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#1 2020-06-06 17:39:55

Surintendante Krylia
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L'héritage des Atlantes

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C’est au petit matin, alors que les rayons de soleil commençaient à peine à percer l’obscurité, que se présenta devant la forteresse, La Gloire Lagomorphique, un cavalier vêtu de pourpre et d’or, son visage était dissimulé par un masque en argent finement ouvragé.
D’une voix grave et rauque il dit au garde :
Juge Inquisiteur - Conduisez moi à votre cheffe, sauvages, je suis l’envoyé de sa Grâce Kida Nedak Gakash.
Entrant dans la forteresse il regarda autour de lui, ’Quel endroit minable’ pensa-t-il. Le Juge Inquisiteur haïssait cette place forte perdue au milieu de montagnes glacées, mais ce que Kida ordonnait, le Juge Inquisiteur l’exécutait. Il se présenta devant l’Intendante Krylia encore à moitiée endormie. Elle n'était vêtue que d’une simple tunique mal ajustée. Elle le regarda arrivé en prenant son verre de vin du matin, affalée sur la chaise qui lui servait de trône. Il lui dit d’un ton narquois :
Juge Inquisiteur - Bonjour à vous, je vois que je vous sort de votre lit. Pour vous permettre de mieux vous réveiller, voici les raisons de ma venue. Sa Grâce, Kida Nedak Gakash, a décidée de vous apporter la civilisation et la bonté d’Auriga. Notre modeste, mais néanmoins capitale, contribution se fera par la lance et l’épée et la poigne de fer des Atlantes. Voyez cela comme une magnifique occasion de vous élever en accueillant la brillante civilisation Atlante.
Il ajouta d’un ton amusé :
Juge Inquisiteur - Et très honnêtement, en voyant cet endroit, que dis-je? Ce... taudi, cela n’est pas de trop.

Surintendante Krylia - Hummm… vos paroles me donne mal au crâne. Il est vrai que vous me réveillée mais l’aube point à peine. Vous auriez pu venir installer un commerce en mes terres et participer ainsi au financement de la forteresse mais vous avez décidé de le faire par les armes, c’est un choix comme un autre. Et bien soit, laissons parler les armes.
GARDES! Ramenez cet homme auprès de sa maîtresse. Ne lui faite rien, il viendra ramper à nos pieds une fois son armée mise à terre.

Ainsi donc, les armées prirent place dans la plaine. L’air était saturé d’une odeur nauséabonde. en effet, les soldats qui n’étais pas préparer à mourir furent vite convaincu que la mort n’était pas loin car, entre leurs places qu’ils prirent et celle de leur ennemis, 7000 hommes étaient déjà mort et toujours frais. Ils n’allaient pas affronter une bande de paysans cette fois mais des soldats qui tout juste, sortaient de bataille et à qui ce terrain n'inspirent pas la crainte. Au moins, les archers et les arbalétriers n’allaient pas manquer de traits ou de flèches, il suffit de se baisser et de les décrochées des cadavres encore fumant.
Ce fût d’abord lointain, puis de plus en plus fort, se rapprochant, l’armée Atlante marchait au rythme des tambours et des corps de guerre.
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Bannières flottantes, armures rutilantes, l’armée prenait place de manière ordonnée, tandis que sur un promontoire rocheux une femme vêtue de bleu et d’une cuirasse noire s’intallait. Kida regardait, elle contemplait la scène devant elle. Finalement, elle se décida à prendre sa jument blanche et d’aller à la rencontre de l’intendante au centre du champ de bataille.
Kida - Alatulya, salutation, je vous offre ma clémence, soumettez vous, reconnaissez Auriga comme votre déesse, embrassez notre panthéon et reconnaissez moi, Kida Nedak Gakash comme vous étant supérieure et j’épargnerais votre misérable existence. Refusez et je noierais vos enfants dans le sang de leurs mères.

Elle attendait tranquillement. Elle regarda la femme avancer vers elle.
Krylia - Bonjour, je ne reconnais que mes dieux et puissiez vous me passer par les armes, je ne plierai pas le genoux. Si vous gagnez, certe je reconnaitrai ma défaite mais ne tournerez pas le dos à mes dieux et si vous voulez implanter votre culture, en cas de victoire, vos collon seront reconnus comme citoyen nobles. En cas de défaite, les pitoyable survivant de votre armée rejoindront ma population d’esclave et je vous regarderais bien croupir attachée au pied de mon lit.

Kida eu un rictus, amusée, elle détourna son cheval et regagna son armée. A hauteur de ses hommes elle dit d’un ton fort et clair :
Kida - Soldats atlantes, écoutez moi, regardez les, ne les craignez pas, je vois des hommes qui valent la peine d’être tués et de valeureux gaillards à mes côtés. Il paraît que nos adversaires sont de bien meilleurs amants que combattants, ce sont de vrais hommes demandez à n’importe quelle chèvre, cochon ou autre animal de basse-cours.
Elle marqua un temps de pause, avant de reprendre :
Kida - Souvenez vous de pourquoi nous sommes tous ici, montrons à ses impies la toute puissance des adorateurs d’Auriga, ce soir le ciel se tentera de rouge et l’eau aura le goût du sang. A la guerre !
Kida leva son épée pour marquer la fin de son allocution, à la suite de quoi les soldats crièrent des “Houha” appuyés pour la Gardienne.


Les placements sont la meilleures choses à faire, faites croire une chose a l’ennemis et surprenez le au dernier moment. Ainsi, Krylia avait volontairement mis ses archers en première ligne et n’avait pas fait mine de les bouger alors que la cavalerie ennemie approchait. S’en suivit un choc terrible lorsque les cavaliers, débouchant de leur colline, ralenti par les sabots de leurs chevaux qui glissaient sur les cadavres ne se retrouvèrent pas face à des archers surpris mais des lanciers bien alignés, pics levé qui les attendaient.
Ce fut bref, ils continuèrent leurs mouvements et les chevaux furent tué soit par les pics soit par les traits qui arrivèrent après coup.
Les cavaliers avaient contournés la position et la ligne de défense de Kida, prenant à revers ses lanciers et fantassins qui s’attendaient à une charge de face mais, connaissant le terrain, les cavaliers avaient disparu pour ne réapparaître que derrière eux et foncé sur les unités à distance qui concentrées, visaient déjà les fantassins ennemis qui approchaient.
Ce fut un massacre. Leurs traits ne furent pas tant de dégâts que cela, leur concentration perturbée par le tumulte des sabots derrière eux. Ainsi, pris de dos et de face, les pauvres archers et les pauvres arbalétriers Atlantes ne purent que se défendre au corps à corps mais ils furent écrasés soit par les chevaux soit par la masse ennemies.


La Gardienne située dans sa tente de commandement, regardait la bataille faire rage. Les soldats, déjà épuisés par plus d’une journée de marche et évoluant dans la plaine boueuse, avaient la plus grande peine à progresser. En face l’ennemi connaissait le terrain et tenait en respect les Atlantes.
Verre de vin à la main elle était plongée dans ses pensées, le regard perdu au loin. Quand une voix, derrière elle, l’extirpa de la torpeur.
Juge Inquisiteur - Votre Grâce nous devons prendre une décision. Poursuivons nous l'assaut contre ces sauvages ou...
Le Juge Inquisiteur laissa sa phrase se perdre dans la brise glacée des montagnes, après un temps de silence Kida dit :
Kida - Faites sonner le repli.
Juge Inquisiteur - Plait-il? Votre Excellence le combat n’est pas perdu, nous devons poursuivre, ses hérétiques paierons leur insolence!
Kida - Nous n’avons pas d’espoirs de l’emporter aujourd’hui. Faites sonner la retraite. J’en ai assez appris aujourd’hui. De plus j’ai des choses bien plus importantes, qu’une forteresse perdue au milieu de nul part,  à gérer. Faites battre le rappel et rentrons à Atlantide.
Juge Inquisiteur - Bien, comme vous voudrez votre Excellence, que devons nous faire des blessés ?
Kida - Emmenons avec nous les hommes qui peuvent marcher, tuez les autres.
Le Juge Inquisiteur s’inclina et quitta la tente. Le rappel sonna à travers toute la vallée.

Les hommes hurlaient dans la plaine, ils en avaient encore envie, du sang de leur ennemis.
La cavalerie avait dû leur faire peur à passer si proche de leur maîtresse adorée mais elle ce mouvement avait permis d'annihiler leur archers. Les hommes étaient déçus de voir ainsi leur ennemis partir sans honneur.
Un cavalier approcha du camp, il s’agissait de Krylia. Elle portait toujours une tenue de tissu ajustée. Elle avança sans crainte vers la tente de Kida.
Elle descendit de cheval et entra dans la tente, sourire aux lèvres.
Krylia - Bien, je constate que vous vous repliez et donc que ceci concède ma victoire. Allez vous respecter votre parole où la fuir et m’obliger à venir tuer vos gens pour prendre vos responsabilités?
Elle avait un petit sourire moqueur et savait très bien ce que ça impliquait.
Kida toujours assise dans sa tente verre en main fit signe à Krylia de prendre place, un esclave lui apporta du vin. La Gardienne dit calmement :
Kida - Nous nous sommes bien battus, et vos hommes ont bien du courage, a présent que j’ai appris ce que je voulais savoir, je n’ai pas de raison de laisser mes derniers hommes mourir. Aussi voici ce que je veux bien vous accorder, je vous laisse cette tente avec tous les biens dedans, y compris cet esclave. Il y en a bien pour 50 000 pièce d’or d’objets et de tentures. Je penses qu’il s’agit là d’une bonne contrepartie. Pour ma part des affaires urgentes m’attendent sur d’autres terres plus au Nord.
Kida bu plusieurs gorgées de vin silencieusement et dit :
Kida - Après que j’ai réglée mes affaires d’état, que diriez vous de venir passer en tant qu’invitée quelques jours à Atlantide, je suis certaine que cela vous changera de ce… trou, humide et froid.

Elle s’assied et regarde Kida.
Krylia - Ce serait avec plaisir que je viendrai vous rendre visite. Mais ce trou humide et froid comme vous l’appelez c’est chez moi et ce lieu peut être bien plus accueillant qu’en venant avec une armée.
J’attendrai votre missive alors et saurai exploiter au mieux ce “cadeau” que vous me faites.
Au début d’une longue paix durable entre nos deux peuples?

Elle s’est servie un verre de vin tout en contemplant la tente et plus particulièrement l’esclave avant de regarder kida droit dans les yeux en levant son verre à la fin de sa phrase.
La Gardienne adressa un sourir enjôleur et dit :
Kida - Si je n’étais venue qu’avec de bonnes intentions je n’aurais pas eu les réponses que je voulais avoir, et si je souhaitais réellement prendre votre place forte je serais venue accompagnée de bien plus d’hommes et surtout d’un nombre imposant d’armes de sièges. A la paix, qu’Auriga nous inonde de sa bénédiction.
Elle leva son verre, bu une gorgée, quand le Juge Inquisiteur entra, remarquant l’étrangère, il préféra s’adresser en atlante à Kida.
Ils échangèrent quelques instants puis Kida dit :
Kida - Bien, mon cheval est prêt, à bientôt belle dame.
Elle sortit de la tente et Krylia resta seule avec l’esclave.
Krylia regarda l’esclave. Elle fit venir ses hommes pour tout démonté et parti avec l’esclave.

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#2 2020-06-12 20:01:38

Surintendante Krylia
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Re : L'héritage des Atlantes

QUELQUES JOURS PLUS TARD
Un cavalier se présenta à la forteresse, l’homme de grande taille, l’allure gracile, aux traits fin, les cheveux longs blonds et aux yeux d’un bleu profond rencontra Krylia et annonça avec une voix douce :
Eltael - Dame Krylia je viens au nom de sa Grâce Kida Nedak Gakash, Gardienne de l’Atlantide, je me présente, je suis le Capitaine de la Garde, Eltael, sa Grâce m’a chargé de vous dire qu’elle vous attendait à Atlantide et que je serais chargé de votre sécurité pendant le trajet.
Il remit à Krylia un parchemin scellé portant le sceau atlante, à l’intérieur elle pouvait lire :
Dame Krylia, j’espère que vous vous portez bien et que mon ancien esclave vous donne satisfaction. Comme convenu voici votre invitation à vous rendre librement en terres Atlantes. Ce document n’est valable que pour vous, aussi vous serez accompagnée par mon jeune Capitaine de la Garde, Eltael. C’est un homme de valeur et un excellent guerrier, j’ai toute confiance en lui. Je suis certaine qu’il se fera une joie de répondre à vos questions.
Avec mon bon souvenir, Vicomtesse Kida Nedak Gakash, Gardienne de l’Atlantide.

Le bas du parchemin était orné d’un symbole en cire d’orée incompréhensible pour les non atlantes, emprisonné dans la cire se trouvait un collier d’argent avec un pendentif représentant une feuille d’arbousier en émeraude sertie de deux baie en or, s'enroulant autour d’une perle nacrée.
Puis Eltael reprit calmement la parole:
Eltael - Pendant que vous préparez quelques affaires, je vais vous attendre aux chevaux. Il s’inclina très respectueusement et s’en alla.



Elle prit le pendentif et le mis a son poignet, laissant la feuille d’arbousier pendre à hauteur de son poignet. Elle partit en direction de sa chambre, suivie de l’esclave. Elle fit rapidement sa valise et prit quelques vêtement de rechange pour son esclave.
Krylia - Bien, allons y ne faisons pas attendre ton ancienne maîtresse plus longtemps.
Elle s’approcha de lui et lui caressa la joue. Elle partit ensuite vers le capitaine.
Krylia - Bien, je suis prête, nous pouvons y aller. Savez vous combien de temps il faut pour arriver d’ici jusqu’en Atlantide?
Elle fut aidée par son esclave qui monta en premier sur le cheval et elle s’installa devant lui. Visiblement le cheval ne fut pas encombré par cette surcharge.
Eltael chargea les affaires de son hôte sur son cheval puis monta et dit :
Eltael - Il nous faudra une journée et demi, nous irons d’abord à l’Ouest pour embarquer, puis nous voguerons au fil des fleuves juqu’au Grand Canal, ensuite nous accosterons à Irhaal, de là nous prendrons la route vers le Sud Est pour Atlantide. J’espère que madame ne souffrira pas de la navigation et de la chaleur.
Les cavaliers se mirent en route, Eltael prit les devants, le regard vif et les oreilles bien ouvertes, à l'affût de tout danger. Après avoir chevauchés pendant environ trois heures, ils arrivèrent sur la côte où attendaient plusieurs petites embarcations qui les emmenerais sur les navires de la flotte Atlante qui mouille plus loin dans le fleuve.
La flotte était composée de cinq Dromon escortant un Navas, une fois montée à bord, on donna à Krylia des quartiers et un repas. Eltael resta devant la porte pour empêcher quiconque d’importuner l’invitée de la Gardienne.
Après une heure, la porte s’ouvrit.
Krylia - Excusez moi, vous pouvez me donner de l’eau et du vin?
Si Eltael se retournait, il pourrait contempler la dame en sous vêtements.
Krylia - Et une fois que vous l’avez, n’hésitez pas à entrer, j’aurai des questions à vous poser.
Eltael s’empressa d’ordonner à un des matelot d’aller chercher ce que la dame demandait, une fois en possession des biens demandés, il frappa deux fois à la porte et entra. Il dit impassible :
Eltael - Eltael vous apporte votre eau et votre vin, madame, y a-t-il autre chose que je puisse faire pour vous assurer votre satisfaction ?
Krylia - mmmm.. venez boire avec moi.
elle est affalée dans sa couche avec l’esclave, totalement nu contre elle. Elle lui a visiblement donner l’ordre de la caresser et elle est maintenant poitrine nue et il lui caresse les seins. Elle se sert une coupe de vin.
Krylia -Parlez moi de la cité Atlante, de ses lois, ses plaisirs, votre culture et… de Kida…
Eltael prit un instant, puis il dit :
Eltael - Vous parler de la culture atlante, c’est un vaste sujet. Déjà je peux vous dire qu’Atlantide a été fondée il y a 5 ans, et est aujourd’hui une citée florissante. Notre culture est un mélange entre les différentes cultures Okorienne et celle des atlantes originels. Bien que les Hauts Atlantes adoptent une certaines forme de purisme vis à vis des rites et autre cérémonie. Concernant les plaisirs, les atlantes sont surement les meilleures dans ce domaine, il ne se passe quasiment pas une journée sans qu’il y ai une fête avec un gigantesque repas, des musiciens, des danseurs et des orgies. Nous avons aussi les cirques, les bains publics, les jardins, les bibliothèques, les amphithéatre et les arènes pour nous divertir. En somme la culture Atlante est essentiellement basée sur les arts, la musique, la littérature, la philosophie... , Enfin pour vous parler de sa Grâce je ne sais pas trop, que vous voulez savoir ?
Elle resta un moment à réfléchir, comme si elle comprenait mieux son esclave à qui elle alla caresser la verge, pensive.
Krylia - Humm… ses loisirs, ses passions, quels sont ses intérêts, si elle fait du sport et si vous la connaissez autrement qu’en étant capitaine.
Elle lui sert un verre de vin, espérant l’amadouer pour une nuit de folie durant la traversée.
Eltael déclina le verre et dit :
Eltael - Désolé, je ne dois pas boire d’alcool pendant mon service. Sa Grâce est passionnée par les sciences, les arts en tout genre, la danse la musique, l'orfèvrerie et j’en oublie. C’est une excellente combattante et archère, elle maîtrise quasiment toutes les armes, elle à aussi un certains attrait pour les peuples que nous qualifions de barbares. Je n’en connais pas plus à son sujet, elle est ma Gardienne, la personne la plus apte à vous parler d’elle, ce serait le Juge Inquisiteur son fidèle bras droit.

Krylia - Humm je vois… que pensez vous de moi? La barbare qui a battu ta gardienne sur le champ de bataille et qui est ainsi, affalée dans votre bateau, profitant de votre luxe?
Elle prit une autre gorgée de vin et se leva pour s’approcher du capitaine.
Eltael - Je suis un soldat, je n’ai pas à penser, je me dois d'obéir aux ordres de ma Gardienne. Bien si vous n’avez besoin de rien d’autre, je vais vous laissez.
Eltael se leva, s’inclina lentement pour que Krylia ai la possibilité d’exprimer une demande.
Elle le regarda faire et avant qu’il ne se redresse, il finit la tête entre ses seins. Ils sont doux, chaud, agréable.
Krylia - Je n’ai pas obtenu la réponse que je voulais… Je vous ai demandé ce que vous pensiez de moi, pas en temps que soldat mais en tant qu’homme.
Elle le poussa sur une des chaises et vient s'assoir sur lui, passant ses jambes de part et d’autre, mettant son visage proche du sien.
Eltael bloqua Krylia, et dit un sourire en coin :
Eltael - Je ne sais pas ce que vous vous imaginez sur moi, et je n’en ai cure, mais sachez que suis un eunuque donc vous n’obtiendrez rien de moi.
Il souleva Krylia et l’allongea dans le lit, avant de se dégager et de s’en aller.
Krylia - C’est bien dommage… un si bel homme eunuque. Bien, je vous ferai savoir si j’ai besoin de vous.
Elle le laissa partir en lui souriant. Elle se tourna ensuite vers l’esclave.
Krylia - Il n’y en aura que pour toi ainsi.
Le reste du voyage se poursuivit donc.
La flotte vogua doucement vers le Sud, le soleil se couchant les hommes d’équipage décidèrent de faire une petite fête pour célébrer la fin du jour et le début de la nuit.
Ils dansaient, chantaient, mangeaient, et buvaient sous l’oeil vigilent d’Eltael.
On put remarquer que Krylia monta pour profiter de cette oeuforie, participant et buvant, ayant une étonnant résistance à l’alcool.
La soirée se passa tranquillement, au lendemain matin la flotte avait atteint le Grand Canal, et voguait en direction d’Irhaal. Eltael entra après avoir frappé dans les quartiers de Krylia. Il apporta le petit déjeuner, composé de fruit, de charcuteries et de thé chaud. Il dit :
Eltael - Bonjour, madame, j’espère que vous avez bien dormie. Nous arrivons à Irhaal dans environ quatre heures. Y a-t-il quelque chose que je puisse faire pour vous ?
Krylia - Je dois porter une tenue spéciale pour me présenter à Kida?
elle a dormi avec son esclave qui dort encore. Elle prit le thé et se réchauffa les mains.
Eltael - Rien de particulier, des vêtements vous seront apportés une fois au Palais. Comme nous le faisons vous serez amenée à vos appartements, là vous pourrez vous rafraîchir et ensuite Kida vous recevra.
Krylia - Je vois. bien, venez me chercher avant qu’on ne rentre dans le port, que je puisse en contempler la vue et l’architecture.
Elle se leva et fit ses ablutions matinales dans l’attente de l’arrivée dans le port.
Quelques heures plus tard une corne retentit sur le navire, Eltael frappa et entra et annonça.
Eltael - Madame, nous arrivons à Irhaal.
En sortant sur le pont Krylia apperçu la citée portuaire.

Elle sortit bien habillée et contempla la vue. Elle suivit ensuite son guide, le bijoux toujours accroché à son poignet.
Le port d’Irhaal était plein de navires marchands, les ruelles étaient bondées de monde venu des quatres coins du monde pour commercer.
Eltael intimait l’ordre aux passants de s’écarter pour laisser passer Krylia, ils quittèrent le port et sortirent de la cité, là des chevaux les attendaient. Scellés et ferrés, ils attendaient impatiemment, renaclant, le départ.
Eltael aida Krylia à monter et se mit en route.
Eltael - Allons y Atlantide nous attends.
Elle se toucha les fesses avant de monter à cheval.
Krylia - Encore du cheval? j’espère que ce n’est pas loin, mon fessier est plus habitué au velour d’une chaise qu’au cuir dur d’une selle qui va dans tous les sens.
Elle explosa de rire et suivis son guide pour elle l’espère, le début d’échange commerciaux et beaucoup de détente.
Plus le groupe progressait plus il faisait chaud, l’air sec venant de l’Est apportait avec lui l’ardeur température des terres Atlantes. Au bout d’un certain temps, la chaleur était telle qu’Eltael retira certaines de ses  pièces d’armure pour retirer quelques étoffes en dessous. Puis après avoir replacé son barda, il prit une outre et bu de l’eau, la tendant à Krylia :
Eltael - Vous devriez boire, madame.
Elle a déjà presque tout enlevé, ne gardant qu’une vulgaire tenue de tissus. Elle prit l’outre et bu avec reconnaissance.
Krylia - Ce qu’il fait chaud chez vous! je n’ai pas l’habitude! j’espère que les vêtements que vous me donnerez ne seront pas trop chaud sinon, je vais devoir me promenée nue dans votre cité!
Une nouvelle fois, elle rit aux éclats. Elle lui rendit l’outre et regarda ensuite la faune et la flore.
Eltael avec son flegme naturel dit :
Eltael - Vous ne serez pas la seule, certains citoyens préfères être nu en période de forte chaleur. Mais rassurez vous les étoffes civils sont légère comme une plume et ne donne pas chaud.
Ils progressèrent à travers les grandes plaines d’herbes jaunies par la sécheresse. C’est à la mi journée que la citée de l’Atlantide s’offra à Krylia.
Eltael, Krylia, et l’esclave furent minutieusement inspectés par la Garde, puis on les laissa entrer, les lourdes portes de bronze et d’or débouchait sur l’avenue principale de la citée.

Eltael dit à Krylia :
Eltael - Soyez la bienvenue à Atlantide, madame.
Krylia - C’est plus grand que ce que je pensais.
Elle regarda autour d’elle, ferma les yeux et prit une grande respiration comme pour s’imprégner de toutes les odeurs de la ville.
Elle regarda ensuite les habitants, les étals de marchés, l’architecture, tout, elle observait tout.
Krylia - Où allons nous maintenant?
Eltael indiqua du doigt l’imposant bâtiment qui dominait la ville et dit :
Eltael - Au Palais de sa Grâce. Une fois arrivé j'aurais accompli ma mission. Quelqu’un d’autre s’occupera de vous.

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#3 2020-06-21 13:24:53

Surintendante Krylia
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Re : L'héritage des Atlantes

Des femmes et des hommes au physique d'apollon appelaient le chaland pour passer un moment dans les maisons closes, des marchands interpellaient les voyageurs vantant les mérites de leurs produits.
Elle regardait, tel un oiseau cherchant sa proie.
Krylia - Déjà? je ne vous reverrez plus alors?
Eltael - Ce n’est pas impossible que l’on se revoit, mais ça m'étonnerais, sa Grâce m’attend pour mon rapport et me donnera une nouvelle affectation.
Ils arrivèrent au pied des hauts escaliers menant au palais de Kida. Eltael emmena Krylia à l’intérieur, l’air y était frais, des senteur d’encens et de parfum de jasmin flottait dans l’air. Le marbre noire au sol les boiseries sur les mur et les dorures au plafond constitué en mosaïque richement colorée donnait à l’ensemble beaucoup de prestige.
Eltael présenta à Krylia une jeune femme au cheveux bruns frisés et dit :
Eltael - Bien, mon devoir est accomplis, à présent c’est Elrida servante de sa Grâce qui va s’occuper de vous. Passez un bon moment chez nous, madame.
Il s’inclina et s’en alla dans le méandre de couloir.
Elrida fit une petit révérence et dit :
Elrida - Bienvenue madame. Si madame veut bien me suivre, je vais vous conduire à vos quartiers. Je serais à votre services pendant la durée de votre séjour, si madame a besoin de quoique se soit qu’elle me le fasse savoir.
Krylia - Dans combien de temps devons nous rencontrer Dame Kida? Je veux bien voir la chambre aussi.
Elle regarda Elrida en souriant et inspecta d’un regard le reste des lieux.
Elrida - Kida a encore quelques affaires à régler, je dirais que vous avez encore deux heures devant vous pour profiter des installations du palais.
Elrida emmena Krylia dans ses appartements. L’endroit était constituée d’une série de salles et de jardin d’intérieur, de nombreux bassins agrémentaient l’ensemble. Elrida présenta rapidement les lieux, puis elle dit :
Elrida - Vous avez la bibliothèque par là, votre chambre est là et enfin la salle d’eau où madame pourra se rafraîchir. Souhaitez vous que je vous prépare un bain? Ensuite j’apporterais à madame, vêtements et parures.
Krylia - Oui, cette traversée et tout ce trajets m’ont un peu salie. Je veux bien que vous me prépariez un bain.
Elle lui sourit et la regarde de haut en bas.
Krylia - Je peux aussi avoir un verre de vin? Du rouge de préférence.
Elle se dirigea ensuite vers les bains.
Elrida s’afferra autour du bassin, elle versa dans l’eau chaude des huiles parfumées et un mélanges de pétales et de fleurs coupées, une agréable et douce odeur de lavande et de jasmin se dégageait de l’eau fumante. Enfin, elle déposa au bord du bassin un plateau d'argent finement ouvragé, dans lequel était dressé un thé frais à la l’orange et des petits gâteaux à la fleur d’oranger, garni d’une amande.

Puis la servante se retira, et alla chercher des affaires propres pour Krylia.

Elle se laissa aller  et se détendit dans le bain chaud. Elle regarda les petits gâteaux avec envie mais n’en pris pas.
Elle attendit le retour de la servante dans l’eau.
Krylia - Tu es là pour combler tous mes caprices durant mon séjour?
Elrida qui était revenu déposa sur une petite table un coffret rempli de bijou et une pile vêtement de soie brodés d’or. Elle installa un miroire et disposa différents instruments et produits de beauté, comme un peigne et argent, des crèmes rouge et rose enfin elle disposa différents petite flacon de parfum.

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#4 2020-06-28 14:58:12

Surintendante Krylia
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Re : L'héritage des Atlantes

Puis elle dit avec un linge pour sécher Krylia quand elle sortira du bain :
Elrida - Oui, madame, ça Grâce à demander de répondre à vos demandes avec la plus grande intention.
Krylia - Hummm...Il me faudrait un échauffement avant de voir sa Grâce… tu peux me rejoindre dans le bain?
Elle regardait la servante et s’approcha doucement du bord de l’eau où se trouvait la servante, son corps bougeant de manière hypnotique sous la surface de l’eau qui laissait voir toute la réalité de ce corps d’une trentaine d’année mais elle y appliquait un filtre qui dénaturait sa beauté. Elle avançait, tel une araignée avance vers sa proie qui est prit dans ses fils.
Elrida souria doucement et dit :
Elrida - Madame, je suis déjà engagée avec un homme merveilleux, j’apprécie vos attention à mon égard mais si vous voulez une ou un esclave sexuel je peux aller vous en chercher. Avez vous besoin de quelque chose ?
Krylia - Hummm...juste un baisé venant de vous.
Elle se lève et sort de l’eau en souriant.
Elrida aida Krylia à se sécher puis l’habilla d’une tunique de soie blanche brodée de fil d’or en motif de fleur. Après l’avoir fait s'asseoir la servante appliqua un  baume au odeur de rose dans les cheveux de la dame avant de les peigner méticuleusement. Elle dressa la coiffure en ensemble de tresse montée autour d’un chignon qu’elle avait garni de fleur naturelle et de perle d’or et d’ivoire. Elle présenta son travail à Krylia et dit :
Elrida - Cela plait-il à madame ?
Krylia - Humm… *Elle observe la coiffure* Cela ne me ressemble pas mais je dois faire honneur à celle qui me reçoit alors si c’est une coiffure atlante, cela me va parfaitement!
Elle regarda les parures et ensuite, se leva pour aller dans la chambre.
Krylia - Vous m’avez parlé d’esclave sexuel, on peut vraiment en acheter ici?
Elle regarda intensément Elrida.
Elrida pliant les affaires salles de Krylia répondit :
Elrida - Oui, pour ça il suffit d’aller au marché aux esclaves de la Place Centrale.
Un cloche retentit dans le Palais, Elrida dit alors :
Elrida - Mais il faudra attendre pour ça, sa Grâce est prête à vous recevoir. Si madame veut bien me suivre.
Elrida emmena Krylia dans un dédale de couloir et de salle jusqu’à la salle du trône.
En arrivant Krylia remarqua l’assistance qui attendait l’arrivé de la Gardienne, environ trois cent personnes étaient massées dans les alcôves et aux balcons, des notables, des paysans, des soldats, ainsi que le capitaine eunuque.
Elrida dit à Krylia en chuchotant :
Elrida - Allez y, ça ne devrait plus être long, je vais aller travailler en attendant votre retour.
Puis la servante s’en alla laissant Krylia seule.


Elle avança, nullement intimidée par l’assemblée. Elle s’approcha du trône et fit une rapide révérence.
Krylia - Dame Kida, c’est un réel plaisir de vous revoir.
Kida verre de vin à la main, habillée d’un ensemble en soie bleue semi transparente regarda Krylia un sourir en coin et dit :
Kida - Dame Krylia, tout le plaisir est pour moi, j’espère que vous trouver vos quartiers à votre convenance et qu’Elrida vous sert bien. J’espère, également, que ce séjour en terre Atlante, soit pour nous tous une occasion de mieux apprendre l’un de l’autre et de forger un avenir radieux à nos peuples. Alors, Dame Krylia, quels sont vos projets pendant ce séjour, avez vous une idée de ce que vous allez faire ?
Krylia - Déjà, apprendre à vous connaître. Ensuite, vous me devez une nuit, suite à votre défaite. Ensuite, visiter votre cité, vos marchés,... mais je ne sais combien de temps puis-je rester?
Elle affiche grand sourire et parle d’un ton calme et posé.
Kida croisa ses jambes en se redressant dans son trône et dit d’un sourire amusé :
Kida - Je ne voyais pas les chose autrement très chère. Restez autant de temps que vous le souhaitez. A présent, buvons et profitons de la vie.
Kida frappa dans ses mains et en peu de temps une armée de serviteurs dressèrent dans la salle, tables, chaises, et couverts. Un orchestre d’une soixantaine de musiciens s’installèrent et commencèrent à jouer pendant que des danseurs prenaient place pour entamer leur chorégraphie. Des plats furent apportés et du vin servi.
Toute l’assistance commençait à festoyer, à discuter ou à danser. Kida assise sur son trône regardait Krylia avec un sourir satisfait et avec un regard lubrique, et leva son verre dans sa direction.
Krylia avança en direction de Kida, lentement mais sûrement, échangeant quelques mots avec certains. Elle arriva devant Kida et fait aller son verre contre le sien en lui souriant.
Krylia - Que puis-je pour vous? votre regard est bien insistant vers moi.
Elle se pencha un peu pour lui sourire ce qui permit à Kida de jeter un oeil au décolleté de Krylia et de perdre son regard dans le creux de la vallée.
Kida amusée dit :
Kida - Ces vêtements vous mettent en valeur chère Krylia. Par contre… *Elle retira quelques épingles à cheveux pour libérer la tignasse de Krylia* Je préfère les coiffures libre, elle vous sied mieux.
Le Juge Inquisiteur entra par une porte dérobée, alla auprès de Kida et lui chuchotta quelque chose, puis Kida s’exclama :
Kida - Encore ? Bon… Mettez les aux fers, je m’en occuperais plus tard.
Le Juge Inquisiteur s’inclina et se retira.
Secoue la tête pour libérer ses cheveux.
Krylia - Qu’y a t’il dame? Un problème?
S’approche encore en souriant.
Kida - Rien de bien grave, une affaire de justice. Approchez, j’ai ici des pâtes de fruits savoureuses à l’abricot et du vin venant de lointaines terres, aux coteaux ensoleillé.
Elle s’approche et vient prendre en bouche une de ces savoureuses pâtes de fruits. Elle tendit ensuite son verre à Kida pour qu’elle la serve en vin.

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#5 2020-07-02 21:40:44

Surintendante Krylia
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Re : L'héritage des Atlantes

Krylia - Qu’avez vous prévus pour le repas?
Kida versa le vin couleur rubis dans le verre de Krylia, puis elle ordonna à un serviteur d’apporter un siège à son invitée et dit :
Kida - Il y aura de quoi satisfaire tous les apetits, et pour tous les goûts. De la viande, du poisson, des fruits, des légumes, des céréales et j’en passe. Après cette petite sauterie, j’ai pensée que je pourrais vous faire visiter le palais.
Krylia - Une petite sauterie? Vous titillez ma curiosité.
Elle s’asseya sur la chaise qu’on avait été lui chercher en prenant un autre petit plat et buvant quelques gorgée de vin.
Krylia - J’espère que ça ne vous dérange pas que je porte votre collier à mon poignet?
Montre le collier qu’elle a savamment noué à son poignet.
Kida regarda l’objet et approuva de la tête, puis elle dit avec un petit sourir en biais :
Kida - Vous verrez, je vous promet que cela vous plaira.
Alors des serviteurs apportèrent sur des plateaux en or des calices en pierre incrusté d’opale. Les personnes dans l’assistance prenait le calice en buvait une gorgée et le passait à leur voisin. Kida eu le droit à son calice, elle bu et présenta la coupe à Krylia, dedans une sorte de boisson tiède à l’odeur neutre, d’une couleur brunâtre avec des petits morceau de feuilles ou d’écorces flottant dedans.
Elle prit le verre et buva dedans, intriguée.
Krylia - Je dois le donner à quelqu’un d’autres?
Kida - Hahaha, non laissez ça, et détendez vous, les drogues vont faire effet, vous verrez vous vous sentirez comme revivre et avec un appétit sexuel tel, que moi seul ne suffirait pas à vous combler, heureusement j’ai tout ce qu’il nous faut.
Alors que Kida termina sa phrase en s’enfonçant dans son trône l’air béat, une centaine de personnes entièrement nues entrèrent, les hommes et les femmes avait pour point commun d’avoir un physique d’une beauté exceptionnel et des mensurations qui ne laissaient personne indifférent.
Krylia - Des drogues? je n’ai pas besoin de ça…
Elle pose le verre et au lieu de s'asseoir sur sa chaise, elle vient s'asseoir sur les genoux de Kida et se met à doucement l’embrasser.
Kida se laissa aller  et passa ses mains sous la tunique de Krylia en remontant par ses cuisses, jusqu’à ce que ses doigts trouvent l’endroit convoité. Là elle s'appliqua à mettre en oeuvre tout le savoir faire atlante en matière de plaisir.
L’entre jambe de Krylia se montre être très chaude et protégé par une fine culotte. De son côté, elle ne se gêne pas et doucement, s’applique à enlever le haut de Kida pour doucement après lui caresser les seins, l'embrassant à nouveau, plus fort.
C’est alors que deux adonis, le sexe en érection, arrivèrent, Kida les invita à se joindre. Kida se déshabilla, révélant ses tatouages bleu turquoise, et en fit de même pour Krylia. Elle allongea se partenaire sur les coussins derrière le trône et l’embrassa en descendant progressivement vers son entrejambe, pendant que les deux hommes s’occupaient de caresser et d’embrasser Krylia.
Le corps était chaud, excitée. Elle caressa et flatta les deux verges des hommes en les embrassants à tours de rôle. Elle écarta les cuiise pour que Kida ai un accès simple et rapide à l’endroit convoité qui doucement, commence déjà à s’humidifier.
Lentement les drogues commençaient à faire effet, les couleurs paraissaient plus vives, les odeurs plus intenses, la respiration plus ample. Kida continuait ardemment à embrasser langoureusement l'entrejambe de Krylia qui soupirait de plaisir. Puis elle remonta laissant un des hommes faire le nécessaire, pendant que l’autre venait sur Kida et que la Gardienne continuait d’embrasser Krylia.
Elle prit un moment pour respirer en caressant la poitrine de Kida.
Krylia - Je vois que vous avez l’habitude...Mais j’aimerais… Après, être seule dans votre chambre.
Elle invita ensuite l’homme à entrer en elle.
Kida ne répondit se contentant de sourir, la sueur commençait à perler de son dos, tandis que les deux hommes accéleraient leurs mouvements de bassins. La salle du trône était devenu une immense orgie de 400 personnes. La drogue produisant son effet, décuplait les sensations et l’extase. Ardemment Kida embrassait Krylia dans le coup tout lui en caressant les tétons.
Elle fait de même, passant ses jambes autour de l’homme entre ses cuisses pour l’empêcher de faire de trop grand mouvement et de sortir d’elle par accident. Elle se contorsionne un peu et vient lui caresser les tétons avec sa langue. Ses mains vont le long du corps et elle lui caresse le clitoris pour l’exciter.
Kida continua ainsi, entre laisser laisser l’homme faire son affaire et Krylia, le quatuor monta à l’orgasme, dans un immense soupir ou tous les muscles se relachèrent libérant le frisson de plaisir tant désiré.
Après un instant de récupération, Kida, nu, se releva et déambula parmi les corps endormis et en sueur. Elle alla à la table centrale et prit un peu de viande et de vin pour reprendre des forces.
Elle put sentir deux seins puis un corps s’appuyer sur son dos, deux mains venir lui caresser le pubis et deux lèvres lui embrasser le cou.
Krylia - Tu es fatiguée ma jolie?
C’était Krylia qui elle, ne semblait pas encore fatiguée.
Kida gloussa, se retourna et en souriant elle dit :
Kida - Fatiguée? Non, mais il faut aussi se faire plaisir gustativement.
A ces mots elle mit délicatement un morceau de viande grillée dans la bouche de Krylia tout en la regardant avec beaucoup de désir. Alors qu’elle allait l’embrasser une porte s’ouvrit et le Juge Inquisiteur entra, enjambant les corps des convives il arriva près de Kida et lui adressa quelques mots. Kida leva les yeux au ciel et dit à Krylia :
Kida - Désolé ma belle, mais je me dois de faire mon travail, on mettra ça ce soir.
Elle marqua un silence puis dit :
Kida - Voulez-vous assister à une décision de justice ?
N’hésita pas un instant et l’embrassa car le morceau de viande lui empêchait de parler. Elle partagea donc le morceau de viande avec elle et la serra contre elle.
Krylia - Hummm pourquoi pas, si vous me laissez m’habiller?
Kida souria et dit :
Kida - Parfait, il faut que je passe à mes appartements prendre une tenue plus formelle de toute manière.
Elle dit quelques mots au Juge Inquisiteur qui se retira.
Kida - Suivez moi, ma chère.
Kida emmena Krylia dans les étages du palais. Le large escalier de marbre était gardé par d’imposantes statues. En arrivant aux appartements de Kida, Krylia eu le souffle coupée par la beauté et la grandeur des lieux. Kida s’en alla, dans une pièce attenante et dit :
Kida - Venez vous devriez trouver votre bonheur.
Dans la pièce, probablement aussi grande que les quartiers de Krylia, tous les vêtements, armes, armures et bijoux de Gardienne était soigneusement rangés. Kida invita Krylia à se faire son choix. Pendant ce temps, l’Atlante enfila une tunique blanche par dessus laquelle elle installa sa cuirasse argentée.
Elle choisit une robe simple, blanche aussi. Elle ne prit pas la peine de mettre des sous-vêtements ou quoi que ce soit d’autre.
Krylia - Vous m’expliquez un peu le déroulement ou tu me laisses découvrir en totalité? Et que vas-tu juger comme personne?
Après s’être parée de ses ors relatif à sa fonction elle dit :
Kida - Je peux t’expliquer mais pour ça faut me poser des questions, haha, aujourd’hui c’est une histoire de deux femmes et d’enfant volé. Les Instructeurs n’arrivent pas à statuer et les heurts commencent à perturber l’ordre publique. Enfin elles m'expliqueront la situation.
Kida sortie et avant de sortir elle siflotta, aussitôt surgit une panthère noire, elle bête approcha en ronronnant et suivait Kida.
Fut surprise par la venue de l’animal et suiva Kida.
Krylia - C’est une bête de compagnie bien dangereuse que tu as là.
Rattrapa Kida, sachant que c’était l’endroit le plus sur.
Kida ria et dit :
Kida - Bagara est une vrais peluche avec moi, par contre avec les autres elle n’est pas aussi tendre. J’aime l’emmener au Rendu de Justice, généralement ça suffit à calmer les esprit échauffer.
La panthère ronronna en suivant Kida et frottant sa tête contre la cuisse de sa maîtresse.
Kida et Krylia marchèrent dans les couloirs et finirent par traverser une des cours intérieures du Palais. La Gardienne entra alors dans une salle plus austère, des soldats étaient postés un peu partout. Le Juge Inquisiteur derrière un écritoire attendait, Kida s’installa sur une chaise derrière un bureau en hauteur. Derrière elle une imposante statue de la déesse de la justice dominait la pièce. Kida dit à Krylia de s’installer à côté d’elle, quand à la panthère celle-ci s’allongea à ses pieds.
Kida - Bien, Juge Inquisiteur faites entrer les plaignantes.
C'est alors que deux femmes prostituées hystériques vinrent chez et se présentèrent devant Kida. La Gardienne ne dit rien, et se tourna vers Krylia et dit :
Kida - Et bien ça promet.
Krylia - Je ne me permet pas de juger, ce sont vos gens après tout.
Elle regardait les deux femmes entrer et jacter, amusée.
Krylia - J’ai hâte de voir comment vous trancherez cette affaire.
Kida regarda les deux femmes et lança un “silence” d’un ton sec et sévère, aussitôt les deux femmes se turent.
Kida - Bien, je veux entendre la version de Farilda Ergarmer. Dit Kida après avoir feuilleté les documents que le Juge Inquisiteur lui avait remit.
Une des femmes s’avança et commença à parler.
Farilda Ergarmer - Pardon! Votre Grâce, cette femme et moi, nous habitons dans la même maison et j'ai accouchée près d'elle dans la maison. Trois jours après, cette femme a aussi accouché. Nous habitons ensemble, il n'y a aucun étranger avec nous dans la maison, il n'y a que nous deux. Le fils de cette femme est mort pendant la nuit, parce qu'elle s'était couchée sur lui. Elle s'est levée au milieu de la nuit, elle a pris mon fils qui était à côté de moi pendant que moi, ta servante, je dormais et elle l'a couché contre elle. Quant à son fils, qui était mort, elle l'a couché contre moi.
Ce matin, je me suis levée pour allaiter mon fils et voici qu'il était mort. Je l'ai regardé attentivement, le matin venu, et ce n'était pas mon fils, celui que j'ai mis au monde.

Une fois que la première femme ai finit de parler Kida donna la parole à la deuxième.
Korina Dertresa - C'est faux! C'est mon fils qui est vivant et ton fils qui est mort.
Alors la première femme rétorqua :
Farilda Ergarmer - Absolument pas! C'est ton fils qui est mort et mon fils qui est vivant.
Les deux femmes recommencèrent alors à s’invectiver, Kida leva la main calmement pour les faire taire.
Kida reprit alors :
Kida - Résumons, l'une dit: C'est mon fils qui est vivant et ton fils qui est mort, et l'autre dit: Absolument pas! C'est ton fils qui est mort et mon fils qui est vivant. Avez-vous transcrit Juge Inquisiteur?
L’homme au masque acquiesça, haussant des épaules l’air dépité.
Après un instant de réflexion Kida annonça :
Kida - Soldat, apportez moi votre épée s’il vous plaît. Puisqu’il met impossible de savoir qui est la vrais mère je vais donc couper en deux l'enfant qui est en vie et donnez-en la moitié à chacune.
Il eut un silence de mort dans la salle, on apporta le bébé à Kida et alors Farilda s’exclama :
Farilda Ergarmer - Ah! Votre Grâce, donnez-lui l'enfant qui est en vie, ne le faites pas mourir.
Tandis que la deuxième femme dit :
Korina Dertresa - Il ne sera ni à moi ni à toi. Coupez-le!
Kida dit alors :
Kida - Que l’on donne l'enfant qui est en vie à la première femme, ne le faites pas mourir. C'est elle qui est sa mère. Aucune mère n'accepterait de laisser mourir son enfant, la chair de sa chair. A présent, dame Destresa, pour l’acte que vous commise je vous condamne au bannissement des terres atlantes. Dès ce soir je veux que vous ayez quittée la ville.
Elle regarda amusée la scène.
Krylia - Pourra t’elle revenir un jour?
Kida apposant son sceau sur le parchemin dit :
Kida - Non, le bannissement est éternel, elle sera marquée et ne pourra plus aller dans les citées atlantes. J’aurais pu la mettre en tant qu’esclave ou la condamner à mort mais le bannissement est plus approprié.
La première femme récupérant son enfant remerciait Kida, en se pliant de révérence, Kida l’invita à rentrer chez elle et à bien s’occuper de son fils.

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