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#1 2016-12-04 15:54:26

Aurane

Les préripéties d'Aurane

Elles descendirent donc les longs escaliers qui menaient vers la ville. Elles arrivèrent près des bas quartiers et deux hommes les abordèrent. Ils avaient des projets pour elles, de grand projet. Ils les assommèrent donc sans qu'elles ne puissent réagir puis les emmenèrent dans leur chambre et commencèrent à pratiquer leur office sur c'est deux charmantes jeune filles. Ils commirent une imprudence en les embrassant car un poison vicieux et indétectable se mit à se répandre et à se multiplier dans leur organisme entrainant leur mort brutale et atroce.
Ganja et Aurane se réveillèrent nue dans des lits à coté de cadavre contorsionné et formant un cube.  Ganja se souvenait de sa douloureuse expérience au palais et elle sentait les mêmes sensations en elle mas elle ne dit rien. Elles cachèrent les corps dans l'armoire, se vêtirent et partirent en cachant leur cheveux long pour se faire passer pour deux garçons.
Elles quittèrent ainsi la ville et s'engouffrèrent dans la forêt. Elles marchaient depuis plusieurs heures, elles s'étaient vite éloignées des sentiers et chemins pour s'enfoncer plus vie dans l'épaisse forêt. Elles avaient enlevé les bonnets et les vêtements amples pour évite d’avoir trop chaud mais cela laissait voir leur véritable nature.
Soudain, elles entendirent des jappements. Attirées, elles allèrent voir et découvrirent un louveteau prit dans un piège. Elles décidèrent de le libérer et de le soigner dans la grotte qu’elles voyaient au loin. Cependant, elles n’avaient pas la force nécessaire, même à deux pour libérer le piège et elles commençaient à entendre des aboiements aux loin mais ils se rapprochaient. Soudain, descendant d’un arbre, un jeune garçon les menaça avec son arc. Elles voulurent partir mais il décocha une flèche qui coupa une mèche de cheveux d’Aurane. Elles ne bougèrent donc plus et attendirent sans bouger.
Il rangea son arc après dix minutes et libéra le louveteau. Aurane se rua donc sur la bête et la prit dans ses bras. Ganja profita de l’inattention du garçon pour se saisir d’une branche et l'assommer.  Pour éviter de se révéler, elles le trainèrent avec elles jusqu’à la grotte.
Elles y arrivèrent lorsque la nuit commençaient à poindre, elles fabriquèrent un lit de fortune pour la bête et elles utilisèrent une partie de leur vêtement pour ligoter proprement le garçon puis elles s’endormirent l’une contre l’autre.
Aurane se réveilla, la tête en bas, attachée par les poignets et les pieds au plafond. Elle regarda autour d’elle et vit Ganja dans la même position, le garçon bâillonné et mieux ligoté, deux yeux orange qui la fixait depuis le fond de la grotte et le louveteau ouvert en deux devant l’entrée de la grotte. Elle fut prise d’une colère inimaginable pour ce petit corps, du vent se leva dans la grotte, des éclairs tombaient du toit et coupaient ses liens et ceux de Ganja. Une fois libre, Aurane se précipita vers le loup, le prit amoureusement dans ses bras et commença à pleurer. Ganja, réveillée par le choc regarda autour d’elle et essayait de comprendre ce qui leur étaient arrivés. Elle commençait à comprendre lorsqu’une larme d’Aurane toucha la carcasse de la bête. Les plaies commençaient à se refermées, la bête commençait à grandir, grandir, tellement grandir qu’après deux minutes, l’animal était devenu aussi gros que l’entrée. Il s’arrêta de grandir après cinq minutes. Le garçon qui s’était enfin réveillé, Ganja, Aurane et les deux yeux du fond de la grotte regardaient l’immense bête. Ils purent tous faire deux constatation, ce n’était pas un loup mais une louve et elle faisait deux fois la taille de l’entrée. Soudain, la bête se mit à respirer puis elle se leva et enfin, elle se jeta sur Aurane pour la lécher et enfin, après cette effusion d’amour, elle se mit à grogner en regardant les deux yeux. Aurane et Ganja se réfugièrent derrière une des pattes et regardèrent les deux yeux. Elles virent qu’ils s’avançaient vers elles et se rapprochait de la lumière. Une panthère noire apparut mais après quelques pas vers elles, la panthère se transforma en une charmante jeune femme. Elle avança encore un peu puis elle mit un genou à terre, baissa la tête et leva la main, paume vers le haut. La louve s’assit et regarda donc ce qui allait suivre. Aurane s’approcha de la femme et, méfiante, passa sa main sur la paume. La femme la releva la tête et se mit à parler :
Bonjour, je suis terriblement désolée, maître, je n’avais pas vu votre symbole. Voulez-vous bien me transmettre votre savoir et votre expertise ?
Aurane la regarda d’un air étonné.
Quel marque ? Quel savoir ?
Mais celle sur votre bras, et vos connaissance en magie noir.
Aurane regarda son tatouage d’esclave, il ne formait plus quatre zéro mais deux symboles de l’infini.
Je suis désolée de vous décevoir mais je n’y connais rien, mais mon ancien maître était une puissante nécromancienne mais je n’ai jamais vu le même tatouage sur elle.
Ce symbole signifie la plus haute caste de magicien. Ils sont extrêmement rare et sont capable du meilleur comme du pire. Moi-même, je ne suis que…
A ce moment-là, une flèche traversa la poitrine de la femme, en plein cœur. Elle tomba dans les bras d’Aurane, prise de convulsion. Aurane regarda donc vers le garçon qui s’était libéré et qui avait tiré une flèche. Il en encochait une deuxième qu’il tira vers Ganja mais la louve mit son énorme patte devant et la flèche rebondit dessus.
Pourquoi fais-tu ça ?
Elle cria cela au garçons, presque en pleurant.

#2 2016-12-05 13:40:14

Aethalion

Re : Les préripéties d'Aurane

Alors qu'il venait d'arrivée en Okord, Aethalion avait donné l'ordre de ne couper aucun arbre, il adorait la nature, le calme de celle-ci, la beauté et la pureté de la nature le fascinait depuis son plus jeune âge. Ainsi, après quelques journées à commander ces domaines et après en avoir fondé un dans les hautes montagnes au nord, il partit en exploration, dans la forêt qui longeait son fief le plus à l'est des terres Valyriennes, la forêt était calme et grande, le vent, le chant des oiseaux, donné à la forêt, la beauté d'un lieu sacré, soudain, il entendit le crie d'une louve, il se dirigea vers le cri, sautant d'arbre en arbre, sachant pertinemment ou et comment ce déplacé dans une forêt.

La scène qui s'ouvrait devant lui était pleine de cruauté, la louve prise dans un piège alors que deux personnes se tenaient à côté, il les observa pendant quelques instants, remarquant la beauté de la femme, elle dégagé une sorte de charme, il se perdait dans cette aura, mais la louve était plus urgente que l'appel de la chair, il descendit de l'arbre en un saut, l'arc et une flèche en mains, prêt à tiré, il les regardait sans rien dire, il vit la femme prise d'un élan de fuite mais il décocha sa flèche, elle était partie toute seule; comme si son instant voulait qu'elle reste là, après de longs moments, de longues minutes à se regarder, Aethalion remis son arc dans son dos et libéra la louve, au même moment, il vit la femme prendre la louve dans ces bras, il la regarda, ce demandent ce qu'elle fait, ne comprennent aucunement, croyant même que ces deux femmes était les chasseurs, soudain, il reçu un coup sur sa tête et tomba par terre, assommé.

Pendant son sommeil, la scène se répétait sans cesse, cette femme qui accompagnée celle qui pris la louve était belle, magnifique... Il ne savait pas qu'en penser, il crut au début qu'elles voulaient tuer la louve, mais la femme prit la louve dans ces bras avant que quelqu'un l'assomme, il ne comprend rien, il se sent mal d'avoir tiré une flèche, lui qui est normalement pacifique et observateur.

Alors qu'il ouvrait les yeux, il vit une scène effroyable, les femmes étaient accrochée par le haut ainsi, quelques heures ou quelques journées plus tôt, il ne savait pas, il avait perdu son espace-temps et à l'entrée de la grotte, une femme tuée la louve, cela le mis en rogne, voyant que son arc et ces flèches étaient encore dans son dos, il décida de chercher un moyen de ronger ces liens. la scène avait complètement changé lorsqu'il releva la tête, la femme qui avait tué la louve parlée à voix haute, parlant de magie noire aux deux femmes, la roche pointue avait presque coupé le lien, heureusement que la grotte était sombre, personne ne le voyait faire et cela l'arranger, quelques minutes plus tard, il sent ces mains libres, il prit alors son arc, une flèche, tira dans la femme directement, la flèche siffla jusqu'à la poitrine de cette dernière et l'embrocha d'un seul coup, il vit le corps tomber dans les bras de l'autre femme, puis voyant l'autre femme, il se douta que ce fût elle qui l'avait assommé, il prit alors une flèche et tira, cette femme, dont la flèche partie vers elle, elle fit fondre son coeur, une chaleur dans tout son corps ce fit ressentir, la flèche était déjà partie et il sentait déjà son coeur ce brisé, il allais tué sans le savoir, une femme qui à réussi à toucher son coeur.

Alors que la flèche siffla, la louve qui n'avait pas bougé après la scène de léchouiller protégea la femme de sa patte et la flèche ricocha dessus, il regarda alors les deux femmes alors qu'une cria, ces yeux était humides.

"Pourquoi fais-tu ça ?"
Aethalion, regarda la femme puis l'autre, son charme, sa beauté, ces yeux se perdaient dans les siens, elle était tellement belle, il aurais pu resté des heures ainsi, pour la regardé, pour contemplé sa beauté, elle était parfaite ! Il répondit à l'autre femme sans même la regardé, il était heureux à ce moment la.

"Cette femme a tué la louve et vous à ligoter." Il lui répondit en toute franchise, d'une parole franche et calme, ces mots étaient sortis tout seul.

Dernière modification par Laodi (2016-12-05 18:23:37)

#3 2016-12-06 17:17:24

Aurane

Re : Les préripéties d'Aurane

N'est-ce pas normal de défendre son foyer?
Elle partit en courant et en pleurant, sous les regards ébahi des deux personnes encore en vie. Aurane quitta la grotte suivie directement par la louve qui la mit sur son dos et commença a gambader. Il ne restait plus que Ganja, un cadavre et le garçon dans la grotte. Ganja se prit le front en regardant par où était parti Aurane mais la louve avançait très vite et malgré sa taille, s'était fondue dans la végétation.
Ganja se retourna alors face au garçon les poings serré sur les hanches :
A c'est bien malin, tu l'a fait partir. Je fais comment moi pour la retrouver?
Ganja vit soudain la flèche par terre, brisée en deux. Elle regarda ensuite le garçon, son arc et son carquois maintenant vide. Elle courut jusqu'à lui et se jeta sur lui le faisant tomber en arrière. Elle lui donna quelques coups mais il l'a fit basculer sur le dos et la maitrisa.
Ce qu'il n'avait pas vu c'est qu'un larme d'Aurane était entrée en contact avec le sang de la pauvre femme. Son sang commençait doucement à réintégrer son hôte précédent. Quand tout fut rentré, la flèche devint noire et puis elle se transforma en cendre. La femme reprit ensuite ses esprits peu à peu. Elle finit par s'assoir et regarder autour d'elle. Elle vit ensuite deux de ses anciens captifs.

#4 2016-12-14 23:21:41

Aethalion

Re : Les préripéties d'Aurane

Il était sur cette femme, elle était belle, magnifique, son charme le bercait, il était paralysé, il ne voyait pas ce qui se passait dans son dos, qu'une morte revenait à la vie, surtout que c'était lui, le coupable de sa mort.

Pendant qu'il regardait Ganja, alors qu'il tenait ses bras avec ses mains et qu'il était assis sur elle, il lui prit alors l'idée de l'embrasser. Une folle idée, mais il le fit quand même. Alors que ses lèvres touchaient celles de Ganja, sans qu'elle puisse rien faire, à part remuer la tête, il reçut un violent coup à la tête.

La femme mort-vivante avait pris un caillou et frappé Aethalion. Ce dernier tomba directement à la renverse. Une flaque se répandit sur le sol. Une flaque d'un rouge clair. C'était son sang. Il était en train de mourir et ne comprenait pas pourquoi. Quelle injustice, alors qu'il était en train de ressentir la plus belle chose au monde ... Ses paupières était lourdes, il ne pouvait pas continuer à garder les yeux ouverts. Il entendit des voix, mais un bourdonnement intense le gênait.

Dernière modification par Laodi (2016-12-14 23:22:01)

#5 2016-12-15 15:04:00

Aurane

Re : Les préripéties d'Aurane

Igma prit une petite pierre tranchante qui pendait à son coup et se perça la main avec. Elle traversa toute la main et ressortit par le dos de la main. Le sang commença à couler lentement vers le sol par la pierre, une goutte se forma et commença à tomber sur le sol. Sans aucune explication, la goutte de sang retourna vers la main d’Igma ce qui défiait toutes les lois connues. Ensuite, la plaie cicatrisa et la pierre commença à devenir noire puis à disparaitre. Igma n’aurait jamais imaginé tomber sur un maître magicien plus fort que son ancien précepteur vampire. Cette fillette dont elle ignorait tout appartenait à une des castes les plus élevée de magiciens. Elle se retourna et vit l’archer entrain d’embrasser l’autre petite. Igma se saisit d’une pierre trainant par là et elle l’abattit à l’arrière de son crâne. Il tomba net inerte et Ganja put le repousser. Elle avait été surprise par son geste mais elle avait apprécié l’initiative. Maintenant, elle le regardait se vider de son sang et elle regardait aussi l’agresseur d’un air peu étonné.
Elle vous a aussi remis à la vie ?
Il semblerait oui. Où est-elle partie ?
Je ne sais pas et c’est bien le problème.
Je suppose qu’elle va bien finir par venir te rechercher. Je m’appelle Igma. Tu es Ganja c’est ça. Installe toi nous allons l’attendre ensemble.
switch
Aurane pleurait dans la fourrure de la louve qui l’emmenait. La louve commença à ralentir car elles arrivaient à un point d’eau. La louve se coucha sur la rive pour permettre à Aurane de descendre puis elle but quelques gorgées. Après peu de temps, la louve redressa les oreilles et la tête. Elle prit Aurane sur sa tête et repartit en courant vers la grotte. Aurane se tenait maintenant assise sur la tête de la louve.
Soudain, elle fut prise à la gorge par un fil tendu entre deux arbres pour la chasse. Elle chuta donc de plusieurs mètres mais ne se fit aucun mal en atterrissant. Elle se redressa et regarda son environnement. Il y avait plusieurs arbres et à l’un d’eux, une forme était accrochée. Aurane s’en approcha et vit qu’il s’agissait d’une femme. Elle était remplie de plaie et était nue mais malgré son piteux état, elle respirait toujours. Aurane prit une pierre et coupa les liens. La femme tomba par terre comme un chiffon. Aurane se dirigea vers elle mais un homme sortit des buissons.
Hé les gars, venez voir le gibier que j’ai trouvé !!
Une trentaine d’homme se joignirent à lui et ils commencèrent à rigoler sadiquement. Ils commencèrent à s’approcher.
Tu es perdue ma petite ? C’est ta maman ? Laisse nous prendre soin de toi et d’elle.
La femme se releva péniblement avec l’aide d’une épée et se mit en garde. Des sifflements se firent entendre.
Allons, ne tentez rien, laissez-vous faire. Ça fera moins mal.
Un trait partit de derrière l’homme et se planta dans la cuisse de la femme qui poussa un hurlement de douleur avant de s’effondrer au sol. Ils commencèrent donc à courir vers la fillette car le premier qui se servirait, serait le premier à profiter de l’innocence de la jeune fille.
Aurane se mit en colère, ses yeux devinrent rouge, le vent se leva tout autour de la clairière, Aurane commença à s’élever dans les airs jusqu’à atteindre trois mètres. Les hommes avaient ralentit en voyant cela. Certains songeaient même à faire demi-tour mais des arbres tombèrent et ils formèrent un grand cercle autour d’eux. Les avants bras d’Aurane devinrent vert et du sol sortit des racines. Ces racines attaquèrent les chasseurs ou les immobilisaient. La moitié fut tuée par les racines et l’autre moitié fut incapable du moindre mouvement. Des paumes d’Aurane sortirent des pics noirs qui tranchaient tout sur leur passage. Aurane appela ensuite la louve qui fut là dans la seconde, la tête baissée de honte et les yeux la regardant implorant.
Ne me regarde pas comme ça et aide moi plutôt à la mettre sur ton dos.
La louve prit alors délicatement la femme sur son dos et fonça en direction de la grotte en prenant, au passage un corps.
Elles arrivèrent à la grotte et Aurane alla trouver Igma et l’implora de soigner la femme. Ce qu’Aurane n’avait pas vu ces que ses yeux étaient resté rouge et que sur ses avant-bras, il s’y trouvait des tatouages en forme de flamme. Il y avait aussi sur ses paumes deux symboles, un crâne avec deux cornes sur la paume droite et un soleil irradiant sur l’autre.
Je suis désolée mais elle a perdu trop de sang. Je peux juste prolonger sa vie de quelques heures sans souffrance.
Montrez-moi.
Igma plaça alors ses mains au-dessus du corps et remonta doucement de la poitrine vers la tête. Quand elle arriva au-dessus d’une plaie, elle se concentra et doucement, la plaie se referma. Ça lui demandait trop d’effort et après seulement deux plaies, elle dû s’arrêter de fatigue.
La femme avait de plus en plus de mal à respirer et elle finit par arrêter complétement.
Aurane s’insurgea et elle plaça ses deux paumes à son tour au-dessus du cœur du cadavre. Elle tendit à fond les doigts et une secousse ébranla toute la montagne. Le corps était entouré d’un cocon vert et des éclairs blancs réparaient les lésions sur le corps qui se trouvait maintenant à quelques centimètres du sol. La femme prit alors une grande inspiration et l’opération s’arrêta.
Igma était bouche bée, Aurane ne montrait aucun signe de fatigue et du vert et rouge passait dans ses yeux à tour de rôle et parfois même en se mélangeant un peu.
J’y suis allée un peu fort. Il faudrait l’attacher.
Elle pointait le corps du jeune garçon qui n’avait plus son trou à l’arrière de la tête.

#6 2016-12-16 16:47:17

Aurane

Re : Les préripéties d'Aurane

Elles s’employèrent donc à le ligoter de manière très serrée puis, sachant qu’il ne pourrait plus mourir, elles le pendirent par les pieds.
Elles apprirent ensuite à faire connaissance.
Il y avait Igma, ancienne esclave vampire, renvoyée car elle avait appris à manipuler la magie de guérison dans leur dos. Mais elle connaissait très bien toutes les formes de magie, elle ne savait juste pas les mettre en application. Elle était aussi douée pour créer des potions, nocive ou bénéfique.
Venait ensuite Ganja, fille d’un noble de la capitale, tuée par Gutfrag. Elle connaissait très bien la cour et était assez jolie. Elle savait aussi se fondre dans le paysage.
Ensuite, Rivile, combattante acharnée. Avant la réforme, elle était sous capitaine et n’avait jamais été vaincue ou perdu un seul homme dans ses batailles. Elle maitrisait parfaitement le combat au bouclier et à l’épée longue. Comme tous les soldats de l’ancienne armée, elle savait forger des armures et des armes avec presque rien.
N’oublions pas la louve, Tradja, c’était une bête formidable capable de courir sur de longue distance, de pister des animaux sur des centaines de kilomètres pendant des semaines.
Il y a aussi le garçon mais elles ne connaissent pas son nom ni ses talents à part qu’il sait bien tirer à l’arc et d’après Ganja, qu’il est beau.
Il ne manque plus à Aurane qu’un seul disciple à trouver. Mais en attendant le réveil du garçon, elles se préparèrent à un départ imminent car on finirait bien par trouver les cadavres des chasseurs. Aurane, grâce à la connaissance d’Igma, apprenait à maitriser ses pouvoirs. Au fur et à mesure des heures et des jours, de plus en plus de tatouages ayant diverse forme naissaient sans explication rationnelle. Ce fut après trois jours que l’entièreté du corps d’Aurane fut tatoué. Rivile lui avait confectionné une capuche qui ne laissait pas voir le visage de son possesseur grâce à l’ombre qu’il provoquait. Mais ses yeux avait aussi changé, ils étaient maintenant teinté de rouge, bleu, vert, orange, noir puis blanc à tour de rôle.
Le 4e jour, tous les disciples remarquèrent que des teintes de vert pulsaient sous leur peau. Leur donnant une teinte plus bronzée. Mais après l’analyse, elles remarquèrent que c’était un puisant poison, indétectable et perfide. Aurane pouvait tous leur parler et leur donner des directives sans même ouvrir la bouche maintenant. Du moins, au conscient. Elle testa sur le corps inerte du garçon qui avait l’air bien dans son sommeil la tâte en bas.
Elle se tourna donc vers lui et « Oh, réveil toi ! »
Ça sonnait comme un ordre et il avait intérêt à le respecter car tout était prêt, même une armure pour lui faite en cuir de meilleur qualité que celle qu’il portait sur lui. Et justement, il ouvrait les yeux.

#7 2016-12-30 14:34:02

Aurane

Re : Les préripéties d'Aurane

Je suis désoler mais j'avais un problème dans mes balises couleurs.
il faudra donc faire sans.

Le garçon se réveilla et ils partirent tous en direction du nord, vers les terres enneigées et glacée de Perdiglas. Ils vivèrent de la chasse et de la cueillette pendant de longs mois mais ils ressentirent des tremblements dans la terres, ils virent des montagnes millénaires s’écroulée et des torrents prendre leur place. Ils décidèrent, d’un commun accord, de redescendre en okord via un bateau pour aller plus vite. Ainsi, Rivile et Igma séduisirent un capitaine de bateau qui devait descendre dans le sud.
Après son embarquement de marchandise, il descendit un peu le fleuve, accosta, les pris à bord en voulant protester contre l’immense bête mais voyant la ville entièrement recouverte de vêtement et son visage invisible, il se ravisa. La bête alla donc à l’avant du bateau et se coucha. La file vint se placer sur son flanc et s’appuya dessus. Aussi étrange que cela paraisse, les quatre autres s’assirent en face d’elle comme attendent un commandement. Le capitaine, peu rassurer, s’approcha donc d’elle, entra dans le centre du cercle, fit une courbette comme si c’était lui l’invité de son propre navire et s’exprima :
«Bonjour, j’ai été surpris par votre imposante bête mais je vous ai quand même laissé monter sur mon navire, conformément au marché conclut avec vos deux ravissantes acolytes. Je vous invite donc à respecter votre part du marché.
Bien, Igma et Rivile, vous savez ce que vous avez à faire. »
Les deux femmes se levèrent, sourirent au capitaine et elles prirent chacune un de ses bras et l’emmenèrent vers sa cabine où il passa une très torride journée et nuit. Après avoir passé plusieurs jours de croisière, ils arrivèrent. Beaucoup trop au sud, ils se retrouvaient au-delà du canal. Ils durent donc traverser la région en recherche d’une ville suffisamment grande qui possèderait une carte récente de la topographie dans sa bibliothèque. Ils voyagèrent donc de ville en ville dans le terrain de chasse des vampires. Oui, le sud était devenu leur terrain de chasse car les nécromanciens avaient pris le contrôle du nord et les en avaient chassé. Igma et Rivile aimait bien profiter des plaisirs de la chair car elles avaient toutes deux été mariées et cette vie leur manquaient. Un soir, elles ramenèrent dans leur petit oasis un homme, un vampire… Aurane réagit tout de suite et le ligota avec de fines cordes faites en argent sortie de ses mains. Igma et Rivile la regardèrent d’un air ébahi car elles ne pouvaient savoir que c’était un vampire alors Aurane retroussa les lèvres de l’homme et découvrit deux canines pointues.
« Relâchez-moi ou on viendra me chercher !
Mais j’y compte bien, un petit nettoyage s’impose. Depuis quand les vampires vont-ils dans les tavernes ?
Depuis qu’on nous a chassés du nord. Terre de tous nos bastion !
Je serai bien ravie de voir qui va venir vous chercher.
Vous le regretterez ! »
Dès qu’il eut finit, avant qu’il ne referme la bouche, Aurane tendit la main et des lianes, avec une rapidité incroyable, vinrent lui arracher ses deux canines.
Voilà, vous pouvez maintenant y aller, il est inoffensif maintenant.
Igma et Rivile le déshabillèrent puis elles aussi à leur tour et enfin, elles se jetèrent sur lui pour une nuit torride malgré ses protestations.
Les jours suivant, elles continuèrent leur route avec comme  bagage un vampire peu habillé. Dans les villages, elles prétendaient le conduire chez un seigneur pour obtenir sa prime. Le bruit comme quoi des mercenaires avec un loup géant se promenaient se répandit très vite et bientôt, on ne leur posa plus de question.
Une nuit, un vampire approcha agressivement de leur petit campement.
RENDEZ MOI MON BIEN AIMER !!!
Et en quel honneur ? il ne s’est jamais plaint avec nous.
La femme toisa Aurane mais elle ne pouvait pas voir le sourire sadique sur les lèvres d’Aurane.
IL S’AGIT DE MA MOITIÉ, RELACHEZ LE !!!!
Sur ces mots et devant l’hystérie de la vampire, Aurane tendit la main et une pointe acérée en sortit, elle se prolongea jusqu’à la gorge du prisonnier.
NON !!!
Volie ne réfléchit plus, elle prit une position d’attaque, se transforma en furie et sauta en direction de la petite forme qui lui tenait tête. Elle ne la toucha cependant pas. Elle fut arrêtée à quelques centimètres. Elle sentait la paume de la fille entre ses deux seins mais c’était tout. Elle baissa la tête et vit sur le bras de la fille son sang se répandre. Elle se laissa ensuite glisser vers les profondes ténèbres. L’homme hurlait, il voyait le pique qui avait transpercé sa compagne sans qu’il ne puisse rien faire. Il avait voulu se lever mais le pique sur sa gorge s’était rapproché alors, il restait assis, contre cet arbre impuissant.
La fille fit disparaître le pique de la poitrine de sa compagne mais d’étrange liane empêchèrent le corps de tomber au sol. La fille embrassa ensuite sa compagne et à son grand étonnement, sa compagne qui quelques instant auparavant lui rendit son baisé, longuement en la serrant dans ses bras.
Si tu m’aime, tue ton ancien compagnon et devient mienne.
Sur ses mots le pique sous sa gorge rentra dans la paume de la fille qui était maintenant visage découvert et c’est en l’examinant que l’homme compris qu’il allait mourir ici d’une manière ou d’une autre.

Dernière modification par Harley Queen (2016-12-30 20:33:07)

#8 2016-12-31 17:36:31

Aurane

Re : Les préripéties d'Aurane

Volie s’était laissée emportée par les douces ténèbres mais elle avait senti une main la tirer et elle s’était sentie retourner dans son corps. Elle était en train de se faire embrasser par quelqu’un et tout son être était rempli de chaleur, elle sera donc cet inconnu et lui renda son baiser. Elle entendit donc la voix et constat que celui qui la rendait si joyeuse était la fille qui l’avait précédemment tuée. Elle fut d’abord confuse puis en entendant sa voix, elle sut que c’était elle qui comblerait à jamais sa vie. Elle regarda donc celui qu’elle lui demandait de tuer et reconnu son ancien compagnon, elle le regardait avec mépris car il lui avait menti. Elle s’approcha, prit son menton et tira violement dessus ce qui arracha la tête. Elle revint ensuite dans les bras de sa moitié, l’embrassa pour ressentir de nouveau cette sensation de flotter dans les airs. Elle était à peine plus grande d’une demi-tête qu’Aurane bien qu’elle ait eut atteint sa maturité lors de sa transformation il y a de ça vingt ans. Elle passa la nuit dans les bras de celle qu’elle appellerait à jamais Moitié.
Aurane avait pronocé ces paroles en l’air mais voyant volie s’exécutée, elle sut qu’elle pourrait lui faire confiance dans toute circonstance. Lorsqu’elle revint et qu’elle la prit dans ses bras pour l’embrasser de nouveau, elle se laissa faire et lui rendit même son baiser.
Le groupe continua d’avancer mais il rencontra plusieurs petits problèmes notamment avec Volie car si elle ne buvait pas une bonne rasade de sang chaque semaine, ses yeux devenait rouge et se voyait dans la nuit. Igma et Rivile se chargeaient donc de ramener un homme régulièrement et celui-ci était vidé de son sang par Volie. Elle et Aurane vivait un amour qui se montrait presque embarrassant pour les autres qui trouvaient cela contre nature mais ils savaient ce qu’ils risquaient si il se révoltait contre son autorité ou qu’ils se révoltent contre son autorité.
Ils finirent par arriver dans une grande ville et ils décidèrent de laisser Ganja et Aethalion à l’extérieur avec la louve pendant que le reste allait chercher la carte de la topographie d’Okord.
Elles entrèrent donc dans la ville et elles furent stupéfaites de la pauvreté qui y régnait. Mais elles constatèrent que plus on avançait vers le centre de la ville plus les gens étaient riches. Elles finirent par arriver devant la bibliothèque mais on leur refusa l’accès car elles ne pouvaient fournir de titre d’appartenance à la province. Elles se renseignèrent donc à comment obtenir ce titre.
Il fallait remplir plusieurs conditions et se plier aux exigences de la ville à savoir :
-chaque mois, verser le tiers de ses revenus
-au moins une fois par semaine, recevoir la visite d’un « procréateur », facilement reconnaissable à leurs marques sur le front et leurs toges blanches. Si l’on était avec un compagnon, cet homme devait vérifier si le couple serait capable d’avoir une progéniture.
-résider au moins un an dans la cité.
-enfanter d’au moins un enfant par famille.
Ces conditions étaient tout simplement ridicules mais il fallait s’y plier. Aurane signifia au groupe resté à l’extérieur que cela prendrait plus de temps que prévu. La louve fut très peinée par cette nouvelle d’être privée de sa maîtresse si longtemps.
Ainsi, Igma, Rivile, Volie et Aurane allèrent s’enregistrer sous le même nom auprès de l’intendant. Elles se virent attribuer trois « procréateurs »  avec leurs jours de passages pour chacune d’elle. Elles se virent aussi attribuer un métier de force. Igma fut soigneuse, Rivile dû aller travailler dans la mine de pierre, Volie devint tisseuse et Aurane fut chargée de l’intendance auprès du gouverneur.

#9 2017-01-02 15:13:22

Aurane

Re : Les préripéties d'Aurane

Igma, Rivile, Volie et Aurane avait pris deux chambres séparée dans une auberge miteuse. Igma et Rivile vivaient donc dans l’une d’elle et Volie et Aurane dans l’autre. Aurane et Volie purent donc profiter de toute l’intimité d’une chambre pour elle deux.
La première visite du « procréateur fut assez spéciale. Il se présentât à elle sous le nom de Frederic. Il leur demandât d’enlever leur tenue et de se mettre côte à côte devant le feu. Il s’assit donc dans le siège miteux et les regardât se déshabillée. Une fois cela fait, il les regarda de loin puis s’approcha pour les palper. Après de longues minutes de réflexion, il dit à Volie :
Toi, la plus grande, je commencerai par toi. Vient, avance.
Volie s’avança donc et l’homme la souleva directement par l’entre jambe une fois qu’elle fut à sa portée puis il plaqua sa bouche contre la sienne et partit en direction de la chambre. Aurane regardais cette scène en ayant envie de briser la nuque de cet homme indélicat mais elle se retint car elles devaient absolument consulter la carte. Après une heure, Aurane vit Voie et Frederic sortir de la chambre, Volie toujours nue et Frederic, habillé.
Demain, c’est ton tour ma petite, soit prête et préparée pour mon arrivée.
Dès qu’il fut patit, Aurane se jeta au coup de Volie et murmura :
J’ai peur de sa brutalité pour demain, t’a-t-il fait mal ?
Je ne sais pas te répondre car j’ai l’habitude des hommes. Mais ne te prends pas la tête et pense à moi pendant qu’il travail.
Sur ce, elle lui prit le bassin pour la monter au même niveau qu’elle et l’embrassa. Voyant qu’elle avait besoin de réconfort, elle emmena Aurane dans sa chambre et passa la nuit avec.

#10 2017-01-03 12:45:06

Aurane

Re : Les préripéties d'Aurane

Le lendemain, Aurane était nerveuse et appréhendait ce qui allait se passer au soir. Mais elle ne pouvait rien n’y changer et chaque seconde qui passait la rapprochait du moment fatidique.
Le soir arriva et elle rentra chez elle, Volie l’y attendait. Elle la déshabilla et se frotta un peu contre elle puis elle frotta son nez contre celui d’Aurane sachant que cela l’apaiserait. Juste avant de partir, elle lui susurra de penser à elle et ensuite, elle partit. Peu de temps après son départ, Frederic entra dans la chambre, il enleva d’un geste sa toge et il retira la couverture du lit. Aurane sursauta quand il commença à la masser ses cuisses. Elle prit peur lorsqu’il s’allongea sur elle et qu’elle commençait à sentir ses mouvements de bassin. Il plaqua ensuite sa bouche contre la sienne et elle sentit la langue de Frederic tourner dans sa propre bouche. Elle ferma les yeux et pense à Volie ce qui lui permit de subir la séance avec moins de peine. Elle sentit à peine le jet chaud qui terminait la séance.
Tient, une vierge, ça faisait longtemps que l’on ne m’en avait pas donné. La prochaine séance sera beaucoup plus dur pour toi ma pauvre.
Il se rhabilla et partit. Quelques instant plus tard, Volie entra dans la chambre et sans un mot, embrassa Aurane, fit voler la couverture jusqu’à elles et passa la nuit dans ses bras.
Plus le temps passa, moins Aurane appréhendait le moment de l’acte et bien que Frederic innovait à chaque rapport, elle s’habituait. Elle commençait même à connaitre Frederic en discutant avec lui. Il ne faisait plus de séances individuelles maintenant, il les prenait en même temps dans le salon. À la mi année, le ventre de Volie se mit à gonfler un peu. Frederic se concentra donc plus sur Aurane mais sans succès.
De leur côté, Igma et Rivile passait de merveilleux moment avec leurs procréateurs. Il s’était vite avéré que un homme par semaine ne permettrai pas de satisfaire les deux femmes alors, elles en avaient deux chacune. Rivile, qui travaillait à la mine, gagnait en muscle. Dès le début elle portait la même charge que les hommes les plus forts, mais maintenant, elle portait le double de l’homme le plus fort. Elle avait déjà blessé un de ses procréateur tant il ne la satisfaisait pas. Il avait donc atterri chez Igma chez qui il restait maintenant.
Rivile finit par tomber enceinte peu de temps après Volie. Quand elle arriva à la moitié de sa grossesse, ce fut Igma qui tomba enceinte. Malheureusement, lors d’un accident de chantier, Rivile fut ensevelie sous des tonnes de gravats et on ne la dégagea qu’après deux jours et malgré tous les efforts des guérisseurs, l’enfant qu’elle attendait était mort. Igma connut un sort encore plus tragique, elle soignait un soldat blessé et refusait fermement ses avances car elle avait tout ce qu’il lui fallait chez elle. Dès qu’il put, le soldat, excédé par tant de refus d’une femme si jolie, la poignarda au niveau du ventre, trente fois. Le ventre était tellement ouvert qu’on put retirer l’enfant tailladé de toute part. Mystérieusement, Igma survécu ce qui lui valut le titre de miraculée.
Seul Volie mena donc sa grossesse à terme mais le petit montra vite un appétit plus vorace que celui de sa mère. On du donc le jeter au feu et on prétendit à un accident. Il arriva aussi un malheur à Frederic à cause du petit, en effet, le petit lui avait brisé la nuque et lui avait sucé une grande partie du sang. Aurane réanima donc le corps et organisa la mise en scène pour une chute depuis la fenêtre ouverte.

#11 2017-01-04 14:11:11

Aurane

Re : Les préripéties d'Aurane

Au vu des pertes dans leur « famille », on leur accorda le titre de citoyenne et elles purent donc aller consulter la carte nouvelle. Force était de constater que beaucoup de chose avait changé, des montagnes était sortie de terre et des fleuves trouvaient leur source bien plus haut dans les montagnes. Après avoir consulté la carte et l’avoir habillement dérobée, afin d’avoir des points de repère.
Il ne restait plus à Aurane que deux objectifs à accomplir, sacrifier trois cent jeunes hommes et tuer les quatre traitres. Elle décida de commencer par découvrir les quatre identités des traitres. Elle y réfléchissait mais sa réflexion fut interrompue par Tradja qui lui bondit dessus et qui la lécha au visage réclament des caresse.
Oui, je sais je t’ai manquée mais toi aussi tu m’as manquée.
Elle maitrisa la joie de l’animal à grand peine puis posa un baiser sur son museau avant de se hisser sur la tête avec Volie. Elle revit aussi Ganja et Aethalion mais voyant leur bonheur ainsi déborder, elle leur adressa à peine un regard.
Elle reprit le cour de ses pensées pendant qu’ils remontaient vers le nord. Elle pouvait facilement en identifier un, le strolatz qui avait tiré son carreau depuis la balustrade. Elle respira profondément et fit sortir son esprit de son corps. Elle retourna dans le passé, au moment du mariage, elle regarda l’endroit d’où allait surgir l’homme une fois qu’elle le vit, elle s’imprégna de son essence et de son visage. Elle réintégra ensuite le présent et se mit à voler au-dessus du continent à la recherche d’une concordance. Elle arriva sur un champ de bataille et vit le corps du strolatz à terre, à moitié enseveli sous d’autre corps. Elle allait réintégrer son corps mais elle capta une faible résonnance. Elle se dirigea donc vers elle et elle vit un enfant, dans les bras de sa mère, dans une petite ville pouilleuse.
De retour dans son corps, elle chercha leur destination sur la carte et planifia leur voyage.
Il va nous falloir des armures, des armes et beaucoup de terreur. Nous allons nous attaquer à une forteresse.
Sur ses mots, ils continuèrent pour ne s’arrêter que dans une petite grotte pour se reposer.
Ils repartirent et continuèrent leur chemin. Le nombre conséquent de bandits qu’ils croisèrent leur permirent de constituer une réserve de sang pour Volie. Ils en avaient capturé une trentaine qu’ils transportaient dans une roulotte. Mais ils étaient plus lents et les attaques furent donc plus nombreuses.
Oh, de la caravane, arrêtez-vous, vous êtes cerné et nous sommes six fois plus nombreux.
En effet, ils étaient une trentaine.
Et sous quel autorité nous arrêtez-vous ?
Aurane en avait plus qu’assez de se faire arrêter toute les lieux. Elle s’élança en l’air et resta suspendue. Le vent se leva autour d’eux ce qui découvrit la tête d’Aurane laissant voir des yeux aux multiples couleurs, les tatouages menacent sur ses paumes et des canines proéminentes naissantes. Soudain, des lassos partirent de ses mains et chaque fois qu’elles touchaient un bandit, celui-ci se transformait en une magnifique statue de pierre recouverte de lierre. Elle en terrassa vingt-neuf comme cela et laissa les quatre survivants s’échapper.

#12 2017-01-05 13:25:51

Aurane

Re : Les préripéties d'Aurane

Ils ne furent plus jamais arrêtés car le bruit courrait qu’une sorcière, montée sur un loup géant escortée de six personnes transportant des prisonniers qui étaient invincibles s’était propagé comme neige au soleil. Ils arrivèrent en vue d’une ville entourée de ses murailles. Aurane les arrêta et se dirigea vers un petit bois.
Bien, il va falloir s’équiper correctement.
Elle prit sept pierres et les lança sur ses compagnons. Dès qu’une pierre leur pierre les touchait, une armure apparaissait, elle était noir et apparaissait comme lourde mais elle possédait une certaine souplesse et protégeait ainsi toute les parties du corps avec une incroyable résistance. De son côté, la robe d’Aurane se transforma en cuir noir épais et dur, ses manche reflétait les lumières mais était toujours en tissus et sa capuche prit le même aspect.
Ganja et Igma, vous me trouvez cette famille. Elle projeta la vision de la famille qu’elle voulait qu’elles trouvent.
Rivile et Volie, vous semez la terreur dans la ville après que je vous aie donné le feu vert. Aethalion, tu montes sur une tour et tu me donne un point sur la situation et son évolution. Tradja, tu m’amène à la porte. Volie, tu as le droit de tuer tout de manière sanglante et de boire autant de sang que tu veux sauf de ceux dont j’ai donné le signalement.
Tous allèrent se mettre en place, Igma et Ganja sur une partie de la muraille prêtes à la franchir dès que l’attention serait détournée, Aethalion faisait déjà son compte rendu et dénombrait une cinquantaine de gardes, Rivile et Volie avaient déjà dégainé leurs armes prêtes à fondre dans la ville.
Aurane s’avança donc et héla un garde devant l’entrée :
Oh, de la porte, c’est possible d’ouvrir ? Je veux parler au chef.
Le chef n’est pas…
L’homme fut transformé en statue de pierre et brisé en deux par une sorte de corde sortie de la femme. Les autres soldats se concertèrent et désignèrent l’un d’eux pour aller chercher le capitaine. Celui-ci arriva accompagné d’une trentaine d’autres gardes armés d’arc pendant que le reste des gardes en ronde sur la muraille venait se mettre en position défensive derrière la lourde porte.
Je suis le capitaine Fake, que nous voulez-vous meurtrière ?
J’aimerais rentré pour amener quelques prisonniers et rencontrer le seigneur de ces terres pour une affaire personnelle.
C’est donc vous la tueuse de chasseurs. Désoler mais la ville est fermé la nuit pour éviter aux voleurs et tueur ou étranger qui ne montre pas son visage de rentrer et notre seigneur dort actuellement. Maintenant partez ou je vous chasse à coups d’arc.
Comme la femme ne bougeait pas, il fit un signe à un de ses archers de décocher une flèche dans le bras de la femme. La flèche vola et rebondit contre la manche de la femme.
C’est bon, vous avez fini vos déboires ? je peux entrer maintenant ?
ARCHER, EN JOUE !!! FEU !
Une trentaine de flèches partirent. Aucune de celles dirigée vers la bête ne s’enfonça dans la chair et seulement celles qui arrivait directement vers la femme rentrèrent dans l’armure mais tellement peu qu’elles tombèrent toutes seules sans que la femme ne fasse un mouvement. Une deuxième volée partit puis une autre et encore une autre, les archers vidèrent leurs carquois puis descendaient rejoindre les lanciers en bas en dégainant leurs épées courtes. Il ne restait à côté du capitaine Fake qu’un archer possédant encore une flèche et la femme n’avait toujours pas bougé.
Vise bien la tête petit, c’est la seul façon de nous débarrasser de cette femme.
Il se concentra, visa et tira sa flèche qui vola directement vers la tête de la femme mais juste quand la pointe entrait sous la capuche, la femme saisit d’un coup vif la flèche ce qui l’arrêta net.
A mon tour maintenant.
La femme descendit de sa créature qui partit en direction des bois et s’avança vers la porte. Le capitaine ne la vit plus car la muraille la cachait de sa vue. Il descendait pour rejoindre ses hommes et il entendit un énorme bruit, comme si un bélier défonçait la porte. Il arriva en bas et vu cinq hommes qui tentaient de retenir la porte de leur mieux. Un deuxième coup se fit entendre et la porte vola en éclat. Les cinq hommes qui tentaient de la retenir furent projetés au-dessus de sa tête. Il hurla ses ordres et les autres resserrèrent les rangs. Il souffla ensuite dans le cor qui pendait à son coup pour appeler la garde.

#13 2017-01-06 17:08:15

Aurane

Re : Les préripéties d'Aurane

La femme était terrifiante, elle tuait tout, de la manière la plus sauvage et rien ne semblait pouvoir l’arrêter. Elle avançait lentement en flottant dans les airs et en tuant tout ce qui se trouvait sur son passage sans distinction. Les gardes chargeaient tant bien que mal mais ils finissaient tous par être coupé en deux ou ils brulaient sur place.
Voyant qu’ils n’arriveraient à rien, ils se replièrent au château et barricadèrent l’entrée du mieux qu’ils le pouvaient, condamnant la population à rester avec la furie.
Igma et Ganja passaient en revue toutes les maisons sans succès. De leur côté, Rivile et Volie s’était séparée. Rivile, avançait seul en marchand et tranchait tout ce qui lui passait sous la main, homme, femme, enfant. Elle tua aussi quelques gardes partis veiller sur leur famille. Volie, tuait aussi tout, de la manière la plus brutale et la plus sanglante en se rassasiant le plus possible. Bientôt, son passage pu être suivit grâce aux giclée de sang sur le sol et les murs. Soudain, Volie croisa la famille qu’ils recherchaient et elle le signala donc à Aurane qui transmit l’information à Igma pendant qu’elle continuait son chemin vers la place forte. Une fois arrivée devant les portes closes du château, elle fit un tour de force.
Les deux cent soldats restant de la garnison attendaient derrière la porte, prêt à défendre leur seigneur. Ils entendirent les martellements s’arrêter sur la porte puis un grand silence. Ils fixaient tous la porte dans l’appréhension la plus totale. Cinq capitaine y étaient passé ils ne voulaient pas non plus perdre les deux derniers. Soudain, une voix s’éleva de derrière eux.
Pourquoi regardez-vous cette porte avec tant d’attention ?

#14 2017-01-11 16:04:55

Quandtucomprendratutenvou

Re : Les préripéties d'Aurane

Pause temporaire dans le récit et grand bond en avant.
Je vais expliquer ici pourquoi j'ai changé de personnage.

Il avait la haine, la rage, il voulait semer la mort! Mais il était patient, sournois et il fallait d'abord rembourser les dettes avant de lever une armée pour se venger. Mais avant cela, il fallait qu'il prenne le contrôle du territoire. Chose aisée car il avait la population en poche.
Apogryphe, fils d'Aurane, n'avait pas hérité des traits de caractères de sa mère, il savait beaucoup moins contrôler sa haine.
Il avait participé à une embuscade et en avait réchappé seulement grâce à son sang de vampire. Il avait ensuite participé à une deuxième bataille, celle-ci avait été faites sans rien dire à personne mais elle allait déclencher une guerre. Il a participer à la dernière bataille de l'armée d'Aurane, contre un vicomte lâche et fourbe qui ne répondait même pas aux missives de paix.
C'est dans cette atmosphère qu'il avait grandit, lui, Apogryphe Quandtucomprendratutenvou. Dans la haine d'un seul seigneur, Eolric félon parmi les nobles, pourriture parmi la haute sphère.
Il ne souhaitait qu'une chose, se venger, le mettre à genoux, le détruire, le réduir en cendre.
Il se promenait, dernier rescaper de la bataille et motivait les paysants à le soutenir. Une fois qu'il eut rassemblé de nombreuse personnes, il se dirigea vers l'intendance et fonçant dans le palais désormais déarnit de gardes. Il prit ainsi le pouvoir de sa maison. Il envoya donc le message à sa mère, Aurane, elle et cinq de ses compagnons étaient bannis jusqu'à ce qu'une note contraire leur soit donnée. Désormais, seul Volie pourrait rentrer.
Maintenant, il avait accès à tout et il pût constater l'ingérence des comptes et les faramineuses dettes que sa maison devait.
Il les honnorerait, avec certitudes mais en signalant que cela prendrait plus de temps. Beaucoup plus de temps.
Il arrêta les marchers dans les zones à risques.
Bientôt, il lèverait une armée et il irait se venger.

Voilà mon état d'esrpit actuel. Pour résumer à ceux qui ne suiveraient pas, j'ai embusqué, il y a plus d'un mois d'aujourd'hui, le vicomte Eolric qui n'arrêtait pas de prendre une forterresse à Boudain de Samarie. 'est donc à sa demande que j'ai agi avec grand plaisir. Il a levé 20K de fantassins (oui oui, c'est vrai) et à détruit mon embuscade. Rancunier, il est revenu, un mois après piller 600K d'or, en pleine nuit et pendant l'event des calamités. Ayant acquis une forteresse, lui possédant deux fiefs et son vassal un, je lui ai bien gentillement demandé des les déplacer. Sans même un mot, toujours dans la nuit, il à piller trois fiefs en mettant à bas beaucoup de murailles. J'était en déplacement pour envoyer des renforts, avec mon seigneurs lorsqu'il à embuscer mes deux lieux d'arrivée possible avec 10K de fantassins de chaque côté. Il m'a donc capturer. Voilà l'historique. Et aussi, mon personnae reflètte mon état d'esprit actuel.

Petit rappel, à part MOI et seulement ceux que j'AUTORISE peuvent écrire sur ce topic puisqu'il relate mon rp. Sur cet situation, je n'autorise personne à part moi à poster ici.

Dernière modification par Harley Queen (2017-01-11 16:06:48)

#15 2017-01-11 16:28:34

Quandtucomprendratutenvou

Re : Les préripéties d'Aurane

pour ceux qui veulent des chiffres, au total, perte comprise, Eolric m'a anéanti 1.582.902 or dont 718302 en pillage. Si il me rembourse la totalité, j'abandonne mon idée de vengeance...

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