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#1 2019-08-06 11:49:10

Iödeke de L'olonnois

Du höršt ? -- Tu l'entends ?

La conquête de Cook palace sans encombre lui avait laissé le temps de contempler l'ancienne forteresse de Kirschblüte*, les terres de Hùndert Millên Kirsche* s'offrant au spectacle du printemps mourant de toutes ces gouttes de sang suspendue, en arrière plan s’effondrant du ciel en rassurante masse volcanique le Croc du Gergorord capitale des l'Olonnois libéré du joug colonialiste des Templiers,  Freheit für Esterõrd.

Puis soudain il se rappela à ses devoirs il fallait bien écrire une lettre à l'empereur, le prévenir de la suite en Noble. 


*Kirschblüte – Fleur de cerisier (Forteresse 225x117)
*Hùndert Millên Kirsche – 100 000 cerisiers (Province 216x108 à 233x125)


empereur.

Barbare ton surnom dans le monde connu les marchands de toute nation le confirme, nous leur expliquons que te qualifier ainsi est une insulte aux peuples ayant jadis existé, tu es au mieux une simple brute appâté par l'or, la violence, les chèvres voilà tout.  Tu le sais de l'or nous ne t'en donnerons jamais et nos chèvres sont à l’abri dans nos plus hauts donjons, mais ta violence est devenue haine puis folie génocidaire.   

-La négation de l'Esterord des cartes.
-Le reniement des peuples à l'Est-canal Camorrie et Arald.
-Les massacres commis par toi et tes limiers que je ne saurais nommer autrement tellement ils sont nombreux, colonisateurs à l'Est-canal sur la carcasse fraîche d'Arald se garantissant leur petit bout de viande pour satisfaire leur plus bas instinct, ta cour, tes courtisans, ta meute …  Mercantiliste, fanatique, détenteur de titre fallacieux sans respect pour leur Noblesse.

Tu nous parleras de l'attaque sur Neysan de la part de celui que tu qualifies de jeune morveux mais que dire de tes actions dignes d'un enfant pervers écrasant des fourmis, ce sont des natifs de l'Est que tu massacres abondamment !!!

Voila notre observation sur ta politique et une question, à quand notre tour ? Mourir Esteñ  ou vivre enchaîner le seul choix que tu nous laisses.

Suite à la libération de la province Cook palace (illégitime donc à ne pas considérer en acte de guerre), la capture du Vicomte Cook pour esclavagisme de notre peuple (Justice), bientôt la libération de forteresse de la guerre (illégitime), les Landesfürst  te déclare la guerre empereur K-tåås Trøf  le Génocidaire. Tu le sais aussi la mort pour les esclavagistes en nos provinces, la stricte noblesse nous guidant le Vicomte Cook a été épargné.

Bien à toi.

“Rhüum sei Esteñ, Freheit für Esterõrd.”

Dernière modification par Olonais (2019-08-06 12:38:22)

#2 2019-08-06 21:22:38

K-tåås Trøf
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Re : Du höršt ? -- Tu l'entends ?

Kalie En'té lu la missive de l'Olonnois à voix haute à Taas Trof.

- Je comprends pas tout ce qu'il dit, l'Olonnois. Il utilise toujours autant d'adjectifs ?
- J'sais pas, personne le voit jamais. Je connais même pas le son de sa voix. Mais bon, c'est toujours intéressant de savoir qu'il est en vie !

Taas Trof boutonna sa chemise tandis que Kalie, toujours allongée sur le lit, relisait le parchemin.

- Il a l'air bien énervé non ? En tout cas il se considère plus noble que toi, j'espère que tu seras à la hauteur de ses espérances.
- Boaf... Attaquer un seigneur quand il est en croisade, mener un ost contre une forteresse une fois que son allié est allé détruire les fondations et une grande partie de l'armée adverse... C'est pas vraiment la plus noble des attitudes, mais bon... Je suis habitué avec les donneurs de leçon.
- Et du coup, on lui répond ?
- Ouaiisss ! Bien sûr !

Taas se leva, avec un grand sourire. Il attacha sa ceinture et se dirigea vers son plastron et ses armes posées sur la grande table.
Kalie se dirigea vers le petit bureau, prépara un parchemin vierge et trempa la plume dans l'encre.

- Qu'est ce que je lui écris ?
- Rien du tout !
- Comment ça ? Tu m'as dis qu'on lui répondrait !
- Ouais Putain du Nord ! Avec ça !!

Taas venait de se saisir de ses deux haches et les dressait fièrement devant lui.

Dernière modification par K-lean (2019-08-06 21:23:12)


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#3 2019-08-06 23:18:25

Iödeke de L'olonnois

Re : Du höršt ? -- Tu l'entends ?

Rapide et HRP

Pour Cook ce sera compliqué de répondre RP. Sa capture en croisade sur un fief donc une attaque quand il était actif, il c'est mis en croisade dans ce laps de temps c'est un fait de jeu contre notre volonté.

Nous n'avons jamais attaqué cook pendant sa croisade.

La version RP demain.

Dernière modification par Olonais (2019-08-06 23:55:46)

#4 2019-08-09 16:05:41

K-tåås Trøf
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Re : Du höršt ? -- Tu l'entends ?

HRP
La même journée j’ai vu :
- Cook croisé
- Forto prise (par Cochonou je crois ?)
- Cook capturé
Étant donné qu’il est croisé on n’a pas de news, j’etais persuadé qu’il avait été capturé sur sa forto en instantanée vu qu’il était croisé.
Ça semblait logique.


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#5 2019-08-09 16:07:03

K-tåås Trøf
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Re : Du höršt ? -- Tu l'entends ?

Marquis Iodeke de l'Olonnois,

Vous avez fais le choix d'Oster avec Cochonou contre mon armée grandement diminuée par mes batailles précédentes.
J'ai fais le choix de vous affronter tout de même malgré les forces en présence.

Ma contre-attaque s'avère payante : vous avez fuis avec vos armes de sièges.
J'espère que la honte de cette fuite est suffisante sur vos épaules pour que vous n'y reveniez pas, ni vous ni vos sièges.

Je suis disposé à vous laisser quitter mes terres, vous et les armées de Cochonou, sans plus de pertes de part et d'autres.
Vous pourrez bien entendu revenir tenter cette prise sans que vos armées soient mêlées à la guerre en cours.

Je vous remercie d'avance pour un retour rapide de votre part, mes hommes sont quelques peu tendus et risques de lâcher quelques jets sur les troupes trop proches.

Taas Trof, Couronne d'Okord


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#6 2019-08-09 20:25:18

Iödeke de L'olonnois

Re : Du höršt ? -- Tu l'entends ?

Nous prenons notes de ta proposition et te répondrons simplement.

Quitte nos terres que tu colonises, reprends tes troupes et préservons les gueux.

Tu nous as promis du sang et nous de mourir en chantant, seul toi et moi pouvons mettre fin à cette folie.

En attente de ton retour.

Dernière modification par Olonais (2019-08-09 20:26:05)

#7 2019-08-10 17:26:13

K-tåås Trøf
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Re : Du höršt ? -- Tu l'entends ?

Vous me déclarez la guerre,
vous me surnommez le genocidaire,
maintenant vous me dites que je vous colonise,
Que je suis sur vos terres...

Et vous voudriez que je quitte l’endroit en me laissant insulter ?

Qui êtes vous pour déclarer que ces terres appartiennent à l’un ou à l’autre ?
Quand vous serez le porteur de couronne vous pourrez changer les lois comme il vous chantera.
En attendant je m’en tiens aux lois actuelles : celui qui est maître de la Forteresse est maître des terres de la province. Ce ne sont pas MES terres, ni les VOTRE, elles sont Okordiennes.

Vous déclarez vouloir préserver les gueux mais vous êtes venus avec le marquis Cochonou, je ne pense pas que ce soit pour tailler des cures dents ?
Vous avez bien plus de gueux sur le champ de bataille que ce que je suis en mesure de réunir, mais si vous persistez et ne quittez pas ces terres, je vous promets que toute votre descendance chantera cette bataille.

J’espere juste pour cela que vous avez pu faire progéniture avant de venir ?


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#8 2019-08-12 10:40:44

Iödeke de L'olonnois

Re : Du höršt ? -- Tu l'entends ?

empereur

Nous ne sommes pas Nobles à faire guerre sans juste motivation, au-delà de la simple illégitimité des provinces.

1/Droit de Noblesse

Kirschblüte [225x117] et Forteresse de la Guerre [171x117] comprennent ma capitale Croc du Gergorord [224x121] + 15 fiefs direct de notre faction + 22 fiefs d'anciens Suzerains et Vassaux de mon Père feu le Prince Ayrald de l'olonoi.


2/ Libération du joug colonial

Forteresse de la Guerre [171x117] que dire d'un empereur sans aucun fief en cette Province, qui ne fait que percevoir taxe auprès du peuple sans y investir un sou et se soucier de lui?
Kirschblüte [225x117] vous y avez fait construire de belles villas pour vous prélasser, mais ce temps est fini dorénavant. Nous serons meilleurs pour ces terres que ce qui leur a été offert jusqu’à présent.

De juste droit impliquant de juste devoir d’où les attaques de ses 2 provinces.

empereur notre accord de base, tu nous promets du sang et nous la mort en chantant. Tu nous as demandé le premier de retourner à l'Est nous t'avons juste retourné la politesse en Noble en te proposant de retourner chez toi.

Libérer notre peuple nous demande d'agir ainsi en  surnombre, nous sommes là pour la province pas pour faire des cure-dents ou autre.

Génocidaire ce surnom te vient de nos chants mais ce ne sont que des chants lointains nous te le concédons, nous t'appellerons Roi K-tåås Trøf le colonialiste le temps de récupérer cette province.

#9 2019-08-12 16:58:35

K-tåås Trøf
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Re : Du höršt ? -- Tu l'entends ?

Marquis Iodeke,

Okord est vaste, Ohm l'est encore plus.
De nombreuses provinces okordiennes sont illégitimes, mais vous semblez attacher à rester dans votre petit coin et à reprendre les forteresses que vous considérez comme vôtre.
C'est bien dommage, croyez moi.
Vous auriez beaucoup à apprendre en déménageant vos citées sur tout Okord, notamment que cela évite la consanguinité...

Cette forteresse de la Guerre, je n'y tiens pas plus qu'une autre.
Il est évident que je ne suis pas indifférent à toutes les taxes que vous m'avez versé depuis toutes ces années, mais l'arrivée de votre ost est la plus belle bataille que l'on m'ait proposée depuis plusieurs années, c'est surtout pour cette raison qu'il vous faudra me rouler sur la tronche si vous voulez récupérer les titres de propriétés.

Allez, lancez vos troupes, qu'on s'amuse un peu !
Taas Trof


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#10 2019-08-12 17:52:50

K-tåås Trøf
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Re : Du höršt ? -- Tu l'entends ?

Lunor, 12e phase de l'été de l'an VIII de l'ère 19


Sparr Hoff était nerveux.
La fatigue accumulée par un an de guerre contre Arald et par la gestion des citées délaissées par Taas Trof l'obligeait aujourd'hui à prendre sur lui en toutes circonstances.
Mais cette bataille était la goutte de trop... qu'elle qu'en serait l'issue, Sparr Hoff ne serait plus l'Intendant de la maison K.


Prêts de 20 000 cavaliers, plus de 10 000 arbalétriers, 12 000 archers, 7 000 huskarls et autant de lanciers, 1500 chevaliers et des armes de sièges sur toute la largeur de la prairie avaient fait irruption sur la plaine de la Forteresse de la Guerre le Mardor, 6e phase du printemps de l'an VIII de l'ère 19.
Et plutôt que d'écouter les remarques raisonnées de ses généraux, Taas Trof avait décidé que toute l'armée Impériale y ferait face.

Certes, l'armée Impériale était encore flamboyante et en aurait effrayé plus d'un avec ses 14 000 cavaliers, un peu plus de 9 000 arbalétriers, 8 500 archers et quelques 6 000 paysans toujours revêtus simplement pour leur donner l'illusion d'être des fantassins armés et susceptibles de renverser le court d'une bataille.

Si la stratégie de recruter tous les paysans alentours en leur promettant des terres avait fonctionné contre Gron, le noble de la Tour Rose, tout le monde savait pertinemment qu'elle ne fonctionnerait pas ici. D'abord parce que les forces adverses étaient bien trop nombreuses, et parce que cette année de Guerre avait épuisé toutes les réserves des terres régies par la maison K. Il n'y avait plus d'hommes en âge de se battre, les vieillards et les femmes passaient leurs journées dans les champs pour subvenir aux besoins de l'armée. Plus de la moitié des citées avaient subies le siège de Sametue, les maçons mettraient des années à remettre les murailles en état.

Sparr Hoff se remémorait...
Le début de la bataille avait été frileux de part et d'autres, les moins de 40 000 hommes de l'armée Impériale avaient été silencieux.
Tous s'observaient, se demandant quelle stratégie pourrait bien les sauver cette fois-ci face aux plus de 50 000 armures adverses, flambants neuves.
Le nombre était une chose, mais la fatigue était un paramètre tout autant important, et il n'était pas en faveur des Impériaux.
Ils n'avaient qu'un avantage : celui du terrain.
Et Taas Trof le savait bien...

Taas Trof avait monté un des plus beaux étalons de la cavalerie impériale, et alors que les armées adverses commençaient à s'installer sur toute la largeur de la plaine, l'Empereur pavana devant ses hommes et tâcha de leur donner les mots qui décupleraient leur force.
Ils sont nombreux hein ?! ...
C'est vrai, mais nous sommes l'armée Impériale !
Un seul d'entre nous en vaut dix comme ces gars là !
Nous sommes fatigués ?! ...
C'est vrai, mais nous ne ressentons pas la douleur !
Ce n'est pas la première fois que l'on affronte une armée plus nombreuse que la nôtre,
Cette fois-ci, encore, nous gagnerons !

Une partie de l'armée leva son arme en beuglant.
Mais la crainte était palpable, tous n'étaient pas convaincu par les mots de leur souverain.

Je vois... Il vous faut un exemple de notre supériorité ?
Alors on y va !
Que toute la cavalerie me suive, nous allons briser leur camp !
Tireurs et Piétons, restez ici, protégez la cité jusqu'à ce que l'on revienne !


...
Tenez bon ! Ils arrivent !!!
Les encouragements de Taas Trof sortirent Sparr Hoff de ses songes.
Taas Trof était effectivement revenu de ce premier assaut qui avait surpris l'adversaire.
Prêt de 10 000 cavaliers Impériaux tombèrent, mais pour 20 000 hommes en face et non des moindres, cette charge avait fortement réduit les rangs des tireurs adverses, aussi bien archers qu'arbalétriers.
Cet assaut avait permis de semer le chaos dans les forces ennemies, le marquis Iodeke avait même du fuir avec leurs armes de sièges juste avant que la cavalerie de Taas Trof ne détruise le camp. Sparr Hoff n'était pas resté sans rien faire, il en avait profiter pour réaliser des sorties avec les archers pour perturber encore plus les assaillants et saper leur moral.
Certes ils y perdirent presque 6 000 hommes, mais eux aussi en firent tomber le double en face.
L'armée de la maison K exultait, réveillée et ragaillardie, elle avait retrouvé une nouvelle jeunesse et elle attendait désormais de pied ferme que l'adversaire mène l'assaut à son tour.

Mais Sparr Hoff était nerveux, lui savait que malgré ces assauts qui avaient réduit de moitié les forces adverses... ils étaient encore 40 000 en face car eux avaient sans cesse des renforts qui arrivaient à l'horizon !

Sparr Hoff s'accrocha à un cavalier à proximité pour se surélever et observa la situation.
Les troupes de l'Empereur toujours plus en infériorité... et la charge massive de l'adversaire...
Peut être que...
Sparr Hoff donna consigne à son général et couru vers Taas Trof...

Dernière modification par K-lean (2019-08-12 17:56:23)


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#11 2019-08-16 17:34:36

K-tåås Trøf
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Re : Du höršt ? -- Tu l'entends ?

Mardor, 13e phase de l'été de l'an VIII de l'ère 19

Sparr Hoff progressait difficilement parmi tous les combattants.
Tous s'étaient regroupés et commençaient à reculer sous l'assaut des huskarls et des lanciers, sous les tirs d'archers et d'arbalétriers.
Il en tombait partout autour, les cris des hommes mutilés ou transpercés ne freinaient pas le grand archer mais la terre devenue rouge sang devenait de plus en plus gorgée et difficile de s'y déplacer.
Une nouvelle vague de flèches... Sparr se protégea comme il pouvait en s'allongeant contre un cheval éventré au sol.
Deux flèches tombèrent dans la boue juste auprès de lui.
Il se releva et avançait péniblement vers Taas Trof.

L'Empereur était une vingtaine de mètres devant lui, recouvert de sang, il tenait toujours ses deux haches dans les mains et fracassait quiconque s'approchait de lui.
Sparr Hoff l'appela mais son appel était inaudible.
Il réussit à s'approcher encore de quatre mètres et allait appeler de nouveau Taas Trof lorsqu'une vive douleur le frappa dans le cou.
Il posa immédiatement sa main et compris qu'un carreau était fiché là.

Il voulu appeler à l'aide, mais seule une gerbe de sang sorti de sa bouche.
Sparr Hoff s'effondra sur le dos, il sentait son sang s'échapper, emportant la chaleur et la vie de son corps.
Les sons alentours semblaient s'éloigner de lui, comme brouillés, mais sa vue était intacte, les hommes autour gesticulaient, mais le ciel était bleu.
Un homme tomba mort sur son torse, un autre sur ses jambes, mais Sparr Hoff admirait une dernière fois ce ciel si bleu, si calme, loin du tumulte des hommes, loin des guerres et des convoitises.

Lui qui regardait toujours au devant des évènements du quotidien regarda passer sa vie à toute vitesse devant ses yeux grands ouverts.
Sparr Hoff l'archer mouru là, dans l'indifférence générale d'une bataille.

Dernière modification par K-lean (2019-08-16 17:35:09)


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