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#1 2016-09-30 15:43:29

Harley Queen

les ruisseaux de sang

 Récit sur les massacres des fiefs du pauvre seigneur cataplas. 

Il était tard, elle devait aller dormir car ses nerfs étaient entrain de flancher. Elle avait déjà coupé la tête de quatre de ses conseillers. Mais elle devait d'abord aller à une réunion d'ygnir.
Là bas, elle s'assit à sa place habituelle et commença à écouter Aärkan dans un de ses éternel discours de motivation pour rejoindre la caste des forts. Ensuite, ce fut Fée Nyx qui réenchéra puis, d'un coin de la salle on entendit un homme qui aimait se faire remarquer, le baron cataplas. Celui-ci disait: "Mon dieu se nomme Odin, je suis ici par défaut suite a la honteuse absence de culte envers le père des hommes "
Excédée, elle se leva de son siège en pierre et cria, hors d'elle, Vous n'avez donc rien à faire en ce lieux. Je n'en peux plus de supporter vos fantasques récits sur votre force sans aucune preuve, mais vous avez, aujourd'hui dépassé les bornes, vous critiquez notre dieux, celui qui choisit qui doit vivre ou mourir, le maitre de toute chose en ce bas monde. Celui que nous rejoindrons sur les plaines de batailles éternel à notre mort. Vous devez apprendre le respect et je m'en vais de ce pas vous l'apprendre.

Sur ces paroles, elle parti préparer ses campagnes. Le seigneur cataplas habitait loin dans les montagnes mais elle allait quand même aller le chercher. Certes les batailles contre le seigneur Nyrth et sa horde l'avait épuisée mais dans cet état, rien à part des torrents de sang ne pourrait la calmer.

De retour chez elle, elle fit préparer ses chevaux et ils partirent par vague de 100 pour un trajet long d'une journée de chevauchée.
Une fois arrivé sur place, ils procédaient comme tel, on mettait un coffre rempli de pièce et les pauvres bougres se jetaient dessus pour en prendre le plus possible. Pendant ce temps, on bloquait toutes les issues et on encerclait le rassemblement. Puis, avec les longue lances, on commençait à embrocher le malheureux qui ne pouvaient fuir nul part. Une lance pouvait contenir entre 20 et 25 corps qui une fois enfoncés, ne pouvaient pas s'en libérer. Ensuite, on chargeait les lance entre deux chevaux et on repartait chez soi.
Elle partit en compagnie de ses 100 chevaliers mais elle fut déçue car on avait fait évacuer le village. Il ne restait sur place que deux garçon juste en âge de se saisir d'une faux. Comme ses guerriers avait enlever leurs casques, ce qui laissait voir la tête squelettique, les enfants se jetèrent dans les bras d'harley, seul visage humain de cet masse. Ils lui demandaient de les garder en vie, qu'ils sauraient se rendre utile. Elle descendit de cheval et leur ouvrit ses bras et ils s'y réfugièrent immédiatement. Elle leur chuchota qu'ils ne leur arriveraient rien et d'un coup sec, brisa leur nuque d'adolescent.

 Je laisse Cataplas écrire une suite. 

#2 2016-10-08 22:53:47

Cataplas

Re : les ruisseaux de sang

La hache s'abattit une nouvelle fois.
Une autre buche fut fendu et rejoignit ses semblables.
Cataplas s’arrêta un instant, il n'entendais plus un bruit. Il se redressa et aperçus ses hommes en immobiles, tous avaient abandonné le travail et s'étaient réuni.
"Alors les tantouze déjà fatigué? ,s'entend t-il dire
-chef? on a un problème" lui répondit Gnorfok , son second.
Ce dernier tendit le doigt. Cataplas regarda dans al direction montré, il aperçut au loin un rangée de cavalier se dirigeant vers le village, bien en rang, paré pour la guerre.
"ben quoi? On a juste à leur tailler le gras du bide ou est le soucis?
-Chef utilisez votre cerveau pour une fois, ils sont une bonne centaine on a aucuen chance, on est même pas équipé"

Le baron s'esclaffa. Il regarda son torse nu, couvert d'une fine pellicule de sueur, puis brandit sa hache a bois.

"Quoi? tu a peur?"

Puis sans même se préparer il commença a courir dans les bois en direction de la troupe lointaine, le sourire aux lèvres. Gnorfok jura, il couru attraper le peu d'arme que les bucherons avaient emmené et les distribua en même temps que toute arme de fortune qu'il pu trouver. Il hurla alors à la vingtaine d'homme réunie:
"Ok les gars , vous avez entendu le chef? on y va ! Le premier qui fui on le pend! En formation plus vite que ça, ou il va rien nous laisser"
Il brandit a son tour son arme et essaya tant bien que mal de rattraper le guerrier furieux.
Alors qu'il courrais, Cataplas sentit la rage l'envahir, sa vue se brouillais , son sang tapais sa tête comme une furie.
Il accueilli la folie avec bonheur... et sorti des bois au milieu du groupe d'attaquant.
Puis il se déchaina.

#3 2016-10-09 12:04:27

Harley Queen

Re : les ruisseaux de sang

Le chef de la troupe avançait, il en avait marre de cette mission, il était le seul être humain des 100 cavaliers donc, personne pour parler avec lui et surtout, ils progressaient à l'aveuglette. Les espions n'avaient pas voulut bouger leurs culs jusque là.
En même temps, on  peut les comprendre. 1 jour pour l'aller et 1 jour pour le retour... quelle plaie.

Ils arrivèrent devant des murs et il ne surent pas quoi faire car les chevaux montaient pas encore verticalement.
Et après, une vingtaine d'homme leurs foncèrent dans le dos. Il fut tellement prit de court et surpris qu'il n'ordonna même pas de se défendra et il regarda l'armée se faire tailler en pièce sans qu'elle ne bouge un doigt. Un homme arriva devant lui, la folie se voyait dans ses yeux, il ne portait qu'un pantalon. Il semblait dessue de ne pas voir de sang et il tranchait ce qui lui tombait sous la main.
Mais lorsqu'il trancha le pauvre chef, toujours aussi abasourdi, un sourire se fit voir car le corps vola jusqu'à ses murailles en les peignant de sang frais.

#4 2016-10-09 22:36:39

Cataplas

Re : les ruisseaux de sang

Le corps vola par dessus la monture avant de retomber à terre.

"Du sang ,murmura Cataplas, du sang"

Ses yeux semblèrent s'illuminer, emplit d'une joie sauvage, il se précipita vers le corps et abattit une nouvelle fois son arme dessus, sectionnant à moitié la tête du défunt.

"DU SAANNNG"

Sa voie s'éleva au dessus du brouhaha de la bataille.


"DU SANG DU SANG DU SANG"


Il hurla comme un dément et son arme frappa à nouveau, finissant de décapiter le mort, aspergeant par la même occasion la barbe du guerrier d'une nimbée de sang.

"DU SANG DU SANG"

L'homme à la hache s'énerva de plus en plus et se mit a s'acharner sur le cadavre.

"DU SANG"

Il frappa encore et encore ,  il avais depuis longtemps perdu le controle de son corps et continua ainsi à frapper en hurlant pendant ce qui lui semblais un éternité.
Puis sa conscience commença doucement a s'éveiller. Il sentit tout à coups la fatigue l'envahir, son bras le brulant d'un façon qu'il n'aurais jamais cru possible.
Il chancelât sur place , puis toutes se forces le quittèrent. Il s'affala à terre comme un sac jeté avec négligence.
La respiration sifflante , sa vue s’éclaircit enfin à mesure que la folie s'en allais.
Il constata avec étonnement que la nuit étais venue.
Il tourna la tête comme il pu, le corps de sa victime ne pouvais plus vraiment être reconnu comme tel, il ne restait que des lambeaux de chair éparpille sur une énorme flaque de sang.
Au loin les autres corps avaient déjà été regroupé et finissaient de se consumer sur un bucher, le groupe de guerrier victorieux aussi semblais absent.
Combien de temps étais-il resté dans cette léthargie?
Il sentit la fatigue encore plus pesante l'envahir, il tourna encore la tête et s'aperçut que Gnorfok était resté pour veiller sur lui.
Ce dernier s'approcha.

"Ça va chef ? vous me semblez mal en point
-j'ai faim , murmura Cataplas
-vous semblez plus fatigué qu'affamé
-J'ai faim"

Gnorfok rigola.

"Je sais chef, je sais"

Il sortit un morceau de viande à moitié cuite et la tendit à Cataplas qui la dévora.

"Chef si je puis me permettre, la prochaine fois que quelqu'un dit "Gloire a yggnir" en face de vous, vous ne pouvez pas juste al fermer et sourire? ça nous éviterais bien des problèmes"

Dernière modification par Cataplas (2016-10-09 23:06:14)

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