Forum d'Okord

lauki

Re : Exploration - zone Nord

Se déplaçant la nuit et se cachant le jour pour ne pas se faire repérer. Les cavaliers de Grimbolt continues leur exploration. Au bout de quelques jours, ils arrivent au pied des montagnes.

Nous allons continues  en passant par la montagne. Mais tout en continuant à suivre la rivière. nous n'avons pas le choix!
En avant cavaliers de la Garde Noire!!! ordonne Grimbolt.

Mais le morale des hommes du baron Lauki n’étaient pas bon car ils ne pensent qu’à leur camarades qu’ils ont laissés derrière eux.

Eugénée Anet

Re : Exploration - zone Nord

Phase 5 : les Mercenaires

Pour Lauki
Le gundorien se saisit des armes de Rayen et de ses hommes, et les mena à son chef. Celui-ci vit arriver les okordiens sans surprise, alors qu'il écoutait Garin et Olaff plaider leurs causes.

Pour Ultan, Karlpofet Lauki
L'homme d'age mûr, aux mots du sieur Garin, répondit :
"Nous n'avons vu aucune princesse d'Okord sur nos terres. Nous ne savions pas que votre tribu avaient des gens de sang "noble" par ailleurs..." commenta-t-il avec dédain.
L'intendant Olaff prit ensuite la parole. Le chevalier du Gundor reprit :
Je suis le baron Guerrard, surnommé le Droit. Je ne cherche que la paix pour nous, hommes du Nord, mais n'hésiterai pas à vous abattre si votre présence met en danger le Duché.
Or, c'est le cas aujourd'hui. finit-il en pesant chacun de ses mots.
Vous êtes arrivé sans prévenir chez nous, comme des voleurs.
Votre premier acte fut de planter une flèche dans la patte du brave Etienne.
Le deuxième fut d'interroger son père, avec une forte troupe autour de lui.
Le troisième, ce fut cet espion, coincé par les nôtres alors qu'il furetait du côté de la caserne, au cœur même d'Erindwal, en pleine nuit.
Alors que nous sommes venu jusque ici, nous avons à nouveau trouver plusieurs de vos hommes qui filaient le train à nos troupes... et maintenant ces gaillards qui se planquaient dans la neige et que mes soldats ont pêché comme des saumons hors de l'eau...
Et vous osez me dire que vous êtes ici en paix ?" Sa voix grondait comme le tonnerre.

"Je me fous bien de savoir que "c'était pas nous c'était les autres les méchants". Je voix des étrangers sur mes terres, affiliés à des fouteurs de merde qui sont aux aguets de nos moindres failles, comme le loup traque la biche et son faon au clair de lune.
Mais, je suis nommé "le Droit" et ce n'est pas pour rien. Je vais vous laisser le choix entre la vie et la mort.
Puisque vous êtes des mercenaires, je vous offre 50 000 pièces d'or contre la tête des "autres mercenaires d'Okord". Vous allez servir dans mon armée, en première ligne, et vous serez payé de votre contrat une fois que ceux-ci auront été tués. En paiement, vous aurez également la vie sauve.
Si vous refusez mon contrat, vous serez exécutés ici-même.
Qu'en pensez-vous ?"

Il y eut un instant de silence, déchiré par le cor de Kerberos. Les tambours des Karaniens résonnèrent de leur sonorité guerrière.
Une grande agitation se saisit des gundoriens, alors qu'un éclaireur s'arrêta devant le baron et lui murmura quelques mots à l'oreille. Celui-ci rugit, et se retourna vers les okordiens :
Apparemment, vos confrères cherchent le conflit... Ils nous attendent près d'Erindwal, et se croient suffisamment nombreux pour nous défaire. Les fous...
Mais un problème après l'autre. Répondez maintenant à notre marché où vous serez mis à mort

Pour Karan et Pyros
Les tambours des Karaniens avaient tiré la campagne gundorienne de sa torpeur matinale. les troupes qui suivaient l'armée vers la chaumière se retirèrent bien vite à la vue des guerriers d'Okord, pressentant un combat qu'ils ne pouvaient mener. Les soldats de Kerberos étaient peu nombreux mais faisaient tant de bruits qu'ils faisait honneur à la réputation de terribles barbares qu'avaient les okordiens.

Dans Erindwal, l'agitation était à son comble. Plusieurs dizaine de soldats sortirent de la caserne, et les archers de nichèrent sur les remparts, prêts à faire feu dans la direction du petit bois. Kjör vit que les soldats du baron armaient une baliste et quelques catapultes, dressées sur les tours au sud et au sud-ouest de la cité. L'espion profita du chaos ambiant pour se rendre dans une ruelle discrète, et envoyer un billet à Kerberos remplit de ces informations.
Ce fut les dernières nouvelles qui parvinrent de lui au lieutenant Karanien.

Pour LeRoux
Ar'Ks Fell et ses hommes filaient à travers les grands sommets du Nord, cherchant ici et là le passage le moins difficile. Mais les Monts Orageux sont traîtres... 5 cavaliers tombèrent dans une crevasse invisible, le sol se dérobant sous les sabots de leurs chevaux. Le poids des cavaliers était trop lourd, et sans guide leurs chances étaient minces à travers la montagne...

Pour Lauki
Les okordiens suivaient la rivière, en direction de la montagne. Ils furent surpris du Cor et des Tambours, mais continuèrent vers le Nord, sans s'arrêter.
Soudain, ils tombèrent sur un groupe de 30 hommes en armes, chichement vêtus. Celui qui semblait être le chef s'approcha, l'air mauvais :
La bourse ou la vie ?

_______________________________________________
Phase 5

Décompte des troupes
- Seigneur Bélial : perte de 1 chevalier (espion). La troupe compte 2 lieutenants, 25 fantassins, 25 lanciers, 25 archers, 22 cavaliers, 25 arbalétriers, 24 chevaliers.
- Seigneur Karlpof : pas de pertes. La troupe compte 5 chevaliers et 15 fantassins.
- Seigneur Ultan : pas de pertes. La troupe compte 20 chevaliers, 5 cavaliers, 10 lanciers, 16 fantassins, 10 archers, 24 arbalétriers.
- Seigneur LeRoux : Perte de 5 cavaliers. La troupe compte 20 cavaliers.
- Seigneur Lauki : pas de pertes. La troupe compte 20 cavaliers, 5 lanciers, 5 archers et 5 arbalétriers
- Seigneur Pyros : perte de 2 espions. La troupe compte 20 chevaliers, 30 cavaliers, 10 lanciers, 10 archers et 20 espions

Décompte nourriture : les soldats peuvent tenir 3 phases avant de rentrer en Okord (soit 6 jours IRL)

Décompte honneur :
- Seigneur Bélial : -10(3) +20(4)
- Seigneur Karlpof : +0
- Seigneur Ultan : +10(3)
- Seigneur LeRoux : +10(3)
- Seigneur Lauki : +10(3)
- Seigneur Pyros : +0

Décompte or :
- Seigneur Bélial : +0
- Seigneur Karlpof : +0
- Seigneur Ultan : +0
- Seigneur LeRoux : +0
- Seigneur Lauki : +0
- Seigneur Pyros : +0

LeRoux

Re : Exploration - zone Nord

La perte de 5 cavaliers ne fessaient pas renoncer Ar'Ks Fell et ses hommes: Nous Traverserons La Montagne !!

Ar'ks Fell décida de s'arrêter quelques instants pour une courte pause.

On entendait clairement les Tambours Karaniens, ces sauvages Nordiens d'Okord avaient de toutes évidence décider d'engager le combat contre les Gundoriens... De leurs positions élevés, les hommes du Roux avaient une bonne vue sur la ville d'Erindwal et sa Vallée, ainsi avec sa longue vue, Ar'ks Fell observa quelques instant la ville, et aperçu:

une baliste et quelques catapultes, dressées sur les tours au sud et au sud-ouest de la cité.

Ar'ks Fell envoya un corbeau à son Seigneur.

C'est la fin de la pause, cavaliers en selle !

Le corbeau du Roux, envoyé, était spécial car dressé !
Un cadeau pour le Sieur LeRoux du Seigneur Piotr, dont lui seul avait le secret pour de savoureux tours !!

L'oiseau dévia un peu de trajectoire, attiré par une odeur de viande séché, il vola en cercle tout en croooasssant, à haute altitude au dessus du camps Okordien de Kerberos et, du sieur Bacalmon, Capitaine et homme de main du Seigneur Pyros-Le-Mou.

Le Capitaine Bacalmon leva la tête un instant, vers le ciel pour regarder cette oiseau de malheur mais... L'oiseau avait envie de soulager: ce fu un déluge ! Les premières tombèrent piles poils sur la tête du sieur bacalmon, dégoulinant jusqu’à son menton !! le reste se posa délicatement sur son armure, une parti s'infiltrant dedans, et le reste autour du bonhomme !!
Les Gundoriens les combattaient et maintenant cela...

S'était une journée de merde ou être dans la merde jusqu'au cous ...

Le corbeau, se rappela que finalement il aurait à ripailler à volontiers une fois arrivé à destination... et reparti a toutes vitesse de plume vers le Nord D'Okord, en quelques seconde, l'oiseau de malheur était déjà loin, hors de porté de flèches !
Porté par le Vent favorable en direction D'Okord.

Pendant ce temps, les cavaliers du Roux, continuaient leurs traversé de la montagne, encore plus prudemment et silencieusement.

karpolf

Re : Exploration - zone Nord

Olaff prit la parole: Je suis un homme d'honneur. J'ai promis à notre reine de ramener la princesse saine et sauve. J'ai failli à ma mission.
Je ne peux rentré en okord ainsi , et je ne suis pas de ceux qui trahisse pour de l'argent. Je vous clame depuis le début que nous ne sommes pas vos ennemis. Vous êtes borné à ni rien comprendre, tel une mule devant un obstacle. Pauvre niais... Qu il en soit ainsi. Soyez certains que nous ne sommes qu'une infime partie de la formidable armée d'okord et que la reine ne laissera pas impie cet affront. Des messages ont été envoyés et si notre retour ne se fait pas, une autre expédition se fera et vous en assumerez les conséquences ...
Car okord vaincra , soyez en certains...

Ultan

Re : Exploration - zone Nord

Garin se hata de prendre la parole.

Seigneur Guerrard le Droit, pardonnez les paroles de mon compagnon. Nous sommes hommes d'honneur et la possibilité de ne point pouvoir remplir notre mission le rend amer, cela vous pouvez le comprendre.

Il ne saurait donc y avoir de menace.

Nous sommes arrivés sans prévenir, c'est un fait, mais nous plaidons l'ignorance. Ne sachant qui nous allions rencontrer, nous avons été un peu méfiants. Maintenant que je suis face à vous, je vois que nos craintes d'estre dans une région avec un Seigneur sans honneur, voire un brigand, étaient vaines.

Quand à nos actes, demandez au jeune paysan et à ses parents, ils vous confirmeront que nous n'ayons rien fait dont nous puissions rougir, bien au contraire, nous les avons aidé et protégé.

La situation est simple.

La Princesse Kavita est certainement déguisée, et nous ne savons pas vraiment si elle est partie volontairement ou non.  Par ailleurs, nous avons également mission de prendre contact avec votre ligue de marchands, afin d'établir des relations commerciales. Vous le savez, cela signifie de l'or et des richesses pour de nombreuses personnes, tant en Okord, qu'ici en Gundor.

Voilà pourquoi je vous demande, entre gens d'honneur, l'autorisation d'aller en votre ville d'Erindwal. Cela nous permettrait peut-estre de remplir nos deux missions, ou tout du moins d'essayer.

Mais un service en vaut un autre, et si vous devez avoir confiance en nous, cette confiance doit se mériter.

Et mesme si je n'aime guère cela, nous combattrons donc avec vous contre ceux qui vous attaquent... Car comme l'a dit mon compagnon, ce sont des estres sans foy ni loy et je rougis de honte à la pensée qu'ils soient Okordiens.

Nous combattrons à vos costés, Messire, non point pour de l'or, car nous avons déjà été payés pour notre mission.

Nous combattrons à vos costés, Messire, non point par crainte de la mort, car pour un Okordien, mourir dans un juste combat et pour une noble cause est une belle fin. Et vous le verrez, nous sommes de rudes combattants.

Non... Nous combattrons à vos costés pour vous montrer que nous sommes gens d'honneur et venus en amis.

Puissiez-vous avoir ainsi meilleure opinion d'Okord !

Puis Garin se tourna vers Olaff et Rayden

Je vous en conjure mes amis, ayez foy en moi et venez. Nous ferons tout ce qu'il possible pour réussir notre mission, et si nous échouons, nous ne le ferons point de façon honteuse !

Dernière modification par Ultan (2016-02-03 23:41:41)

lauki

Re : Exploration - zone Nord

J’accepte !!! répondit le Lord Commandant Rayden.

Mais avant de continuer, permettez-moi de me présenter !
Je suis Rayden, commandant des saumons que vous venez de capturer !!

Le Lord Commandant s’incline légèrement pour saluer le Baron.

Je suis d’accord avec mon compagnon Garin !!
Nous ne sommes pas venues en Gundor pour causer le K.O. !
Nous sommes à la recherche de la princesse et si possible, nouer des relations commerciales avec vous.
Comme vous l’a dit Garin, nous ne cautionnons pas les actes de ceux qui étaient jusque-là nos compagnons. Pour preuve, nous nous sommes séparaient eux car leur l’actes ne fait pas honneur à Okord.

Questionner votre lieutenant !!
Il vous dira que nous n’avons eu aucun signe d’animosité envers vos soldats. En ce qui concerne la récompense, donner là au paysan que nos vils compagnons ont blessé !!
Je pense que cela lui fera un dédommagement plus que raisonnable.

Je ne veux pas qu’il soit dit en okord que Rayden et ses compagnons soit responsable d’une guerre entre nos deux royaumes.

Rendez-nous nos armes et procurez nous des chevaux et nous combattront pour vous Baron !!

Dans mon clan, nous avons un code d’honneur qui dit : VALAR MORGHULIS (tout homme doit tôt ou tard mourir) et VALAR DOHEARIS (tous les hommes doivent servir).

Valar dohéaris,Baron Guerrard!!

Je mets mon épée et celle de mes hommes a votre service. Pour le bien d’Okord et du Gundor !!

Rayden met un genou à terre et s’incline devant le Baron. Voyant cela, les hommes du Lord commandant font de même.

lauki

Re : Exploration - zone Nord

Pendant ce temps, Grimbolt et ses hommes étaient sur le point de commencer leur ascension quand soudain un groupe de trente cavaliers chichement vêtus leur coupent la route.

La bourse ou la vie !!! cria leur chef.

Les hommes du Baron Lauki s’arrêtent et se mettent en position de défense.

Bien le bonjour messire !! rétorqua le lieutenant
La bourse ou la vie !!
Mais quelle façon curieuse d’accueillir les voyageurs ?
J’ai  le regret de vous dire que nos bourses sont vides !!!!
Mais j’ai peut-être un compromis à vous proposer.
Je pense que vous l’avez constaté, nous ne sommes pas des voyageurs ordinaire ou de simple pèlerins. Nous sommes des mercenaires à la solde de riches personnes dont je terrais le nom.
Pour rien vous cachaient, nous sommes à la recherche d’une princesse !!
Nos informations, nous amène à croire qu’elle a traversé la montagne !
Et pour vous dire toute la vérité, nous sommes aussi à la recherche d’un groupe de cavaliers. Mais ne craigniez rien se sont nos amis. Nous avons dû nous séparaient pour couvrir plus de terrain.
mais tout pense à croire que eux aussi son dans ses montagnes.

Alors, je vous propose cela !!!
Guidez nous à travers la montagne pour retrouver la princesse et nos compagnons et nous partagerons la récompense !!
Et quand, je parle de récompense, je parle d’or !!
50000 pièces d’or !!!
Quand pensez-vous ?

pyros

Re : Exploration - zone Nord

Le capitaine Balcamon réfléchissait en regardant ses espions. Comment pouvait il les utilisé a son avantage … ce n’était pas des soldats … ils n’avaient pas suivit de formation militaire … ils ressemblaient au paysans qui fuyait vers la cité gundorienne …

Les paysans s’exclama t’il !!!! Ils ressemblent a des paysans … et ca leurs permettra d’entrer dans cette cité sans se faire remarquer ! Ils doivent surement s’attendent a ce qu’on infiltre des soldats !!!

Le capitaine avait réfléchit au moyens d’empêcher d’être attaquer sur les deux fronts pendant des heures, et la solution venait de lui apparaitre. Il fit appeler ses espions et leurs dits :

Nous devons entrer dans la ville, mais cela sera difficile ils risquent de la fermer … Infiltrez la et ouvrez la grand porte lorsque nous arriverons … si vous pouvez neutraliser les quelques archers aussi …

Après le départ des espions, Balcamon se dirigea vers quelques ses soldats.
Couper moi l’un de ses arbres et faite en un bélier … si nos hommes n’arrive pas à infiltrer la ville … il nous faudra y aller par la force. Et tant que vous y êtes faite nous quelques échelles.
Les espions se vêtirent de façon hétéroclites, l’un d’eux ressemblait a un tanneur avec une peau à la main, l’autre a un paysan qui sortait d’une sieste sur la paille, un autre semblait être un forgeron …
Le groupe partit vers la lisière du bois opposé à la ville, et chaque espion partit dans des différentes directions pour rejoindre discrètement des groupes de paysans fuyant les karaniens. Ce groupe terrifié courrait en direction du château comme si la mort les poursuivait. Les différents groupes s’approchaient de la ville lorsque  les portes commençaient à se fermer.

le capitaine se demandait si ses hommes allaient pouvoir entrer … qui sait peut être que les gardes dans leurs précipitation ne ferons pas attention a eux … il l’espérait …. Leurs chance d’investir la ville serait meilleurs … et ainsi peut être trouvé une issue …  Tous en pensant cela, il écrivit un message pour kerberos et l’envoya au karanien.
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J’envoi mes espions infiltrer la cité, nous devons l’investir … nous ne tiendront pas contre les troupes gundorienne surtout si … nos amis s’allie a eux … 
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Dernière modification par pyros (2016-02-03 01:07:22)

De Karan

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Re : Exploration - zone Nord

Thème

Patient. Kerberos regardait la première ligne ennemie se diriger vers lui. Une petite horde, épée au poing, tout droit sortie des bocages. Leurs cris se perdaient sur la plaine. À chaque foulée se réduisait la distance. À chaque pas se rapprochait la mort.

-< Halte ! Tenez ! >

Moins de dix pieds. Ce qu'il fallait pour voir le blanc de de leurs yeux. Ce qu'il fallait pour que le temps ralentisse. Derrière son bouclier, Kerberos ferma brièvement les yeux. Il adorait ce moment. L'univers se remplissait de sensations ; le souffle des hommes, l'odeur de la graisse étalée sur les manches en pin des lances, les vibrations de la course des soldats ennemis qui se répercutaient dans le sol... Pour cette infime seconde il aurait tout donné.

-< Choc ! >

Il sentit les hommes se raidir... Et rien. Pas de lances ployées sous le poids des corps . Pas de râles d'agonie. Aucune pluie grasse et moite sur les boucliers. Kerberos risqua un coup d’œil : la centaine de soldats gundoriens fuyait. Le chef karanien fronça les sourcils. Ses hommes partageaient la même incompréhension. Son regard se posa alors sur la ville.

-< Reformation ! Cercle ! Avancez ! >

Nouveau cri d'union. Les boucliers s’effritèrent les uns sur les autres et la troupe gagna un large bocage au pas de course. Les karaniens s'affalèrent dans les fossés. C'est alors que le message du Capitaine Bacalmon parvint à Kerberos. Celui-ci porta la corne à ses lèvres et poussa trois long cris déchirant. Fantassins, archers et arbalétriers karaniens bondirent du bosquet et dévalèrent la colline. Certains des fantassins portaient avec eux de grossières échelles de branches.

-< Lignes autour des porteurs ! >

Arrivés au bocages, lanciers et fantassins s'unirent pour entourer les porteurs d’échelles. Archers et arbalétriers étaient au centre de chaque petites formations. Tout ce petit monde se dirigea aux pieds des murs de la ville.

-< Cassez la formation ! Tirez ! >

L'espace d'un instant, les boucliers se baissèrent, laissant les archers et les arbalétriers lâcher flèches et carreaux sur les remparts. On hissa les échelles branlantes sur la pierre et, boucliers sur le dos, les karaniens entreprirent de gravir les murs. Le cor beugla une nouvelle fois.

-< À l'assaut ! >

Loin de là, sous les branches, Brahm et ses hommes trépignaient.

---

Seigneur de Ténare ; Marquis de Falcastre
Maître du Palais ; Gardien du Trésor Royal
Chevalier au Léopard ; Chevalier de l'Ordre des Fondateurs royaux

pyros

Re : Exploration - zone Nord

En voyant la troupe karanienne partir vers la cité, Balcamon envoya ses piétons rejoindre les karaniens. Ils n’avaient eu le temps que de faire quelques échelles, ses hommes quittèrent la lisière de la foret et marchèrent vers la ville.
Ils rejoignirent les karaniens lorsqu'un cor se fit entendre.

Le capitaine avait prévenu ses cavaliers de se tenir prêt pour partir, lorsque le cor karanien se fit entendre il ordonna a ses hommes de partir vers la ville. Alors que ses piétons unissait leurs forces au karaniens pour passer la muraille, la cavalerie du marquisat sorties de la foret  quelques instant après les hommes de kerberos.

Dernière modification par pyros (2016-02-04 00:49:46)

Eugénée Anet

Re : Exploration - zone Nord

Phase 6 : combats

Pour Lauki, Karlpof, Ultan
"Alors qu'il en soit ainsi."
D'un geste sans équivoque, le Baron Guerrard condamna les soldats du seigneur Karlporf à la mort. Les arbalétriers gundoriens tirèrent leurs traits qui percèrent de part en part les malheureux okordiens. Ceux-ci s’effondrèrent au milieu de leurs frères d'armes, sans que ces derniers ne puissent intervenir.
Seuls le capitaine Olaff, qui dirigeait les hommes, fut assommé et fait prisonnier.
"Et maintenant, allons châtier les autres bouseux."
On arma les soldats du sieur Lauki, et on plaça les okordiens en première ligne. Derrière eux, une rangée de lanciers du Gundor avaient été placés, leurs piques devant à la fois pour se garder des "mercenaires" que des ennemis qui attaquait la ville.

***
Pour Lauki
Le chef des brigands eut un rire gras. Ses hommes l'imitèrent, sans que les okordiens ne comprennent la raison de cette hilarité.
L'homme leva finalement le poing, et dit :
"Vous pouvez toujours crever."
A ces mots, une dizaine de traits fendirent l'air pour faucher les cavaliers de Grimbolt. Trois cavaliers furent projetés à terre, mais les autres se maintinrent en selle tandis que les bandits chargeaient.

HRP : je te laisse décrire la scène OK ?

***

Pour Pyros
Le groupe de paysan arriva aux portes du château. L'Ancien hurla : "Ouvrez-nous, par Thuis ! les Barbares ! Les barbares sont lààà !"
Les portes s'ouvrirent lentement. A leur entrée, plusieurs gardes bloquaient le passage.
- Vos gueules les bouseux ! brailla le sergent. Vous allez passer un par un que j'vous r'connaisse bien tous. On a été infiltré... Y a p'têtre encore des rats dans not' cité, on va pas en faire entrer d'nouveaux...
Les paysans se mirent en file indienne en râlant. Ils passèrent un à un l'étrange contrôle visuel du capitaine. Les espions du sieur Pyros s'étaient répartis parmi les pégus.

Au bout de quelques minutes, le premier espion arriva devant le lieutenant. Ce dernier fronça les sourcils.
"T'es qui, toi ?
- Guilhem, l'fils du Paulo. tenta l'espion, d'un air de ne pas y toucher.
- Ah... Paulo est resté au moulin ?
- Ouais. Il est grippé et quitte plus l'lit ! Mais la mère veille.
Le soldat se tourna un instant, et, d'un geste vif, dégaina sa dague :"Le Paula c'est l'mec qui est passé trois mètres devant toi, CONNARD !"
Par un réflexe miraculeux, l'espion évita la lame. Il fonça sur le lieutenant qu'il faucha au niveau du ventre d'un coup d'épaules, et le fit tomber en arrière. Il se précipita vers la porte ouverte et, avant que les gardes ne purent réagir, fila dans les ruelles d'Erindwal... Il était passé !
"DES ESPIONS ! DES ESPIONS ! CHOPEZ-LES ! UTILISEZ LE GESTE D'AXIIL !" gueula le lieutenant qui se relevait en traînant.
Immédiatement, les paysans s'accroupirent et se mirent à rouler en boule vers la muraille. Ne restèrent debout que les espions du sieur Pyros, stupéfaits, qui profitèrent néanmoins de la cohue pour se disperser. Les flèches des gardes eurent cependant rapidement raison d'eux, et ils tombèrent, les uns après les autres, face contre terre.
Rhâââ les fils de putain ! Mais y a plus qu'à fouiller la ville. Je l'ai vu, ce connard, je peux le reconnaître... Thorbir ! Prend ma place à la porte, je vais lancer des patrouilles personnellement.

***
Pour LeRoux
Les hommes d'Ar'Ks Fell repartirent. Mais ils n'avaient pas marché une heure que la corniche se déroba sous les pieds de 6 cavaliers, qui tombèrent dans l’abîme en hurlant.
Messire... Le chemin est trop traître... Nous n'irons nulle part sans guide...! murmura un chevalier à l'oreille du capitaine.

***
Pour Karan et Pyros
Voyant les assaillants se détourner de la plaine et foncer vers les murs, le Capitaine Honvain se tourna vers les gundoriens.
"Soldats ! Les barbares veulent notre peau. Préparez l'huile bouillante, et aiguisez vos flèches ! Aucun d'entre eux ne souillera les murs de nos ancêtres. Pour Albion, haut les cœurs !"
Déterminés, les soldats se mirent chacun à leur poste. Les archers tirèrent quelques flèches, mais celles-ci ne firent que résonner sur le mur de bouclier karanien. La défense de ces barbares semblait n'avoir aucune faille... Au son du cor de Kerberos, les homme sursautèrent, et virent avec surprise de nombreux cavaliers et fantassins sortir de la forêt.
"Ah les salopards... Ils vont prendre la ville. BALISTE, FEU !"
La corde se détendit. Le puissant projectile décolla, et vint se planter à quelques toises de la boule compacte que formait les soldats du Prince du Lys.
"AJUSTEZ LE TIR... CHARGEZ LES CATAPULTES... Et faites-moi tonner ces putains de tambour, la ville est en danger !"

***

En rangs serrés, la troupe du Gundor, précédée des "mercenaires", se rapprochait de la ville. Celle-ci était à portée de vue lorsque les coups sourds résonnèrent à travers la campagne.
Pressons, pressons ! ordonna le baron, la mine fermée.
Rapidement, la troupe fut à portée de voix des okordiens, qui s'apprêtaient à dresser leurs échelles sur les murs d'Erindwal. En haut, on apercevait la silhouette des hommes du Capitaine Honvain. Des vaperoles de fumée s'élevaient des remparts : l'huile bouillante était prête.
Le Baron Guerrard fit arrêter sa troupe.
"BARBARES D'OKORD ! hurla-t-il. NOUS NE CHERCHONS PAS LA GUERRE ! BAISSEZ VOS ARMES, ET RIEN NE VOUS SERA FAIT !"
__________________________________________________________________

Phase 6

Décompte des troupes
- Seigneur Bélial : Pas de perte. La troupe compte 2 lieutenants, 25 fantassins, 25 lanciers, 25 archers, 22 cavaliers, 25 arbalétriers, 24 chevaliers.
- Seigneur Karlpof : Perte de 5 chevaliers et 15 fantassins. => l'aventure se finit là pour toi !
- Seigneur Ultan : pas de pertes. La troupe compte 20 chevaliers, 5 cavaliers, 10 lanciers, 16 fantassins, 10 archers, 24 arbalétriers.
- Seigneur LeRoux : Perte de 6 cavaliers. La troupe compte 14 cavaliers.
- Seigneur Lauki : Perte de 3 cavaliers. La troupe compte 17 cavaliers, 5 lanciers, 5 archers et 5 arbalétriers
- Seigneur Pyros : perte de 19 espions. La troupe compte 20 chevaliers, 30 cavaliers, 10 lanciers, 10 archers et 1 espion

Décompte nourriture : les soldats peuvent tenir 2 phases avant de rentrer en Okord (soit 4 jours IRL)

Décompte honneur :
- Seigneur Bélial : -10(3) +20(4) +20(5) +20(6)
- Seigneur Karlpof : +0 +100(6)
- Seigneur Ultan : +10(3) +10(6)
- Seigneur LeRoux : +10(3)
- Seigneur Lauki : +10(3) +20(6)
- Seigneur Pyros : +0 +50(6)

Décompte or :
- Seigneur Bélial : +0
- Seigneur Karlpof : +0
- Seigneur Ultan : +0
- Seigneur LeRoux : +0
- Seigneur Lauki : +0
- Seigneur Pyros : +0

De Karan

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Re : Exploration - zone Nord

Thème

-C'est un homme mort qui nous parle.

Kerberos s'était retourné en entendant le Baron, ses yeux réduits à deux fentes très minces. Tandis que les hommes se lançaient sur les échelles, le colosse remonta le flux de corps en mouvement. Il semblait étonnamment souple. Kerberos ressentait le regard que posait le Seigneur Guerrard sur la troupe. Un fer chauffé à blanc posé sur son front. Le géant karanien lui rendit le même regard. Sa démarche se fit encore plus leste. Il rengaina son espadon et ramassa une lance tombée à terre. Il fit courir ses doigts sur le bois lisse. La pointe effilée siffla dans l'air tandis que Kerberos exécuta une impressionnante série d'arabesques.

Il s'arrêta brièvement, marquant sa cible. Lointaine, mais pas inatteignable. Le gonfalon d'Erindwal claquant au vent servirait de repère. Kerberos balança alors son bras en arrière, il vida ses poumons puis il inspira lentement. Finalement, il bloqua sa respiration. Son énorme biceps se détendit comme la corde d'un arc bandé jusqu'au limite de la rupture, faisant décrire à la lance une trajectoire parfaite, légèrement oblongue. Kerberos ne visait pas le Baron Guerrad, mais le jeune banneret situé juste à sa gauche.

-Voilà ma réponse, monseigneur... Se murmura le colosse.

Content de lui, il laissa pendre une langue de la taille d'un pavé de bœuf sur sa lèvre inférieure. Il repartit à reculons, trottinant sur l'herbe encore verte. Il attrapa sa corne et poussa trois coups brefs.

Brahm sortit du bosquet à la tête de toute la cavalerie karanienne. Une cinquantaine de montures dévalèrent la colline, droit sur le flanc ouest de l'armée gundorienne. Les karaniens avaient haches et épée au clair et formaient un triangle parfaitement compact. Le choc fut rude.

-< La charge ne les occupera pas indéfiniment. On s'active ! >

Kerberos dégaina sa lame et affermit sa prise sur la poignée du bouclier. Méthode et synergie étaient les deux avantages des karaniens pour contrebalancer la force du nombre. Cela s'appliquait également dans le cas présent. Chaque groupe d'assaut était constitué d'un lancier, de deux fantassins, d'un arbalétrier et d'un archer. Le lancier se servait de son arme pour atteindre les défenseurs, les forçant à créer un espace vide pour que les fantassins engagent l'assaut. Les groupe pouvaient ainsi se répandre des deux côtés des coursives de la muraille et se battre, front à front, contre les forces gundoriennes ; l'étroitesse jouant en leur faveur. Derrière, les lanceurs de projectile devaient viser les servants des machines de sièges et les renforts de soldats courant sur les remparts.

Il ne s'agissait pas de simple hommes d'arme que Kerberos commandaient, mais de la force expéditionnaire du Pays de Karan. Une troupe dédiée à des travaux militaires bien spécifiques : capturer des esclaves. C'était leur but. Au Nord, au Sud ou encore à l'Est... Ils partaient loin, ils partaient peu nombreux et ils revenaient. Leur mentalité n'était pas celle de pillards frileux à la vue d'une cervelle mise à vif, eux ne craignaient pas des batailles compliqués ou des locaux peu coopératifs. On les envoyait loin de chez eux pour qu'ils remplissent leur objectif. Souple en combat, traîtres dans les coups ; ils prônaient l'efficacité avant la moralité.

-C'est trop long... Marmonna Kerberos en lançant un regard circonspect à la manœuvre de Brahm.
Il s'élança vers une échelle et attrapa un soldat par la ceinture.

-< Bouge. >

En équilibre sur l’échelle, le colosse grimpa, son bouclier en avant. En haut, un des gundoriens voulut repousser l'outil. Kerberos dégagea son bouclier et l'attrapa par les cheveux. Le soldat gundorien se mit à hurler. Un de ses compagnons leva une épée menaçante vers le colosse de Karan. Kerberos affirma sa prise et fit s’empaler son otage avec l'arme de son adversaire. L'espadon s'éleva dans le ciel et retomba sur la tête du gundorien.

Kerberos sauta le dernier échelon et se retourna vers les karaniens, son visage maculé d'hémoglobine.

-< Plus vite! >

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Seigneur de Ténare ; Marquis de Falcastre
Maître du Palais ; Gardien du Trésor Royal
Chevalier au Léopard ; Chevalier de l'Ordre des Fondateurs royaux

LeRoux

Re : Exploration - zone Nord

NOOOON ! NOOOON !! NON ! Aucune limites !!!!

Nous passerons la montagne !!

Ar'ks Fell et ses hommes continuèrent leurs traversés de la Montagne.

Au bout de quelques heures, ils marquèrent une courte pause pour se restaurer.

Ils reprirent leurs routes, après plusieurs heures de galères, ils tombèrent sur un étroit passage très très encombré de broussailles, s’enfonçant encore plus dans la montagne, celui-ci n'avait pas l'aire d'avoir servis depuis plusieurs décennie...

Sans doute un chemin de contrebandier... Vieux de plusieurs siècle et oublié de tous... Dit Ar'ks Fell a haute voix.
Bien, pieds a terre, suivez moi un par un, en tenant vos montures... Nous avancerons à la vitesse de piéton mais nous serons moins lourd, plus en sécurité.

Ar"ks Fell passa en premier, puis ses hommes le suivirent en écoutant les consignes de leurs commandant.

La troupe s'enfonça dans la montagne, encore plus loin, toujours plus loin.

lauki

Re : Exploration - zone Nord

D’un coup, trois cavaliers de Grimbolt jurent projetés à terre. Et les bandits se mirent a chargés la troupe du lieutenant.

Garde noire en formation !!!
Si l’on doit mourir aujourd’hui, qu’il en soit ainsi !! cria Grimbolt.
Mais faisons honneur à notre Seigneur et à notre Lord Commandant !!
Arbalèèètes !!!!

Tous les cavaliers de la Garde Noire étaient équipés d’arbalètes fixés sur le côté de leur selle. Ce détail avait échappés aux brigands.

Armés !!!
Tirez !!!!!!

Les carreaux partirent comme un seul homme, déciment une dizaine de brigand.

Chargééééééééééééééééér !!!!!!
Attaquer de front !!!Hurla grimbolt.

Les cavaliers de la Garde Noire s’élancèrent l’épée a la main !

Et pas de quartier !!!!
A moooort !!!!
Argghhhhh !!!!

Surpris par les carreaux lançaient par les okordiens, les brigands ne semblaient plus aussi sur d’eux. Ils ralentir leur allure tandis que les cavaliers du Barons Lauki arrivèrent a plein vitesse sur les brigands.

Chaaaaaaaaaaaaaargèr !!!!!!

La charge des hommes de Grimbolt fut terrible pour les brigands. On n’entend plus que le fracas des chevaux les uns contre les autres. Le bruit des épées qui s’entrechoquer. Les cris des hommes mortellement blessés. Au bout de quelques minutes les brigands furent mis en fuite en laissant derrière eux leur mort et leurs blessés.

Les lâchent, ils se cassent !!!

Mon lieutenant !!
Ils restent des survivants ici !!

Ils sont dans quels états ? Rétorque grimbolt.

Ben, deux sont pas mal en point et un qui peut servir !!

Tuer les deux autres !!
Je veux parler au troisieme !!

Pitié !!
Pitié !!!
Nooooon !!!!!
Arrrrrrrrrghh !!!

Un des gardes noires sortie sa bague leur trancha la gorge.
Fini les politesses pensa Grimbolt.

Amené moi le prisonnier !!!!
A vos ordre mon lieutenant !!

J’ai deux questions à te poser !!
Réfléchie bien avant de me répondre !!

On voyer la peur dans les yeux du brigand qui avait un carreau planté dans la jambe.

Messire, je vous en supplie, pitié !!!

Pitié ?
Vous en avez eu de la pitié pour nous ?
Première question, qui êtes-vous et d’où venez-vous ?
Deuxième question, connais tu le chemin pour franchir ses putain de montagne ?

Pitié messire !!

Grimbolt posa sa botte sur la jambe du prisonnier et commença a écrasé celle-ci.

Réponds  à mes questions !!!!!
Arghhhhhhhhhhh !!!! L’homme se tordait de douleur.

De Karan

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Re : Exploration - zone Nord

Thème

Parer. Tenir. Risquer un coup d’œil. Parer à nouveau. Kerberos serra les dents en sentant la vibration se propager de l'umbo du bouclier jusqu'à son épaule. Le grognement se transforma en râle. D'une secousse, il brisa le mouvement adverse et balança sa lame dans la faille qu'il venait de créer. Ce ne fut pas la corne d'appel que le colosse porta ensuite à ses lèvres mais un petit sifflet en bois, à peine plus grand qu'un appeau. Trois sons aigus supplantèrent brièvement la fureur du combat.

-< Plus vite ! > Lança Kerberos aux karaniens. Il souffla encore. < Dans la brèche ! > Il aperçut alors le Capitaine du Marquis Pyros. Bacalmon...

Kerberos aurait voulu poursuivre sa phrase mais deux soldats gundoriens le repoussèrent violemment contre le muret. D'un simple mouvement de tête, il pouvait voir toute la profondeur du vide derrière lui. Le géant karanien gémit sous le poids des brutes. En baissant ses yeux, il aperçut un genou dépasser sous son bouclier. Il écrasa son pied sur la rotule, tordant le membre en un angle étrange. Un hurlement de douleur résonna derrière le bois. Kerberos en profita, écartant sa protection et écrasa son pommeau sur le front du premier assaillant. Bouclier contre bouclier, lame contre lame, Kerberos se retrouva confronté au deuxième. Leur visage se touchait presque. Le karanien referma sa mâchoire sur le nez de son ennemi. Il le mordit avec une haine vorace et cracha l'appendice sur un autre gundorien. Kerberos acheva son adversaire en empalant son crâne du menton jusqu'à l'occiput.

Goût de plomb dans la bouche. Bave rouge sur le plastron.

-Bacalmon ! Hurla Kerberos, désormais libre. Lancez-vous dans la brèche ! Il se retourna vers les hommes qui arrivaient des échelles. Le sifflet résonna deux fois seulement. < En colonne ! Formation par deux. >

Fantassins et lanciers formèrent deux lignes, chacun tenant la ceinture du soldat devant lui. Une partie de ceux arrivés en haut des murailles se divisa en deux groupes, l'un allant vers l'Est l'autre vers l'Ouest. Kerberos reculait vers l'un d'eux lorsqu'une douleur cuisante lui cisailla la taille et l'aisselle gauche. Il se retourna, aussi surpris que le lancier gundorien à l'autre bout de son arme. Il paraissait jeune, pas tout à fait dix neuf ans. Sans doute était-ce là son premier combat. La pique s'était frayée un passage alors que Kerberos se retournait, contournant ainsi le large bouclier qui s'échappa de ses doigts pour rouler sur le sol.

Dans un hurlement, le colosse enroula son bras autour du bois et l'abaissa d'un coup sec sur son genou. La lance se brisa en mille morceaux. L'espadon siffla. Sa pointe frappa le jeune lancier au niveau de la tempe et s'enfonça jusqu'à la pommette. La tête brisée, le gundorien roula les yeux ; il tenta quelques pas incertains avant de s'affaler face contre terre, frétillant comme un poisson hors de l'eau.

Kerberos cracha et recula vers ses hommes, le bras replié sur la poitrine. Les deux colonnes l'avalèrent. Derrière, les arbalétriers rechargeaient leurs machines ; les archers portaient la main à leurs carquois. Désormais blessé, le chef karanien observa les colonnes se confronter aux gundoriens. La stratégie tenait en un roulement des deux premiers hommes à l'avant des colonnes. Tenus à la ceinture par le camarade derrière eux, ils devaient résister contre les forces d'Erindwal jusqu'au coup de sifflet. Alors, ils passaient entre les lignes, retournant à l'arrière, et cédaient ainsi la place. Il s'agissait là d'une technique visant à conserver la fraîcheur d'une petite troupe confrontée à un adversaire plus important en nombre.

-< Nous sommes prêts, monsieur ! > Indiqua un arbalétrier à l'adresse de Kerberos.
Les lanceurs de projectiles étaient eux aussi divisés en deux groupes, chacun derrière les lignes de combattants.
-< Colonnes, tenez vous prêtes > Beugla le chef karanien. < À mon signal... baissez ! >
Kerberos siffla une fois et s’accroupit. Chaque homme l'imita. Arbalètes et arcs se déclenchèrent, crachant l'acier sur les gundoriens. Les karaniens se relevèrent et restèrent immobiles. Ils voulaient obliger leurs ennemis à enjamber les corps fraîchement tombés. Kerberos se retourna.
-< Arbalétriers : rechargez ! >

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Seigneur de Ténare ; Marquis de Falcastre
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Chevalier au Léopard ; Chevalier de l'Ordre des Fondateurs royaux

pyros

Re : Exploration - zone Nord

L'espion survivant traversa la ville.
"il doivent me chercher ... avec un peu de chance il me chercherons vers leur muraille ... enfin ... je l’espère"
Il arriva devant le château, il y avait un garde devant l'entrer. L'espion s'approcha discrètement du garde. Il était a quelques pas du garde lorsque celui ci dit:
-Halte !
L'espion bondit vers le garde et l’égorgea. L'espion entra dans le château. Il devait se dépêcher, son combat avait fait du bruit ...
"Il faut que je trouve cette baronne ... "
l'espion entra dans une pièce calme. Un homme l’interpella.
-Que faite vous dans la Bibliothèque personnel du Baron et qui été vous ?
il s'approcha de l'homme et sortit son poignard:
- je suis ... la mort
et il lança son arme vers le cou du bibliothécaire.
"la baronne attendra ... si je trouve une carte de gundor ... et peut être de l'ancienne empire je pourrais l'envoyer au marquis .... cette expédition n'aura pas été inutile."

----

La cavalerie avait rejoint les chevaliers karanien et s’apprêtait a attaque l'armée gundorienne.
Pendant ce temps, les unités piétonne de Balcamon s’attaquait à la ville, ils passèrent la brèches.
Les lanciers  protégeait les archers de leurs boucliers pendant que les archers tirais des flèches en directions des ennemis.

Dernière modification par pyros (2016-02-10 01:20:19)

Ultan

Re : Exploration - zone Nord

Garin apprécia rapidement la situation...

Les cavaliers karaniens et leurs alliés chargeaient...

Les troupes de Garin avaient déjà adoptés leur formation de prédilection, les soldats alliés suivirent le mouvement.

Lanciers et fantassins au centre, les longues lances des lanciers dépassant..

Les archers et les arbalétriers quelques pas en avant, lancèrent une volée de flèches et de  carreaux vers la cavalerie karanienne. En ordre, ils reculèrent alors de quelques pas, les rangs des lanciers et fantassins s'ouvrant pour leur laisser le passage, puis se refermant.

Puis de nouveau les archers tirèrent une salve en direction de la cavalerie karanienne, pendant que les arbalétriers rechargeaient leur arme.

Sur les ailes, les cavaliers et chevaliers se tenaient prest à encercler la cavalerie ennemi par un mouvement tournant large.

Garin se tenait au centre avec l'infanterie, ayant mis pied à terre et laissant le commandement de la cavalerie à Rayden.

Il avait dégainé son épée et se tenait prest et s'était écrié pour ses hommes.

"Pour l'honneur d'Okord !"

Et tous avaient répondu avec ferveur...

Puis Garin s'adressa au Baron Guerrard.

Baron, je puis combattre avec courage, je puis mourir avec ce mesme courage. Mais pour vaincre l'ennemi, vos hommes seront nécessaires. Nous devons faire vite, si les barbares entrent dans votre ville, de nombreux innocents mourront, et cela je ne le veux point.

Seigneur, me donnerez-vous votre confiance et combattrons-nous costes à coste pour sauver Erindwal ?

Eugénée Anet

Re : Exploration - zone Nord

Phase 7 : POUR LE GUNDOR !

Pour Ultan, Lauki, Pyros et Karan

La lance siffla dans l'air et vint se ficher dans l'écu du chevalier à droite du Baron, qui tenait de l'autre mains les couleurs de ce dernier.
"Au moins c'est clair..." marmonna le gundorien entre ses dents.
Il entendit le cor de Karan et vit, sur son aile gauche, la charge des cavaliers de Brahm et de Balcamon tentant de percer leurs flancs.
"Hommes du Gundor ! Gardez-vous !"
Une centaine de chevaliers se tourna vers les bois pour se défendre du choc. Les mercenaires du sieur Ultan tirèrent une salve de flèches, fauchant une poignée cavaliers. Ils rentrèrent rapidement dans les rangs, laissant places à la dizaine de lanciers okordiens secondés par une trentaine de lanciers du Gundor. Côte à côte, les hommes attendaient la charge, tandis que la cavalerie confiée à Rayden - et suivi de 200 chevaliers du Gundor - s'apprêtaient à encercler les ennemis.
- Baron, je puis combattre avec courage, je puis mourir avec ce mesme courage. Mais pour vaincre l'ennemi, vos hommes seront nécessaires. Nous devons faire vite, si les barbares entrent dans votre ville, de nombreux innocents mourront, et cela je ne le veux point. Seigneur, me donnerez-vous votre confiance et combattrons-nous costes à coste pour sauver Erindwal ?
- Donnez votre sang et vous aurez mon estime. répondit calmement le Baron. Sauvons les innocents, le reste n'est que politique. Mais je peux vous assurer que ces chiens vont payer...

***
Pour LeRoux

Les soldats d'Ar'ks Fell se jetèrent un regard inquiet devant l'entêtement de leur commandant. Sans un mot, ils le suivirent.
Le chemin de contrebandiers qu'ils trouvèrent était si étroit qu'ils ne purent passer qu'un par un. Les pas des chevaux claquaient contre la glace, et cela faisait un bruit de tous les diables.
Au bout de quelques minutes, un éboulement surprit la troupe, et emporta quatre cavaliers.
Ar'ks Fell décida de faire descendre ses hommes de leurs montures, pour que le bruit soit moindre.
Ils continuèrent.

***
Pour Karan

A mesure que l'huile coulait du haut des remparts, les hurlements des karaniens emplirent l'air.
Le liquide bouillant brûlait les boucliers, et s'infiltrait dans les armures, contre la peau, dans les cheveux, amenant avec lui une odeur de peau calcinée.

La catapulte tira. Une gerbe de caillasses s'effondra sur les okordiens, et ceux qui n'étaient pas tués nets se relevaient avec difficulté. Derrière, les archers s'en donnaient à coeur joie.
TUEZ ! FAUCHEZ, MES BONS ! harangua le capitaine Honvain. Ne laissez pas ces misérables se relever !
La baliste tira à son tour, puis la seconde catapulte... C'était un massacre...

Quelques Karaniens, emmenés par Kerberos, arrivèrent à prendre pied sur les remparts. Ils devaient être une dizaine, tout au plus.
Le colosse décimait les effectifs d'Erindwal, secondé de ses soldats, plus barbares les uns que les autres. Les karaniens semblaient invincibles, leur technique de combat leur permettant, semblait-il, de ne pas craindre les assauts des gardes de la cité. Les traits meurtriers des deux arbalétriers s'échangeaient avec les coups de lames des combattants du premier rang. Les défenseurs tombaient sous les coups vaillants et précis de leurs adversaires, et leur moral chût d'un coup.
Mais les gundoriens avaient l'avantage du nombre et de la position.

Il est blessé ! Il est blessé ! Le cri de victoire remit du baume au coeur des assiégés, qui redoublèrent d'efforts.
Rapidement, les derniers karaniens, blessés et fatigués des assauts hargneux des soldats du Duché, furent décimés.
Kerberos fut cerné contre un muret, trois archers le tenant en joue.
Vous êtes prisonnier ordonna le capitaine. Demandez à vos hommes de déposer leurs armes.
A ses côtés, une poignée d'hommes restaient debout : les effectifs du Gundor avaient solidement été tailladés par l'escouade okordienne.

***
Pour Lauki

- Pitié, messire ! Je ne suis qu'un bandit des environs, nous vous avions pris pour d'honnêtes marchands... Mal nous en prit... Pitié, épargnez-moi, je retiendrai cette leçon et travaillerais la terre comme un brave pécore !
- Connais tu le chemin pour franchir ces putains de montagne ?
Le visage du malandrin s'éclaira
- Mais bien sûr ! Je peux vous amener à travers les montagnes ! Je les connais comme ma poche ! Mais je ne puis marcher, hélas... Donnez-moi quelques soins, un cheval, et je serai votre guide !

***
Pour Ultan, Lauki, Pyros et Karan

Au dernier moment, les lanciers levèrent leurs piques, sur lesquelles s'embrochèrent les cavaliers de Karan et de Pyros. Les chevaliers du Gundor, menés par le Baron, s'enroulèrent autour des combattants, ne laissant aucune possibilité de repli.
Les okordiens se battaient valeureusement, mais ils étaient à un contre cinq... Qu'auraient-ils pu faire ?
"POUR LE DUC ALBION ! TAILLEZ, DÉPECEZ, MASSACREZ ! FAITES COMPRENDRE A CES GUEUX QUE CE N'EST PAS AVEC TROIS POUILLEUX QUE L'ON S'EMPARE D'UNE VILLE COMME ERINDWAL !"

***
Pour LeRoux

Les soldats suivirent l'étroit défilé durant plus d'une heure. Ils arrivèrent enfin sur une étrange enclave, perdue au milieu des montagnes. Celle-ci s'élargissait sur plusieurs centaines de toise de diamètre.
Au milieu de celle-ci, ils aperçurent une épaisse fumée s'élever.
Ils s'approchèrent avec précautions, et découvrirent une petite cahute d'où brillait une étrange lueur à travers les fenêtres. Trois hommes attendaient devant la porte, semblant faire la queue. Entendant les soldats s'approcher, ils se retournèrent, surpris de cette présence armée.

***
Pour Ultan, Lauki, Pyros et Karan

Le Baron dégagea son épée du crâne d'un karanien. La cavalerie adverse venait d'être réduite à néant. Ils n'étaient plus qu'à deux cents toises de la ville, où les soldats d'Okord, acculés à la muraille, tentaient de se protéger des flèches, de l'huile et des tirs d'armes de siège.
Il soupira.
C'est pitié de voir ces abrutis se démener contre eux-mêmes... Faites donner la charge, et cueillons les derniers barbares : ils semblent mûrs.

Quelques minutes plus tard, l'armée des seigneurs Pyros et Karan était réduite à néant. A l'extérieur de la ville, aucun prisonnier n'avait été fait.
Les 400 soldats de l'armée du Gundor avaient été mis à mal : deux-cent cinquante seulement avaient survécu à la brutalité de l'assaut. Le conflit avait été sans merci, et les forces d'Erindwal s'étaient jeté dans la bataille avec rage, protégeant jusqu'à leur dernier souffle leur terre et leur duc.
On amena au seigneur Guerrard les lieutenants ennemis, solidement entravés : Balcamon avait été blessé à la cuisse, et la tempe de Brahm ruisselait de sang.

Dédicace à Leroux pour cette image :)

***
Pour Pyros

Le garde avait malheureusement eu le temps d'hurler avant d'être assassiné par l'espion. Le râle se perdait encore dans sa gorge alors que l'homme de Pyros s'élançait dans la bibliothèque.
Face aux nombreux ouvrages, il ne savait lequel prendre...
- Il est passé par là ! hurla la voix du sergent dans la cour du château. Merde... Sylvain est mort... Il va payer pour ça aussi !
"Traité sur le Nord" d'Edmond Petigrumfe ; "Ytésen, comprendre l'incompréhensible" de Raïul Maussen ; "Les Trois couronnes d'Ohm" de Cybille Aromnna... "La République et les Îles Grises" d'Angelino Mariolli... "Contes et Légendes du grand Ouest" d'Ambroise Ludivon... Les noms des ouvrages se mélangeaient devant ses yeux.. Lequel prendre ?
- Dans la bibliothèque ! Il ne peut qu'y être... Les voix résonnaient dans la cage d'escalier, se rapprochant de l'espion.
Sans réfléchir, il s'empara d'un livre au hasard et se précipita par la fenêtre. Sur la table, il vit une grande carte étendue, qu'il fourra dans sa besace instinctivement. Il se précipita vers la fenêtre, et d'un pas leste l'enjamba pour atterrir sur un petit toit en contrebas, qui dominait la cour.

Pyros, à toi de choisir parmi les ouvrages présentés OU choisir l'ouvrage "mystère" (en dehors de cette liste)
Tu as sur toi un bouquin + la map. Y reste plus qu'à les faire parvenir en Okord pour en découvrir le contenu :p

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Phase 7

Décompte des troupes
- Seigneur Bélial : Perte de 25 fantassins, 25 lanciers, 25 archers, 22 cavaliers, 25 arbalétriers, 24 chevaliers. La troupe compte 2 lieutenants, dont 1 prisonnier.
- Seigneur Karlpof : Perte de 4 chevaliers et 15 fantassins. Plus qu'un chevalier (prisonnier) => l'aventure se finit là pour toi !
- Seigneur Ultan : Pertes de 10 chevaliers, 1 cavalier, 8 lanciers, 12 fantassins, 8 archers, 18 arbalétriers. La troupe compte 10 chevaliers, 4 cavaliers, 2 lanciers, 4 fantassins, 2 archers, 6 arbalétriers.
- Seigneur LeRoux : Perte de 4 cavaliers. La troupe compte 10 cavaliers.
- Seigneur Lauki : Perte de 7 cavaliers, 5 lanciers, 3 archers, 2 arbalétriers. La troupe compte 10 cavaliers, 2 archers et 3 arbalétriers
- Seigneur Pyros : Perte de 19 chevaliers, 30 cavaliers, 10 lanciers, 10 archers. La troupe compte 1 chevalier prisonnier, et 1 espion

Décompte nourriture : les soldats peuvent tenir 1 phases avant de rentrer en Okord (soit 2 jours IRL)

Décompte honneur :
- Seigneur Bélial : -10(3) +20(4) +20(5) +20(6) +150(7)
- Seigneur Karlpof : +0 +100(6)
- Seigneur Ultan : +10(3) +10(6) +120(7)
- Seigneur LeRoux : +10(3) +10 (7)
- Seigneur Lauki : +10(3) +20(6) +30(7)+100 (7)
- Seigneur Pyros : +0 +50(6) +120 (7)

Décompte or :
- Seigneur Bélial : +0
- Seigneur Karlpof : +0
- Seigneur Ultan : +0
- Seigneur LeRoux : +0
- Seigneur Lauki : +0
- Seigneur Pyros : +0

lauki

Re : Exploration - zone Nord

Qu’il en soit ainsi !!
Tu seras notre guide mais je te préviens. A la moindre fourberie, je t’embroche comme un poulet !
Soigner sa jambe et trouver lui un cheval. Par contre, enlever les rênes !!
Héomére, tu tireras son cheval !
Fouille se salopard au cas où il nous cacherait une armes.

A vos ordres mon lieutenant !!! répliqua le soldat.

Des soins fut donner au brigand et il fut hisser sur un cheval. La troupe continua sa route vers les montagnes.

lauki

Re : Exploration - zone Nord

On amena au seigneur Guerrard les lieutenants ennemis, solidement entravés : Balcamon avait été blessé à la cuisse, et la tempe de Brahm ruisselait de sang.

Rayden était là en train de les observent quand leur regard se croisa. Le Lord Commandant bougea sa tête de gauche à droite comme pour leur dire sa déception de les voir dans une telle situation.

Bande d’imbécile ! pense t’il.
Nous étions venus en Gundor pour explorer et ramener des informations sur ce pays.  Et vous, à la première occasion, vous tuez leur soldats et attaquaient une de leur ville.
Mais il faut être fou pour croire que tout cela aller fonctionner !
Essayer de prendre une ville comme  Erindwal était pur folie. Pensez-t-il vraiment pouvoir la garder?
Non seulement, ils ont sacrifié les vies de leur hommes mais ils ont aussi mis le royaume d’okord dans une situation difficile qui pourrait engendrer une guerre entre nos deux royaume.

Mais ce qui énerver le plus Rayden, c’est que ses crétins l’avait obligés à se battre contre les siens. Même si le Lord Commandant avait peu d’affinité avec eux, ils étaient d’Okord !!

Rayden cracha par terre, comme pour leur montraient son dégout et sa colère de l’avoir obligé de tuer ses frères d’Okord.
Il sortit son épée de son fourreau et alla se positionner derrière les deux hommes.

Le Lord Commandant posa sa lame sur l’épaule de Balcamon qui ne broncha pas. Rayden s’approcha plus près de lui et lui parla a l’oreille.

Nous vous avions prévenue !!
Vous périrez par mon épée !
C’est mieux que par celle d’un gundorien et sa sera plus rapide je pense.
Quand tu seras au paradis des crétins, lave toi car tu pu la fiente d’oiseau !

Après rayden se tourna vers le karanien.

C’est ton tourne après. Ne te sauve pas !

Baron guerrard !!
Comme je vous l’ai déjà dit !
Au nord d’okord, nous avons notre code d’honneur. Il nous sert aussi à châtier les déserteurs, les lâches et les traitres n'ayant pas d'honneur.
Permettez-moi mon cher Baron de punir c’est hommes, en leur tranchant le cou !

VALAR MORGHULIS ! (tout Homme doit tôt ou tard mourir.)

Puis Rayden se repositionna prés à leur tranché la tête

Dernière modification par lauki (2016-02-14 13:12:59)

LeRoux

Re : Exploration - zone Nord

Ar'ks Fell s'inclina.

Je me présente: Mercenaire Ar'ks Fell, de passage dans cette contré.

Moi et mes hommes ne vous voulons aucun mal, je suppose que cela est la cahute d'une guérisseuse, sorcière ou femme de joie ? ^^ Mais peu m'importe, nous explorons ce pays, j'aurais besoin d'informations: notamment une carte du pays de Gundor, mais aussi de nourriture et d'un guide pour traverser cette montagne ainsi continuez notre route vers le Nord.

Ar'ks Fell se releva,

Nous souhaitons poursuivre notre route, le plus vite possible, je n'ai pas beaucoup d'or, ni de nourriture, mais je peux dédommager la personne qui m'aidera.

Dernière modification par LeRoux (2016-02-14 13:42:47)

pyros

Re : Exploration - zone Nord

L’espion regarda quelques livres puis il prit "Traité sur le Nord" d'Edmond Petigrumfe. Il devait surement contenir des informations sur Gundor ... et les autres nations du nord ... L'espion entendit du bruit ... ses poursuivants arrivaient. Il prit le livres pris la carte sur la table et sauta par la fenêtre.  Il entendait au loin les cors du Gundor. Les habitants commençaient petit à petit à sortir des maisons. Il partit vers la porte est de la ville. Il arriva à la porte, les gardes venaient de l'ouvrir, et les réfugiés commençaient à sortir.
« Pourvus que mes poursuivants n’arrivent pas avant mon passage … »

J’espère juste que votre « seigneur » ai prévu de rejoindre son ami le duc de Gundor.
Puis il se tourna vers le karanien.
Ravis de t’avoir connu. Pour un karanien tu n’es pas trop mal …

De Karan

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Re : Exploration - zone Nord

Les gundoriens l'emportaient. Ces mots s'écrivaient douloureusement dans l'esprit de Kerberos. Un filigrane de verre fondu coulant sur son front. Il ignorait par quel miracle. Un miracle... Kerberos avait toujours exécré ce mot. Les miracles n’existaient pas. Ça aussi, le chef karanien l'avait compris dans la douleur.

Désormais, rien ne pouvait modifier l'issue inéluctable de ce combat.

Une poignée d'hommes acculée contre un muret. Les feux des torches se reflétaient sur le tranchant des flèches.

-Demander ? Répondit Kerberos, les sourcils froncés. Un chef ne demande pas.
Il porta une dernière fois la corne à ses lèvres et poussa un long appel. Il résonna sur la plaine, morne et solitaire. Un concert d'épées jetées à terre répondit au cor.

Alors, avec lenteur, Kerberos posa la pointe de son espadon sur les pavés et le laissa tomber aux pieds du Capitaine Honvain.

***

-Rayden, votre langue n'a rien à faire dans son cul. Soupira Brahm en désignant le Baron Guerrard d'un mouvement de tête. Si vous croyez que les gundoriens vont vous laisser repartir à Okord simplement parce que vous avez joué à l'écuyer avec eux... Mon pauvre. Non, vous finirez la gorge tranchée. Le jeune homme se passa la langue sur les dents, en proie à une intense réflexion. Je mise sur... Le petit matin... Quand vos sentinelles repues du repas de la veille piqueront du nez. Ce sera rapide, la bataille ayant dangereusement entamée la garnison d'Erindwal. Le Baron ici présent n'enverra qu'une troupe réduite. Brahm se tortilla comme il le pouvait. La corde qui enserrait ses mains entaillait douloureusement sa peau. Il parvint cependant à regarder le Lord Commandant dans les yeux. Alors, pour l'amour des dieux, taisez-vous et laissez-moi sauver la situation. Et puis... Vous et moi savons que mon maître accouplerait toute votre famille avec son haras, si jamais vous n'aviez que l'idée de poser la main sur ma personne.

Brahm était blessé. Vaincu. Loin de chez lui. Le cor de Kerberos signifiait même une défaite sans appel. Pourtant, le jeune Brahm se sentait auréolé d'une assurance sans commune mesure. Il se releva, un peu pantelant, et marcha vers le Baron Guerrard. Les lances s'abaissèrent très vite face à Brahm, néanmoins ce dernier était sûr que le Baron pouvait désormais l'entendre distinctement.

Dans le crâne du jeune homme, résonnaient encore les leçons d'un vieillard rusé.

-Monseigneur ! Je suis Brahm, capitaine en second de la Ière compagnie expéditionnaire du Pays de Karan. Il marqua une légère pause, comme pour accentuer le nom qu'il venait de prononcer. Je sers le Duc Mazër de Karan, descendant légitime de Bélial de Karan, ultime héritier du Royaume de Karan. Je me constitue prisonnier contre rançon.

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Seigneur de Ténare ; Marquis de Falcastre
Maître du Palais ; Gardien du Trésor Royal
Chevalier au Léopard ; Chevalier de l'Ordre des Fondateurs royaux

Ultan

Re : Exploration - zone Nord

Le combat était terminé, mais Garin n'avait point aimé ce qu'il avait dû faire.

Il s'approcha de Rayden et posa la main sur l'épée de celui-ci.

Attendons, nous ne sommes point ici chez nous, mais sur les terres du Baron Guerrard, c'est à lui de rendre Justice selon les lois du Gundor.

Puis il vit la manoeuvre de Brahm et entendit ce que celui-ci murmurait à Rayden.

Il s'adressa alors au Baron.

Messire, j'ai grande honte du comportement de certains de mes compatriotes, mais je suis fier d'avoir combattu coste à coste avec vous.

Concernant ce que vous a dit cet homme, il est vrai que la Maison de Karan est riche et que rançon vous serait sans doute versée contre lui...

Mais le laisser repartir en Okord serait dangereux...

Il s'empresserait de dire tout ce qu'il sait à son Maistre. Vous avez vu la Maison de Karan en oeuvre, je vous laisse imaginer ce qui se passerait si celle-ci envoyait une armée de milliers de soldats...

Je ne connais point vos Lois, le conseil que je peux vous donner pour votre sécurité est de ne point le laisser revenir en Okord.

Pour le second, le Capitaine Balcamon, il est d'une autre Maison et n'est que crétin, mais point vraiment dangereux. Il s'est fort stupidement laissé entraisné par les Karaniens et pour cela il sera certainement profondément puni. Je vous implore humblement de lui laisser la vie sauve.

Mais quelques soient vos décision, Messire, nous les respecterons et vous obéirons, car vous estes ici le Seigneur de ces terres.

Vous avez vu le costé sombre d'Okord, mais vous l'avez aussi constaté, nous ne sommes point tous ainsi.

Je serai honoré que vous acceptiez l'amitié de ceux que nous représentons, une importante faction d'Okord. Et au lieu d'une armée de Karaniens détruisant tout sur son passage, ce que je vous propose moi, ce sont des échanges commerciaux entre nos deux pays, afin que nous puissions ensemble, vivre dans la paix et la prospérité.

Pour cela, me permettrez-vous, comme je vous l'avais demandé, de venir avec vous en votre cité et de dialoguer avec votre ligue marchande ? Nous pourrions ainsi deviser, échanger des informations et définir des routes praticables et assez sures pour des échanges commerciaux. Ainsi je pourrai également leur demander s'ils ont rencontrés un groupe avec une femme ressemblant à notre Princesse disparue, et ma mission sera alors achevée ?

Et si j'osais, Monseigneur, je vous supplierai pour la libération de mon compagnon Olaff qui est votre prisonnier. C'est un homme d'honneur, et un bon compagnon, je vous serai profondément reconnaissant de me le rendre...

Dernière modification par Ultan (2016-02-17 02:20:37)

Eugénée Anet

Re : Exploration - zone Nord

Pour LeRoux

- Hahaha, je reconnaitrais cet accent entre mille, tant il me rappelle cette vieille buse de Siffle-Tempête.
Un homme sort de la modeste cahute. De petite taille, les sourcils broussailleux, une vilaine cicatrice sur son menton mal rasé. Derrière lui, un paysan quitte la maisonnette, les bras chargés de pots divers, et file sans attendre. Vous êtes visiblement tombés sur l'herboriste local.
- Un mercenaire d'Okord, qui souhaite marcher vers le Nord ? Mauvais, mauvais, très mauvais choix. Vous allez mourir, si tenté que vous filiez vers le Nord, aussi sûr que le soleil s'éteint et s'allume. La montagne vous tuera, à moins que ce ne soient les gundoriens qui y maraudent ? Les deux ne sont pas cléments envers les étrangers ces temps derniers.
L'herboriste — s'il est vraiment herboriste — fait signe à l'un des paysans d'entrer pendant qu'il examine votre assemblée de plus près. Il a clairement compris qu'on attendait quelque chose de lui, mais semble assez peu pressé de vous apporter satisfaction dans l'immédiat.
- En mémoire du bon vieux temps, je suis prêt à vous accorder une entrevue, mais vous allez vous mettre à l'attente, comme tout le monde. Les druides ont une saine appréciation de l'ordre des choses, Ar'ks Fell, et vous n'êtes pas le premier oiseau posé sur la mangeoire.

Vous n'avez pas vraiment d'autre choix que de patienter. Fort heureusement, le druide en a rapidement terminé avec ses rendez-vous, chacun des paysans ne passant guère plus que quelques minutes avec lui avant de repartir. Pendant ce temps, de nouveaux locaux sont arrivés et attendent leur tour. Le druide finit par vous faire signe d'entrer.
La cahute est encombrée par des dizaines et des dizaines de pots étiquetés, par des pigeons voyageurs en cage, par des stocks d'herbes, se statuettes de bois, de torches éteintes... Ar'ks Fell et trois de ses gardes peuvent s'y glisser, mais le reste de la colonne d'hommes doit attendre dehors faute de place.
Le druide prend le temps de servir au commandant un verre de vin rouge, et vide le sien propre sans attendre, comme en signe de rituel pour commencer la conversation.
- Alors... mercenaire ? J'ai bien, bien compris ce que vous cherchiez, et j'ai bien peur de ne pouvoir vous aider. Je n'ai pas de grands stocks de blé, pas de guide, pas d'espoir que vous allez vous en tirer dans votre folle quête vers le Nord. Mais peut-être souhaitez vous autre chose ? Les Anciens ont toujours souri aux hommes d'Okord. Je suis leur garant en ces lieux... avez-vous quelque question à poser ?