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Mes seigneurs, veuillez écouter le récit de l’invasion de la province de Brecheliant anciennement appelée « Kamaloth » et appartenant en des temps passés au seigneur Lancelot.
Le seigneur Lancelot étant parti dans des contrées lointaines, le comte Seb décida d’occuper cette province. Il envoya son armée et après une bataille sanglante, arriva à occuper cette forteresse. Il construisit des fortifications et installa un nouveau fief sur un terrain fertile.
Le seigneur Lancelot avait installé tous ses fiefs sur cette province et il a fallut de nombreuses saisons pour que ses fiefs disparaissent et laissent les terrains fertiles libres. Quelques jours après que les fiefs du seigneur Lancelot eurent disparu , le Vicomte Oman commença à s’installer dans la province sans mot dire, sans se présenter, sans demander puis il invita les membres de sa confrérie à s’installer toujours sans que le seigneur de la province reçoive une seule missive. Il a fallut que le Comte Seb se déplace lui-même pour quémander des informations sur ces nouveaux occupants. Ces nouveaux occupants lui ont certifié qu’ils n’avaient pas de vue sur la province. Le comte Seb leur proposa même de devenir leur suzerain, chose qu’ils ont toujours refusé.
De nouveaux fiefs de la confrérie des ombres sont venus s’installer. Puis arriva le temps où les déménagements sont devenus possible et le lendemain le comte Seb reçut une missive du comte Pellehun qui souhaitait déménager d’une province pour se retrouver dans la province de Brecheliant. Là il était clair que la confrérie avait des vues sur la province. Le comte Seb outré par ce manque d’honnêteté et ce manque de politesse décida de détruire tous les nouveaux fiefs arrivant dans sa province et en avisa le Vicomte Oman. Cela ne tarda pas puisque le lendemain, un nouveau fief des ombres s’installa, fief qui a été détruit immédiatement.
La Duchesse Ayla demanda d’ouvrir une conversation avec le sir Oman. Nous leur proposâmes plusieurs alternatives, toutes ces alternatives ont été refusées par le vicomte Oman. Il proposa un modeste 4M d’or pour cette forteresse avec un air hautain et arrogant. Cette province remplie de terrains fertiles vaut bien plus que 4M !
Voyant notre refus le vicomte Oman quitta la conversation et depuis 1 nouveau fief des ombres est venu s’installer dans la province. Ne pouvant pas détruire le fief du Baron Shurtugal2015, le comte Seb détruisit le fief de son suzerain (Sir Pellehun).
Sir Pellehun revint le même jour s’installer dans la province en envoyant (cette fois) une missive au Comte Seb. Missive que je rends publique
« Seigneur,
plus que 35 destructions, et nous pourrons vous appeler sans honneur !
Courage »
La plume ne se laissera pas faire et rentrera en conflit avec la confrérie des ombres s’il le faut.
Mais elle préfère éviter la guerre et demande donc à la confrérie des ombres d’arrêter l’invasion de la province de Brecheliant.
Nous demandons aussi que cette province soit reconnue propriété de la plume noire
Le seigneur Lancelot étant parti dans des contrées lointaines, le comte Seb décida d’occuper cette province. Il envoya son armée et après une bataille sanglante, arriva à occuper cette forteresse. Il construisit des fortifications et installa un nouveau fief sur un terrain fertile.
Le seigneur Lancelot avait installé tous ses fiefs sur cette province et il a fallut de nombreuses saisons pour que ses fiefs disparaissent et laissent les terrains fertiles libres. Quelques jours après que les fiefs du seigneur Lancelot eurent disparu , le Vicomte Oman commença à s’installer dans la province sans mot dire, sans se présenter, sans demander puis il invita les membres de sa confrérie à s’installer toujours sans que le seigneur de la province reçoive une seule missive. Il a fallut que le Comte Seb se déplace lui-même pour quémander des informations sur ces nouveaux occupants. Ces nouveaux occupants lui ont certifié qu’ils n’avaient pas de vue sur la province. Le comte Seb leur proposa même de devenir leur suzerain, chose qu’ils ont toujours refusé.
De nouveaux fiefs de la confrérie des ombres sont venus s’installer. Puis arriva le temps où les déménagements sont devenus possible et le lendemain le comte Seb reçut une missive du comte Pellehun qui souhaitait déménager d’une province pour se retrouver dans la province de Brecheliant. Là il était clair que la confrérie avait des vues sur la province. Le comte Seb outré par ce manque d’honnêteté et ce manque de politesse décida de détruire tous les nouveaux fiefs arrivant dans sa province et en avisa le Vicomte Oman. Cela ne tarda pas puisque le lendemain, un nouveau fief des ombres s’installa, fief qui a été détruit immédiatement.La Duchesse Ayla demanda d’ouvrir une conversation avec le sir Oman. Nous leur proposâmes plusieurs alternatives, toutes ces alternatives ont été refusées par le vicomte Oman. Il proposa un modeste 4M d’or pour cette forteresse avec un air hautain et arrogant. Cette province remplie de terrains fertiles vaut bien plus que 4M !
Voyant notre refus le vicomte Oman quitta la conversation et depuis 1 nouveau fief des ombres est venu s’installer dans la province. Ne pouvant pas détruire le fief du Baron Shurtugal2015, le comte Seb détruisit le fief de son suzerain (Sir Pellehun).
Sir Pellehun revint le même jour s’installer dans la province en envoyant (cette fois) une missive au Comte Seb. Missive que je rends publique
« Seigneur,
plus que 35 destructions, et nous pourrons vous appeler sans honneur !
Courage »La plume ne se laissera pas faire et rentrera en conflit avec la confrérie des ombres s’il le faut.
Mais elle préfère éviter la guerre et demande donc à la confrérie des ombres d’arrêter l’invasion de la province de Brecheliant.
Nous demandons aussi que cette province soit reconnue propriété de la plume noire
Seigneurs,je me permet,et d'un point de vue tout à fait impartial,une réécriture de ce texte :
Le Seigneurs Lancelot s'était croisé,luttant pour la chevalerie,la noblesse et notre Roi.Profitant de cette absence,le Comte Seb ,n'ayant aucune considération pour la vie de ses hommes,lança plusieurs raids meurtriers.Il fit réduire en esclavage les malheureux peuples de la province pour bâtir des forteresses et affirmer sa prégnance sur le terrain.Il chassa également des "autochtones" pour implanter une colonie.
Il incendia et affama les fiefs de Lancelot,qui finirent par disparaître.Au même moment,des dizaines de milliers de paysans,ayant décidé de quitter les terres ingrates qu'occupait la Confrérie des Ombres aperçurent ces terres fertiles au climat doux et agréable.Ils s'y installèrent.Les mouvements de population s'intensifièrent,et de nouvelles cités furent bâties.Le fourbe Seb vint en personne réclamer de lourds tribus,la Confrérie des Ombres refusa mais clama ses intentions pacifiques.Quelques temps plus tard,des milliers d'hommes du seigneur Pellehun,que je ne connais malheureusement pas,demandèrent le droit d'occuper un terrain vierge.Seb refusa,massacra des milliers de roturiers et,pour justifier ses actes,qualifia ces citoyens de "sauvages pillant nos provinces",de "conquérants impitoyables" etc ...
Oman envoya une missive,proposant 4 M d'or en échange de la province.Nous ne savons pas comment ses scribes ont pu transcrire un "air hautain et arrogant" mais soit.Propositions très généreuse .Seb refusa,et,dans sa folie destructrice,saccagea de nombreux fiefs.
Vous l'aurez compris,cette réécriture a pour but de dénigrer le seigneur Seb.
Réécrivez donc dans votre gazette seigneurs Zaki.
Il fut un temps où la maison Jacquouille pris les armes pour stopper la barbarie d'Osterlitch sur ce territoire. Mon prédécesseur avait fait le serment que ce genre d'exaction n'y aurait plus sa place.
Merci de faire en sorte que cela reste ainsi pour le respect de la mémoire du renard d'Okord.
Seigneur Seb, je vous ait autorisé la prise de la forteresse il y a quelque temps. Je ne vous ait rien demandé en échange et je ne compte pas le faire mais de là à massacrer les fiefs de jeunes seigneurs qui, outre le fait de n'être pas très éloquent, ne vous ont je crois rien fait. Est ce parce qu'il occupe les terrains que vous convoitiez? D'une occupation pacifique, vous allez créer des ennemis que vous n'aviez pas. N'allez pas vous plaindre si ces pacifiques viennent vous harceler demain.
Par ailleurs, il est bien trop tôt pour revendiquer le moindre droit historique sur cette province.
Bonjour à tous,
Je ne suis que la dernière recrue de la confrérie de la Plume, et je dois encore apprendre beaucoup sur les us et coutumes de cette contrée. Cependant, je me permets d'intervenir ici pour donner des informations purement factuelles sur l'occupation de la province de Seb :
En l'état actuel des choses, 23 fiefs au total sont établis sur cette province, dont 13 sur des terres fertiles.
Parmi ceux-ci, la Confrérie des ombres détient 14 fiefs, dont 9 sur des terres fertiles. Ils occupent donc environ 61% des terres habitées et 69% des terres fertiles. Aucun de leurs fiefs n'a été placé sous la suzeraineté de Seb.
Au vu de ces données, on peut comprendre que le propriétaire de la province s'interroge sur leurs intentions réelles à long terme : certes, pour l'instant, les Ombres sont de nouveaux arrivants et n'ont pas la puissance militaire nécessaire pour pouvoir revendiquer une province. Mais que feront-ils lorsqu'ils l'auront ? Tout le problème est là...
Je ne suis guère féru de venir parader en ce lieu. Néanmoins au vue des événements qui sont venus jusqu'à moi, par le simple fait que le vicomte Oman soit venu m'espionner sur mon fief sans autre préambule de politesse, je me sens dans l'obligation de venir soutenir le seigneur Seb dans sa requête.
Dame Helyanor est peut être jeune dans la confrérie, mais sa parole est des plus sensée. Elle résume bien la situation.
Resté silencieux jusque-là, le rôdeur se leva et vint lentement au centre de la pièce et retira son capuchon….
« Mon roi, mes seigneurs,
Depuis deux jours mes cités sont en proie aux flammes, en cette belle matinée rouge, 4 est le nombre de mes cités brulés par le comte Gowann et le comte Seb. Je reconnais que sous mon titre de Baron se cache surement un adversaire craint par ce monde. Cette crainte pousse le comte seb à faire intervenir son allié, mais peut-être demain dois-je m’attendre à voir la duchesse Ayla, et peut être après-demain l’ost de notre Roi viendra fouler mes terres, massacrés mes paysans, violés leurs femmes et tuer leurs enfants. Verrais je peux être les plus grosses armés de ces terres saccagés les miennes et venir bruler les maisons que mes hommes ont construits devant la menace que représente mes immenses châteaux qui domine la plaine… ».
Un léger rire parcouru la pièce, il avait l’attention et enchaina donc
« Il n’en sera rien ! Je ne suis qu’un modeste chevalier, arrivé il y a peu en ces terres, récemment élu comte par une poignée de paysans certes, mais de brave hommes qui avaient le droit de vivre. Suivant les évolutions de ce monde, je compris bien vite qu’il était plus judicieux de regrouper ces cités, et je m’y employai donc dans une province peu peuplé, ou mon suzerain et mes amis avaient choisi de s’établir dans la paix. Les naissances s’accompagnaient de mariage, de joie et de prospérité. Certes très jeunes, la communauté de l’ombre comptait désormais une majorité de fief dans la province…. A l’affut des nouvelles de ce monde, comprenant que le déplacement de cités était possible, et avide de nouveauté, je demandais à mes maçons de procéder au déplacement d’une jeune cité, Hütt, construite à seulement une lieu au nord de la province près d’un ami aujourd’hui disparu…
Le lendemain, quel fut ma surprise de retrouver deux espions du comte Gowann, protégeant les intérêts de son ami le comte seb. Surpris par l’intérêt que me portait un comte, moi qui ne suis que jeune baron je compris rapidement en envoyant une missive courtoise, que leurs intentions étaient hostiles, et on me laissa alors le choix. Plier le genou ou partir. Pourquoi avait-on attendu que 6 de mes cités s’élève pour me le demander ? Les terres étaient fertiles, mes cités en expansions, partir était hors de question. Bien que plier le genou ne soit pas une crainte ni un déshonneur lorsque le suzerain est un compagnon qui inspire le respect et la confiance, le faire par obligation est une hérésie pour mon peuple… mes gens m’ont choisi et je choisi également mon suzerain… »
Un autre homme encapuchonné s’approcha et lui marmonna quelque chose, il reprit de plus belle
« On m’annonce que 5 nouveaux espions viennent de périr, j’en suis navré comte Seb, c’était des braves, ils avaient simplement le mauvais suzerain »
Il se tourna vers la baronne Helyanor suite à son intervention
« Vous voulez donc dire que la confrérie de l’ombre représente 61% de la province dont 69% des terres fertiles et que le comte seb vient à peine de le découvrir ???? Comment une telle importance de villes peut passer inaperçu ??? le comte seb serait-il pris de cécité aggravé ??? Cela pourrait expliquer son amour pour l’espionnage, lui qui ne semble ne rien voir…. Vous voulez donc qu’une majorité de villes et de population, que l’on vient aujourd’hui de découvrir grâce à la luminosité ambiante fuient une région fertiles parce qu’un homme isolé l’a décidé alors qu’ au vu des interventions et notamment l’intervention royale, sans qu’il n’est la légitimité de le faire ???? En effet, je ne suis tout comme vous pas au fait des us et coutumes de ce monde, mais l’absurdité de vos propos ne font que renforcer ma conviction à maintenir mes cités en ces lieux…. De plus, l’évocation d’une missive privé par le comte sans m’en demander l’accord, bien que j’aime voir que vous prêtez attention à mes mots est une impolitesse bien loin des règles de la chevalerie que certains défendent pourtant avec fougue.
Je note que notre roi à tous, Godefroy , à lui-même une cité en cette province, hors je ne voit nul demande de mise à genou de celui-ci devant le comte seb pour pouvoir voir ses murs resté en ce lieux. Qu’attendez vous, menez votre ost contre le roi, lui qui n’a pas l’obligeance de vous reconnaitre comme suzerain légitime…
Comte Gowann, comte Seb, autant être honnête tout de suite… Aucune forme de violence contre mes cités ne me fera quitter les lieux. Je ne gagnerais pas le respect de cette cours en me lamentant et en me plaignant, mais en vous résistant jour après jours…
Chaque femme, chaque enfant que vous avez tué sera vengé… Beaucoup sont morts, d’autres mourront encore… mais chaque nouveau-né apprendra à prononcer ces deux noms, Gowann, Seb… ils seront élevés à l’art militaire en ayant pour unique but la vengeance et la volonté de voir votre sang couler… Est-ce là ce que vous souhaitez ? Irez-vous expliquez aux veuves et aux orphelins que vous avez eu peur ?? que votre puissance est remise en cause par leur prolificité ? que vous êtes si aveugle qu’il vous faut espionner, détruire et se lamenter auprès d’une cour afin d’obtenir de celle-ci un accord pour la guerre, ou, pour être plus précis les massacres que vous avez menés ??? Si mon cœur était sombre, je vous laisserais parler et agir, car ainsi, vous prouvez seulement au monde votre faiblesse d’esprit, mais mon cœur est pure, et ma lame l’est encore, et je veux sauver ce qu’il vous reste de dignité…. Cessez les massacres, excusez-vous pour les morts, non à une quelconque cours, ni même à moi, mais à chaque femme, chaque homme et chaque enfant qui ont connu une perte ces derniers jours. Concentrez-vous à lutter contre vos vrai ennemis, et développer vos cités dans la paix dans cette belle province…. Faites-le pour votre salut…
Comte Gowann, lors de notre premier échange vous m’aviez repris sur les titres que vous possédez en constatant que chaque homme était avant tout chevalier. Vous aviez raison, vous n’avez de noblesse que le titre, et même celui de chevalier ne vous sied point, tant vous êtes éloigné d’une quelconque âme chevaleresque.
Je n’en veux point à la plume d’accueillir en ces rangs des seigneurs tels que vous, chacun est libre de ces choix, mais lorsque le doigt insulte, c’est la tête qui en porte le déshonneur.
Mon avis étant donné, mon roi, cher seigneurs, je vous quitte afin de retrouver ma vraie place en ces temps difficile, près des veuves, près des bâtisseurs et près de mes soldats… »
Remettant son capuchon, il quitta rapidement la salle sans se retourner
Dernière modification par Pellehun (2015-10-06 12:03:31)
Baron Pellehun,
Vous avez le verbe bien répartis mais vos propos sonnent creux.
Si vous n’aviez aucune ambition sur la province Brecheliant, vous vous seriez présentés au seigneur de la province de vous-même vous qui savez utiliser les mots. Un honnête homme n’a rien à se reprocher et cela aurait pu déboucher sur des relations cordiales et j’aurai même pu accepter de ne pas être pris en suzerain. C’est vous qui perdez le bonus d’or, pas moi.
Quant aux fiefs que je n’aurai soit disant pas vus, je pense que ce n’est pas la peine d’insister sur ces propos ridicules. Bien sûr que je vous ai vu vous installer dès le début. Aurais-je du vous massacrer tout de suite ? Peut être. Mais je ne l’ai pas fait car un seigneur peut venir s’installer en paix. Votre demande de déménagement (d’1 lieu comme vous le dites) a trahi vos ambitions et vous allez maintenant en payer le prix si vous vous bornez à votre bêtise.
Le vicomte Oman est revenu auprès de notre diplomate pour se plaindre des espionnages et vous insistez à vous installez ainsi que votre vassal. Pourriez vous vous mettre d’accord entre vous, pour que de réelles négociations commencent ? Laissez votre fief Libertad, enlevez Khazar et dites à votre vassal d’enlever le sien (Camthalion), nous arrêterons nous même les espionnages et les massacres et laisserons les diplomates faire leur travail. C’est honnête comme demande non ? Je suis sûr que le roi apprécierait.
Mes seigneurs, si je puis intervenir en qualité de diplômate de la Plume je me permettrais de donner mon point de vue et de répondre à quelques questions soulevée par la parodie de plaidoyers du seigneur Pellehun.
Comme vous l'avez sans doute tous compris ces terres appartiennent au comte Seb. Comme vous l'avez compris aussi elles sont riche et encore vierge pour une grande partie. Enfin ça c'était avant que les Ombres arrivent. Comme un grand nombre d'entre vous mes seigneurs. Ces terres libre servent à accueillir les fiefs des vassaux du comte Seb. Néanmoins n'étant pas borné et fermé sur lui même Seb accueil avec bienveillance tout seigneur n'étant pas à l'origine un de ses vassaux à partir du moment où il s'engage à le devenir. Jusqu'à présent je pense qu'un grand nombre d'entre vous pouvez vous reconnaître en la personne du comte Seb.
Voilà maintenant qu'arrive les seigneurs des Ombres s'installant sans rien demander et refusant l'échange de la terre contre celle de la fidélité.
Pour répondre au seigneur Pellehun qui a préféré s'enfuir plutôt que d'écouter ma réponse aux questions qu'ils posait. Pourquoi tant de fiefs des Ombres se sont installés avant que le comte ne commence à les détruire. Non Seb n'est pas atteint de cécité. Le Baron Pellehun à juste "oublié" de nous dire que ne suivant pas la méthode du frappé d'abord et discuter ensuite le comte Seb négocie et propose son aide depuis le début aux Ombres qui ne repondent que laconiquement à ses messages. Et surtout continue leurs travail de colonisation alors qu'ils ont été avertie que cela n'était pas la façon dont le comte voulait mener ces négociations avec eux. Alors que les discussions ne donnait rien et que le travail de sape continuait sir Seb à durci le ton et pour ne pas dire de choses dépassant le fond de sa pensée il a demandé à moi même et à dame Ayla de discuter avec sir Oman (chef des Ombres) pour trouver une issue pacifique au problème que l'occupation de ses terres par une autre confrérie entraînait. Nous avons proposé deux alternatives. Les deux ont été repoussé et sir Oman à quitté la table des négociations. Devant cette chaise vide que l'on nous opposait force à été de constater avec dame Ayla que les Ombres ne cherchait d'issue pacifique au problème. Ils se contentent de faire le mort en continuant à s'installer toujours un peu plus.
Sir Seb à donc continuer dans sa politique de droiture en annonçant que ses terres étaient pour ses vassaux et qu'à ce titre seul ses vassaux ou futur vassaux pouvait s'installer. Il n'a pris personnes en traite puisque cela a été indiqué au seigneur Oman qui transmet (ou pas mais cela ne nous regarde plus) ces informations aux membres de sa confrérie.
Maintenant c'est le choix des Ombres de venir s'installer là et de faire prendre des risques inconsidéré au peuple qu'ils guident. Qu'on arrête donc de dire que Seb est un meurtrier. Les meurtriers sont ceux qui envoient leurs hommes à une mort certaines pour ensuite se servir de ces cadavres comme alibi.
Seb est un résistant qui défend sa terre face à l'occupant.
Il ne tient qu'aux seigneurs des Ombres de faire stopper la violence. Ou il ne confisquent plus les terres du comte. Ou alors ils se soumettent à sa suzeraineté.
Si vous avez des questions je suis prêt à y répondre et ne me defilerais pas comme on a pu le voir précédemment avec d'autres seigneurs.
Je note également que le seigneur Zaki semble tenir la confrérie des Ombres en haute estime, je suis persuadé qu'elle serait avisé d'aller s'installer sur ses provinces. Il les accueillera j'espère suis certain avec humanité générosité et grand plaisir.
Il se tourna vers la baronne Helyanor suite à son intervention
« Vous voulez donc dire que la confrérie de l’ombre représente 61% de la province dont 69% des terres fertiles et que le comte seb vient à peine de le découvrir ???? Comment une telle importance de villes peut passer inaperçu ??? le comte seb serait-il pris de cécité aggravé ??? Cela pourrait expliquer son amour pour l’espionnage, lui qui ne semble ne rien voir…. Vous voulez donc qu’une majorité de villes et de population, que l’on vient aujourd’hui de découvrir grâce à la luminosité ambiante fuient une région fertiles parce qu’un homme isolé l’a décidé alors qu’ au vu des interventions et notamment l’intervention royale, sans qu’il n’est la légitimité de le faire ???? En effet, je ne suis tout comme vous pas au fait des us et coutumes de ce monde, mais l’absurdité de vos propos ne font que renforcer ma conviction à maintenir mes cités en ces lieux…. De plus, l’évocation d’une missive privé par le comte sans m’en demander l’accord, bien que j’aime voir que vous prêtez attention à mes mots est une impolitesse bien loin des règles de la chevalerie que certains défendent pourtant avec fougue.
Le relevé que j'ai posté précédemment est le résultat d'un recensement que j'ai effectué ce matin, pour donner une vue d'ensemble de la situation à ce jour. Rien ne vous empêche de vérifier mes calculs si vous les trouvez si absurdes...
Je me doute bien que des villages si nombreux ne sont pas apparus du jour au lendemain. Toutefois, d'après les informations en ma possession, la Confrérie de la plume vous a bien accueillis dans un premier temps, et espérait trouver en vous des alliés. Mais des alliés ne se contentent pas de venir se servir copieusement et à toute heure dans le garde-manger de celui qui les accueille, comme si ce dernier leur devait tout. Une relation diplomatique durable et équilibrée doit être basée sur un échange, aussi équitable que possible en fonction des possibilités de chacun. Les relations à sens unique ne durent jamais bien longtemps.
Ainsi, par exemple, accepter la suzeraineté du comte Seb sur au moins un territoire ou deux aurait été un signe de bonne volonté de votre part. Encore une fois, les relations diplomatiques s'entretiennent par de bons gestes et des marques de considération des deux côtés.
Mais au lieu de cela, vous vous êtes contentés de prendre toujours plus de terres, et de préférence les meilleures. Vous avez fini par prendre davantage que ce qu'il était raisonnable de vous offrir. Il vous a donc été demandé, à plusieurs reprises, me semble-t-il, d'arrêter d'implanter de nouveaux villages sur cette province... et vous avez continué.
Si la confrérie de la Plume réagit à présent aussi brutalement, c'est parce que toutes les tentatives de conciliation ont échoué. Jusqu'où fallait-il tolérer d'être visiblement pris pour des poires, sous prétexte que notre confrérie est (pour l'instant) militairement plus forte ?
J’étais toujours impressionné par les élocutions du seigneur Pellehun, ancien chef de royaume reconnu, il avait le savoir des armes et de la parole. Je fis un signe de tête à celui-ci exprimant ma fierté de l’avoir à nos côtés.
Lorsque j’eus terminé de rassembler tous les éléments, je m’avançai au centre de la pièce.
Peuple d’Okord, je viens vous présenter ma vision des faits. Je ne compte pas me donner raison ou tort, mais vous exposer les faits de manières chronologiques et objectives. Il sera à vous de vous faire une idée du conflit naissant. Je ne cherche pas à amener cette histoire auprès du conseil, je tiens juste à rétablir une vérité ou du moins à éclaircir certaines zones floues. Je m’excuse auprès de vous pour la qualité de mon élocution, j’ai malheureusement hérité de l’humour et de l’éloquence d’un Orc.
En arrivant sur ces Terres, après avoir fui la destruction de notre monde, nous nous sommes installé au nord est d’Okord. Province tenue par la confrérie de la Tour. Nous avons investi les champs de blé de la province d’arrivée, ainsi que les terrains agricole de la région au-dessus appartenant également à la tour et au Lys. Nous avons bien entendu reçu des missives nous invitant à devenir vassal des propriétaires des forteresses sur ces deux régions. J’ai expliqué au nom de la confrérie des Ombres en qualité de fondateur et de diplomate que nous cherchions à découvrir d’abord les rouages du monde politique d’Okord. Cette réponse a paru satisfaire les hotes de ces régions. En effet, ils nous ont pleinement laissé nous développer sans jamais rien nous demander.
Lorsque, surement grace à notre dieu Antaka, j’ai pu retrouver la trace d’autres Ombres, il est paru clair qu’il était nécessaire de trouver un espace plus grand pour accueillir mes frères. A dire vrai, une seule région correspondait à nos attentes. Celle du comte seb. La région était quasi désertique, le comte seb avait deux forteresses à sa disposition. Nous avons donc envoyé nos colons batir de nouveaux fiefs. Ainsi je recu le premier message du comte seb, cherchant à savoir si nous représentions une menace ou s’il devait se réjouir de notre arrivée. Trois fiefs en deux jours. J’ai fais preuve alors de franchise et peut etre aussi d’un peu de mystère malgré moi. En effet, je lui ai répondu : vous en réjouir je ne sais pas, y voir une invasion certainement pas.
Qu’est-ce que j’appelle une invasion ? Une prise de territoire en chassant ou en réduisant le peuple de ces terres à l’esclavage.
Avions-nous l’intention d’envahir le comte seb ? Non.
Le comte seb m’a alors répondu avec courtoisie, m’indiquant que nous étions les bienvenus tant que nous ne venions pas en envahisseur. Insistant à nouveau sur ce terme sans pour autant y donner sa signification. Il s’est alors proposé de devenir notre suzerain. Ma réponse m’a paru claire sur le moment :
Je vous remercie pour votre proposition, je reviendrais surement vers vous dans un avenir proche sur ce sujet.
La faction de la plume noire est-elle toujours active ?
Je me permets d’insister sur le sens de ma phrase je reviendrais SUREMENT vers vous …… à ce sujet.
Ai-je à un moment laissé entendre que oui, nous étions décidés dans un avenir proche à devenir les vassaux du comte seb ? Je ne pense pas.
Le tournant de cette histoire aux allures tragique intervient quelques temps apres. Peu au fait des rouages militaire d’Okord et pensant que mes défenses étaient éternelles, j’ai demandé sur la tribune aux yeux de tous si les défenses disparaissaient après destruction ou non. J’ai obtenu ma réponse, mais le comte seb a cru déceler ici une « ruse » dans l’espoir visiblement de lui voler sa forteresse. J’ai tenu donc à le rassurer sur le sujet et en ai profité pour aborder le début des négociations demandant simplement si il était envisageable d’acheter la forteresse au vu d’une nouvelle annonce officielle, les fiefs seraient sujet à etre déplacé dans un court terme.
Mon cher frere des Ombres Pellehun tentait une nouvelle expérience, le déplacement de fief. Peut etre aurait il du mieux lire les prérogatives lié à cette nouveauté, tout comme le comte seb d’ailleurs qui demandait alors sur la tribune pourquoi il ne pouvait bouger une ville de son choix. La demande de déplacement de pellehun a été géré par missive automatique, le comte seb a prit cela pour une exigence de la part de pellehun et c’est donc naturellement braqué quand a une possible vente de sa forteresse. Il a également prévenu que dorenavant chaque nouveaux fiefs construit sur ses terres seraient détruit. Une missive un peu tardive que je n’ai pu transmettre à mes confreres que le lendemain. Le mal était fait, une premiere cité était rasée, le dialogue apparement rompu.
Dame Ayla a néanmoins missionné Pandalf pour mener des négociations ouverte avec pandalf lui-même, le comte seb, moi et dame ayla.
Deux propositions m’ont été faite :
La premiere consistait à débourser 1 à 2 million pour rembourser les defenses investi par seb, 6 à 10 million pour la contrée et une aide militaire de la part des Ombres pour aider le comte seb a prendre de force une nouvelle province. Soit de 7 à 12 millions.
Je me suis renseigné de mon coté tout en tenant au courant mes confreres de l’avancée des négociations. Il est apparu que cette somme que je trouvais exorbitante, potentiellement 12 millions, n’était effectivement pas de coutume sur Okord. Par ailleurs de mon point de vue, il ne me parait pas acceptable d’aider dans le sang la prise d’une forteresse alors que je fais l’effort de mon coté de la payer. Ainsi ai-je apporté une contre proposition : 4 millions pour la forteresse ainsi que la promesse de ne pas m’allier à des ennemies de la plume pour assurer la pérénité de ce territoire et voir sur le long terme pour une alliance solide entre nos deux maisons tout en refusant la prise d’une forteresse dans le sang.
La deuxieme proposition consistait à partir de ces terres et à prendre une forteresse que la plume aurait pris dans le sang à ses ennemies. Proposition à vue d’œil beaucoup plus adapté que la précédente, néanmoins, d’un nous perdions nos terrains agricoles sur la province du comte seb, de deux, nous nous mettions directement dans un conflit contre une cible inconnue. En somme un massacre en prévision.
Devant notre obstination à construire de nouveaux fiefs malgré les actes barbares, le sir gowan a jugé utile de nous espionner durant ces négociations. Le comte seb s’est affolé de voir 50 trébuchet sur une ville. Il m’a accusé de chercher à prendre la forteresse par la force. Il n’a pas relevé par contre que dans la ville voisine des cavalier, chevalier, archer étaient présent. La confrérie des Ombres se doit de s’armer et je ne pense pas que le comte seb ai quelque mot à dire sur le sujet. Nous nous constituons une armée oui c’est vrai.
Dans le but de nuire au comte seb ? Non.
Si l’on me demande d’en apporter la preuve, je me permettrais de la retourner, avons-nous détruit ou pillé qui que ce soit de la plume avec nos armées ? À nouveau, non. J’ai indiqué que je ne désirais plus parler avec le comte seb qui semblait comme son suzerain Gowan faire preuve d’une paranoia agressive. La peur de l’inconnue sans doute.
Il a été abordé la possibité sur le long terme que le monde d’okord s’agrandisse et que de nouvelles provinces soient accessible, on m’a donc fait une troisième proposition :
Accepter le suzerainage du comte seb en attendant l’annonce de cette extension. Et laisser le pourparler en pause.
Les agissements du comte seb ne peuvent pas nous permettre de l’accepter comme suzerain. Nous ne plions pas devant la menace. A ce jour nous la subissons mais nous ne nous plions pas.
J’ai salué la plume et ai quitté la salle des négociations en attendant cette fameuse extension. Visiblement mon départ a été mal perçut. Le lendemain, le comte seb attaquait une ville m’appartenant et installé la depuis les premiers jours. Il rompt ainsi avec ses dires : détruire les nouveaux fiefs. J’ai demandé à pandaolf de statuer sur leur position face aux actions du comte seb durant la pause accordé au pourparler. J’ai compris plus tard leur position grâce à la tribune.
Je tiens à rajouter que l'attaque sur votre ville hier est surtout due à l'installation hier matin du sir Shurtugal2035 qui a pour suzerain le Baron Pellehun et qui est aussi votre vassal. Preuve que vous n'avez pas du tout écouter ni même entendu ce que je vous avais dit que je prenais dorénavant vos installations pour un acte hostile.
Reprenez votre beuverie vicomte Oman et oubliez de mentionner quand, comment et pourquoi je vous ai contacté (11-IX). Quand et comment vous vous êtes aussi installé en Ittifak avant que je la cède à Ultan et comment vous avez omis de me répondre pendant que vous installiez vos fiefs chez le Comte Seb. Oubliez tout cela. Oubliez que sans réponse, un vu vaut mieux que cent entendus. Oubliez que pendant les négociations vous avez continué votre installation, oubliez que le Comte Seb vous a averti qu'il ne tolèrerait plus d'installation. Continuez d'oublier à votre convenance.
Vous voilà bien disert après ces semaines de silence...
Dernière modification par Gowann (2015-10-06 19:53:36)
Sir Gowann, vous vous offusquez que je vous ai oublié. Vous agissez tel un enfant désirant attirer l'attention en m’espionnant durant des négociations avec votre confrérie. Dame ayla m'a rappelé cet oublie et m'a demandé de vous répondre ce que j'ai fait. Au début des négociations j'ai transmis tous mes échanges sans exception à dame ayla et sir pandolf, ils sont donc en mesure de dire que je n'ai pas été silencieux mais qu'a partir du moment ou l'on me fait des vrais propositions je les prends en compte. J'ai transmis les informations à ma confrérie et nous en avons discuté tous ensemble, il est donc naturel qu'il y ai un délai avant retour. j'ai d'ailleurs devant le temps que prenait nos discussions j'ai informé la plume de l'avancée des discussions.
Je n'ai pas vos uses et coutumes, nous venons d'ailleurs, cela ne veut pas dire que nous ne pouvons pas apprendre, mais cela n'arrive pas du jour au lendemain. Et cela ne passe pas par le sang.
Vous avez dû oublier aussi que votre réponse contenait un non ferme et définitif.
Bonsoir à tous,
Je tiens à préciser que je parle en mon nom, et pas au nom de la Plume dont je fais partie.
Il y a de toute évidence des torts des deux côtés, et il serait peut être temps de le reconnaître.
Du côté de la Plume, le prix demandé pour la province est excessivement élevé par rapport à ce que l'on rencontre en Okord. Ceci dit, ce n'était pas la première proposition faite par la Plume, il y en a même eu ici même qui ont été ignorées de la part des Ombres (publiquement en tout cas, car en privé peut être que les discussions ont repris, auquel cas je l'ignore).
Du côté des Ombres, l'arrivée sur la province n'a pas été bien faite en terme de communication, ce n'était à mon sens pas au Comte Seb de vous contacter, mais l'inverse. De plus, une fois le premier contact établi (mais qui est mal tombé), cette attitude n'a pas changé et c'est essentiellement ce qui a créé les craintes d'attaque chez la Plume. Bien sûr, cette hypothétique attaque ne serait pas d'actualité dans les prochains jours, mais d'ici quelques mois, elle paraissait quasi-inévitable.
A titre personnel, lorsque j'ai entendu parler de cette histoire, j'étais farouchement défenseur des Ombres et espérais nous faire des alliés durables. C'est pour cela que je suis extrêmement déçu de la tournure des choses.
Plutôt que de chercher qui a raison, il serait temps de repartir à la table des négociations avec le Seigneur Pandolf de Kerroperh, et de trouver une solution de sortie à cette crise.
Un peu de décence en ces terres okordiennes, je vous prie...
Un homme entra en trombe dans la salle commune, ses vêtements étaient déchirés et du sang perlait le long de sa jambe. La pluie tombait encore le long de sa longue chevelure, et son regard noire était perturbé par la perte d'un oeil apparement récente.
Seigneurs de toutes contrés, je m'appel Gaoran, je suis seulement ici pour informer le monde des évènements de la nuit. Mon vénéré suzerain a été capturé cette nuit en sa capitale de myrmidones. Ce fut un massacre, tout mes frères sont tombés... Que le monde sache qui sont ces supposés seigneurs de la plume qui vaincu par celle ci réagissent par la lame...Ils ont fait tombé nos maigres défenses et tués nos frères. Mon chef avant de se diriger en première ligne avec ses hommes à laisser des indications. Je pense qu'il aurait préféré mourir, mais le connaissant, ils vont regretter de l'avoir seulement capturé..... Quoi qu'il en soit, que la plume sache une chose... peu importe la durée, peu importe les massacres... nous résisteront quoi qu'il arrive, et si nos hommes ne sont que chatouille pour vos montures, nos fils vous passeront par le fil de l'épée. Comte Gowann, félicitation, mon maître a fait l'erreur de vous sous estimer en vous insultant. S'il avait su que vous étiez si faible d'esprit au point de faire une erreur aussi grossière, il vous aurait probablement souri.... Nul pleurs ni crainte ce matin dans les cités de notre bien aimé Pellehun. La nuit à suffit. Désormais c'est la haine et la vengeance qui primera, et nul esprit n'oubliera cet acte et ce nom....
Sir Andior, vous qui parlez avec sagesse, prenez désormais l'épée contre votre ami si vous avez seulement le courage de vos convictions. Je resterais en ce lieux pour vous informer des événements de mes contrés, avec l'accord du vicomte Oman, mais sachez d'ores et déja que peu importe le nombre d'homme qui tomberont, peu importe le nombre de jour ou mon seigneur sera captif, nous travaillerons chaque seconde que ce monde nous apporte à la destruction du seigneur Gowann..Et que nous mettions des jours des semaines ou des années n'importera pas, ce qui importera c'est qu'à la fin, nous serons victorieux....
Se retournant vers Gowann il ajouta :
Vous ne nous connaissez pas... Mais le temps vous feront nous connaitre...
Dernière modification par Pellehun (2015-10-07 08:24:01)
Comte Gowann, félicitation, mon maître a fait l'erreur de vous sous estimer en vous insultant.
Vous saurez que ce n'est pas parce que vous êtes nouveau, jeune ou encore faible tout vous est permis. Cultivez votre haine tant que ça vous plaira. Mais n'insultez pas en plus les seigneurs de la Plume pour mon action.
Le Royaume a des valeurs que je défends et qui vous concernent vous aussi quoi que vous en pensiez. Vous n'en avez eu cure jusqu'à maintenant. Votre entêtement vous a conduit là où vous êtes.
Maintenant une offre sera faite à la Confrérie des Ombres. Une seule.
Je souhaite à mon tour, apporter quelques éléments, en tant qu'Intendant de la Province d'Ittifak, rosle que j'exerce au nom de mon Seigneur et ami, le Comte Gowann.
Dans cette province également les Ombres se sont installés sans mot dire, sur 5 fiefs prospères.
Là également, mon interrogation auprès de Messire Oman est restée avec une vague réponse...
Dans cette province, ma situation étant bien plus assurée que celle de mon ami Seb en Brecheliant, je me suis contenté de garder un oeil attentif au développement de ces 5 fiefs.
Depuis hier, j'espionne régulièrement ces 5 fiefs, ainsi que d'autres fiefs des Ombres dans la partie nord d'Okord et j'ai une armée assez forte preste à les attaquer.
Tout ceci pour expliquer que si nous avions souhaité simplement attaquer les Ombres cela serait déjà fait, et l'essentiel des cités de la faction de l'Ombre, sur l'ensemble du Royaume, serait aujourd'hui en feu...
Mais tel n'est point la façon d'agir de la Plume et ce n'est point ce que nous souhaitons pour une jeune faction telle que celle des Ombres.
Bien au contraire, voire croistre cette jeune faction et pouvoir la compter au nombre de nos amis, nous semble à tous bien plus intéressant !
Le Seigneur Gowann a agit ainsi qu'il l'a fait, afin de montrer que nous avons les moyens de tenir nos propos. Ce qui est arrivé au Seigneur Pellehun peut arriver demain à chaque Seigneur des Ombres. Ce n'est point une menace en l'air, c'est une simple constatation, et maintenant que cela a été fait une fois, vous savez que nous pouvons le refaire...
S'il faut en arriver là pour que les Seigneurs des Ombres écoutent nos propos, alors qu'il en soit ainsi. Mais cela serait fort dommage, et pour tous.
Connaissant mon Seigneur et ami, le Comte Gowann, je peux affirmer que le Seigneur Pellehun sera traité fort courtoisement, plus en hoste qu'en prisonnier.
Maintenant que les Seigneurs des Ombres connaissent nos griefs, notre puissance, et nos souhaits, j'espère qu'un accord pourra estre trouvé.
Dernière modification par Ultan (2015-10-07 12:03:14)
Le sang m'était monté à la tête dès le reveil. une missive du sir pandolf m'avait été porté. apres avoir rejoins la salle commune des Ombres, mes poings s'étaient crispé. La nouvelle était donc vrai. le sir gowann qui avait tout fait pour poser probleme dans les négociations avait dépassé une limite sans retour.
Sir gowann, au nom de la confrérie, je vous donne jusqu'à vingt heure ce soir pour libérer Pellehun sans quoi les négociations ne pourront etre poursuivit.
Seigneur Oman, je vous en conjure, ne faites point ainsi d'ultimatum, cela est le meilleur moyen de compliquer encore la situation...
Disons que maintenant que le message comme quoi, nous pourrions capturer les Seigneurs de l'Ombre et que nous pourrions mettre à feu et à sang toutes vos cités, faisons tous en sorte que cela reste au stade du "pourrions"...
Reconnaissez toutefois, Seigneur Oman, que le Seigneur Pellehun s'est montré assez doué dans l'art de la provocation ces dernières journées et méritait quelque peu une petite leçon.
Cependant, je gage que vous apprécieriez maintenant un geste de la part du Comte Gowann, et m'en vais lui en faire part...
Sir Ultan, si vous pensez pouvoir raisonner la confrérie des Ombres par la menace vous vous trompez grandement.
Ne voyez point mes propos comme une menace, Messire Oman.
C'est un simple état des lieux.
Et vous savez maintenant que ce ne sont point simplement paroles en l'air... mais également que notre souhait le plus cher est de régler ce différent de façon diplomatique, afin qu'au delà des simples discussions présentes ici, vous puissiez trouver avec notre représentant, Sire Pandolf, un terrain d'entente satisfaisant pour tous.
Dernière modification par Ultan (2015-10-07 14:24:27)