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#1 2016-08-08 15:02:55

sorry

La première vague

Il venait d'arrivé, sur ces terres considérée païenne et avait découvert des croyants. Ils n'étaient pas beaucoup mais ils avaient leur mission et elle serait facile à accomplir car dans ce royaume, le commerce d'esclaves était florissant et on trouvait de tout, des hommes, des femmes, des fillettes, des garçons,...

Torgrim faisait partie de la première vague d'une invasion bien plus puissante qui devrait bientôt déferlée, c'était un lieutenant qui vient de contrées très loin dans le nord qui s'était distingué par sa force physique. Il ne s'embarrassait pas des détails et tranchait dans le vif.
Leurs terres allaient mal, très mal, ils avaient de grave problème et le chef l'avait choisit lui pour faire de la reconnaissance et d'envoyer ce dont ils manquaient chez eux,...

-Chef, il est temps d'y aller, nous avons trouvé le camps de ces fuyards.
-Bien, lève le reste du camp et dit leur de se préparer.

Une heure plus tard, lorsque le soleil commençait à peine à se lever que deux cents guerriers se massaient derrière leur chef et devant les petites maisonnées entourées d'une simple palissade en bois et gardée par quelques paysans menés par un chevalier.

Sans un mot, torgrim, dit sorry, s'élança en direction de la porte. à dix pas, elle se referma et quelques flèches fusèrent au dessus de leurs têtes. Certains commençaient à faiblir et il hurla:
-Vous connaissez les ordres et rien ne doit nous empêcher de les accomplir.
Alors, il enfonça la porte sans même ralentir car il se savait suivit par ses guerriers.

Il arriva devant le chevalier qui lui fonça dessus. Sans ménagement il para sa lance et ouvrit le flan du cheval avec son épée. Celui-ci s'écroula juste après. Le chevalier, bloqué sous le poids de sa monture essayait de se dégager mais Torgrim marcha jusqu'à lui et il lui entailla le bras. Une blessure qui n'est pas grave si on la traite directement mais le chevalier n'aura jamais l'aide pour cela car Torgrim ne contait laisser personne.

La bataille se poursuivit et Torgrim coupait des têtes sans arrêt. Quand il ne resta plus aucun défenseurs, ils fouillèrent les chaumière à la recherche des paysans. ils les trouvèrent dans la grange. Ils les en sortir sans ménagement et les femmes furent séparée de leur mari et de leur fils. Elles furent ensuite entassée dans des roulottes pendant que les hommes se faisaient égorgé. Torgrim reprenait les têtes de ceux qu'il exécutait.
La troupe remonta à cheval, sur celui de Torgrim, reposait la plus belle fille du village.

Ils commencèrent à rentrer chez eux mais le voyage serait long.

#2 2016-08-30 14:56:41

sorry

Re : La première vague

Seconde vague
Rentré du raid, torgrim fit la découverte de son supérieur. Elle n'était pas bonne la nouvelle car elle annonçait qu'il était déchu de son titre et que sa vie ne tenait qu'au bon vouloir du nouveau chef. Mais Ralegh n'était pas détendu non plus.

Torgrim, vieux forban te voilà enfin. Que faisais tu? .... Ahh tu ramenais de la viande fraîche. Vient j'ai à te parler.

Torgrim le suivit, seul jusqu'à ses anciens appartements en redoutant ce qui allait suivre.

Les nouvelles ne sont pas bonnes, la montagne s'est réveillée et du feu est sorti de ses entrailles. Fendir est mort et la bataille fut rude pour sa succession, quatre villages ont été rase et les trois derniers on perdu la moitié de leur population.
On a été obligé de partir, ils seront là dans deux jours. Autant te prévenir, c'est ton clan qui est le nouveau clan majeur et chef, sous l'égide de Harley Queen.

L'esclave, tu en est sur? On l'a pourtant bien défoncée avant de partir. Comment elle a fait?

On l'avait mise comme trophée, attachée à un mur pour le gagnant comme elle est jeune et n'a pas encore d'enfant. Elle a arraché ses liens de la pierre, à prit une hache et a commencé à écarteler tout ceux qui se trouvait sur son chemin. Une vraie force de la nature celle la. Elle a soumit tout ton village et ton clan. Ensuite, elle a raser deux armée avec la poignée qui restait, détruit les trois villages perdu en prenant les survivants à sa botte puis on est parti. Mais apprête toi à avoir un choc. la rumeur veut qu'elle soit de cette région. Mais personne ne peut le vérifier puisqu'elle à tué tous les marchands d'esclaves et son ancien maître.

Dernière modification par Harley Queen (2016-09-09 16:01:15)

#3 2016-09-09 15:53:48

Harley Queen

Re : La première vague

-Ahhh te voilà enfin moribond, ou étais tu? On m'a rapporté pas mal de chose qui me déplaise fortement. Gardes mettez le au cachot et coupez lui deux doigts. ça lui apprendra à attaquer sanglan von festung et à ne pas avancer, tu devais créer dix tête de ponts, j'en compte 5 c'est pas grand chose.
Je vais discuter avec tes lieutenants et on va voir si tu gardera ta tête sur tes épaules.

-Mais laissez moi m'expliquer, laissez moi vous prouver que je n'ai pas chômé, j'ai travaillé dur pour...
-Suffit, qu'on le mette hors de ma vue. Ton sort sera réglé au matin.

Sur ces ordres, ont mena Torgrim dans le trou miteux qu'il avait lui même fais construire et sécurisé. Il savait très bien qu'il était inutile d'essayer de s'en échapper car c'était impossible.

Le lendemain, il fut amené sur la place publique ou l'attendait le billau.
Sur l'estrade, l'attendait Harley, en tenue de bourreau, une lourde hache à double tranchant posée devant elle.
à coté, il y avait un tronc de bois et devant un seau. Torgrim sut qu'il ne verrait pas une autre nuit.

-Suite aux actes de hautes trahison qui ont pu être démontré, suit aux actes de lâcheté qu'a put faire le premier missionnaire Torgrim, la décision est la mort par décapitation sans équivoque.

Après sont discours, ont fit agenouiller Torgrim puis on lui mit la tête sur le tronc et d'un coup sec, Harley lui coupa la tête comme si elle coupait du beur.
Elle sortit ensuite sa dague et éviscéra le malheureux en prenant son cœur et en le mangeant.

Plus tard dans la journée
Harley jouait avec la tête de ce pauvre homme mort comme un chien et d'un coup, elle fit venir l'intendant.
-Fait parvenir cette tête à sanglant et faite lui savoir qu'un fort oublier est revenu de très loin à rendu justice et qu'il pourra dorénavant compter sur nous.
Elle jeta alors la tête aux pieds de l'intendant et lui fit signe de se retiré et d'accomplir sa volonté. Ainsi parti un messager vers les terres de son nouvel allier.

#4 2016-09-10 10:03:02

Sanglant Von Festung

Re : La première vague

L'été.

Ça pue la merde, l'été.
Dur de cacher cette odeur infecte d'égout qui remontait les tunnels, qui s'écrasait contre les pavés verdâtres et usés de crasse des souterrains. Là, dans l'obscurité et la puanteur, ruisselaient entre les cadavres des eaux chargées de purin. Peut-être faudrait-il un jour cesser d'encombrer les égouts avec les dépouilles des esclaves invendus ou révoltés ? Et puis quelle idée d'assécher la région en inondant les canaux pour mieux faire disparaître les marécages ? Pourquoi cela devait-il infecter, suinter, fouetter de la sorte ?

Gerhard "Sanglant" Von Festung en avait plein le nez, oui, ça venait directement lui remuer les entrailles en passant par l'appareil nasal, en le défonçant, cette odeur infernale. Et la chaleur n'arrangeait rien. Après avoir péniblement tracté des chars de corps décomposés sous le soleil printanier  après sa libération, à la bataille de Karst, Gerhard revenait chez lui, et comble de l'horreur, il était accueilli par les effluves pestilentielles de la ville.


- Qu'est-ce que c'est que ce colis ? Il sent si bon !
- Il est arrivé pour Messire Gerhard hier soir. C'est certainement des fruits, vu l'odeur.
- Le voilà qui arrive.

Sanglant entra dans la pièce surchauffée par l'Astre de plomb, d'un air morne...Endormi. Maigre et pâle, il n'était vêtu que de chausses roses extravagantes, ce à quoi étaient habitués les deux intendants qui parlaient quand il arriva auprès d'eux. Son corps nu était couvert de plaies, la moitié d'entre elles infectées encore. L'un d'eux nota les longues poches, ces bourrelets violacés qui pendaient de ses yeux cernés.

Il demanda à ce qu'on le laisse seul avec le colis. C'était un coffre sans valeur, rustique et grossièrement taillé dans du bois de sapin. Il semblait venir d'un pays lointain et inconnu tant sa forme était originale. Il en exhalait un parfum délicieux.
Il huma la douceur qui contrastait avec les émanations urbaines et guerrières des derniers jours.
Il observa le coffre...

Il l'ouvrit.

Il sourit.
Puis on l'entendit murmurer doucement :

- Torgrim, vous savez bien que j'obtiens toujours la tête de mes ennemis.

Puis il disposa soigneusement la tête sur son bureau, conservée avec du sirop de fleurs parfumé, et entama une contemplation macabre.

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