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#1 2016-09-15 12:37:05

Harley Queen

Les esclaves de Krast

 Suite du récit du pillage de Krast mais qui n'a plus sa place là-bas. 

Une fois arrivé, les chars remplis de corps prirent un allée à droite tandis que les autres continuaient vers la place centrale à l'intérieur même du château.
Une fois arrivé, on fit monter les survivants sur une estrade. Pendant ce temps, Harley remonta dans ses appartements et commençait à s'afférer pour les deux missives qu'elle devait rédiger.
Sous bonne garde, les survivants attendaient et d'un coups, on les sépara violement en quatre groupes. Celui des jeunes filles, celui des jeunes garçons, celui des hommes et celui des femmes. Après cette sauvage séparation, ils les mirent tous nus comme des vers. Et enfin, ils leurs attachèrent les mains dans le dos et reliées par une chaîne en fer à leurs pieds et enfin, celle-ci était reliée à des anneaux au sol.
Après cinq minutes, on fit entrer un groupe d'une vingtaine d'hommes et femmes qui portaient tous une chevalière en argent à leur annuaire gauche. Tous sauf une qui portait une chevalière en or.
On les fit monter et ils purent faire le tour des nouveaux esclaves. Ils les palpaient, ouvraient leurs bouches, touchaient leurs cheveux,...
Ils firent ensuite la file, la femme à la bague en or la première devant une petite échoppe.

Dernière modification par Harley Queen (2016-10-15 15:41:22)

#2 2016-10-15 16:01:46

Harley Queen

Re : Les esclaves de Krast

Après son passage, des gardes furent appelés. On leur désigna les différents esclaves choisit, ils les décrochèrent du sol et, violement, les amenèrent dans une des ailles du château. Le groupe qui venait de partir était composé majoritairement de fillettes et de femmes, il y avait quelques hommes et seulement les plus robustes.

Le autres marchands donnèrent leurs listes, chacun son tour, et des gardes venaient pour entasser les esclaves dans la roulotte respective.
Après ce petit manège, il ne restait pas plus de 1/4 des gens ramené par l'expédition et l'après midi était déjà bien avancée mais d'autres marchands firent leur entrée. Ils portaient tous une chevalière en bronze et ne possédaient pas de charrettes.
Ils firent leur tour puis ils se présentèrent devant le guichet pour faire leur réservation. Ils ne purent repartir avec leurs nouvelles possessions mais on leur dit que si ils voulaient protéger leurs biens, ils pouvaient apporter couverture et tunique. Aucun ne le fit car aucun ne pouvait se permettre se privilège. Les esclaves restant durent donc passer la nuit dehors.
Mais avant qu'elle ne tombe, pour éviter les conflits, ils furent marquer au fer rouge par un numéro et chaque numéro correspondait à leur nouveau maître.

Pendant la nuit, un homme maigre, sale, grelotant de froid comme tout les autres, affamé par ce jeûne obligé, réussit à dévisser sa chaîne du sol. Il ne voulait pas gâcher sa chance d'échapper à ses geôliers et il étudia donc, pendant deux heures les gardes qui n'avaient toujours pas bougé depuis qu'ils étaient arrivés. Tentant sa chance, il s'élança, courut jusqu'au bord de l'estrade, sauta du haut de celle-ci mais n'atterri jamais. Entre le sol et lui, se dressait un garde, sa lance pointée sur son torse. Il s'y embrocha jusqu'à la main qui tenait la lance. Les autres esclaves, réveillé par le bruit, regardaient, impuissant et terrorisé le cadavre de leur compagnon. Le garde ramena le corps, le déposa à sa place initiale et retourna à son post. Le lendemain, le marchand fut d'abords mécontent en voyant les rares miettes qu'on lui laissait détruite ainsi mais il fut bien plus heureux quand on lui amena une chevalière, toujours en bronze mais avec une ligne d'orée en son centre. Pour lui, cela signifiait qu'il pourrait passer devant les autres en toute légitimité.

#3 2016-10-15 16:20:18

Harley Queen

Re : Les esclaves de Krast

L'histoire va maintenant se séparer en deux, d'un coté, un récit général et de l'autre, celui d'une fillette devenue esclave. Je n'en dit pas plus. 

l'histoire d'Aurane
Elle venait d'avoir cinq ans, seulement cinq ans et ces gens l'avait arrachée de sa mère puis déshabillée et parquée comme un animal. Elle avait pleuré, beaucoup, puis cette femme c'était approchée, elle avait baissé la tête mais elle la lui avait relevé. Ensuite, elle l'a regardé droit dans les yeux et l'a finalement relâché. Elle avait ensuite tourné autour. Elle avait trouvé ça très dégradant et humiliant.
Ensuite, plus rien. Elle sentait la due morsure du soleil sur son dos et sa nuque mais elle ne pouvait rien faire pour s'en protéger. Son ensuite venu des hommes, il n'y allait pas par quatre chemin et n'hésitait pas à lui ouvrir la bouche, la retourner dans tout les sens, lui palper les fesses, regarder ses mains et d'autre chose du genre.
Le soleil commençait à descendre et elle entendit un bruit métallique. On venait de la détacher et, en relevant la tête, elle vit que l'homme en armure lui montrait une direction. Elle compris qu'elle devait y aller mais à peine deux pas plus loin, elle tomba à cause du poids de ses chaînes. Elle voulut se relever mais en fut incapable. Une femme en armure s'approcha d'elle, elle la regarda, les larmes aux yeux mais la soldate ne fut pas prise de compassion. Celle-ci la prit sur son épaule sans ménagement.
Aurane fit une grimace en entrant en contact avec le métal froid de l'armure et elle ferma les yeux jusqu'à ce qu'on la repose par terre. Elle regarda alors autour d'elle. Elles se trouvait au milieu des autres esclaves amener, ils étaient dans une pièce immense, entièrement faites de marbre, les colonnes soutenant le toit étaient toutes décorée de fresque immense. Aurane se sentit encore plus petite dans cette pièce. Comme elle ne pouvait pas tenir debout à cause de ses chaines, elle s'était assise et cela l'empêchait de voir l'immense siège dont deux haches formaient le dossier. Elle ne pouvait pas non plus voir la femme qui venait de s'assoir dedans.
Il régnait un silence de mort car tous avaient peur pour leur vie et, par dessus ce silence, s'éleva une voix:
"Bienvenue en mon château, vous y travaillerez comme esclave jusqu'à soit votre mort soit votre libération. Vous aller être marquer au bras gauche avec une peinture spéciale qui ne part pas au lavage. Cette marque sera un numéro et le seau de ma maison. Ce seau vous distingue des autres esclaves qui sont moins bien traité et possède encore moins de droit que vous. Je vous prierez, une fois marquer de vous diriger vers la colonne dont la valeur est égal de la centaine de votre numéro. De là, on vous donnera vêtement, nourriture et votre responsable vous expliquera les tâches que vous devrez accomplir chaque jour. "

Aurane fut prit de panique, elle ne savait ni lire ni écrire et encore moins compter. Elle avait de nouveau les larmes aux yeux et elle prit peur quand un homme, armé d'un pinceau, lui saisit le bras gauche et la marqua du chiffre 111.
Peu à peu, les esclaves partaient vers leur lieux respectifs sous l'œil attentif et inquisiteur de leur nouvelle maîtresse. Aurane finit par être la seule au milieu de la pièce, sanglotant. Une femme arriva avec un fouet:
"QU'EST CE QUE TU ATTENDS POUR TE RENDRE LA OU TU DOIS ALLER?"
Voyant que l'Aurane la regardais, horrifiée mais qu'elle ne bougeait pas pour autant, la femme leva sont fouet mais, au dernier moment, arrêta son geste et mit un genou à terre et baissa la tête vers le sol. Aurane fut surprise de voir ça puis elle tourna la tête et vit une autre femme, d'une grande beauté, avec un gant au bras droit se pencher vers elle.
"Qu'attends tu pour te lever?
Aurane fut surpris par le ton mélodieux et mielleux de la personne qui lui parlais.
"Mes...mes...mes chaines sont trop lourdes pour moi.
Si je te les enlève, tu me suivra où que j'aille?"
Aurane fit oui de la tête, trop paralysée pour parler. La femme sortit donc une clef d'une poche de sa tunique et lui délia les jambes et les mains. Elle se releva ensuite et se dirigea vers l'énorme siège au fond de la salle. Aurane regarda ses mains, qui étaient fort blanches puis regarda la femme qui s'éloignait, ses anciennes chaînes en mains. Se rappelant ce qu'elle avait promis, elle courut jusqu'au siège où la femme s'était assise. Elle se plaça derrière, sur la gauche et un peu en retrait.

Quand la salle fut vide, la femme fit appeler deux hommes, un était celui qui lui avait fais son numéro et l'autre était un inconnu. Le premier, après avoir reçu ses directives s'approcha d'elle, de nouveau, il était armé de son pinceau et il modifia les chiffres. A la place des 111, il y fit 0000. Une fois sa besogne accomplie, il fit une rapide révérence et s'en alla. Le deuxième s'empara d'un ruban et commença à tourner autour d'elle. Une fois cella fait, il repartit aussi.
La femme se leva, Aurane se mit tout de suite sur ses talons et elle suivit la femme durant de longue minute dans des couloirs en pierres brutes et froide. Elles arrivèrent finalement dans une pièce avec un grand bassin d'où s'échappe des volutes de fumée. La température y était bien plus agréable. Aurane était tellement absorbée par la contemplation de la pièce qu'elle ne vit pas tout de suite que la femme la regardait. Lorsqu'elle s'en rendit compte, elle sursauta et baissa la tête en symbole qu'elle reconnaissait sa faute.
"Bien, je vais t'expliquer ton rôle. Tu sera ma servante directe. C'est à dire que tu me suivras partout et tout le temps. Tu devras aussi te débrouiller pour exhausser tous mes vœux. Pour cela, tu pourras faire appel aux autres domestiques. Tu sera aussi la seule personne à pouvoir m'accompagner pendant mon bain. Tu peux aller dire au servante de la pièce derrière cette porte qu'il me faut un essuies?"
Elle montrait une porte derrière le bassin. Aurane courut donc jusque là et elle ouvrit la porte. Dans la pièce, des femmes travaillait, elles portaient toutes un numéro commençant par 8. L'une d'elle s'approcha, regarda la fillette puis lui demanda ce qu'elle voulait. Aurane fut surprise et intimidée mais elle tenait plus à sa vie. Alors, prenant son courage à deux mains et rouge de honte, elle répéta ce que la femme lui avait dit. L'autre allait éclater de rire puis elle vit le numéro de la petite et, d'un coup, cria à un autre de lui amener un essuies. Elle le tendis tout de suite à Aurane et lui demanda, sur un ton beaucoup plus poli si il ne fallait pas autre chose, Aurane fit non de la tête et s'enfuit en direction du bassin, étonnant, au passage, la servante qui referma la prote.
Quand Aurane arriva sur le bord du bassin, elle vit les habits de la femme par terre, elle se tourna donc vers le bassin et elle la vit se prélasser au milieu, nue, sans son gant, laissant apparaître une main et un avant bras sans peau ni muscles. Aurane tomba en arrière et ce fut le noir complet.

Dernière modification par Harley Queen (2016-10-16 11:19:01)

#4 2016-10-17 20:58:33

Harley Queen

Re : Les esclaves de Krast

Aurane se réveilla, dans un petit lit, des couvertures bien chaude l'entourant. Elle ne voulait pas sortir ni réaliser ce qu'elle avait vu mais la voix de sa maîtresse la fit sortir de son lit. Du moins, elle sortit la tête.
La femme était penché vers elle et de sa main, elle caressa ses cheveux. A son grand étonnement, Aurane, qui frissonnait déjà au contact froid des os, fut surprise par la chaleur que dégageait la main.
"As tu peur? "
Aurane fit oui de la tête car, c'était vrai, la main la terrifiait.
"Il ne faut pas et comme tu me suis partout, tu la verra souvent. Vient, tu dois te laver et en vitesse car nous partons dans quelques heures rendre visite à un personnage turbulent. Sais tu monter à cheval? "
Elle fit non de la tête et pendant ce temps, la femme la souleva. Elle n'osait plus respirer tant elle était si près de sa protectrice qui est également son bourreau. Pour la première fois, elle contempla son visage, ses traits avaient l'allure d'une guerrière expérimentée mais en même temps, ils étaient doux. Sa peau avait l'air si lisse que Aurane tendis la main pour vérifier si ils étaient réel mais avant qu'elle ne les touche, elle fut jetée dans les air et atterri dans le bassin d'eau chaude. Elle refit surface et chercha à s'orienter. C'est là qu'elle vit le corps entièrement nu de sa protectrice, il était généreux et superbe. Celui d'une femme en pleine possession de ses moyens et parfait. La femme la rejoignit, prit une savonnette et commença à nettoyé tout le corps d'Aurane.
Une fois finit, elle se dirigea vers la porte d'où Aurane avait été chercher l'essuie. Elle en revint avec deux et elle fit signe à Aurane de sortir du bassin et elle l'essuya.
C'est la première et la dernière fois que tu prends un bain en même temps que moi. Suis moi maintenant.
La femme se leva, noua l'essuie autour de sa taille et partit dans un direction. Aurane la suivit mais elle noua sa serviette juste sous son coup car la température avait brusquement chutée.

Elles arrivèrent dans une grande pièce, avec de très belles peintures, un lit immense trônait au centre de la pièce et dans un coin, un plus petit. La femme fit un geste dans la direction du petit lit:
" Voici ton lit. Tu dormira avec moi dorénavant. Il y a une tenue dessus. Je te conseil de la mettre. "
Sur ce, elle partit vers son propre lit et ferma les rideaux. Aurane se dirigea donc vers le sien et vit une tenue soyeuse qui permettait des mouvements amples et qui gardait au chaud.

#5 2016-10-18 07:56:50

Harley Queen

Re : Les esclaves de Krast

L'histoire d'Harley
Elle avait prit comme servante une petite fille qui la rappelait à son âge. Elle n'en était pas mécontente mais elle avait pus important à faire pour le moment. Elle mit donc sa tenue de combat puis elle alla prendre ses deux sabres qu'elle mit sur son flan gauche. Quand elle sortit, la petite était prête. Les couturiers avaient bien travaillé et laisser le numéro de la petite visible.

Elle descendis donc, la petite sur ses talons, et elle arriva dans la cours où déjà une centaine de chevalier l'attendaient. Un domestique tenait son étalon noir tandis qu'un autre tenait la jument de sa servante. Elle enfourcha son étalon à la façon d'une amazone et on installa la petite sur la jument qui fut bien étonnée de sentir un poids si léger.

La troupe se mit en route en direction des terres de Catapla.
Sur le chemin, ils furent arrêté sur un pont par une petite compagnie de lancier dont le symbole ne rappelait rien à Harley.
" Halte, vous entrez sur les terres du vicomte Rochester. Que transportez vous et où allez vous?"
Harley fit signe à sa troupe de s'arrêter puis elle continua dans la direction du sergent. Tous les lanciers levèrent leurs piques et leurs boucliers. Elle se laissa descendre de son cheval et fit encore quelques pas en direction des inopportuns.
"Je suis Harley Quuen, nous ne transportons rien et notre destination ne regarde que nous.
Il vous faudra bien le dire si vous voulez passez ici. Ainsi que payer la taxe.
Parce que vous croyez me faire peur avec vos menaces? Nous sommes plus de 100 et vous n'êtes pas une vingtaine. Alors si vous ne voulez pas être donner en pâture aux coyotes, laissez nous passer. "
Des bruits de sabots se firent entendre au loin et bientôt, ce fut toute une compagnie de cavalier qui arriva de la forêt. Après un rapide entretient avec son sergent, un homme à peine plus jeune qu'elle s'approcha tout en restant derrière le mur de piques.
"Mon sergent me dit que vous voulez passez mais sans payer la taxe ni donner votre destination. Je vous propose de payer la taxe et nous vous laissons passer.
Je vous propose un duel. Si je gagne, vous nous laissez passer. Si vous gagner, on paye le double de la taxe.
C'est d'accord."
Ainsi, il avança vers Harley, descendit de son cheval et s'approcha pour commencer le duel à l'épée. Harley dégaina, mit son masque de guerrière et plaça sa garde. Elle eut un moment de défaillance en voyant la grande beauté de son adversaire mais elle se ressaisit aussi tôt. Elle attendit qu'il passe à l'attaque pour répliquer.

#6 2016-10-19 15:10:38

Rochester

Re : Les esclaves de Krast

À l'intérieur de la ville de la nouvelle Acre , le Vicomte était tranquillement assit sur devant son bureau , a rédigé les ordres de la semaine pour l'armée .
Jusqu'à ce que l'un de ces Commandants vienne le déranger .

- Monseigneur ! Une centaine de cavaliers sont rentrés dans vos terres ! * il s'arrêta un instant pour voir la réaction du jeune homme avant de continuer * Il n'y avait pas de bannière .

- Commandant ... * range ses feuilles qui traînaient sur son bureau * Préparez moi , deux cents cavaliers et une centaine d'arbalatriers , maintenant .

Et ils prirent le chemin vers la troupe étrangères . Une fois devant les cavaliers étrangers , une femme , vêtue de noir , fine et robuste , une guerrière avec un charme particulier .

[...]

Elle était d'accord donc . Le jeune homme descendit de sa monture , enleva son armure et son épée .

- Je ne fais pas de duel en étant armé ! * Cria il *

Avant qu'elle puisse répondre à la phrase arrogante du Vicomte . Celui ci se lança vers en donnant un léger coup de pied aux jambes de la guerrière , juste de quoi la déstabiliser , et la faire tombé , sauf qu'elle n'est pas tombée , le Vicomte l'avait prit par les hanches avant de la portée sur ses bras .

- Bien bien , je vois que vous acceptez ma pseudo-invitation à un banquet . * Un  sourire satisfait aux lèvres * Si vous voulez revoir vos hommes en entier quand vous reprendrez la route demain ... * chuchotant * Alors veuillez accepter ... my Lady .

Il la laissa sur pieds en sifflant à ses hommes , ceux ci entouraient les hommes de la jeune femme en baissant leurs lances pour dissuader l'ennemi de partir ou de fuir .

#7 2016-10-19 16:02:11

Harley

Re : Les esclaves de Krast

Elle resta un moment devant cette homme qui s'était jeté sur elle sans même attendre qu'elle rengaine son épée. Il s'était presque empalé dessus. Elle siffla son cheval, remonta dessus et fit un signe à la compagnie de se remettre en marche. Elle suivit l'étrange personnage jusqu'à son château.
Arrivé dans la cour, elle mit pied à terre. Elle fut suivie par toute sa troupe sauf que les chevaliers mirent un genou à terre, baissèrent la tête et ne bougèrent plus. Sauf dix qui virent se placer derrière Harley et la petite Aurane qui s'était mit derrière les talons d'Harley. La petite troupe entra à l'intérieur, précédée par leur hôte qui leur donna des chambres.
Harley y alla en attendant les banquet qui ne devrait plus tarder.
Mais elle demanda quand même à Aurane de demander à une domestique de lui trouver un pichet de vin.

Dernière modification par Harley Queen (2016-10-19 16:02:51)

#8 2016-10-23 16:53:53

Queen Ennemis de Royaume

Re : Les esclaves de Krast

Elle arriva le soir, dans sa robe de voyage, un peu entamée par le vin qu'elle avait bu avant de venir.
Elle alla s'assoir à coté du vicomte et tout le temps du banquet bût et parla avec son hôte. Peu à peu se créait une certaine intimité autour des deux personnes.
Freya, la première commandante voyait d'un mauvais œil cette liaison qui commençait à se former entre les deux jeunes. Elle prit Aurane à part et lui demanda de bien veiller sur Harley et de faire en sorte qu'elle ne quitte pas la chambre cette nuit.

Quand le banquet se termina, Harley se sépara avec difficulté de Rochester mais le regard noir de ses généraux la fit partir après l'avoir remercié comme il se doit. Aurane et elle retournèrent donc dans la chambre. Harley, trop fatiguée s'écroula sur le lit sans même se changer ce qui laissa à Aurane le temps de fermer la porte à clef et de planquer la clef sous la commode. Aurane mit sa tenue de nuit et alla dans son propre lit pour fermer ses petits yeux déjà bien fatigué.
Mais ce qu'Aurane ne savait pas c'est que Harley avait fin de s'écrouler sous la fatigue. Elle se changea donc, mit une tenue légère, déchaussa ses bottes, prit la clef et s'en alla dans les couloirs désert pour rejoindre son tendre prétendant.
Elle passa donc une merveilleuse nuit d'amour en compagnie de ce dernier et tout les deux, épuisé, s'endormir l'un contre l'autre.
Le matin, après avoir causé quelques remous suite à son absence dans sa chambre, la troupe repartit. Eux avec enthousiasme et elle avec regret.

Suite du récit via le massacre de cataplas. 

#9 2016-10-25 22:01:24

Rochester

Re : Les esclaves de Krast

Quelque heures avant la nuit mouvementée ...

Dans le coin de la table une discussion entre l'ennemi du Royaume et le futur ennemi d'Yggnir .

- Dites Vicomte , vous traitez tout vos prisonniers de la sorte ?
- Pourquoi ? Vous voyez des prisonniers dans les environs très chère ?
- Et moi ! Vous m'avez bien capturer et obliger de vous suivre et accepter votre invitation . Je suis donc une prisonnière .
- Non ! Absolument . * regardant les généraux de Harley , puis en chuchotant * Venez cette nuit dans mes appartements .

Sur ces mots tout se leva , sauf le Harley et Rochester . Harley lança un regard qui fit froid dans le dos vers ses généraux , elle saurait les remerciers .

Après des heures d'attente , le Vicomte entendit enfin quelqu'un frappé à la porte , il alla rapidement voir .

- Harley , c'est toi ? * en ouvrant la porte *
- Oui . Pourquoi tu attend...

Même pas la phrase achevée , le Vicomte embrassa fougueusement .

- Je ne pouvais plus attendre
- Tu te sens obligé de justifier tes actes ?

[... Ce qui se passe là , reste là ... ]

Tôt le matin , Harley était déjà parti avec ses hommes , capturer un lapin dans sa tanière .
Le jeune homme , était déçu , la guerre n'arrache pas seulement les hommes de leurs épouses , mais aussi les femmes à leurs amants . Mais , il avait d'autres plans , qu'il ne pouvait abondonner . Il appela son Commandant Stanley .

- Vous m'avez fait demandé Monseigneur ?
- Sir Stanley , c'est l'heure . * en pointant le soleil levant * je le veux vivant !
- Oui Monseigneur , je fais préparé l'armée , allez vous diriger personnellement l'armée ?
- Évidemment que je viens , je veux voir Chambéry tomber , hommes après hommes , pierre après pierre , et je veux voir son regard quand on lui dira qu'il est mon prisonnier .
- Bien , Monseigneur !

#10 2016-10-27 21:05:32

Rochester

Re : Les esclaves de Krast

C'était l'heure , une armée entière se tenait devant les murs de Emmendigen , cette armée était formé de cavaliers , archers , lanciers armes de siège et la garde Rochesterienne , les strolatz . Des milliers de soldats attendant les ordres du Vicomte sous l'obscurité de la nuit .

Dans la chambre du conseil de la cité  , le Vicomte discutait encore avec ses commandants et connétables , puisque la guerre a besoin de trois choses : L'argent , de l'argent et encore de l'argent .

- Monseigneur ! * Cria un homme armé jusqu'au cou * Il faut que toute l'armée viennent , on doit s'assurer la victoire absolue !
- Il est hors de question * rétorqua le Connétable général en tapant du poing sur la table en forme de dodécagone ( 12 côtés les gars ) * On ne peut pas laissé nos gens et leurs biens sans défense !

- Assez !

Cette voix ne venait pas de la table , mais du trône qui se trouvait au fond de la salle . Le Vicomte observait , participait et intervenait dans la discussion depuis son Trône .

- J'ai pris une décision . Je laisserai aux Connétable général trois mille hommes pour assurer la défense de nos terres et de mes sujets et c'est irréversible .
- Mais Monseigneur , trois mille de moins , c'est un handicap ...
- Même si je n'avais qu'une armée d'aveugle , de fou et d'unijambiste , j'irai , car n'oublie pas pourquoi on fait ça .
- Oui Monseigneur
- Messieurs , la séance est levé , la prochaine est prévu à mon retour , sinon ... Celle-ci était la dernière . Nous partons !

On aurait dit un Dragon se réveillant en pleine nuit , la cité brillait de mille feux , elle prenait vie au milieu de la noirceur des ténèbres , les armées se mirent en position , prêtent pour le départ . Le Vicomte et le Commandant Stanley prirent la tête de l'armée , le Commandant Brive les trois mille hommes céder au Connétable général . Tout le monde savait quoi faire maintenant dans les deux issus de la bateille .

Après deux jours de marches , l'armée Rochesterienne faisait face aux murs de Chambéry , le glaive tombera là où il voudra .

[ ... Le RP de la bateille sera mis dans un autre post , du coup ici , beh je dois couper ]

Il l'avait eu , il le tenait entre ses mains . Le Vicomte Galdor était ligoté et  bâillonné , et mis sur un cheval . Le jeune homme avait prit la précaution , de laissé l'armée rentrer sans lui après le siège et la capture du Vicomte , il avait prit avec lui seulement la moitié de la garde Rochesterienne , c'est à dire une centaine de strolatz .

- Je vous eu mon cher ami ... je vous ai eu
- mhhh ...
- Pardon ? Je ne comprends pas , je ne parle pas cette langue . * le sourire aux lèvres *

Ils avaient chevauchés toute la nuit , puisque le siège de la ville s'est déroulé également dans la nuit . Guerre dans l'obscurité , paix dans la lumière . Mais quelques heures après l'aube , elle a enfin réapparue , elle était là , à la tête de son armée qui visiblement se prépare à campée après une longue marche .

Le jeune ordonna à ses hommes d'établir un campement sur la colline et prit avec lui un strolatz pour descendre voir Harley .
Ils avaient tout les deux des capuches , pour se fondre dans le campement à la recherche de la maîtresse de ces hommes ( Pas de commentaire là dessus ) . Une fois trouée , il l'a laissa s'éloigner un peu des soldats pour demander à son strolatz de la saisir par les pieds , et lui par les mains et éviter qu'elle hurle . Et ils l'emmenaient dans le campement sur la colline .

Une fois là-bas il l'a prit dans ses bras .

- Tourne toi , et regarda ce que je t'ai emmené ...

Il y avait Galdor à genoux ligoté et bâillonné vêtu d'un simple pantalon .

#11 2016-10-29 16:08:17

Queen Ennemis de Royaume

Re : Les esclaves de Krast

Harley avait d'abord paniqué mais en entendant la voix qu'elle reconnut immédiatement, elle se laissa faire. Quand on lui montra Galdor, ses yeux se voilèrent de tristesse en reconnaissant un ami de sa mère qui venait souvent dans son château pour discuter de stratégie.
" L’intention de me faire un cadeau me touche mais que ce soit le sieur Galdor, cela me déplaît. J'aurais préféré quelqu'un d'autre. "
Sur ce, elle s'approcha et enleva le bâillon de galdor, prit la gourde à sa ceinture et lui fit boire de l'eau à petites gorgées.

D'un seul coup, des soldats en armures sortir des fourrées et massacrèrent les sentinelles. Les quelques hommes assez éveillés pour riposter furent rapidement neutralisé. Mais, avant qu'il ne perpétue un massacre, Harley leva la main et tous se figèrent d'un seul coup. Comme sur un ordre silencieux alors qu'aucun ne la regardaient. En effet, ils semblaient comme relié à leur chef et avaient tout de suite senti son éloignement du camp. Un jeune homme, devant l'immobilité de son adversaire, planta son épée dans le flan de l'armure du chevalier mais celui-ci ne poussa pas un seul cri de douleur et ne tomba pas par terre. Il se tourna plutôt vers lui, détacha la main du jeune homme tétanisé du pommeau de l'épée et alla vers sa maîtresse. Il arriva devant elle, retira l'épée de son flan, mit un genou à terre et présenta l'épée à sa maitresse. Celle-ci regarda l'épée, la prit et le chevalier repartit vers le soldat. Il le prit sur son épaule et alla le déposer devant sa maitresse puis, sans ménagement, lui mit un coup à l'arrière du genou et le pencha en avant.
" Voilà une belle épée, est-ce toi qui l'a forgée?
Non, c'est un forg..."
Harley lança un regard lourd de sous-entendu pour faire comprendre à Rochester qu'elle voulait que ce soit le soldat qui réponde et non lui. Devant son mutisme, elle commença à soupeser l'arme, à la faire tourner. Après un moment, elle la pointa vers la gorge du soldat qui releva la tête mais l'épée ne quitta pas sa gorge, il arrêta donc de bouger.
" Non, je ne l'ai pas forgée, elle m'a été fournie avec mon équipement lors de mon engagement.
Tu sais au moins la réparée?
Non.
Donc, si elle se brise au combat, tu rentres chez toi demander aux forgerons une nouvelle épée? "

Il ne répondu pas. Pendant tout l'échange, Harley s'était éloignée de plus en plus. Après un court moment, elle lança l'épée en direction du soldat. Celle-ci se planta dans la terre entre les deux cuisses du soldat.
" Maintenant relève toi et affronte moi en duel!"
Le soldat regarda d'abord son épée. Il la dégagea du sol puis s'aida d'elle pour la relever. Harley avait dégainé son sabre et attendait l'assaut du soldat. Celui-ci regarda d'abord sa frêle adversaire qui attendait patiemment la première action de son opposant deux fois plus massif qu'elle. En toute confiance, croyant qu'elle ne pourrait pas arrêter son puissant coup, il s'élança. Son assaut fut brisé sur la garde de son opposant qui encaissa le coup sans même plier sous la puissance de l'impact. Mieux encore, elle arriva à repousser le soldat en arrière.
Celui-ci regarda son opposante, incrédule. Elle venait de brisé l'élan de tout le coup sans difficultés. Il adopta alors une tactique plus vicieuse. Il abattit son épée, il ferait suivre son coup par un deuxième plus rapide mais Harley dévia le coup de manière à le faire tomber vers l'avant puis recula dans un bond.
Le soldat fut surpris car il tombait en avant puis une cuisante douleur au ventre le prit. En reculant, Harley, avec l'extrémité de son épée lui avait entaillé le ventre mais sans grande gravité.
Le soldat se laissa tomber par terre puis se coucha dans l'herbe sur le dos un petit moment le temps de reprendre son souffle. Il se releva avec difficulté, du sang coulant modérément sur ses jambes. Cette femme, dans un coup précis et rapide, avait tranché pille entre les jointures de l'armure et elle avait traversé la pièce de cuir qui protégeait justement cette partie comme du beur.
Le soldat se remit en garde et il commença à réfléchir à sa première attaque mais Harley se rua à l'assaut, en le ruant de coup aussi rapide que puissant et précis. Plus d'une fois le soldat avait failli laisser tomber son épée mais de plus en plus, il peinait à parer les coups de son adversaire. Il regarda le visage de son adversaire et il y vit un sourire sadique. Elle jouait avec lui et s'amusait de le voir ainsi peiné. Elle aurait pu le tuer dès sa première blessure mais elle préférait le voir souffrir et se vider de son sang peu à peu.
Son sentiment se renforça quand, dans un coup puissant, elle envoya l'épée de son adversaire dans les airs puis qu'en un pas, elle s'avança et planta son épée dans sa gorge jusqu'à la garde. Le soldat tomba à genoux et prit, d'une main hésitante l'épée de son opposant avant de laisser son bras retomber, sans vie.

Harley alla ramasser l'épée du soldat. Elle la brisa puis planta une partie dans sa tête et l'autre dans son ventre. Elle se dirigea alors vers Galdor, le releva et prit congé de Rochester en promettant de lui ramener son prisonnier quand ils repartiront.
Elle emmena Galdor sous sa tente et lui fit préparer un repas nourrissant tout en discutant un peu avec lui. Elle lui céda même son lit et dormit par terre en disant qu'elle avait connu bien pire.

Au petit matin, elle retourna auprès de campement de Rochester, se réfugia dans ses bras avant de repartir et elle lui fit promettre de ne pas trop maltraiter Galdor qui maintenant portait une tenue chaude de voyage.

#12 2016-11-12 12:39:14

Harley

Re : Les esclaves de Krast

Partie Aurane
Elles avaient accueillis un inconnu, mais sa maîtresse semblait bien le connaitre. Tellement bien qu’i passa la nuit dans leur tente.
La vie du campement était dure pour elle, adieu le confort d’un bon lit et la belle vue du balcon. Elle avait mal aux jambes à force de chevaucher toute la journée sur cet immense cheval. Elle ne le guidait même pas, il suivait celui de sa maîtresse où qu’il aille.
Le moindre des souhaits d’Harley était exhaussé sans même qu’elle ait à parler et chaque fois que l’on montait un camp, des squelettes en armure noir comme la nuit montait la garde toute la nuit sans bouger. Aurane, bien qu’en pleine période de croissance avait arrêté de grandir et maigrissait de plus en plus. Son teint devenait de plus en plus pale et Harley s’en réjouissait. Ses cheveux noirs était gras et lui arrivaient plus bas que la taille mais ne la dérangeait pas dans ses déplacements.
Petit à petit, Aurane devenait l’esclave complet de Harley et même si elle n’entendait pas encore sa voix dans sa tête, Harley remarquait qu’elle anticipait de plus en plus ses désirs.
L’armée arriva dans une petite bourgade, elle était presque abandonnée. Il ne restait que deux gamins. Quant Harley les pris dans ses bras,  Aurane crut qu’il serait sauf. Lorsqu’elle entendu leur deux nuques se brisées simultanément, elle faillit tomber dans les pommes mais se ressaisit. Il se passa ensuite une drôle de chose, dans sa tête résonna, fort et clair : « Nous n’avons plus rien à faire ici. Nous repartons sur le champ. »
Devant sa mine déconfite, Harley lui demanda si elle l’avait entendu. Elle bougea la tête de haut en bas, remonta en selle à sa manière spéciale avec un grand sourire aux lèvres. La colonne s’était déjà retournée et Harley, suivie de Aurane la remontait au pas. S’engagea le retour à la maison, dans les somptueux appartements.
Aurane prit connaissance de son nouvel « état » pendant le trajet. Ils longeaient un col lorsque Harley se mit sur ses gardes. D’un seul coup, elle lança son cheval au galop et fut suivit de celui d’Aurane mais pas des autres. Aurane reconnu cet état, Harley s’était mis en chasse d’un animal et il devait manquer à sa grande collection puisqu’elle le pourchassa pendant près d’une demi-journée. Elles traversèrent une plaine et Aurane put voir le magnifique félin noir qui bondissait comme un beau diable devant ses chasseurs mais ceux-ci gagnait de plus en plus de terrain. Aurane fut prise de panique en voyant la panthère entré dans une place forte. Derrière elle, les herses se refermèrent.
Arrivée sur la grand place, en plein milieu des gens qui y circulaient, Harley dégaina son sabre et le lança sur la pauvre bête qui se trouvait encore à cinq bon mètre mais le sabre toucha sa cible et s’enfonça dans le flan de la bête. Harley sauta de son cheval sans que celui-ci s’arrête et enfonça sa deuxième lame dans le crane de la bête. Aurane descendit plus prudemment du sien et s’approcha de Harley qui était en train de laver le sang sur ses sabres. Autour d’elle s’était formé un cercle et les passants regardaient les deux femmes. Une quinzaine de gardes arrivèrent et encerclèrent les deux intruses. Harley ressortit alors ses deux lames, chose qu’elle faisait rarement, et toisa ses adversaires.
Trois s’élancèrent mais, d’habiles parades, Harley les fit se gêner et les tua un a un sans aucun signe de sentiment. D’autres gardes arrivèrent et renforcèrent les rangs des premiers. Cette fois, ce fut une dizaine qui s’élancèrent sur Harley mais celle-ci combattu férocement et, un à un, les tua. Une fois, elle coupait une jambe au niveau du genou, une autre, elle coupa les eux bras de son assaillants, une autre fois encore, elle fit pénétrer la lance de deux gardes sur eux avant de les décapiter d’un coup sec. Aurane fut subitement agrippée par derrière et on lui mit une épée sous la gorge. Un autre homme pointa sa lance sur son cœur et il interpella Harley :
« Hé, toi la furie, si tu déposes tes armes, je lui transperce pas le cœur. »
Pour toute réponse, Harley mit ses deux katanas sur ses flans, la pointe vers le bas, laissant voir le sang des précédents malchanceux se répandre sur le sable de la place. Elle se mit ensuite à avancer vers le garde. Celui-ci mit une plus grande pression sur l’épée qui s’enfonça dans la tunique. Aurane put sentir le contact froid de l’acier contre elle, au niveau de sa petite poitrine. Mais cela ne découragea pas Harley d’avancer. Le garde enfonça alors l’épée dans la poitrine de Aurane, elle le regarda effrayée, les yeux écarquillé, sa respiration s’accéléra de plus en plus, elle sentait l’épée lui pénétrer la poitrine de plus en plus profondément. Elle vit le liquide noir qui s’échappait du trou béant de sa poitrine. Le gade derrière elle la lâcha, elle tomba au sol et le soldat termina de l’empalée ce qui lui couta la vie car un sabre lui transperça la gorge.
Aurane ne vit plus rien que l’épée qui se trouvait dans sa poitrine et qui était fichée dans le sol. Elle ne vit pas Harley rencontrer le maître des lieux, son amant. Qui fut bien attristé de voir que la petite ne passerait pas la nuit et les corps d’une vingtaine de ses gardes jonchant le sol.
Harley vint se mettre à côté d’Aurane, elle retira l’épée, la releva et la regarda dans les yeux. La voix résonna encore dans sa tête :
« C’est fini, et je sais très bien que tu n’as pas mal alors arrête de faire ton spectacle. Nous passerons la nuit ici donc tâche de te montrer correctement. »
En ce concentrant, Aurane remarqua que c’était vrai, elle n’avait pas mal et ne ressentait aucune douleur. Sa blessure avait même déjà cicatrisée. Les seules traces qui subsistaient de cet affrontement étaient le trou dans sa tunique.
Elles passèrent donc la nuit-là. Aurane dormit dans la même chambre que sa maîtresse et eut beaucoup de mal à s’endormir. Elle ne dormi carrément pas. Au lever du soleil, elle se dirigea vers les cuisines et les cuisinières furent bien étonnées de trouver les fourneaux déjà chauds et une petite fille en train de préparer un copieux petit déjeuner avec une grande perfection. Elle égalait la doyenne pourtant réputée un cordon bleu. Elle partit ensuite avec le plateau dans la direction de la chambre des tourtereaux. Elle les trouva nu, collé l’un contre l’autre prenant du plaisir mutuellement. Elle attendit donc et quand ils retombèrent sur la couette d’épuisement, elle leur apporta le plateau et attendit dans un coin de la pièce qu’ils déjeunent.

#13 2016-11-19 16:40:18

Harley

Re : Les esclaves de Krast

Le déjeuner prit, elles repartirent après un long adieu. Elles retrouvèrent les troupes sur le pont qui délimitait la fin du domaine et rentrèrent chez elles. Ce fut alors à ce moment là qu'une grande activité régna en maître, on devait préparer un mariage et donc, les chasseurs était parti, il fallait aussi décorer la grande salle avec des fleurs, des tissus, les armoiries, les oripeaux, il fallait lustrer le sol, faire briller les armures, bref il fallait préparer une réception digne de leur maîtresse. Aurane observait le va et vient des couturiers qui prenaient d'innombrable mesures amenait des tissus blanc de différentes matières. Elle était fascinée de voir à quel point une robe de mariée pouvait être si belle sur une si belle personne. Si ce n'était pas la perfection, on n'en était pas loin.
L'escorte du vicomte Rochester arrivait le jour avant le mariage. Ils furent immédiatement conduit dans la tour opposée à celle de sa belle. Des rideaux furent mit à chaque fenêtre et toutes les portes communicantes entre les deux tours furent celées.

#14 2016-11-19 17:12:37

Harley

Re : Les esclaves de Krast

Harley
Elle ressentait une grande excitation et en même tant, une grande peur. Elle avait convoqué ses plus proches amis, Galdor, Rackham, Corfe, Roxane et son Intendant,...
Le début de la cérémonie était fixé au petit matin afin que la nuit soit plus longue en festivité. En attendant, elle était enfermée dans sa chambre et les couturières l'aideraient à mettre sa tenue avant qu'elle ne descende.
Ca arrivait enfin, elle la portait, le résultat de plusieurs semaines de travail de la part des couturiers, bien sur il n'était pas évident de descendre les nombreuses marches d'escaliers mais plus elle descendait, plus l'excitation grandissait.
Elle arriva devant les portes de la salle, celle-ci s'ouvrirent laissant voir la grande allée d'invités, tous tourné vers elle.
Elle avançait d'un pas serein vers son futur mari et le prêtre d'ygnir qui devait réaliser la séance.
Tous se passait bien, on arrivait à l'échange des vœux:
" Dame Harley Queen Katan, voulez vous prendre pour époux Rochester ici présent? "
Ces paroles résonnait dans sa tête, elle allait ouvrir la bouche pour parler mais un bruit sourd se fit entendre, il fut immédiatement suivit par un léger sifflement puis tous purent voir la mariée s'effondrer sur le sol, un carreau d'arbalète en plein cœur. Du haut du balcon, on vit un reflet métallique et un deuxième coup parti. Il se ficha de nouveau en plein cœur en frôlant l'oreille gauche de Rochester.
Dès le premier carreau, les gardes commencèrent à chanceler, au deuxième, tous, sans exception, dans tout le domaine, tombèrent face contre terre.
La pauvre petite Aurane qui se trouvait derrière le prêtre, se tenait le cœur, visiblement en pleine souffrance. Elle tomba et continua de se rapprocher de Harley, inanimée, en rampant. Elle y découvrit, au niveau de la poitrine, deux carreaux. La robe si blanche était maintenant pourpre et continuait de s'imbiber du sang qui coulait sur le sol et qui s'étendait peu à peu. Aurane vit qu'un petit mot enrouler était sur le deuxième carreaux. Elle ne put pas le lire car elle sombra dans le noir absolu.
Les derniers généraux non squelettique, firent évacuer la salle. L'assassin était déjà loin vu leur lenteur de réaction. Il faudra donc lever une petite armée pour garder de l'ordre public. Une fois la salle évacuée, on referma les portes et Gutfrag prit la possession du royaume de Queen. On amena tous les cadavres de squelettes dans la salle, on les entassait.
Avant de fermer définitivement les portes, Gutfrag examina le corps de celle qui lui faisait de l'ombre et don le meurtre l'arrangeait bien, il vu le papier, le détacha et repartit dans ses nouveaux appartement avec la petite Aurane qui venait d'atteindre son seizième hiver. Il scella à tous jamais les portes de la grande salle.
Il atteignit son nouveau chez lui, profita du corps inanimé pour assouvir son vice. Une fois épuisé par sa nuit avec le cadavre, il prit la note et la regarda:

Il ne profitera que de ton influence et de ton prestige pour assouvir sa soif de pouvoir. Ainsi je te libère de cette charge. On se retrouvera de l'autre côté.

Il fut tout souriant à la vue de cette nouvelle mais donna les ordres pour faire évacuer la troupes de Rochester de manière violente. Ainsi, Rochester reparti blessé et avec la moitié de ce avec quoi il était arrivé.
Gutfrag observa la scène avec un sourire sadique et retourna à son activité du moment.

#15 2016-11-22 17:31:54

Aurane

Re : Les esclaves de Krast

Le lendemain matin, il descendit les marches avec la dépouille de Aurane. Il planta une lance devant les marches de la cité et il y empala la fillette. Le sang contenu dans son corps se mit à couler lentement vers le bas de la ville et descendait lentement les marches. Les habitants étaient obligé de contempler cette vue d'atrocité pour aller faire leur marché qui se tenait en plein cœur du château.
Gutfrag se fit apporter cinq autre jeune fille vierges dans sa chambre, il en fit enchainer quatre au mur et la dernière à son lit. Il avait maintenant à sa disposition toutes les jeunes filles de la ville.
Des circulaires firent accrochée partout, elles descendaient la femme au rang d'objet, et toutes les fillettes d'une dizaine d'année devrait passer un pèlerinage de quinze jour dans la place forte, juste à coté du baraquement des gardes afin de leur préparer de la bonne nourriture et de leur fournir tout le "réconfort" possible. Les femmes pouvaient aussi être violée par tous si elles se promenaient seul. Trois femmes sur cent seraient désignées comme "aide de troupes".
Le lendemain, toutes les généraux firent démises de leurs fonctions et "mise à disposition" des soldats pendant une durée indéterminée. Gutfrag voulait faire d'elles un exemple ainsi, la populace fut invitée à voir les nouvelles mesures et même à les expérimentées. Les riches purent verser un peu d'or pour avoir leur générale personnel pendant la nuit.
Partout dans le domaine le chaos régnait. Les jaloux purent profité des mesures, les animaux purent combler leurs désirs.
Le deuxième jour après les mesures, Gutfrag alla empaler une autre jeune fille à coté d'Aurane. Celle-ci avait tenté de le mordre pendant qu'il se procurait du plaisir. Le sang de la petite alla donc se mêler à celui séché d'Aurane.
Le soir du quatrième jour, personne ne remarqua que le sang d'Aurane retournait doucement dans son corps et qu'elle fut prise d'un léger spasme.
Le cinquième soir, Aurane fit bouger sa lance et la fit tomber. Le choc la réveilla. Elle était nue et ne se rappelait plus trop de ce qui s'était passé. Elle n'entendais plus la voix de sa maîtresse dans sa tête. Elle se rappela donc doucement les évènements. Elle se roula en boule et pleura non pas de honte mais de tristesse. D'un coup, une faible voix se fit entendre:
" Réuni trois cent hommes n'ayant pas encore connu le plaisir de la chair et sacrifie les. Trouve les quatre traites et leur joyaux. Fait leur payer le prix du sang. Trouve six disciples et fait leur connaître la mort!"
Elle reconnu cette voix et elle se jura de réunir tout les ingrédients. Elle se mit ensuite à regarder autour d'elle et remarqua la jeune fille plantée sur le pic. Elle s'approcha, fit tomber la lance et vit le corps rouler par terre. Elle s'approcha et sans savoir quoi vraiment faire, elle embrassa sur la bouche la fillette. Après trois seconde, celle-ci prit une grande inspiration et ouvrit les yeux sur sa sauveuse. Elles se redressèrent et elle prit Aurane dans ses bras avant de pleurer sur son épaule. Aurane la laissa pleurer sans sécher ses larmes car elles étaient sans tissus pour les essuyer.
Avec des yeux rempli de larmes, elle lui demanda comment la remerciée.
" Devient ma première disciple et vengeons nos morts."
Elle fit une signe de tête positif et serra la main tendue de Aurane pour sceller l'accord. Pour rester discrètes, elles descendirent dans la ville.

#16 2016-12-26 17:29:48

Aurane

Re : Les esclaves de Krast

Il y avait des signes précurseurs au retour d’un nécromancien même si celui-ci avait légué ses pouvoirs. Pourtant, gutfrag n’avait pas voulut les reconnaitre. D’abord, des millions de souris et rats quittèrent « la pièce sombre », semant la panique parmi les domestiques puis la mort et la maladie dans la petite populace. Ce fut ensuite, au beau matin qu’une flaque de sang fut découverte devant la porte et elle s’étendait rapidement. La porte fut donc colmatée hermétiquement et renforcée. Mais on vit bientôt, depuis les fenêtres de la pièce, du sang couler sans arrêt. Cela dura pendant deux semaines. Ensuite, plusieurs domestiques rapportèrent entendre des bruits sourd de l’autre côté. Ces bruits s’intensifièrent finissant par emplir le château tout entier. Un beau jour, la porte céda et laissa le liquide que la pièce contenait se déverser dans les couloirs du palais. Gutfrag en pleine action avec une petite noble du s’interrompre et aller s’occuper du problème lui-même. Après avoir calmé ses gens, il fit venir sa garde pour inspecter la pièce. Ils n'en retirèrent qu'un demi-cadavre qu'ils présentèrent à Gutfrag.
Le cadavre était à demi-décomposé, le buste était là ainsi qu'une demi jambe, un bras et une demi tête. Le reste était composé seulement d'os. On pouvait aisément reconnaître le corps d'Harley.
Celui-ci se mit à se mouvoir, se lever devant l'air ahuri des spectateurs.
Ainsi donc, c'est toi qui a pris le pouvoir et tu assouvis tes vices sans reproche... tout cela tu finira par le payer mais pas de ma main.
Sur ce, elle se dirigea vers les écuries sans résistance, enfourcha un cheval et se dirigea vers les terres de son bien aimé pour le retrouver malgré son apparence assez rebutante.

#17 2016-12-26 20:05:53

Rochester

Re : Les esclaves de Krast

Il ne comptait plus les jours après ce jour . Il l'avait perdu , elle fut tuée devant ses yeux , deux carreaux dans le cœur . Après l'assassinat  , ses troupes et lui ont été expulsés de force . Il n'avait pas pu voir sa belle . En essayant d'allé vers le corps de sa moitié il a été transpercé par un carreau d'arbalète traversant l'épaule .

Aujourd'hui , il était là , à genoux dans une église New-Terör , priant pour l'âme de sa bien aimée . Soudain ...

- Monseigneur !! Un cavalier seul chevauche vers la ville , sans bannière ...

Liam se retourna vers son soldat , et se mit à courir vers les murs .

- Je veux sortir , tout seul .
- Mais ... Mons...
- Faites moi sortir !!

Ils ouvrirent la petite porte pour faire sortir le jeune homme .
Lui , il regardait le cheval approché ... il avait un pré sentiment , il voulait que ça soit elle ...

#18 2016-12-27 15:14:10

Aurane

Re : Les esclaves de Krast

Elle arriva en vue d’une place forte. Elle savait que son bien aimé s’y trouvait, son cœur le lui disait. Avant d’arriver, elle s’était baignée dans une rivière afin de laver toutes les impuretés de son corps.
Elle s’approchait de plus en plus et elle pouvait apercevoir une silhouette se dessiner sur le pont devant l’entrée. Dès qu’elle le reconnut, elle se jeta sur lui pour l’embrasser longuement et sentir la chaleur de ses bras. Il paraissait heureux de la revoir mais quand il se recula pour regarder son doux visage, il tomba évanoui. Les domestiques le remontèrent donc dans ses appartements, Harley sur leurs talons. Une fois qu’il fut déposé dans son lit, elle chassa les domestiques promptement et commença à déshabiller Rochester consciencieusement. Une fois cela fait, elle enleva ses propres vêtements et commença à se frotter doucement contre lui en attendant on réveil.

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