en une journée mais parmi elle, l’épidémie allait se répandre.
Ce fut le dernier né qui mourut en premier, suivit de sa mère et de son frère peu après. Bientôt, ce fut toute la famille sauf le dernier cadet qui put, avec l’héritage allé en ville pour le dilapider.
Il but, beaucoup, avec d’autre qu’il enserra et qu’il contamina aisément ce qui répandit rapidement l’épidémie.
La maladie fit des ravages dans la ville et la rumeur voulut que ce soit les sorcières qui vivaient dans la montagne qui avaient répandu la maladie. Des soldats furent donc dépêchés sur les lieux. Elles avaient retournée Wiglie dos à la paroi. Elle vit les sorcières défendre leur maison. Elle voyait des mains et des bras voler. Elle vit aussi tomber un homme avec les yeux révulsés. Mais bientôt, ce fut une tête de sorcière qui vola. Après une âpre bataille, les sorcières furent vaincues.
« Tu es qui toi ? Tu es aussi une sorcière ? »
Elle fit non de la tête et il sut qu’elle disait la vérité au vu du sang sécher sur ses jambes. Mais pour éviter tous soupçons, ils la vêtirent rapidement après l’avoir décrochée de la paroi.
Ils la ramenèrent en ville dans une cage. Les passants lui lançait des fruits pourrit, des pavés et d’autre chose sur elle. Elle fut jugée et condamnée au supplice de l’eau.
On la prit et on l’amena devant un lac, on la fit monter sur une barque puis, arrivé au milieu, on lui lia les jambes aux bras et on la lança dans le lac avec une corde toujours accrochée au bateau. Elle ne flotta pas. Elle coula, telle une pierre vers le fond. Elle faillit étouffer mais elle se sentit tirée vers le haut. Lorsqu’on la hissa sur le bateau et elle vomit un peu d’eau.

#3 2017-02-07 19:00:45

Quandtucomprendratutenvou

Re : rp libre

Changeons! 

Tout allait pour le mieux pour Alpha, il était né fils de noble et il avait rejoint l'armée du domaine et il combattait pour leur roi.
Il grimpait, peu à peu, les échelons au fur et à mesure des batailles. Il fut un jour nommé capitaine et ce jour là, tout changea dans sa vie. Il disposait maintenant d'homme et il faisait beaucoup de missions autres que celles qu'il avait faites jusqu'à présents. Mais une tache sombre allait venir noircir se tableau bien trop angélique. Mettons le contexte, il convoyait une marchandise dans un chariot avec vingt hommes. Lors d'un arrêt, après une ville, cinq d'entre eux ont été chercher de la compagnie pour la nuit. Ils ramenèrent ainsi une femme pour chaque homme et, bien sûr, Alpha prit la plus belle sous sa tente et la nuit fut torride. Ce qu'Alpha n'avait pas prévus, c'est la suite. Après s'être endormis sous l'effort, il sombra dans un drôle de rêve avec des corbeaux et des hommes par centaines qui lui sautaient dessus. Mais il ne se réveilla pas pour autant. Le matin fut une sérieuse surprise pour lui car lorsqu'il émergea de son sommeil, il sentait recevoir des coups de hanches, première chose étrange. La deuxième fut qu'il sentait un objet bouger en lui sans lui faire grand mal mais au niveau où cela se produisait, c'était très étrange voir impossible. Il ouvrit donc les yeux brusquement et il se vit, pencher au-dessus de lui même, faisant un effort intense mais son corps s'arrêta en remarquant qu'il avait ouvert les yeux.
Tu te réveil enfin marmotte, ça fait vingt minutes que tu me sert de plaisir. Première nouvelle pour toi, tu te trouve dans mon corps.
Mais je ne comp...
Son corps lui mit la main sur la bouche et continua son affaire jusqu'à la fin. Lorsqu'il eut finit, il retira sa main et mit sa bouche au niveau de son oreille, et en chuchotant et en haletant,
Voilà, tu es maintenant dans mon corps, tu es maintenant une jolie femme. Je te souhaite une bonne chance dans ta nouvelle vie.

#4 2017-02-20 16:28:16

Dame Corbeau

Re : rp libre

Après ces paroles, il la jeta au sol et elle rampa par terre. Elle entendit une épée sortir d'un fourreau puis une cuisante douleur à la main. Elle leva la tête cers celle-ci et vit une épée courte traverser sa main.
Tu sais te battre et je tiens à ce qu'il n'arrive rien à mon ancien corps alors tu nous accompagneras. tient voilà une tenue
Elle reçu alors un vêtement sur la tête et l'épée se retira de sa main. Elle enfila la tenue et alla voir le médecin de la troupe pour se faire soigner sa main. Puis elle suivit la troupe, elle représentait plus un poids qu'autre chose car ce nouveau corps n'était pas tailler pour le combat ou la marche ou quoi que ce soit de physiquement éprouvant. Après un moment, elle devait monter sur le char et elle restait assise là jusqu'à la fin.
Un jour, ils firent un arrêt devant un précipice à deux jours de marche de leur destination finale. Mais pendant la nuit, des bandits virent troubler le repos de ces gens. Elle se battit comme elle put mais elle flanchait sous les coups et finit par être blessée à la tête donc les soldats restant se replièrent dos au précipice devant leur chef et la femme mais ils ne tiendraient pas longtemps alors son ancien corps la prit et la jeta dans le précipice. Elle tombait, dos vers le sol et elle put voir une épée traverser la gorge de celui qui l'avait jeter puis elle commença à tourner sur elle même.
La chute dura de longue minute et lorsqu'elle atteint le sol sur le dos, elle entendit le son de nombreux os qui se brisaient. Elle fut rejoint quelques temps après par la dépouille de son ancien corps qui lui n'avait plus un souffle de vie.
Elle espérait échapper à sa malédiction? C'est réussit... C'es donc à ton tour d'accomplir son destin.
Elle entendait une voix caverneuse mais ne voyait personne. C'est alors qu'elle vit une forme rouge se dresser devant elle qui était tordue dans tout les sens, mystérieusement vivante après une telle chute.
Voilà l'accord que j'avais passé avec la sorcière animale, elle obtient la vie éternelle en échange d'un de mes enfants. Comme elle n'est plus en mesure de le faire, c'est toi qui va devoir y passer. Une fois que tu enfanteras, je serai là pour prendre mon enfant et l'arracher de tes bras.
Commença alors un calvaire de plusieurs heures où les derniers os qui n'étaient pas encore brisés le furent. Après le départ de la créature, elle fut prise de douloureuses douleurs au ventre et elle se tordit dans des positions impossible physiologiquement mais elle ne ressentait aucune autre douleur que celle de son ventre. Celle-ci fut telle qu'elle sombra dans l'inconscience alors que la nuit atteignait son paroxysme.

#5 2017-03-01 15:35:22

Dame Corbeau

Re : rp libre

Mara marchait dans la montagne comme sa vision le lui avait demandé. Elle empruntait des sentiers qu’elle connaissait peu mais elle était comme guidée. Au détour d’un chemin escarpé, elle trouva une femme, allongée au sol toute désarticulée à côté d’un homme et la femme semblait être enceinte et devait normalement bientôt accoucher. Sans grand espoir, elle se dirigea vers les corps et à sa grande surprise, la femme vivait encore mais elle était inconsciente. Mar retourna vite au monastère pour trouver de l’aide. Au début de l’après-midi, ils la déposaient dans un lit de l’infirmerie.
Alpha se réveilla doucement et se trouva dans un lit, elle voulut se relever mais une main la retint doucement mais fermement couchée.
Allons mon enfant, doucement, dans ton état ce n’est pas raisonnable. Je suis même étonnée que tu arrives à bouger.
Où suis-je et qui êtes-vous ?
Je suis la mère Mara, tu te trouves dans notre monastère. Nous t’y garderons jusqu’à la fin de ta grossesse. Mais toi, qui es-tu ?
Je m’appelle… Lima. Je ne savais pas que j’était enciente.
Comment ça, tu ne savais pas que tu étais enceinte, c’est bien la première fois qu’une mère me raconte ça. Apparemment, c’est pour bientôt. Repose toi, je t’apporterai de quoi diner.

#6 2017-03-02 14:19:20

Dame Corbeau

Re : rp libre

Lima passa plusieurs jours à se familiariser avec son environnement, elle avait un peu de mal à se déplacer et la mère Mara la réprimandait car elle allait chaque fois trop loin pour son état mais elle s’obstinait à retourner au même endroit chaque jour. Mère Mara l’avait suivi une fois et elle l’avait retrouvée assise sur une pierre, un corbeau perché sur son épaule mais il était partit aussi vite qu’elle l’avait vu.
Un soir, Lima se mit à vomir du sang, inquiète, l’infirmière partit chercher les médecins et lorsqu’ils arrivèrent, Lima perdit les eaux ce qui agrandit d’avantage la flaque de sang au sol, ils se dépêchèrent donc de faire naître l’enfant pour pouvoir s’occuper de la mère mais elle finit par perdre conscience. Lorsque la chose, car il n’y avait pas de d’autre mot pour le décrire, sortit du ventre, elle regagna un brin de conscience et cria lorsque la chose planta ses dents dans sa cuisse. Elle respirait difficilement et d’un coup, un homme bleu avec des cornes sur la tête apparut. La chose lâcha la cuisse de sa mère pour se réfugier dans les bras de la créature.
Bien, tu as rempli ta part du contrat, comme convenu. Te voilà sans dette envers moi.
Personne dans la pièce ne compris de quoi il était question mais dès que la créature eut disparut, les médecins sautèrent sur leur patiente mais malheureusement, ils ne réussirent pas à la sortir de son état et ils la considérèrent comme morte après deux jours d’acharnement.
La Mère Mara allait s’occuper de la préparer pour la cérémonie mais dès qu’elle lui eut passé la robe noir sombre mortuaire de la cérémonie, des dizaines de corbeaux virent se poser sur le corps et certain se montraient menaçant dès que l’on approchait du corps.

#7 2017-03-22 16:50:02

Dame Corbeau

Re : rp libre

Après quelques jours, le corps se remit à bouger, dans tous le sens peu importe l'amplitude puis il resta un jour sans bouger.
Certains dirent même que le bras saignait par les ongles des doigts.
Pour finir, un mercenaire revêtit son armure et il courut jusqu'au corps. Des corbeaux lui foncèrent dessus depuis le toit et ils se plantèrent dans son armure allant jusqu'à la percée mais ne se décourageant pas, le mercenaire continua. Il finit même par perdre son bras gauche avant d'arriver au corps. Une fois devant, il dégaina son épée et il la planta dans la poitrine de la femme allongée et en levant les yeux vers le ciel, comme chaque fois après avoir tué une personne, il vit un corbeau descendre en flèche et il se planta dans son œil causant la mort du mercenaire. L'épée resta plantée là, elle traversait la table et on pouvait voir le sang se verser par terre.

Lima fut tirée de son sommeil par une cuisante douleur. En ouvrant les yeux et en se redressant brusquement, elle sentit un obstacle au niveau de sa poitrine. En regardant en direction de la douleur, elle vit le pommeau d'une épée. Elle hurla alors de douleur pendant de longues minutes mais elle se rendit compte qu'elle ne ressentait pas cette douleur.
Elle se ressaisit et retira doucement le sabre légèrement recourbé et étrangement léger. Elle regarda autour d'elle et vit tous les habitants du monastère éberlué. Elle vit au pied de son chevet des fleurs et un homme, surement un mercenaire puis elle réalisa ce qu'ils avaient essayé de faire. Elle entra alors dans une colère noire et tous furent pris de panique car les pièces du monastère étaient devenues aussi noir que la nuit, les portes étaient verrouillées et leurs clefs ne les ouvraient pas.
Un sifflement se fit entendre et un homme se fit empaler sur la porte par le sabre et la force était telle que le sabre s’enfonça jusqu’à la garde dans la porte. Avec une rapidité impossible, une silhouette apparut pour retirer le sabre de la porte, cette silhouette portait la robe noire. Tous les résidents partirent dans toutes les directions. Une femme fut aussi empalée contre le mur en face de la porte qui maintenant était arrachée. Alors tous partirent dans le bâtiment.

Mara entendait les cris de ses congénères de prière s’élever un à un. Elle savait qu’ils étaient tous tué et qu’elle serait la dernière à mourir. Après un moment de silence, elle vit une femme, le regard noir se dresser devant elle.
Vous avez essayé de me tuer, de vous débarrassez de moi !
Nous te croyions  sous l’emprise d’un démon.
Suffit, maintenant c’est ton tour !

#8 2017-05-10 18:12:14

Dame Corbeau

Re : rp libre

Elle se réveilla, effrayée par le noir qui régnait autour d'elle.
Hey Fred, elle commence à s'agiter.
Que veux-tu que j'y fasse. Remet lui une dose si tu veux la tenir tranquille.
Mais où était-elle, elle se sentait perdue, elle avait froid et elle ne pouvait pas faire bouger ses mains qui était dans son dos.
Elle reçut alors un violent coup à l'arrière du crâne. Pendant qu'elle perdait conscience, elle entendit:
Putain pas si fort Graf!
Elle reprit conscience plus tard. Elle était attachée contre quelque chose de rugueux. Elle ouvrit enfin les yeux, il faisait toujours noir mais elle pouvait voir les belles étoiles dans le ciel. Elle baisa alors le regard vers le bas et vu un homme se diriger vers elle un verre en main.
Tient, bois ça! Sur ces mots, il lança le contenu du verre sur son visage.
Graf, comment veux-tu la maintenir en vie comme ça? Un autre homme s'approcha et lui fit boire un verre.
Bien vite qu'on arrive en ville sinon elle va perdre en valeur, déjà qu'elle est pas bien grosse.
C'est notre accord, pas de nourriture.
Elle est quand même jolie, j'ai bien envie de... Il s'assit à côté d'elle et il baissa sa main vers ses cuisses puis remonta vers ses genoux et il répéta le mouvement plusieurs fois. Elle n'appréciait vraiment pas cette sensation.
Tu es fou? Elle va valoir le tiers de sa valeur actuelle si tu fais ça.
Oui je sais !!! Ca me met en rogne !
Remet lui son sac. Si je vois plus longtemps son si joli visage, je risque de faire la même connerie que toi.
Elle reçut alors sur sa tête une chose épouvantable qui l‘empêchait de voir et qui puait énormément.
Ses journées passaient comme ça maintenant, ils ne s’arrêtaient que la nuit et elle ne buvait qu’un verre d’eau. Elle était faible et elle se sentait souffrir.

#9 2017-05-13 10:51:04

Dame Corbeau

Re : rp libre

Après une semaine de voyage, ils arrivèrent enfin en ville et un marcher d’esclave se tenait justement. C’était une des rare fois où elle avait la tête découverte. Les immeubles étaient menaçants, ils semblaient tomber et vous emporter aux enfers. Elle fut rapidement mise sur une estrade. Des hommes et des femmes montaient et la regardais, parfois ils mettaient leurs doigts dans sa bouche.
A la fin de la journée, après l’avoir passée debout, elle était toujours sur l’estrade.
Putain, on n’a pas réussi à la vendre !
Je t’avais dit qu’il fallait la nourrir, maintenant elle a la peau sur les os et les joues creusées. C’est pas du tout vendeur.
Ce n’est pas ça messieurs. Elle a juste l’air très fragile, trop fragile et donc personne ne la veut car elle va vite se briser et il faudra donc la remplacer. Ce n’est pas très rentable.
Et que veux-tu qu’on  y fasse nous ? Rien. Il ne nous reste plus qu’à la violée.
Surtout pas !!! Si vous me donnez 2000 pièces d’or, je me charge d’elle et je vous rends le triple dans un an. Je tiens une maison pour esclaves, on les y éduque pour le compte d’autre. Je vous la prends puis je m’occuperai de la vendre et je vous prie de croire que tout le monde la voudra.
T’en pense quoi Fred ?
J’en pense que nous on en fera rien de bon alors on la donne à ce monsieur et on se casse et dans un an on revient et si il a pas notre or, on lui casse la tête.
Ce ne sera pas nécessaire.
L’étrange inconnu monta sur l’estrade et passa une corde aux poignets d’elle puis il reçut la bourse de pièce d’or et il la tira dans toute la ville. Ils arrivèrent devant un grand bâtiment avec de large grille en fer et des gardes de chaque côté. Il poussa les portes et la fit rentrer. Il l’amena dans une cambre exigüe où il n’y avait qu’un tas de paille salle et une fenêtre avec de large barreau devant et derrière le mur sans vitre.
Bien, demain les formateurs viendrons te chercher pour commencer ton dressage.
Il teint sa parole car avant le lever du soleil, elle ressentit une cuisante douleur au dos, elle se rendit compte qu’en fait, ça la brulait. Elle se releva à la vitesse de l’éclair et se retourna pour observer son agresseur. Il s’agissait d’un homme large et massif munit d’un fouet et d’une bougie avec un sourire sadique pendu aux lèvres.
Alors lèves-toi marmotte. C’est que j’ai que ça à faire moi !
Il la saisit au bras et il la traina dans les caves du bâtiment qui ressemblaient plus à des cachots qu’à une cave. Il la poussa dans une pièce circulaire large et il déplia son fouet.
Comment tu t’appelles ?
Je m’appelle Mki…
Il lui fit calquer le fouet sur son épaule nue et il enchaina avec un nouveau coup sur l’avant-bras qu’elle avait monté pour se protéger le visage.
On ne répond jamais que par oui maître ! Tu n’as dorénavant plus de nom ni de vie. Tu sers celui qui te le demande ! Répète !
Je réponds…
Deux nouveaux coups bien plus sanglant que les précédents suivirent ce début de phrase.
Qu’est-ce qu’on a dit ?
Comme elle se taisait, il lui remit quatre coups de fouet et plus elle hurlait plus il y allait fort.
Il la ramena en fin de journée dans sa chambre exigüe en la portant et il la jeta contre le mur avant de se retourner et de verrouiller la porte derrière lui. Elle avait mal, tous les membres de son corps la faisaient souffrir. Elle risqua un coup d’œil à son épaule gauche et elle vit toutes les marques violacées et nette qu’avait laissé le fouet. Elle entendit deux bruits sourds et elle vit un morceau de pain ranci atterrir devant elle avec un peu d’eau.

#10 2017-06-18 15:39:19

Mkitori

Re : rp libre

Hop hop changement!! :p

Elle se était perdue, elle, petite fille de quatre ans dans les bois, abandonné par son père et sa mère, sa maison dans les bois entrain de brûler et la voix de son père, dans sa tête, qui résonne encore:
Pars, le plus loin possible sans t'arrêter, sans regarder derrière toi, sans réfléchir!
C'est de la faute de leur sœur si ils leur est arrivé ce qui est arrivé, elle avait disparut de la maison deux jour plus tôt sans jamais revenir. Elle savait qu'elle était partie en ville mais elle avait promis de revenir vite et sans se faire voir alors elle ne l'avait pas dénoncée mais maintenant, elle pleurait et était perdue sans personne pour l'aider.
Elle n'en pouvait plus, elle était épuisée et voulait dormir alors elle s'appuya contre une grosse souche d'arbre et mit sa cape devant elle puis elle commença à s'endormir. Elle fut réveillée par des cris au loin:
Je suis sur qu'il en manque un, trouvez moi le dernier de ces monstres, l'autre nous avait dit qu'ils étaient quatre!! ça nous en fait trois là!

Elle n'y prêta pas attention, il leur était impossible de la trouvée. Elle eut cependant une surprise au petit matin lorsqu'elle se réveilla avec un homme devant elle.
Alors petite, que fais-tu seule dans les bois?
Je suis perdue..
Bien, je vais t'amener en ville peut-
NONNN! Je ne veux pas aller en ville.
un sourire sadique apparut sur les lèvres de l'homme. Parfait alors!

Elle reçut un violent coup sur la tête et elle s'évanouit. Elle fut réveillée lorsqu'on la jeta par terre contre une planche de bois.

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