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#1 2015-08-31 14:36:42

katan

Le défi

Je voyais mon père tourner en rond depuis quelques jours, j'ai aussi remarqué que des troupes de plus en plus volumineuse arrivaient de nos terres lointaines et chèrement conquise.
Au cours du repas je demandai à mon père, le seigneur Wellan de Katan:
"Qu'avez vous en ce moment père, vous paraissez anxieux.
-Cela ne te concerne pas, fils.
-Mais j'ai maintenant l'âge de partir au combat père.
-Certes mais tu n'est pas prêt. Arrête de parler de cela ou tu finiras comme a dernière fois."
Ne voulant pas me donner l'information, j'ai été trouver son chef d'état major et j'appris que suite à un débat avec un criard, un défi avait été lancé et qu'il allait e relever avec les moyens qu'il possédait. Voulant prouver ma valeur, je demandai au chef de préparer les troupes pour un départ à l'aube.
Je me rendis à la taverne et je payé un manant pour me trouver  la position d'un sir leroux.
La réponse me vint à l'aube et avant que mon père se lève, je parti avec l'entièreté des troupes présentes.

La bataille

Après de long jour de marche, nous sommes arrivés. Je  pris place sur la petite bute à coté du fief, placer les archers derrière moi et j'ordonnai le feu.
Aucune réponse de la part de nos ennemi or, on nous avait signaler un rassemblement. Nous attendions donc, j'ai fais placer les lanciers juste derrière la première ligne  d'archer.
Devant l'inaction de nos adversaire, j'ai ordonné au trébuchet de pilonner les murailles.
Quand le donjons fut tombé, des centaines de cavaliers nous foncèrent dessus. Mais j'avais prévus cette éventualité et quant ils commencèrent à monter la colline, je menai la charge avec nos deux cents cavalier. Avant de nous heurter, les cavaliers firent demi tour. Nous avons donc pénétré dans la ville et nous les avons pourchassés.
Arriver de l'autre côté de la ville, nous virent des villageois qui avaient une peur bleue et nous avons donc décidé de rebrousser chemin.
Excuser moi pour l'écriture hasardeuse mais il n'est pas facile d'écrire et de conduire sa monture en même temps.

Le chef de l'état major.
C'est une catastrophe, nous avons tué le successeur.
Nous l'avons vu charger et lors du retour de cavalier, nous avons cru à des ennemis. Les flèches sont parties et cinquante cavaliers sont tombés sous les traits avant que nous puissions voir l'étendard. Nous nous sommes rué à leur secours mais j'ai retrouver le prince baignant dans son sang avec trois traits dans la poitrine et un autre dans la tête. je n'ose pas penser au retour et surtout quand je vais faire mon rapport.

Constat:
Le seigneur Wellan de Katan
Les troupes sont rentrées et c'est le lieutenant qui est venu me faire le rapport en le complétant avec les deux journaux personnels. Le chef de mon armée est partit et la dépouille de mon fils m'a été ramenée. J'ai remboursé les frais de destruction au Baron Leroux, un homme rusé et honnête avec qui j'ai convenu de cela. J'espère qu'à l'avenir, mon second fils sera plus raisonnable que son frère.

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