Vous n'êtes pas identifié(e).
Gardez votre fiel messire Escarciel ... Regardez au moins la carte avant ... il y très peu de fiefs Wigmar à l'est.
Il s'agit de défendre tout Okord messire. Toujours ces rancunes, cela ne nous aidera pas à combattre de façon unie si vous n'ouvrez pas votre pensée. J'ai l'impression d'avoir plus à craindre de vous que de la Horde ...
Dernière modification par Zherorix (2018-01-13 11:13:16)
Il n'y a pas que des cités wigmar à l'est...
Vous me faites bien rire... Planqué tout à l'ouest d'okord, vos gens n'ont rien à craindre pour l'instant...
Personne n'a rejeté l'idée de porter le combat au delà de la frontière, vous combattez des moulins, tous autant que vous êtes !
L'est n'est pas jeté en pâture à la Horde, tous les plans proposés impliquent une résistance à l'est. De ce que nous en savons, la Horde est trop puissante pour que nous puissions les affronter d'un seul tenant sans moyen de retraite. Si c'était le cas nous n'aurions même pas à nous en soucier puisque Baldir les repousserait sans difficulté. Si vous avez une autre, une meilleure stratégie pour parvenir à diviser leurs troupes, je vous écoute avec intérêt.
Je me répète mais je suis un seigneur de l'est également, allez vous aussi m'accuser d'abandonner mes terres ? Nous n'avons pas assez d'informations à l'heure actuelle pour nous permettre de n'avoir qu'une seule stratégie. Si la Horde est aussi puissante que les rumeurs le disent plusieurs rideaux défensifs seront nécessaires et nous n'aurons pas forcément le loisir d'aller croiser en Osterlich comme bon nous semble pendant toute la guerre !
Par ailleurs, si des menaces venaient à se manifester à d'autres frontières, au sud surtout, avoir des forteresses capables d'accueillir l'ost du Roi à l'ouest du canal ne sera pas idéal mais plus efficace que de les avoir de l'autre côté.
Dernière modification par Rode (2018-01-13 13:06:14)
Mon roi.
Même si la raison nous dicte de défendre la rive Ouest du grand canal. Il me semble que nous ne devrions pas laisser les terres de l'Est. Les Osterlichois ne se laisseront pas écrasent comme ça. Abandonner les territoires de l'Est sans défense donnerait du répit à la horde. Cela leur laisserait l'opportunité de se regrouper et de se préparer à franchir le grand canal. S'il faut combattre en osterlich alors faisons le. Plus nous retiendrons l'ennemi à l'Est, plus cela nous donnera du temps pour organiser nos défenses à l'ouest. Les seigneurs de l'Est sont valeureux et leur fief bien défendu. Cela pourrait être un premier coup d'arrêt pour la horde. Et montrer qu'il ne sera pas chose aisé de nous combattre.
Avec l'aide de la confrérie du cygne, utilisons la compagnie marchande et ses navires pour transporter troupes et ravitaillements. Nous ne connaissons rien pour l'instant de la horde, mais nous pouvons penser que se sont de piètre navigateur. Personnellement, si j'étais eux. Je choisirais les zones du grand canal les plus étroite pour faire passer mes troupes. Telles les sauterelles qui sautent de champs en champs. Je passerais d’îles en îles pour mettre pied sur la rive Ouest. Je ne me risquerais pas dans une grande traversé. Il faut donc fortifier les îles qui se trouvent dans les zones les plus étroites du grand canal. Armons les navires du mieux que nous pouvons. Formons des équipages si nécessaire. Ils pourront sillonner le grand canal et mettre a mal d'éventuels débarquements.
Je vous propose ériger trois lignes de défense. La première serait sur les territoires de l'Est. Avec des fiefs fortifier. La deuxième serait les îles qui parsème le grand canal et la troisième, des fiefs fortifier sur la rive ouest du grand canal.
D'ores et déjà, je mettrais en place un système de barge entre la rive ouest et Est. Pour transporter hommes, matériels et nourriture a l'Est. Et pour assurer notre éventuelle retraite.
Si nous perdons les territoires de l'Est. Il faudra envisager de ne rien laisser à l'ennemi dans notre retraite. Brûle les champs, bâtiments et fiefs. Brûler tout ce qui pourrait leur servir à la construction de navire.
Il est temps de mettre de coter nos diffèrent et d'unir nos forces pour le bien d'okord. Mon roi, mes Templiers et moi-même sommes volontaires pour prêter main forte aux seigneurs de l'Est.
Je rejoins l'idée de messire des Armoises, d'utiliser à notre compte les défenses naturelles de Kamdaus et des montagnes qui la bordent. Dans le cas où l'Osterlich ne résisterait pas à la Horde, il vaut mieux porter les combats sur le terrain de nos voisins, plutôt que de recevoir tout de suite la Horde sur nos terres.
Le magnat de Kamdaus est réputé pour ne pas aimer les okordiens. Peut-être préférera-t-il négocier avec la Horde la survie de sa ville, plutôt que de nous servir de rempart. Nous pouvons lui proposer notre aide pour tenir sa place, mais peut-être faudra-t-il que nous la lui imposions de force. Et si nous nous emparons de Kamdaus et de la passe de Baldir, il faudra le faire assez longtemps avant l'arrivée de la Horde, pour avoir le temps de reconstruire des défenses dignes de ce nom.
Je serais d'avis de nous renseigner sur les autres points de défense que peut nous offrir le territoire d'Osterlich.
À défaut de tenir des places fortes Osterlichoises, nous pourrons y harceler l'ennemi, ralentir son avancée, le désorganiser et, si Podeszwa le veut, commencer à l'épuiser.
Une première ligne de défense en amont de nos frontières laisserait également plus de temps pour préparer les territoires d'Osterord, la flotte okordienne et les bastions royaux.
Ah enfin de bonnes résolutions !
Faisons ce que propose le seigneur Hagen de Myzar pour les défenses et suivons l'idée de dame Carmen et du seigneur Galdor pour avancer sur l'ennemi.
Voila de véritables bonnes bases stratégiques.
Je pense qu'il est impensable d'abandonner les territoires de la façade Est à la Horde, si cela se faisait cela entraînerai le passage des seigneurs concernés du côté des forces du Khan, renforçant de ce fait les troupes d'invasion.
Première proposition - Renforcement des défenses de la vingtaine de citadelles à l'Est du Grand Canal, action financée par impôt Royal.
Dernière modification par Merlin (2018-01-13 20:24:51)
Un peu d'observation des cartes permettrait à certains de voir que les seigneurs du Hall possèdent des territoires à l'est.
Seigneur Haurk, j'avais simplement cherché à trouver une motivation logique à vos propos. Mais peut-être que votre compétence stratégique se résume à une folle bravoure.
En fait, les choses sont simples. Si nous sommes plus fort que la horde avançons-nous à l'est pour l'affronter.
La rumeur nous dit pourtant que la horde est innombrable. Même s'il est depuis longtemps démontré qu'elle a tendance à amplifier les faits, on peut raisonnablement penser qu'ils sont plus nombreux que nous.
A moins que nos éclaireurs ne trouvent un meilleur point d"appui que le canal pour la défense ou d'une alliance à l'est, toute force que nous envoyons à l'est nous affaibli et l'avantage.
J'ajouterai qu'attaquer nos voisins avant l'arrivée de la horde ne me parait pas le meilleur moyen d'en faire des alliés.
Il me parait également qu'il n'y a aucune raison pour que les seigneurs de l'est rallient la Horde, sauf trahison de leur part.
Nous n'abandonnons pas les terres de l'est, nous recherchons la meilleure stratégie pour vaincre la horde puis la repousser.
Seigneur Escarciel, je vous prie de considérer la possibilité de défendre - à l'Est, et sur le territoire d'Osterlich - un point-clé plus facile à défendre que le canal: La passe de Baldir (voir textes postés un peu plus haut par Carmen et Des Armoises), qu'il est possible de tenir en infériorité numérique extrême. Le contournement de cette passe est possible, mais rendu difficile par les montagnes, les bois et la rivière Skarn. Un terrain très peu propice aux manoeuvres de cavalerie, que des unités bien entraînées pourraient transformer en enfer de la Horde.
Cette stratégie ne reposerait évidemment pas sur une lâche attaque préventive de notre voisin oriental, mais interviendrait en cas d'effondrement de l'armée baldirienne.
Nos troupes ne se positionneraient donc pas en tant que puissance d'invasion mais en tant qu'armée de secours (notre royaume devant se faire un honneur d'accueillir par ailleurs un éventuel afflux de fuyards osterlichois).
Ceci étant dit, je suis d'accord avec vous lorsque vous évoquez la question du "ralliement" de seigneurs de l'Est à la Horde.
Il s'agirait là de la plus infâme des trahisons.
Messire des Armoises, je reconnais en vous un homme qui n'est pas étrangé à l'art de la guerre. Une passe est en effet un point stratégiquement intéressant à défendre. Plus que le canal, je ne pense pas car cette passe n'est pas sous notre contrôle.
Votre plan est néanmoins envisageable sous quelques réserves. Il faut contrôler la passe avant l'arrivée de la Horde. Il faut également que nous ne soyons pas en territoire hostile, ce qui pour moi nécessite une alliance temporaire ou au moins une trêve avec nos voisins. Défendre une passe en risquant d'être harcelé par un autre adversaire est effet, de mon point de vue, impossible. Il faudra également avoir des forces secondaires capable de surveiller les axes de contournement et de retarder l'ennemi pour permettre le repli de nos forces principales si nécessaire.
Vos réserves, seigneur Escarciel, sont justifiées, et vos observations valables.
Dans l'hypothèse où les forces de Baldir seraient balayées, je suis certain que toutes conditions seraient remplies pour le déploiement de troupes okordiennes à Kamdaus.
- Il nous serait aisé de gagner la passe avant la Horde qui a un royaume à traverser - et à piller - quand nous n'avons qu'une frontière à franchir.
- La terreur inspirée par la Horde et la destruction de l'armée royale osterlichoise rendraient vraisemblablement le Magnat de Kamdaus extrêmement ouvert à la coopération.
- Les zones de contournement sont constituées de terrains difficiles. Des unités d'élite conduites par des tacticiens émérites (on en trouve quelques-uns au sein de ce Conseil) pourraient y être bien davantage qu'un efficace rideau défensif. Elles pourraient représenter une menace pour l'ennemi, habitué à posséder l'initiative et peut-être moins compétent - et ardent - en position défensive. Je ne crois pas que cette Horde puisse exceller en tout, et sur tous les terrains.
La Passe de Baldir est l'endroit idéal pour stopper la Horde ou pour lui faire payer son passage d'un tel prix qu'elle gagnerait les rives du canal sérieusement ébranlée.
Cette option stratégique, dont la mise en place est simple et remarquablement peu coûteuse en hommes et en matériels, doit être considérée sérieusement par cette assemblée et le Conseil Royal.
Je précise, mon ami, qu'elle ne s'oppose en aucun cas à la nécessité de préparer un second niveau de défense - sur le canal - puis un troisième sur nos Marches orientales.
Dans tous les cas, je serai heureux de combattre sur les rives de la Skarn, à bord d'une galère sudordienne ou sur le rempart d'un fortin de l'Est-Okord aux côtés d'un seigneur de votre trempe.
Permettez-moi, chers amis, de reprendre brièvement la parole.
Il existe un scénario terrifiant.
Hautement improbable mais...
Voici : Il faut que je en vous fasse part.
L'un de mes éclaireurs en mission dans l'Ouest du royaume d'Osterlich observe que la situation y est d'un calme véritablement déroutant. La menace d'une invasion cataclysmique ne semble pas peser sur la population ou sur les forces armées locales qui n'ont pas été, semble-t-il, redistribuées sur d'autres fronts.
Dès lors, on peut comprendre la situation de trois manières :
1) Osterlich est un royaume de telle dimension que le galop des cavaliers de la Horde ne fait pas encore trembler ses terres de l'Ouest.
2) La compétence militaire de Baldir est à ce point immense qu'il ne lui est pas utile de mobiliser des troupes en urgence, et partout. La population attend la victoire avec sérénité.
3)...
3)... Osterlich et la Horde sont alliés (droit de passage ? coopération militaire ?...)
Cauchemardesque.
Improbable.
Mais...
Je viens de remarquer qu'aucune ambassade n'était envoyée traiter avec la Horde. Est ce un oubli de nos dirigeants ou bien ont ils complètement négligés cette possibilité ?
Parce que si c'était le cas, cela serait bien dommage. Envoyer au moins une ambassade à la horde, ne serait ce que pour savoir à quoi il faut s'attendre de leur chef, pourrait s'avérer très payant. Surtout au vu des informations rapportées par le ser Des Armoises.
Je me porte d'ailleurs volontaire pour "servir d'ornement de tente" comme certaines mauvaises langues pourraient venir à le dire. Un baron de plus ou de moins...
Remarque pertinente. Proposition intéressante. Comportement héroïque. Vous avez tout mon respect, Voïvode Braginski.
Vous devriez adresser ce texte à l'un des représentants du Gouvernement d'Okord (gouverneur de votre région ?) ou même...directement au Roi au roi Antijaky, qu'on surnomme un peu hâtivement le Malavisé.
Chers Seigneurs d'Okord,
Je tiens sincèrement à vous remercier pour votre implication dans ce projet de défense, je suis ravi de voir le sentiment patriote perdure dans les coeurs des plus grands Okordiens.
Comme le dit le Seigneur Gron, il est difficile d’appuyer notre stratégie de défense sur des suppositions : il nous faudra des certitudes.
Toutefois, cela ne nous empêche pas d’envisager plusieurs scénarios, et d’être prêts à les affronter en un minimum de temps.
Il va sans dire également que les résultats obtenus par les émissaires seront également déterminants dans la stratégie défensive.
En revanche, toutes les stratégies présentées tablent sur un envahisseur venant de l’Est exclusivement.
Si je le résume :
- Défense en Osterlich, pour maintenir la guerre en dehors de nos frontières, et bénéficier de la Passe de Baldir qui permettra d'assurer une défense avec seulement quelques hommes bien entrainés, tant la position est favorable. De la même manière, le chemin permettant de contourner la Passe de Baldir et la chaîne de montagne seront surveillés. Le tracé passant par un vallon, il conviendra de profiter de l’avantage du terrain pour empêcher la Horde d'avancer.
- Si Baldir n'accepte pas notre venue en la cité de Kamdaus, il conviendra de la prendre par la force.
- Dans l’hypothèse où l’ennemi parviendrai à traverser la Passe, la guerre sera rapidement portée sur nos terres. C’est ici que notre défense se basera sur la rive Ouest du Grand Canal.
- Des bateaux construits par les architectes de Carmen, ou loués aux peuples marchands, permettront de harceler la Horde dans ses tentatives de débarquer sur les rives de l’ouest.
Cette stratégie me semble très adaptée, et j’en salue le génie. Pour l’heure, nous ne pouvons aller plus loin dans le détail, notamment s’agissant de la composition optimale de nos armées.
Néanmoins, toujours dans cette idée de préparer au mieux notre défense, j’aimerais que vous me fassiez quelques propositions dans les hypothèses fictives suivantes :
- La Horde, qui a dévasté la République de Valésiane, s’est emparée de tous ses bateaux et ses équipages. Elle embarque pour attaquer Osterlich Sud en débarquant aux Marches. Elle peut arriver par conséquent en Okord par le Sud, (ou même en envahissant le Grand canal et en débarquant à plusieurs endroits).
- La Horde, qui a dévasté une grande partie du territoire d’Osterlich Est, est contrainte de contourner le Skarn et les montagnes pour remonter loin au Nord Ouest, car elle juge la Passe imprenable de cette position. Donc une invasion d’Okord par le Gundor.
Pour Okord !
Roi Antijaky