Forum d'Okord

Alzafrar de Léopardie

Re : Nul autre qu'Okord

" -Vous n'avez pas répondu à ma question Bernard. Qu' entendez-vous pas "réunir les deux couronnes" ?

Concrètement, nous sommes d'accord sur le processus mais un flou existe encore sur les modalités. Si le Royaume de Léopardie perdure, tout comme ce qui reste de celui d'Okord, l'héritier du trône possédera quels prérogatives, quels droits ? Que deviendront les familles respectives et quel statut donnerons-nous à la province du centre et celle de l'ouest. Ce sont ces questions qui méritent discussion. Le reste n'est qu'artifice, vous le savez comme moi."

Bernard de la Trimouille

Re : Nul autre qu'Okord

Bernard souffla :

" - Les modalités sont affaires de clercs !"

Bernard s'empara d'une carte de Léopardie, la replia en un cylindre qu'il tordit en U pour le placer sur sa tête comme une couronne.

" - Me voilà désormais roi de Léopardie, avec les deux couronnes sur la tête : la procédure ne me semble guère complexe. Votre maison peut porter le titre de Prince de Léopardie - ou n'importe quel autre titre qui satisfasse votre égo - et disposer de tous les droits féodaux inhérents, droits d'ost, de plaid et d'impôt, pour autant qu'elle reconnaisse la suzeraineté du Roi d'Okord et de Léopardie. Je ne saisis pas quels sont vos sujets d'inquiétude..."

Le Bon Samarien

Re : Nul autre qu'Okord

Le bon Samarien s'en foutait des histoires d'Okord et de la Léopardie.
"- Je m'en tape." disait-il lorsqu'on lui disait de trancher.
Par contre il remarqua récemment "- La carte du monde est super moche avec tous ses changements".
Naturellement, Il envoya donc ses sbires reprendre les marches de Samarie.
Ou claquer en essayant ...

Marcomir de Chatenay

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Re : Nul autre qu'Okord

L'assemblée de la nouvelle Norbury, le Leid, avait été rassemblée. Chaque familles, riche ou pauvre y avaient envoyées un représentant. Une femme très âgé présidait les débat.

Aidé par son voisin elle se redressa. "Silence s'il vous plait." Dit-elle d'une petite voix. Un homme tapa avec son pied sur le sol. Le silence se fit.

La vielle dame reprit. "Merci mes amis, le Sire Marcomir va nous entretenir de la guerre pour l'unité du Royaume. Les nouvelles sont graves." Elle se rassit toujours avec l'aide de son voisin.

Marcomir tout de maille vêtu, avec le tabar portant ses armes, se leva. "Mes frères et sœurs de Norbury. Avec la famille Trof et sa majesté le Roi nous avons pris une part active dans la réunification du Royaume. A l'heure ou je vous parle le chef Keverne assiège une forteresse tenu par un soutien du Sire Baudoin de Samarie."

Des acclamations retentir dans la salle. Marcomir demanda le silence.

"Hélas, le Sire Isegorias assiège la forteresse de Cúrue Dracangia que nous gardons au nom du Roi. J'ai immédiatement envoyé mes hommes d'armes et des hommes levés à la hâte. Mais ce n'est pas tout, nous avons pendu des espions du Sire Le Bon Samarien qui rôdait devant plusieurs forteresse royale. Les garnisons sont en alerte. Mais vous vous doutez bien que si je suis ici devant vous aujourd'hui c'est que nous avons besoins de bras. Je demande au Leid de voter une lever en masse, tout le monde peux se porter volontaire, une personne adulte par famille minimum. Nous fournirons un maximum de piques. Prenez vos arcs et flèches de chasse, vos faux, fourches et haches nous en auront besoin. Merci mes frères." Il se rassit.

Des discussions débutèrent.

Sire Albert, un lointain cousin des Seigneurs de Norbury, demanda la parole.

"Chère assemblée, je dirige le Hameau de Norbury depuis notre réinstallation. Je rêve que la Norbury retrouve une grandeur. Mon épée et celle des mes gardes sont à vos ordres Sire Marcomir."

Marcomir salua de la tête le Sire du Hameau de Norbury. Le vote se déroula dans la foulée à main levé, à une écrasante majorité la levé était voté.

Dès l'heure suivante, des hommes et femmes se regroupait sur les routes avec baluchons et armement en tout genre. Tous allaient suivre la bannière de Marcomir.

Bernard de la Trimouille

Re : Nul autre qu'Okord

Bédivère ouvrit la porte et annonça sans cérémonie :

" - Le seigneur Bon Samarien est à nos portes, messire.
- Parfait, s'exclama Bernard en direction d'Alzafrar tout en pointant la couronne de vélin sise sur sa propre tête, votre suzerain a déjà accouru pour rendre hommage à son nouveau roi !
- En effet, ajouta Bédivère, et environ trente mille samariens souhaitent en faire autant.."

Le Bon Samarien

Re : Nul autre qu'Okord

"- Boss, on s'est fait éclater" s'exprima un sbire.

Le bon samarien était troublé. Son leadership était sans faille, et sa composition d'armée également.

"- C'est surprenant" dit-il.
"- Il semblerait que votre adversaire aie eu une composition plus fine"
"- Plus d'arbalétriers donc ?"
"- Pas exactement, non"

Le samarien réfléchi pendant quelques secondes. De la buée couvrit les fenêtres de son château.

"- Ok, je vois la faille. On fait 10 000 arbalétriers de plus pour la prochaine fois"

Alzafrar de Léopardie

Re : Nul autre qu'Okord

Alzafrar bailla. Il se leva de sa chaise et salua le Roi mort vivant, à l'image de ce qui restait d'Okord.

"Vous n'avez cesser que de faire des invectives et souiller la Léopardie. Ces négociations sont une perte de temps car depuis le départ, vous n'avez qu'un seul but ; assoir votre domination à l'Ouest.

Nous en resterons donc là. Vous obligez aux léopards à devenir comme vous et faites fit de la bonne intelligence. Soit. Nul besoin de me raccompagner. Vous allez et avez, de toute manière, de nos nouvelles à l'Ouest."

Alzafrar n'attenda aucune réponse et quitta la forteresse.

Bernard de la Trimouille

Re : Nul autre qu'Okord

Bernard regarda Alzafrar se lever :

" - Faire fi de la bonne intelligence ? Allons de grâce, je vous rappelle que votre suzerain a décidé de mettre le siège devant le donjon où nous étions censé négocier ! Si c'est cela la définition de "bonne intelligence" en Léopardie, le fossé culturel entre nous est bien plus grand que je ne l'imaginais !"

Tandis qu'Alzafrar disparaissait dans l'escalier, Bernard s'adressa à Bédivère :

" - Combien d'hommes peuvent mourir à cause de l'égo d'un seul ?
- Tout dépend...
- De quoi ?
- S'il vous a offensé... "

Marcomir de Chatenay

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Re : Nul autre qu'Okord

Marcomir reçu les informations qu'une Forteresse était tombés aux mains de la Samarie et une autre entre celle du Serpent. Il crachat part terre.

"Le Leid nous donne toute l'attitude pour répliquer, que nos hommes rejoignent les contingents alliés !"

Les Capitaines suivirent les ordres, des milliers de miliciens rejoignirent les alliées de la Norbury dans la guerre.

Limie Trof

Inscription : 2017-08-01

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Re : Nul autre qu'Okord

Limie Trof avait refusé de se rendre aux différentes discussions proposées par le Roy Bernard de la Trimouille. Si le soutien de la famille Trof était toujours sans faille, l'héritière n'avait pas envie de perdre son temps à discuter avec des factieux qui faisaient passer leur égo avant le royaume.
Sans prendre le temps de prévenir le Roy de ses actions, Limie Trof avait envoyé ses armées reprendre la forteresse Curue Dracangia aux mains du comte Isegorias. Mais constatant que les factieux aimaient à éviter les troupes étincelantes des Trofs et qu'ils semblaient s'unir pour reprendre les provinces d'Okord gérées par des armées moins expérimentées, elle décida d'aller plus loin et lança ses troupes en direction du Chateau de Ripailles, le rassemblement stratégique des armées du comte Isegorias, afin de les anéantir.

Après une attaque éclair qui ne laissait aucune chance de victoire au comte devenu captif, et après quelques discussions confuses, la Dame héritière octroya un sauf conduit aux dernières troupes du comte.

Mais de mauvaises nouvelles lui parvenaient encore,
le Duc Francis d'Astaffort venait de prendre la Tourelle Protectrice Nord-Ouest de la Cité des Dieux,
et le Bon Samarien, malgré sa récente défaite contre le Roy, s'attaquait à la Tourelle Protectrice Nord-Est de la Cité des Dieux.

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Lignée des Trofs, et autres successeurs

Le Bon Samarien

Re : Nul autre qu'Okord

Il s'en retourna-la-la-la-la
En Samarie-ri-ri-rie
Et il captura-la-la-la-la
Un fortin ennemi-li-li-li-li

Fameux alexandrin Samarien.

Le Bon Samarien

Re : Nul autre qu'Okord

"Ouaip, ça fait une blinde d'arbalétriers" - Le Bon Samarien, lors d'une visite aux Marches de Samarie.

Bernard de la Trimouille

Re : Nul autre qu'Okord

Assis contre un arbre, Bernard contemplait son armée qui se repliait en bon ordre.
Les pertes étaient limitées: la domination numérique et les trente mille arbalétriers samariens présageaient d'un combat difficile mais une grossière erreur Roi avait mis son archerie à la merci de la cavalerie adverse ; sans aucune chance de victoire, le commandement avait capitulé face au Prince.
En même temps que son armée, Bernard voyait s'éloigner son espoir de réunification du royaume. Y aura-t-il un jour un Roi qui règnera à nouveau sur le Royaume d'Okord tel qu'il était lors de sa montée sur le trône, ou aura-t-il été le dernier ?

Bernard souleva sa main droite, pressée sur sa cuisse qu'un carreau avait traversée de part en part. Le flux pourpre qui s'en écoulait finirait bien par s'arrêter.

Marcomir de Chatenay

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Re : Nul autre qu'Okord

Marcomir occupé à écraser les troupes de l'écorcheur en Ittifak Nord et en Jonestone reçu la missive suivante :

** Une rumeur se répand en salle du trône: le Roi serait mort !**

"Le Roi serait mort lors d'une bataille contre le Bon Samarien." Déclara tout haut Marcomir.

"Capitaine Gabart, ordonnez des attaques contre les terres du Bon Samarien, que nos hommes pillent le plus possible, en tant que vassal du Roi je dois lui apporter soutien et le venger. Lancer trois raids symbolique, que ce Seigneur sache que le Roi était aimé."

Le Capitaine Gabart salua son Seigneur et partit donner des ordres.

Limie Trof

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Re : Nul autre qu'Okord

Roy d'Okord,

Des rumeurs font état de problèmes de santé suite à une vilaine blessure subie durant votre dernière bataille.
En tant que princesse d'Okord et héritière des Trofs, j'exige d'être tenue au fait de la situation quelle qu'elle soit.
Soyez assuré que je puis vous apporter toute mon aide dans cette épreuve.

A ma zone.
Limie Trof, plus près que vous ne pensez.

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Lignée des Trofs, et autres successeurs

Bernard de la Trimouille

Re : Nul autre qu'Okord

Francis de Guéméné, Maurice de Vire et Godefroy du Val d'Ajol

Francis de Guéméné jeta le parchemin sur la table ; face à lui, Maurice de Vire éclata de rire :

"- Une mauvaise blessure... En effet, passé un demi-boisseau de sang, je pense qu'on peut parler d'une mauvaise blessure !"

Godefroy du Val d'Ajol se renfrogna :
"- Nous ne devrions pas prendre cette missive à la légère ; la maison Trof est puissante et la princesse sait mener ses hommes...
- Allons Godefroy, l'interrompit Francis, une telle occasion ne se représentera jamais ! Le Roi fait du boudin sous son arbre, le prince Thierry est mort sous mes yeux... il ne reste aucun héritier adulte de la maison de la Trimouille qui puisse nous contester le pouvoir !
- L'armée nous est acquise, ajouta Maurice, et parfaitement opérationnelle. Si nous ouvrons les portes à la Trof, elle s'empressera de mettre un des bâtards de l'Ermite sur le trône et d'assurer la régence jusqu'à sa maturité, et nous nous retrouverons gros Jean comme devant !"

Godefroy regarda les deux seigneurs, à moitié convaincu, à moitié résigné.

"- Il faudrait mieux pour nous que le plan se déroule sans accroc si nous voulons conserver la tête sur les épaules et notre séant propre..."

Streptos

Re : Nul autre qu'Okord

Un autre jour vient de s’éteindre au  royaume d’Iffriquiya, le soleil commença à disparaître derrière l’horizon, laissant place à une immense boule orangée au-dessus des lointains champs de blé. 
Le crépuscule habille le ciel d’une lumière douce et incertaine ; permettant au derniers mineurs, fermiers et soldats de rejoindre leurs domiciles avant que les ténèbres n’envahissent les terres.

Cette nuit-là ne s’annonçait pas comme a ses habitudes ; un silence terrifiant y régnait !
Pas une seule brise n’était ressentie et le paysage semblait comme figé !

On vit soudainement, un homme vêtu tout en noir traversant avec précipitation la cour de l’Iffriqiya, puis emprunta le chemin qui mène à la résidence du Marquis Tarik Ibn Ziyad.
Les gardes semblaient le reconnaître, le saluant à chaque passage d’un salut militaire.

Arrivant devant la chambre du maître des lieux, il toqua la porte à trois reprises. La porte s’entrouvrit légèrement et il vit le seigneur Tariq en plein recueillement.
Fit un pas en arrière et attendit jusqu’à ce qu’il finisse.

« Samir ! t’as visite à cette heure-ci ne présage rien de bon ? »

d’une voix monotone, monocorde, Samir l’émissaire du Marquis Tariq ; annonça : « Que la paix soit avec vous Messire; des rumeurs circulent, elle disent que le Roi Bernard de la trimouille est entre la vie et la mort »

Tariq écarquilla les yeux, une vague d’inquiétude le traversa !

« Demande à l’écuyer de préparer Faras, on part maintenant vérifier si les rumeurs disent juste »
« Aussi, assure toi qu’on prépare une place spéciale au Bimaristan »

Samir s’apprêta à partir quand Tariq le rappelle, et lui demande d’une voix plus calme :

«  envoyez le vizir, rendre visite à Aboulcassis, s’il aurait l’amabilité de venir ausculter le Roi Bernard de la trimouille , on pourrait avoir besoin de lui »

Dernière modification par Streptos (2022-09-14 13:17:05)

Marcomir de Chatenay

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Re : Nul autre qu'Okord

Marcomir avait reçu presque en même temps la confirmation de la mort du Roi Bernard de la Trimouille et l'écrasement de ses trois raids contre le Bon Samarien.

"Un grand Roi s’éteint, jamais je ne reconnaîtrait ce Bon Samarien comme souverain, un homme qui c'est ouvertement moqué du Royaume et du Roi par le passé. Mes braves sont mort contre le Bon Samarien, ce dernier à pillé notre Port et notre comptoir Commercial." Un serviteur demanda à Marcomir si il lui parlait.

"non mon brave, je parle seul, laisse moi." Marcomir s'installa à sa table de commandement avec devant lui la carte des troupes de l'écorcheur, de l'autre les rapports de Port Lanchois et du Hameau de Norbury sur les attaques du Bon Samarien.

"Vous me manquerez mon Roi ! Foutu guerre !"

Francis de Guéméné

Re : Nul autre qu'Okord

" - Alors, Godefroy, nous avons toujours la tête sur les épaules!
- En effet, par contre, pour ce qui est de l'autre condition... j'ai bien peur d'avoir une paire de jambières à laver...
- Il est vrai que la victoire des troupes de la Dame Trof ne faisait plus guère de doute, et que sans ce petit coup du sort qui empêcha ses hommes de recevoir ses ordres...
- Et donc, pour cette nouvelle missive, demanda Maurice en agitant un parchemin, au feu avec l'autre ?
- Nous avons eu de la chance une fois, mais il faudrait voir à ne pas provoquer la Fortune ! Si je tombe d'un parapet et que j'atterris dans une charrette de foin qui passait par là, il n'est sûrement pas raisonnable de sauter de nouveau du rempart en me disant que tout se passera bien comme la dernière fois !
- Je suis d'accord avec Godefroy, reprit Francis. Après tout, nous avons ce que nous voulions, et même plus car recevoir notre serment signifie nous reconnaître en tant que seigneurs légitimes de nos terres. Préparons une réponse pour la Reine..."

Limie Trof

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Re : Nul autre qu'Okord

De nouveau sur le trône, la Reine Limie Trof activa ses relations diplomatiques.

"
L'autre guignole de Samarien peut bien compter sur les territoires d'Astaffort pour reprendre la couronne quelques jours, il n'obtiendra jamais les soutiens politiques de l'héritage Trof.
Relancer les échanges diplomatiques, faites savoir à tous que l'héritière est sur le trône et qu'elle compte y rester jusqu'au retour de son frère Aposs Trof.
Commencez par adresser une nouvelle missive à l'attention du seigneur de Guéméné. Je ne connais pas cet energumen mais nous aurons plus à gagner s'il est de notre côté... Après tout cela faisait bien longtemps que nous n'avions pas été battu sur le champ de bataille.
"

Francis de Guéméné,

Vous m’avez fait faillir devant vos murs.
Cette bataille me voit porter désormais la couronne.

Je vous propose d’en rester là dans notre conflit, apportez moi votre soutien et je laisserai vos territoires en paix.
Laissez moi de nouveau sans réponse et je viendrais de nouveau sur vos terres.

A ma zone.
Limie Trof, plus près que vous ne pensez.

Dernière modification par K-lean (2022-09-20 19:19:26)

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Lignée des Trofs, et autres successeurs