La sainte sorcière

Inquisitrice Hildegarde · 2025-02-26 15:08:23

https://www.youtube.com/watch?v=Jmnp0xV2P3E

d’après la rumeur, une flotte osterlichoise arriva au port de la boussole sur le fief d'Antipolis, à son bord se trouvais l'inquisitrice Hildegarde appartenant à une confrérie de nonneja, et la première qu’aurais fait la nonneja, c’est envoyé une lettre à une autre nonneja

Inquisitrice Hildegarde a écrit :

Chwala Podeswa, chère consoeur, je suis bien arrivé là où vous m’avez recommandée de venir, il semblerais que ce peuple soit effectivement prêt à se convertir à la lumière de Podeszwa.
Notre saint Baldir a bien présenti la soif de terre des okordien, nous allons les convertir à l’unique, bientôt tout okord se transcendera dans la lumière du soleil infini.
Et pour les recalcitrants, un coup de marteau suffira quand nous aurons la majorités des okordiens avec nous.
Nous venons avec des guitares, et des chants de paix, qui plaisent tant à ces okordiens pacifique.
Je leurs ferais voir les miracles de l’unique, Okord deviendra Osterlich !
--
Le soleil, ce si beau joyaux des cieux, il rayonne de mille feu, Podeszwa, rayonne sur le royaume des hommes, puisse-t-il rayonné dans votre coeur
Hildegarde

une deuxième lettre cryptée accompagnée la première

pendant ce temps la flotte dégueula 10 000 milles hommes avec des guitares sur le fief d'Antipolis, qui chantèrent de magnifique chants religieux dans des mélodies magnifiques, toute la journée, une harmonie orchestrale fût offerte au peuple okordien, jusqu'à la nuit (1)

guitare

puis, une fois la nuit tombée, la légende raconte que l'inquisitrice accomplis un miracle devant les yeux ébahi du peuple d’Amara, cette dernière ce serais envolée dans les cieux, telle une créature volante (2)

deus ex machina

“regardez Okordiens, ceci sont les anges divins de Podeszwa, ils viennent du ciels, car vous êtes les premiers à vous convertir, soyez heureux, vous êtes choisis !, seuls vous assisterez à ce miracle ! Propagez la bonne parole!”

la femme vola, et autour d'elle volaient des boules des feux qui avaient des formes de créature étrange !

après avoir révélé ce premier miracle aux okordiens, l'inquisitrice alla guérir quelque Okordien grâce aux connaissance en médecine qu’elle avais, elle ajouté ses prières au soins qu’elle prodigué, les soignés se sentait revigoré par l’euphorie d'avoir été soigné par un être qu'ils pensent miraculeux, et se lévé d'un seul coup, malgré leurs conditions de malades, qui prendrais du temps pour être entièrement soigné.

ensuite l'inquisitrice et sa délégation baptisa de nombreux et nombreuses Okordiens, elle demanda aux femmes de devenir des nonneja ce que certaines firent.

elle alla enfin voir Rainer le dévoyé. qui surveillé avec attention le fief d’Amara, les deux protagoniste devaient inévitablement se rencontré au vu de l'événement qui s'était produit sur le fief des tribus d'Amara.

“Okordien, conduit moi à la grande Katadra de Podeszwa, afin que je puisse parler avec mes coreligionnaires.”

Hrp:

https://www.youtube.com/watch?v=jdNhPUXf6Lc

(1), sois disant que pendant la reconquista espagnole 10 000 hommes avec des guitare furent envoyé pour convertir les andalous aux christianisme, malheureusement je trouve aucune source historique corroborant cet événement que j'avais entendu lors d'une convention correligieuse (chrétiens, musulmans, juifs et buddhiste)

(2)si vous avez pas vu le film, "le bon roi dagobert" est un nanar assez drôle

ps: apparemment je suis le seul a avoir vu le film sur le serveur XD

Dernière modification par GrandJarl (2025-03-16 14:18:42)

Inquisitrice Hildegarde · 2025-03-16 03:06:19

https://www.youtube.com/watch?v=qiB98Wbsdlo

la femme, qui répondais au nom d’Hildegarde rentra à Antipolis, où elle y pu observer les autorités autrichienne quitté les lieux après la fin du serment de soumission qui lié le peuple d’Amara à l’Autriche.

Elle aida ensuite les différents Jarls à organisé les derniers préparatifs de leurs migration, qui avais été entreprise plusieurs phases auparavant.

Après plusieurs lune passé sur le fief, une lettre arriva, un décret royal, venant d’un royaume, lequel?, elle lu soigneusement le document officiel, mais n’y répondit pas, elle le préserva précieusement, elle savais que cette soirée serais l’ouverture du sudord.

Elle voulais observer les réactions du royaume, mais décida d’abord de profiter d’une sieste méritée après tout ces voyages

“réveillez vous, réveillez vous ! Ils ont ouvert l’accès à toutes les terres proposées dans les accords !” hurla son page

“quoi?!” elle se réveilla en sursaut, et tomba du lit de surprise !

En quelque heure elle bondit avec un équipage de dignitaire et de jarls accompagné d’une troupes armée dans une corvette diplomatique déjà affrêtée, qui se devais d’être rapide comme l’éclair !

l’important n’était pas de transporter la pierre, les ouvrier ou les serfs, mais bien de déclarer le “preum’s”

le “preum’s”, la tradition okordienne qui veut que toute terre non habitée pouvais être approprié en arrivant et en hurlant sur place “PREUMMMM’SSS !”

alors que les différentes délégations se précipitaient vers les terres Osterlichoise, la corvette se précipita vers la terre qu’Amara avaient demandé lors des accords avec Osterlich.

Après quelque heures à vogué en corvette, ils arrivèrent sur les lieux mais trop tard, un coucou avais pris le nid !

“qu’est ce que c’est que cette sorcellerie?! Comment êtes vous arrivez avant nous?!” beugla Rhod Weiller, le jarl de Clérambar

l’homme était petit, hargneux, hideux, son orbite gauche semblait plus grande que son orbite droite, de tout les jarls il était le plus aggressif, et le moins apprécié, le plus prompt à la guerre

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Thème

Foca

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L’ancienne capitale de l’Illyrie était à feu et à sang. Le départ soudain et inexpliqué des forces d’occupation osterlichoise avait bouleversé la délicate balance des pouvoirs entre les différentes factions de la république.
Non, pas bouleversé. Il avait jeté la balance à terre, et la table avec, avant de danser joyeusement et de piétiner le tout sur le parquet.
Les maisons patriciennes n’attendaient que ça. Les spadassins s’étripaient pour le moindre mauvais regard. Les honnêtes gens se cachaient chez eux pendant que la Bene Gente faisait en une semaine les affaires d’une année, tant les demandes d’assassinats et d’intimidation pleuvaient. La garde urbaine ne savait plus où donner de la tête. Les phalangistes avaient étés mobilisés hors de leurs casernes. Avec tout le tact que l’on pouvait attendre de militaires professionnels, ils mataient les émeutiers avec une efficacité brutale.

Foca Lambizo, Podestat de la République de Camporiago, souriait pourtant. Barricadé depuis deux jours dans le palais de la Podestatie, il regardait fixement les deux lettres déposées sur son bureau, comme si rien d’autre au monde n’existait. Et surtout par les émeutiers qui hurlaient de rage et de douleur, trois étages plus bas, face aux contingents de phalangistes de garde.
Comme s’il venait d’échapper à l’échafaud. Un mort en sursis qui venait d’apprendre sa libération. C’était exactement le sentiment de Foca.

- « Je ne vois pas ce que la situation a d’amusante, Foca. »

Belisario Straga l’observait avec l’assiduité d’un faucon ayant repéré sa proie. Les deux hommes avaient formé un tandem indispensable depuis ces deux dernières années. Le puissant clan du sénateur Straga l’avait porté jusqu’à la Podestatie, puis l’avait soutenu tout le long de son mandat, en échange de fructueux accords au cœur des institutions. Aujourd’hui que le climat politique prenait des proportions terrifiantes, Straga limitait ses pertes. Foca savait que ce n’était qu’une question de jours avant que lui et le sénateur ne se sautent à la gorge. Jusqu’à obtenir cette porte de sortie, reposant sur deux minces feuilles de papier.

- « La situation, Belisario », lui répondit lentement Foca, avec toute la jouissance d’un individu détenant une information vitale, « vient de changer. »

Pour toute réponse, le sénateur haussa un sourcil impatient. Ce dernier avait plus l’habitude d’être l’acteur que la victime de ces petits jeux.

- « Je vais convoquer les dirigeants d’Illyrie pour reformer l’Union. »

Pour l’une des rares fois dans sa vie politique, Belisario laissa pleinement transparaître ses émotions sur son visage. La dernière fois que l’Union Illyrienne avait été déclarée remontait à la Rückeroberung. Une Union brève, au destin sanglant, qui avait rencontré sa fin dans les ruines de Fort Grials.

- « Vous êtes cinglé… » murmura-t-il. Il avança et pointa un doigt accusateur vers la fenêtre, d’où l’on pouvait apercevoir un incendie à seulement deux rues du palais. « Vous ne pouvez pas sortir du palais, et vous voulez convoquer le seigneur de Velatio, de Port-Preux et les Légats des Cités-Sœurs ? »

Foca Lambizo eut un sourire carnassier, se leva en saisissant les deux lettres. Sur la première était visible le sceau royal d’Okord. Sur la seconde, celui du royaume d’Osterlich.

- « Lorsqu’ils connaîtront les raisons de cette convocation, ils ne vont pas se contenter de venir. Ils vont se précipiter. »

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Le port de Camporiago était bondé pour l’arrivée du navire d’Amara. Le guet maritime avait signalé son arrivée, les registres avaient identifié l’étendard, et transmis l’information au palais, le tout dans un temps remarquablement court compte tenu de l’agitation en ville.

Tous les puissants de l’Union étaient présents, déjà à Camporiago lorsque le guet avait signalé le navire. Aussi les six étaient-ils là, à attendre en silence sur les quais. Aucun ne se faisait confiance. Tous étaient venus avec leurs escortes de serviteurs et de gardes. De manière assez émouvante, rien ne pouvait mieux représenter l’Illyrie que cette collection de ministres, serviteurs, chevaliers, spadassins et phalangistes. Un assemblage culturel de bric et de broc, aussi méfiants envers les leurs que les étrangers, et pourtant si fiers de leur identité qu’ils joignaient leurs forces dès l’instant où celle-ci leur semblait menacé.

Le Podestat Lambizo s’était tenu informé des évolutions dans le Sudord. Il savait que les seigneurs okordiens envoyaient leurs troupes se tailler de larges territoires sur les terres abandonnées par Osterlich. Les seigneurs d’Okord n’étaient en rien comparables avec ceux osterlichois, et l’Illyrie était proche du Delta. En d’autres termes, une cible alléchante pour n’importe quel noble ambitieux. Et si Okord manquait de bien de choses, elle avait une surabondance de cette dernière catégorie.

L’Union avait donc préparé sa prestation, et attendait de pied ferme la rencontre qui déciderait de la survie ou non de l’Illyrie sous sa gouvernance actuelle.

Leur première impression de ces okordiens fut un petit homme du nord malformé, désagréable et grossier au possible. Les moins diplomates des Six se crispèrent. Foca Lambizo, lui, s’apprêta à jouer le rôle de sa vie.

- « Qu’est-ce que c’est que cette sorcellerie ?! Comment êtes-vous arrivez avant nous ?!»
- Il faut bien admettre, Monseigneur, qu’il est aisé d’être les premiers arrivés lorsque l’on est originaire de la région. »

Lambizo eut un large sourire, qui montrait toutes ses dents. Malgré les talents de comédien du Podestat, un observateur méticuleux pouvait remarquer que ledit sourire ne montait pas jusqu’aux yeux. Les prunelles observaient le jarl, aussi froidement que celles d’un serpent.
Dans sa main droite, gardée dans le dos, le Podestat avait un rouleau de parchemin, fruit de la collaboration étroite des Six. Un accord, un compromis pour sauvegarder l’autonomie de l’Illyrie. En échange de quoi ? Trop pour certains. Tout à fait acceptable pour d’autres. Exactement ce qu’il fallait pour rester au pouvoir, de l’opinion de Foca Lambizo.

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"Par la présente,
En échange de la vassalisation de l’Union Illyrienne à la Tribu d’Amara, tous les Jarls d’Amara renoncent à leurs prétentions territoriales sur le "Nid", plus communément connue comme "Camporiago".
Tant que l’Illyrie exploitera "Camporiago", tous les Jarls s’engagent à protéger le peuple d’Illyrie, en échange de quoi l’Union Illyrienne s’engage à répondre présente aux osts.
Conformément à la coutume d’Amara, l’Illyrie sera libre de suivre tout seigneur qu’elle souhaite, à la condition qu’elle ne prend pas les armes envers son suzerain.
De même, l’Illyrie est reconnue autonome, et libre de ses décisions diplomatiques.
Sceau d’Amara
Sceau D’Illyrie"

En politicien habile, l’astucieux Foca ne s’était pas contenté de convaincre son peuple de se vassalisé, qui pour les deux maisons n’était surtout qu’une formalité pour évité un conflit larvé qui durerais des ères, d’une malice sans nom l’illyrien ingénieux confia aussi une carte de l’intégralité des terres proposé par Baldir

Hildegarde fût estomaquée ! Les terres offertes proposée plus que ce qu’elle avais imaginé !

Une telle générosité ébranla ses conviction les plus profondes, n’était ce pas là l’étendu de l’estime de Baldir envers le peuple Okordien?

Elle regarda les terres disponible, elle apperçu “l’enclave” [212x113] deuxième emplacement auquel Amara avais pensé, elle lorgna avec intérêt sur les terre de Shalima, mais la tradition Okordienne est sacrée et inviolable.

Toujours choquée par ce qu’elle voyais Hildegarde regarda les autre emplacement, elle avais le vertige, le doute s’emparaît d’elle, elle questionna la réalité même du monde, tant de terre offerte et aucune révolte? Aucun roi, aucun empereur n’avais un pouvoir tel qu’il peut exproprier autant de noble sans risqué une guerre civile

Mais Hildegarde regarda le bas de la carte et s’écria: “le Delta !, le Delta, ils ont laissé le contrôle du Delta !”

Hildegarde doutera plus tard, le contrôle d’un des noeuds fluvial principal du Grand Canal était un enjeux stratégique d’importance d’état !

À travers le Delta, tous le commerce en direction ou venant de Valésiane et de Ressyne y traversé, le moindre embargo sur ce noeud pouvais profondément impacté l’empire qui le subirais !

Évidemment ceci n’inclus même pas la fortune colossale qu’amasserais tous seigneurs se trouvant sur le Delta ou tout autre noeuds Fluvial.

La corvette vogua de nouveau à vive allure, et arriva en 234x243.

Les dignitaires et les Jarls descendirent et quand ils constatèrent qu’aucune maison noble ne se trouvaient sur place, ils hurlèrent en chœurs: “PREUUUUUUUM’S !”

Merci au maître Jedi du RP qu'est Ixarys, d'avoir bien voulu écrire la réaction de son perso. 
mince, ça va pas être possible de garder la même qualité pour les prochain récit, espèce de n'affreux ! :p

Dernière modification par GrandJarl (2025-03-16 14:18:23)

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La sainte sorcière

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